Deux freres rentrent à Minas Tirith.

Hasharin et Danakil faisait route le long de la forêt depuis bientot deux heures mais ils n'avaient plus dit mots, ils savouraient ces retrouvailles en silence. Hasharin stoppa son cheval et descendit, il siffla légerement et Danakil se retourna et vit son frère pied à terre et il s'approcha de lui et descendit également de selle. Ils installèrent un feu de camp. Ils commencèrent à manger, le loup placer entre eux deux. Ils dévoraient deux lapins capturer plus tôt dans la nuit. Ils s'allongèrent et commencèrent à discuter:

- POurquoi n'es tu jamais revenu au village avec mère apres le raid, Danakil?

- Nous sommes revenus et nous avons rien retrouvé a part un tas de cendre et de ruines à la place de notre maison. Aucune trace de toi et de père. Alors maman et moi sommes partis vers le Nord en compagnie des autres réfugiés...

- J'avais entérerré papa et je suis revenu à la maison apres et comme j'avais l'age je me suis engagé dans l'armée du Sultan en tant qu'éclaireur, informateur, pour me faire de l'argent et reprendre le métier de père. Où est notre mère?

Danakil fut embarassé et il hésita à repondre pendant quelques minutes et il dit:
- Elle est ....

Soudain un craquement se fit entendre dans la fôret derriere eux. Ils se relevèrent d'un bon, et tirèrent chacun leur katana...

Tandis qu’une fine pluie douchait la campagne, une légère brume nocturne tentait témérairement de se frayer un chemin hors d’un bosquet. Mais la brume n’était pas la seule à vouloir s’échapper. Une silhouette surgit du bosquet en trombe, manquant visiblement de s’effondrer, les pieds pris dans de sournoises racines. Hasharin fut distrait par le bruit de cette cavalcade et tourna son attention par reflexe dans cette direction. Il dut attendre quelques dizaines de secondes avant de pouvoir mieux discerner la silhouette en mouvement qui s’approchait de lui.
Visiblement non hostile, un homme d’une trentaine d’année, trempés jusqu’à la moelle dans une toge exotique aux couleurs flamboyantes, éleva sa main dans un signe de paix et de soumission. Il s’exprima rapidement, sifflant des mots qu’à moitié compréhensibles : il semblait était désorienté et effrayé.

- Messirs ! J’ai besoin de votre secours immédiat ! Je peux vous payez généreusement ! J’ai perdu mes compagnons et mes biens lors d’une embuscade ! Par pitié aidez moi à les retrouvez !

Sa confiance aveugle dans le premier venu était suspecte. Peut être était il lui-même sur le point de piéger Hasharin ? L’homme semblait cependant sincère, l’impatience se lisait clairement sur son visage.

Hasharin vit enfin un homme sortir du brouillard et de la forêt, des habits étrangement flamboyant et neufs sur lui. Hasharin murmura au pres de son frère:
-Méfiance... et Prudence

Le mystérieuse homme parla:
- Messirs ! J’ai besoin de votre secours immédiat ! Je peux vous payez généreusement ! J’ai perdu mes compagnons et mes biens lors d’une embuscade ! Par pitié aidez moi à les retrouvez !

Danakil fit plusieurs pas sur le côté pour se retrouver derriere l'homme, celui-ci était pris entre les deux assassins. Le maître prit la parole:
- D'où venez vous? calmez vous!! et dites moi ce qui s'est passé. Et il n'y a que deux styles de personnes qui parlents directement d'argent, les riches et les bandits. Qui etes-vous?

Les deux Haradrims avaient toujours leurs sabre à la main légerement placé vers l'avant, pret à contrer toute attaque. Le loup avait disparu dès l'arrivé de l'homme juste apres un de ces grondement typique pour signaler un danger. Hasharin chercha son cheval du regard, il se trouvait à quelques mètres, il si il le fallait il pouvait prendre son épée desssus. Mais ce n'est pas d'armes qu'il manquait, c'était plutot le probleme de Danakil, il n'avait qu'une dague et un sabre.... Bien peu pour un assassin...

- Aucun de ceux là…

Le regard de leur interlocuteur balaya rapidement un emplacement précis dans le dos de Danakil. On n'y lisait aucune haine, simplement une espèce de neutralité digne d'un bourreau ou d'un juge.

Alors qu’il baissa lentement sa main, des bruits caractéristiques du fer frottant le fer mêler à celui d’une course se fit entendre derrière l'inconscient voyageur En se retournant, ils purent distingués trois hommes armés principalement de massues et protéger par d’épaisses vestes de cuir matelassés, charger droit dans leur dos. Le premier arrivant tenta d’agripper les rennes du cheval d’Hasharin, surement dans l’espoir de le voler.

L’homme en toge beugla ce qui semblait être un ordre pendant qu'il prennait lui même du recul, laissant la place à Hasharin d'aller directement rejoindre son cheval s'il le désirait. Visiblement, il s'adressait aux nouveaux venu, bien que cela semblait insolite, c'était difficile de deviner à qui l'ordre était réellement donner :
- Ne les tués pas !

Trois hommes armés arrivèrent en courant vers les deux assassins, armés de massues à pointes et de grosse veste en cuir usé. Le premier des hommes aggripa Hanor le cheval d'Hasharin pour le voler, mais il sentit a travers ses chapes en cuir, une morsure, il se retourna et vit un démon noir et gris aux dents blanches en train d'essaier de le renverser et de lui aracher la chair. Il frappa vers le bas, mais Oeil-de-Nuit fit un bond pour l'éviter.

Hasharin courut vers les deux derniers hommes, un d'eux portait un casque en métal de l'armée d'Arnor. Des brigands c'étaient alors... Hasharin bouscula l'homme a la toge , qui se retrouva au sol et para le coup venant du dessus avec son sabre et frappa à l'horizontal mais l'homme parvint à éviter le coup, il prit dans son autre main une épée robuste d'acier et tenta de frapper l'assassin, qui contra le coup et trancha le cuir au niveau de la cuisse.

Danakil quand à lui, avait patiement attendu son adversaire et au moment où celui-ci aller lui rentrer dedans avec la masse, il se décala et l'envoyer valser ailleurs, le brigand trébucha et Danakil fut sur lui pret à l'achever.

Désemparés par cette soudaine contre attaque, les trois guerriers se mirent sur la défensive, paradant et esquivant. Celui qui s’était fait mordre par le fauve lâcha prise des rennes et gesticula dans tout les sens dans l’espoir de s’évader de l’étreinte de griffes.
Le troisième homme tenta de s’interposer entre Danakil et son compagnon en fort mauvaise posture. Il asséna une série de coups rapides et imprécis vers l’assassin, juste assez utile pour le forcer à se défendre plutôt que de penser sérieusement à achever l’homme à terre. Les passes d’armes furent cependant limités à leur strict minimum…

Après cet exercice, les hommes reculèrent et se mirent en retrait, arrêtant temporairement la confrontation. Pendant cette pause, l’homme en toge reprit la parole après s’être relever, la toge tacher d’encore plus de boue :

- Je vous prie d’accepter mes excuses, c’était une épreuve nécessaire. Les vrais aventuriers sont rares de nos jours, on retrouve plus couramment d’insolents bandits.
Cependant, ce que je disais n’était pas entièrement une invention. Voici une partie de mes compagnons. Voyez-vous ce discret chemin qui mène vers l’intérieur de la foret ? Nous l’avons empreinté dans l’espoir d’y trouver un refuge pour la nuit. Mais nous sommes tombés dans le piège : une fosse pour être exacte. Plusieurs de mes hommes sont morts, nous avons eut du mal à nous échapper avant l’arrivée de nos ravisseurs. Nous avions trop peur de leurs bruits bestiaux, nos torches s’étant éteintes dans notre chute, c’est notre instinct de survie qui nous à fait fuir… C’est en vous découvrant que nous avons soudainement prit conscience qu’avec un peu d’aide nous pourrions peut être venir en secours à nos amis ? Acceptez-vous notre excuse et êtes-vous prêt à nous rejoindre ?

Leur premier interlocuteur c’était auto proclamer chef, ce qui n’était guère étonnant étant donner qu’il n’avait rien du tout d’une carrure de guerrier. A première vu, les autres devaient être des mercenaires qu’il avait lui-même recruté.

Le chemin qu’il avait désigné était étroit et discret, la végétation était assez épaisse, difficile en effet de savoir sur quoi ils étaient tombés…

- Je vous assurez que ce n’était qu’une précaution pour m’assurer de votre honneur. Je n’avais aucun moyen de savoir si vous alliez me tuer ou simplement ignorer ma demande d’assistance. J’aurais de quoi vous récompenser une fois mes affaires et mes compagnons retrouvés.

Hasharin fut surpris par l'arret brutal du combat, il resta sur ses gardes écouta l'homme parler. Danakil et Oeil-de-Nuit s'étaitent rapproché de l'assassin, a present ils étaients pret à contrer n'importe quelle attaque...

-Vous voulez que l'on vous suive c'est cela? Bien nous allons vous faire confiance mais au moindre truc plutot louche, moi, mon frère et mon loup n'hésiterons pas à vous tuer. nous sommes tous deux mercenaires et nous étions à la recherche d'emploi. C'est donc par ce chemin, nous n'utiliserons pas de torches et je souhaite prendre la direction du groupe.

Les 4 hommes acquiècerent et les deux assassins se mirent à l'écart:
- Danakil, fais attention, je te prete ceci, un arc elfique et mon stock de flèches. Nous laisserons les chevaux ici, et nous eteindrons le feu.
Danakil le remercia et prit l'arc en main et encocha une flèche.

Hasharin partit en tête suivi de l'homme à la toge, puis les 3 mercenaires et enfin derrière se trouve Danakil. Quand Oeil-de-Nuit il est quelques parts autour des marcheurs nocturnes. Ils s'enfoncèrent dans la forêt sous les directions de l'homme à la toge...

L'homme en toge approuva d'un hochement de tête.

- J'ai compris le nom de votre compagnon... Mais quel est le votre Sir ?
Je m’appel Keliron. Et voici mes compagnons : Ernst, Yorgen et Hürll.

Après cette brève introduction, le groupe prirent la direction désignée par Keliron.
L’endroit était sinistre et inspirait la crainte à chaque pas. Etait ce l’ambiance nocturne accompagner par la pluie qui donnait cette chair de poule ou y avait il vraiment quelque chose de dérangeant dans cet endroit ?

Keliron semblait d’autant plus alerte. Ses trois compagnons couvraient l’arrière des assassins. Après une dizaine de minutes de marche sans incidents –mais quelques frayeurs sans suite- ils arrivèrent à l’endroit du piège.
Il y avait en effet une large fosse assez large pour contenir un carrosse entier. Et profond d’environ huit mètres. D’ailleurs, juste avant que les deux assassins ne demande comment ils avaient réussi à s’échapper, un des guerriers dans leur dos s’exclama :

- Nous avions des grappins tout à l'heure… Mais visiblement nos agresseurs ont également eut le temps de les prendre…

Personne ne semblait encore avoir remarqué les nombreuses traces de pas encore fraiches de l’autre coter du fossé, d’où commençait à se former de petites marres d’eau de pluie.

Keliron semblait comme hypnotisé par la vue du sang sur les quelques pieux de bois qui occupaient le fond de la fosse. Les trois autres guerriers semblaient eux même désemparés par la disparition de leurs compagnons et de leurs affaires, quoi qu’elles puissent être.

Le loup d’Hasharin semblait lui-même assez alerte et avait le museau pointer vers l’autre coter de la fosse, le souffle rapide, l’odeur du sang l’avait peut être excité.

Un des guerriers troubla le silence presque religieux, questionnant Hasharin d’une voix rocailleuse :

- Vers où allons-nous ? Ils auraient pu prendre n’importe quelle direction…

Hasharin , arbalète en main , au bord du fossé, il n'y restait plus que des pieux ensanglantés, et de la boue. De nombreuses flaques c'étaient formées de l'autre cotés. Un des mercenaires dit:
- Vers où allons-nous ? Ils auraient pu prendre n’importe quelle direction…
- Si vous regardez de l'autre côté de la fosse il ya des flaques, et pour qu'il y ait des flaques, il faut des trous et ces trous réguliers sont fait à l'aide de pas. Donc nous savons déja qu'ils sont partis de l'autre coté, et ils ont descendre vers le Sud, et non vers le Nord car au Nord se trouve l'auberge des 4 chemins et c'est un lieu trop fréquenté pour un grouppe de Bandit. Et d'apres mon expérience ils ont une planque dans cette foret. Non loin de cette fosse. Donc nous allons traversé et prendre vers le Sud.

Hasharin sortit son grappin de son sac, l'attacha à un arbre. Danakil descendit en premier et pris son arc en main et couvrit les autres pendants leurs descentes. Hasharin descendit en dernier et parvint à decrocher le grappin. ils traversèrent la fosse, un cadavre, similaire aux 3 mercenaires jonchait le sol. Ils traversèrent la fosse et Hasharin apres deux tentatives parvint à bloquer le grappin. Il monta en premier, et une fois en haut il analysa les traces et une fois que tout le monde est arrivé il dit:
- Ils sont bien partis vers le Sud, et apparement ils étaient nombreux, peut etre des prisoniers, et ils trainaient quelque chose, vous affaires, un cadavres je sais pas nous verrons bien. Quand à mon nom vous m'apelerez Ombre.

Oeil-De-Nuit avait reussit à suivre le groupe d'homme et avait filé vers le sud...

Les hommes ajoutèrent leurs grappins à leurs affaires avant de prendre la route. Ils ne pouvaient contester l’évidence même qu’avait mit en avant, mais visiblement ils n’étaient pas très à l’aise en campagne. Surement étaient ils des gens de la ville. Cela leur prit un certain temps avant de quitter la fosse et leur compagnon mort… Mais les railleries de Keliron, qui était lui-même visiblement pressé, les déconnecta de leur rêverie. Le groupe au complet se mit alors en branle et suivit les traces qu’avait détectées Hasharin.

Il n’y en avait en effet plus personne dans les environs, les inconnus agresseurs ayant dut disparaître dans un repaire à proximité. Aucun cadavre ni trace d’exécution n’était visible ailleurs sur le chemin. Les disparus avaient dut être fait prisonniers. Seuls les dieux savaient quel triste destin les attendait.

La pluie, toujours présente, fit entendre après un certain temps un bruit différent. Celui de l’eau qui coule en flot et qui tape contre la roche. Et c’est sans grande surprise qu’ils découvrirent par la suite un champ de pierre aux allures de veille mine abandonnée.

Les traces de pas étaient toujours aussi bien visibles, c’était à se demander si les agresseurs ne voulaient pas qu’on les retrouves… A moins qu’ils ne soient tout simplement pas assez prudents ou justement trop prétentieux pour effacés leurs traces.

Aucune forme de vie n’était visible dans le champ, nulle sentinelles ni autres marques d’un camp… Cependant, les fabuleuses capacités naturelles d’œil-de-Nuit l’avaient fait découvrir une entrée souterraine, que le reste du groupe découvrit seulement plusieurs minutes après, en suivant les traces.

Celui qui s’appelait Ernst, l’homme au casque d’Arnor, prit la parole tout en dégainer ses armes.

- On fait comment maintenant ? On leur rentre dedans ou on les attire dehors ?!

Visiblement, l’homme avait reprit confiance en lui maintenant qu’il était accompagner par des bretteurs particulièrement efficaces.

- On fait comment maintenant ? On leur rentre dedans ou on les attire dehors ?!

- Vous restez ici, et moi je rentre et je vois ce que je peux faire. Vous! vous vous placez de facon à etre pret à les recevoir. Danakil en hauteur et vous sur les côtés de la porte. Toi tu restes avec Danakil.

Le frere d'Hasharin se retrouva face à la vieille porte de bois, a flèche encochée, les 3 mercenaires se tenaient derrière des rochers attendants les ordres et leur meneur se tenait équipé de sa simple épée courte aux côtés du jeune assassin.

Hasharin parvint à ouvrir la porte sans la faire grincer et la referma doucement. Il se trouvait dans un tunnel sombre, une faible lueur venait du couloir de droite, ainsi que du son. Hasharin décida avant de prendre le tunnel de gauche, il avançait prudement un poignard dans une main l'arbalete dans l'autre. Arrivé à l'entrée de la pièce, ces yeux s'étaient habitué à la faible lueur présente dans ces cavités. Dans la grotte se trouvait apparement les biens de Kerilon. Mais aucune trace de prisonniers ou de brigands. Hasharin retourna sur ces pas et preske arrivé à l'embranchement de départ, des bruits de pas résonèrent. L'assassin se jeta dans un renfoncement et vit un homme passer équipé d'une torche , il se dirigea vers les affaires volé et commença à prendre un barilet d'alcool sous le bras. Il repassa devant l'assassin, celui-ci le prit en filature et avec son poignard lui trancha la gorge et les corde vocale, une mort rapide et silencieuse... Il tira le cadavre dans la "reserve" et ramena le barilet et la torche avec. Il sortit de la grotte, tout le monde etait sur leur garde dehors mais se décontractèrent à la vue de l'assassin. Il déclara:
- J'ai retrouvé vos biens, il n'y a pas de garde avec c'est bon, j'ai tué un des brigands. Les autres vont pas tarder à s'apercevoir de son absence. Donc il faut faire vite, des idées?

Les trois mercenaires et Keliron échangèrent un regard méler d’inquiétude et de joie.

- Quelle aubaine ! Ils ne doivent pas se doutés que nous avons découverts leur repaire… Essayons de voir nos affaires et de retrouvés nos compagnons… !


Keliron fut le premier à sortir de son couvert et s’avança vers l’assassin, tendant une main ouverte, visiblement dans l’espoir de récupérer la torche. Il semblait aussi quelque peu pressé.

Ernst fit tout de même une proposition, une fois toute la bande regrouper devant l’entrée :

- S’il n’y a pas de gardes, il doit au moins y avoir des rondes de sentinelles. Il faudra les abattrais avec des projectiles une fois que nous aurons découvert leur chemin de ronde. S’ils sont en train de boire, au moins on pourra imaginer qu’ils vont prendre un peu de temps avant de réaliser qu’ils ont un disparus, ils pourront peut être imaginé qu’il est allé boire en solitaire dans un coin…

Le mercenaire fixa l’assassin dans l’attente d’une réaction de sa part et, surement l’espérait il, une prise d’initiative… Car il avait peut être une idée, cela ne voulait pas dire qu’il avait le courage de passer devant pour le faire.

Ernst fit une propostion et Hasharin repondit:
- Danakil et moi même allons prendre le couloir de droite, là où se trouve les brigands pendant que vous, vous vous occuperez de sortir vos bien les plus importants. Nous, nous tenterons de sortir vos compagnons de là.Allez c'est parti et surtout aucun bruit.

Les deux frères partirent en avant, toujours armé de la même façon ils s'enfoncèrent dans l'ombre. Ils avancaient d'un pas sur et certain. Les bruits de voix se firent plus distincts:
-... Vous allez crevez bande de chien galeux... Gueula un brigand.
- Non je vous en suppli ne nous tuez pas..... gémit un mercenaire.

Hasharin avança encore d'un pas, toujours dans l'ombre, de là il apercevait la pièce, il y avait une cellule au fond où croupissaient 4 mercenaires tels Ernst. Et dans la pièce se trouvait une dizaine de brigands, Hasharin identifia celui qui avait parlé, apparement le chef, vu son armement un eu plus évolué que les autres et sa barbe rasée. Hasharin sortit un sheruken et fit un signe de tête à son frere qui banda son arc et au même moment il surgirent dans la pièce et lacherent leurs projectiles, ce qui fit tomber un garde et en blessa un autre au bras. Le chef se retourna et saisit une grand hache à double tranchant sur la table et s'avança vers les deux assassins, qui reculèrent et tentèrent de frapper simultanément le Chef qui cria:
-Tuez les!!!!!!!!!!!!!

Le chaos s’empara rapidement de la pièce. La mêlée qui s’y déroula attira l’attention des autres mercenaires qui, oubliant leur ordre virent porter secours aux deux assassins. Hasharin ne s’en sortait pas trop mal face à son adversaire, celui qui semblait être le chef était assez endurant et vigoureux dans ses coups, palliant son manque d’expertise par une force brute qui était assez difficile à parader. Mais le soutient de Danakil sonna le glas du brigand qui, une fois immobiliser par une flèche, fut rapidement achever par un mouvement de poignet expert d’Hasharin.

Quelques autres brigands qui avaient entendus l’appel de leur chef arrivèrent en renfort mais furent confrontés par les trois mercenaires. La mêlée qui s’en suivit était assez égale, jusqu’à la participation des deux assassins qui virent portés secours à leurs compagnons.
Keliron quand à lui fit les poches au chef. Il y découvrit les clés des cellules et délivra ses quelques compagnons tenus prisonniers. Ils étaient six au total, et vêtus de leurs plus simples apparats. Keliron les interrogea immédiatement, tout en recevant leurs remerciements.

- Il manque Gaar et Irama. Ont sont il ?

- Le reste des brigands les ont embarqués, on ne sait pas où… J’ose imaginez ce qu’ils subissent actuellement…

- Nos affaires sont toutes dans un autre couloir, hors de cette pièce, tout y est ?

- Nous, ils sont dispersés un peu partout… Mais nous n’avons pas eut le temps de voir d’avantage de l’endroit… Mais pourquoi nous ont-ils attaqués ?

Pendant se temps-ci, les mercenaires et leurs compagnons assassins venaient au bout des brigands qui n’avaient pas osés fuir, sous peur d’être abattus dans le dos.

Ernst questionna à son tour Keliron pour savoir si tout le monde était là. Il sembla d’autant plus choqué de savoir qu’il manquait deux de leurs compagnons.

- Il faut les secourir ! Fit-il avec empressement.

Hasharin ne pu qu’observer la scène tandis que la bande s’organisait elle-même.

- Récupérons nos affaires, une fois qu’on sera tous armés, on pourra vider cet endroit de cette vermine ! S’exclama un des prisonniers.

Ernst paru surpris des paroles de son compagnon et lui demanda :
- Mais, nous suffirons pour en venir à bout ? Ne sont-ils pas nombreux ?

- Si, mais avec ses deux valeureux guerriers, notre vengeance ne pourra que s’accomplir !

Danakil échangea un regard inquiet avec son frère, quelque peu troublé par autant de confiance.

Le groupe se mit en branle et quitta la pièce discrètement avant de rejoindre l’endroit où avaient été aperçues les affaires abandonnés.

Ils y découvrirent là, entasser dans un coin, une assez large palette d’équipement. Keliron fut le premier à sauter dessus, remuant les affaires tel un beau diable, dans un renouveau d’une énergie que l’on n’aurait jamais suspecté jusque là.
Il y avait là une armure de plate, une épée longue, un bouclier rond en acier, plusieurs dagues, trois armures légères de cuir, deux haches, une veste de maille de taille naine, un petit bouclier carré ainsi qu’un petit casque, cinq sacs à dos remplis de ce qui semblait être les affaires communes de tout voyageur (nourriture, tentes etc.).

Keliron se redressa du tas, tournant le dos au reste de la bande et fourgua sous sa toge un objet que nul n’eut le temps d’apercevoir. Il jeta un rapide regard par-dessus son épaule, plissant les yeux d’un air à décourager tout curieux de lui demander ce qu’il avait découvert.

Même les autres gaillards semblaient étonnés de l’empressement de Keliron. Ils se servirent quand à eux en armes et armures. Ernst reprit la parole, cette fois-ci avec moi d’empressement, comme si l’avis des assassins était désormais indispensable :

- Il n’y a qu’un chemin et ils ne doivent pas être loin… Nous étions chanceux jusque là, mais je doute que nous puisons adopter la même stratégie… Le reste de leur bande doit être regroupés plus au fond de la mine….

Il n’y avait qu’un seul chemin éclairer… Et de toute évidence, les autres chemins devaient êtres bloqués ou inaccessibles car rien n’était emménager : Bien qu’il était difficile de juger de l’entretient de l’endroit par le simple placement de torches aux murs…

œil-de-nuit grogna soudainement, pointant le museau vers un couloir non éclairé. Un bruit de pas de course se fit soudainement entendre, mais qui s’éloignait. Quelqu’un avait dut les repérés et avait prit la fuite ! Mais vers où… Surement la grotte non éclairée était elle un cul de sac et le fuyard n’espérait il surement que sauver sa peau…

Yorgen, désormais armé comme un vrai barbare –il empoignait fièrement ses deux haches- se mit d’instinct à la poursuite de l’homme, sans attendre l’accord de quiquonque.

Keliron regarda bouche bé son compagnon incontrôlable disparaître dans l’ombre…

Hasharin acheva deux guerriers et son frère en egorgea un autre, et tous deux virent les mercenaires mené par leur chef s'activer. Dans un stock d'arme leur Chef prit quelque chose et le cacha rapidement. Hasharin et Danakil furent intrigué.
Danakil dit à part:
- De plus en plus étrange, maintenant je te propose qu'on ne fasse que les suivre.

Un des hommes suite à un grognement de Oeil-de-Nuit s'élança dnas un couloir sans bruit, puis il eut un bruit sourd et puis plus rien...
Tous les mercenaires se regardèrent entre eux, et tous avaient le regards tourné vers le couloir sans lumière, et puis leur guerrier armé de ses deux haches d'où dégoulinait du sang. Des sourrires se dessinèrent sur toute les bouches.

Le groupe maintenant équipé commença à partir dans le tunnel éclairé, les deux assassins deriere sur leurs aguets. Chacun leur armes de tirs à la main, ils laissèrent une vingtaine de mètre d'avance.

En revenant, le guerrier aux haches ensanglanté fit, après un brève résumer de son homicide, la description de ce qu’il avait cru voir comme étant une ‘lueur inquiétante dans le mur’.

Le groupe se mit en branle pour inspecter la chose, curieux de découvrir ce qu’il pouvait y avoir dans ce tunnel obscur. Quelques hommes restèrent tout de même en recul afin de couvrir leurs arrières.

Un léger filet de lumière s’évadait d’un coter de la grotte. En se rapprochant, Hasharin pu discerner les contours d’une porte dissimulée à même la roche. D’ailleurs, tout le monde découvrit l’endroit, non pas qu’il était mal dissimulé –au contraire- mais c’était surtout le vacarme très proche que l’on pouvait entendre de l’autre coter.

Des éclats de rires et des frottements de matières métalliques se laissaient entendre de l’autre coter. En se collant contre la paroi, là où la lumière s’échappait, Hasharin pu discerner un groupe d’une dizaine d’hommes, tous de dos, qui levaient leurs armes et leurs poings fermés, acclamant un spectacle indiscernable. Ils étaient dans un vaste espacement bien éclairer, d’autres affaires étaient entassées contre la paroi et l’assassin discerna même plusieurs matelas. Il n’y avait qu’une autre entrée dans cette pièce, hors cette porte dissimulée et elle était gardée par quatre hommes, légèrement absents de leur poste et qui cherchaient du regard à voir ce qui se passait de spectaculaire.

Toute la bande de bandits semblaient distraits, c’était un moment assez idéal pour les surprendre. Mais les mercenaires et les deux assassins accompagnés de leur loup étaient ils de taille à affrontés autant de félons, même avec l’effet de surprise ?

Keliron chuchota à l’égard de Danakil :
- Que se passe-t-il de l’autre coter ? Voyez-vous nos compagnons ?

Les trois autres mercenaires semblaient eux aussi impatients de jeter un coup d’œil et d’avoir un aperçu de la situation de l’autre coter du mur rocailleux.

Hasharin avait trouvé la porte et avait mis tout d'abord son oreille puis apres avait regardé dans l'embrasure la porte, il devait y avoir une bonne dizaine de personnes en train de regarde un spectacle plus 4 gardes à l'entrée. Il se reconcentra dans le spectable et parvint à discerner ce qu'il se passait, c'était apparement les deux derniers mercenaires en train de se battre à mains nues, l'un deux, le plus petit etait salement amoché. Un des brigand cria:
- Bat toi et si tu survis t'auras la vie. AHahah!!!

Danakil regarda à son tour et Keliron lui demanda:
- Que se passe-t-il de l’autre coter ? Voyez-vous nos compagnons ?

- Il y a vos deux compagnons et ils sont entrain de se battre à mort, et le survivant aura peut etre mais j'en doute la vie sauve... Je propose qu'on ouvre la porte et que tout le monde rentre dans la mélée, il faut que deux personnes puissent donner des armes à vos compagnons et que l'on tu la quinzaines de gardes présents dans cette pièce. Mais ils sont sous le contrôle de la drogue alors attention.

Deux mercenaires tirèrent la porte et tous le groupe chargea mené par Hasharin et son frere. Tout le pris les armes dans la pièce et le combat s'engagea...

Le duel occupant l’attention des bandits, plusieurs de leurs membres du dernier rang périrent silencieusement avant que ne fut donné l’alerte. Puis, tout vacilla.
Ce qui était au début un duel à mort entre deux protagonistes fut un rituel partagé par tous.
Les bandits, aguerris dans l’art du combat rapprocher ne souffraient pas de la nervosité mais avaient néanmoins leurs capacités physiques réduites par la consommation d’alcool. Un avantage pour les mercenaires en sous nombre.

Les corps s’effondrèrent de chaque coter. Les brigands vendaient cher leur peau : ils ne devaient pas appréciez qu’on les dérange dans leur repaire !

Un des hommes à la chevelure grisonnante, de maille vêtue, faucha l’air en face d’Hasharin avec sa masse d’arme, avant de revenir dans le sens inverse après un rapide mouvement de poignet. C’était le second adversaire de l’assassin, le premier ayant été un pauvre bougre qui, se retournant de stupeur avec une pinte de bière en main, souffrit d’une mort rapide quand la lame de l’assassin lui transperça le torse.

Plus le combat s’allongeait, plus les brigands prenaient du poil de la bête, évacuant les méfaits de l’alcool dans l’effort physique. S’ils ne voulaient pas avoir trop de perte, les mercenaires devaient agir vite pour faire pencher la balance !

Keliron eut l’idée de jeter les torches à ses ennemis, qui, à l’étonnement générale, explosèrent en contact plutôt que de s’enflammer progressivement.

Les deux silhouettes des duellistes tentaient de rampés hors de la mêler, surement dans l’espoir de récupérer. Un d’eux était un nain, aucun n’avait bonne mine. Ils devaient être sacrément bouleversés psychologiquement pour avoir étés obliger de se combattre mutuellement…

Après une demi heure de féroces passes d’armes, les deux camps s’observèrent chacun. Sept hommes de chaque côté. Beaucoup de sang gaspillé par simple adrénaline et soif de combat… Les bandits, leurs armures de cuir maculés de sangs, toisèrent les intrus d’un air mauvais... La prochaine passe d’arme serait encore plus sanglante et devait marquer la fin d’un des camps…

Hasharin avait deja tué un homme, et il se retrouva face à un adversaire un peu coriace équipé d'une masse d'arme. Hasharin se baissa pour eviter la terrible faucheuse. Hasharin envoya un couteau dans la jambe de l'homme qui plia et qui se fit achevé par un coups net de katana qui lui ôta la tête à jamais. Ce qui arreta le combat momentanément. Les deux camp se regardaient mais aucun ne voulais attaquer.
Danakil prit l'initative et chargea le premier des hommes, juste à côté de lui se trouvait Hasharin et les 5 autres mercenaires chargèrent. Un homme du camp des Brigands se retrouva à terre mort, une lame depassant du ventre, c'était le nain qui avait planté une épée trouvé au sol. Hasharin se retrouva face à un homme de petit stature, qui maniait dificilement une lame à deux mains. Apres deux coups parés assez facilement Hasharin décida de passer à l'attaque, il y alla d'abord doucement, puis il accéléra la fréquence de ses coups et au final il lui trancha un bras et enfonça un poignard dans l'épaule de l'autre bras. L'homme s'écroula et hurla.... Quand à Danakil lui il parvint à tuer à l'aide du loup de son frère. Apres quelques courtes minutes tous les brigands étaient allongés au sol, mourants ou déja morts.
Keliron alla parler aus deux duelistes, ils échangèrent quelques paroles et tout le monde commença à reprendre la toute de la surface, mais avant Hasharin jeta une torche sur les matelas où il avait entassé les corps...
Le groupe maintenant presque assuré qu'il ne restait personne alla récupéré les biens de la troupe plus haut dans la mine et puis tout le monde sortit et enfin Hasharin et Danakil prirent Keliron à part et le firent s'assoir. Danakil dit:

- Vous disiez que vous pourrez nous payer alors nous attendons car nous avons risqué nos vies et encore plus grave nous avons perdu du temps.

- Et moi aussi je dois vous dire quelques choses, une fois vos compagnons libres vous avez quelques choses dans votre toge je désire savoir ce que sait.

La troupe n’était pas d’humeur pour la négociation avec les deux assassins. Dehors, la pluie avait cessé, et chacun pouvait s’occuper de bander leurs plaies. Ernst et Keliron prirent rapidement conscience qu’il fallait se débarrasser des deux assassins, leur air prétentieux et hautain allait être nuisible à l’humeur de leur groupe. Le deuil de leurs défunts camarades était déjà un assez grand défi psychologique.

Keliron fut surpris et afficha un air de dédain quand on lui demanda de mettre en avant le fruit de sa recherche. Reprenant le contrôle de sa voix, il se défendit :

- Nos affaires ne vous regardes pas ! Je n’ai aucune raison de vous montrer mes biens privés.

Ernst participa à la discussion, visiblement conscient qu’il y avait un risque de débordement. C’était la dernière chose qu’il désirait.

- Nous vous remercions pour votre aide. Suivez-moi…

Keliron se rapprocha de son cercle de compagnons, trainant un regard dédaigneux sur les deux assassins qui s’éloignèrent avec le mercenaire d’Arnor.

Ernst mit un genou à terre devant un de leurs sacs récupérés dans le repaire des bandits. Il en sortit un petit coffre pas plus grand qu’une dague et verrouillé par un cadenas. Passant une main dans sa chemise, il en sortit une clé en collier qu’il inséra dans la fente du mécanisme. Un petit clic métallique précéda l’ouverture du coffret. Deux imposantes pierres précieuses brillaient dans la faible clarté lunaire. Le mercenaire sortit une des pierres avec une précaution cassie religieuse. Il refermât ensuite le coffret et le dissimula à nouveau dans une poche cachée du sac. Il détacha ensuite trois grosses bourses de sa ceinture : il était difficile de savoir si c’était des gains fait sur le pillage des cadavres ou ses propres économies. Mais il distribua tout ceci aux deux assassins.

- Voici environ deux milles pièces d’or. Et une très précieuse pierre, sa valeur est inestimable. J’espère que cela vous satisfait et ne vous invitera pas à vous déshonorer en demandant d’avantage… Nous avons perdus assez de nos camarades, ce serait insultant de vouloir d’avantage de nos biens… Je vous souhaite bonne route… Puisse les dieux veillez sur nous tous…

Ernst plissait les yeux et semblait méfiant des deux assassins. Ils avaient peu etre perdu leur temps mais que cela était il par rapport au prix de plusieurs vies ?

[Hasharin et son pnj gagnent un total de : 1755 po et une Pierre précieuse. J'invite cependant le staff à reprendre un jour cette troupe de voyageurs égarés et pourrir la vie d'Hasharin pour manque de finesse indigne d'un assassin ^^]

- Voici environ deux milles pièces d’or. Et une très précieuse pierre, sa valeur est inestimable. J’espère que cela vous satisfait et ne vous invitera pas à vous déshonorer en demandant d’avantage… Nous avons perdus assez de nos camarades, ce serait insultant de vouloir d’avantage de nos biens… Je vous souhaite bonne route… Puisse les dieux veillez sur nous tous…


- Nous ne vous demanderons pas plus, ne vous inquietez pas. Nous allons vous quitter que les dieux vous soient favorables et vous épargnes les ennuies.

Et les deux assassins sans un mot de plus quittèrent l'étrange groupe. Une fois seul, Hasharin dit:
- Vraiment étrange ce Keliron, bon retournons à notre campement et partons en direction de mon chez moi.
- Ton chez toi?
- Oui tu verras une fois la-bas ca risque de te plaire si je me souviens assez bien de toi.


Apres un quart d'heure de marche, car ils avaient contouné la fosse, ils retrouvèrent leur campement et les chevaux, Hasharin fit le tour de son équipement, c'est bon rien n'avait été volé. Ils se reposèrent durant quelques heures et reprirent la route de la Troué du Rohan...

Les deux frères avaient voyagés pendant plus d'une semaine, ils étaients passé par la Trouée du Rohan, avait fait halte à Edoras pour reprendre des provisions et avaient continué en longeant les montagnes Blanches. Durant tout le voyage, chacun avait raconté ses péripéties depuis qu'ils s'étaient quitté. Et plus d'une fois ils s'étaient retrouvés dans des endroits proches sans le savoir, chacun croyant l'autre mort. Danakil ne cherchait plus à tuer Hasharin.

A l'aube ils firent halte, pour manger et se reposer. Hasharin finit de manger, lava sa vaisselle à l'aide d'eau et de sable et revint voir Danakil et lui dit:

- Nous sommes ce que nous sommes, des Assassins et des Haradrims. C'est derniers temps aucun des deux n'est bien vu dans la Capitale. Mais malgres cela, nous pourrons entré et survivre dans la Cité, je connais le Roy et il me doit un petit peu de reconnaissance. Une fois à l'intérieur, il nous faudra retrouver un maximum d'assassins, j'ai deux apprentis, Vhenom et Altaïr. Ils nous faudra creer une Guilde, regrouppant tous nos frères d'armes. Et nous devrons agir n'importe en Terre du Milieu.

- Je suis d'accord, Frangin. Mais comment contacter des assassins, je te rappelles que l'on est pas sencé savoir trouver un assassin.

- J'ai une boutique à Minas TIrith et tout les assassins passent dans cette boutique. Nous les trouverons ne t'inquietes pas.


...


Ils arrivèrent le lendemain à la Capitale et reussirent à passer le poste de Garde sans altérations. Ils montèrent dans la cité et allèrent dans "l'antre du Harad". L'apprenti du maître les attendait...