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 Tebrindel, fils de Fadrielas

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Tebrindel
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Tebrindel, fils de Fadrielas EmptyMer 28 Mai 2008 - 11:45
FICHE DE PERSONNAGE DE TEBRINDEL


NOM : TEBRINDEL, Fils de FADRIELAS

AGE : 180 ans

SEXE : masculin

RACE : Elfe

DESCRIPTION PHYSIQUE :

Digne représentant de ceux de sa Race, Tebrindel, malgré ses 180 printemps, conserve l’allure d’un Homme de 25 ans. Descendant d’une longue Lignée de Serviteurs fervents du Roi Ereinion Gil-Galad, tout dans la physionomie de ce Cavalier émérite chante le sang des Noldor. Grand et élancé comme tous ses Frères, l’éducation de fer qu’il a reçue d’un Père tyrannique l’a habitué à entraîner son corps aussi bien que son esprit. Il entretient donc une musculature solide, plus massive que chez la plupart de ses Congénères. Brun, le cheveu lisse et raide effleurant ses larges épaules, il promène sur le monde le regard implacable de ses yeux noirs. Les traits de son visage sont fins et réguliers. Tebrindel sourit peu et rit moins encore. Pire ! La mélancolie qui semble l’habiter par moment commence à laisser son empreinte : profonde ride entre les sourcils à la racine du nez, paupières ombrées, lèvres pincées, mâchoires serrées, palpitation de veines noueuses sur les tempes. Son port de tête altier, loin de conférer élégance et distinction à sa silhouette, trahit un mépris profond et une glaciale indifférence. Puissant lorsqu’il saute de selle et arpente le monde d’un pas décidé, plus fort qu’agile, Tebrindel ne retrouve une véritable grâce que lorsqu’il est à cheval.

PARTICULARITES :

Sa désinvolture, et un détachement affiché pour l’existence, ont poussé Tebrindel à commettre de trop nombreuses imprudences. Il a conservé dans sa chair les traces des combats engagés sans la moindre prudence, et des chasses mémorables contre des gibiers plus retors qu’il n’avait escompté (il chasse monté armé de sa lance). Il exhibe une profonde balafre sur la joue gauche (on en ignore l’origine), - ombre creusée de la mâchoire jusqu’au coin de l’œil -, qui renforce la dureté de sa mine. Tebrindel est toujours ganté, de peau ou de maille. Il porte sa cuirasse sur sa peau nue, sans surcot, camisole ou chemise, qu’il pleuve, vente ou neige.

TRAITS DE CARACTERE :

Tebrindel a deux visages. Celui qu’il présente à ses congénères : avare de ses paroles mais toujours franc et direct, solitaire mais solidaire et soucieux de ses camarades, sombre mais disponible et volontiers à l’écoute. Il masque son anxiété derrière une certaine indifférence, presque de la désinvolture. D’un grand courage physique, il se met facilement en avant. On vante sa tolérance, et son esprit élevé, mais finalement, tout cela ne dissimule qu’un réel et profond manque d’intérêt. Nul ne se rappelle l’avoir jamais vu sourire, ni moins rire. La mélancolie paraît sa meilleure amie. Et puis, il y l’autre face de la pièce : plus noire celle là, insoupçonnée, d’un Elfe qui s’insurge contre le Sort de sa Race, et qui a fait vœu de ne pas participer au Grand Chant des derniers jours d’Ara. Un Elfe qui s’est découvert une passion du combat, et que la mort fascine.

METIER : RANGER

ARMES DE PREDILECTION :

L’Epée et l’Arc sont les meilleurs amis de TEBRINDEL. Son Cheval, dressé pour la guerre, reste néanmoins la meilleure de toutes ses armes, et celle dont il userait le plus volontiers dans un engagement de grande ampleur. Lorsqu’il monte, il préfère alors user de la Lance.


Dernière édition par Tebrindel le Mer 28 Mai 2008 - 11:47, édité 2 fois
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Tebrindel, fils de Fadrielas EmptyMer 28 Mai 2008 - 11:46
FICHE DE PERSONNAGE DE TEBRINDEL (SUITE)

HISTOIRE :

Tebrindel se pencha sur l’encolure de Rochallor, son blanc pommelé gris. De sa main gantée de cuir, il caressa la joue de l’animal qui frémit légèrement. Rassurant sa monture en flattant sa crinière tressée, il lui chuchota quelques mots à l’oreille. Titillé par le souffle de l’Elfe, le Cheval releva fièrement la tête pour la secouer énergiquement, contraignant le Cavalier à assurer une prise ferme sur les rênes, sollicitant le mors pour prévenir toute tentative de ruade.

Tebrindel, pour une fois, ne brida pas son sourire intérieur : comme tous ses prédécesseurs, scrupuleusement sélectionnés, la Bête affirmait un caractère ombrageux qui siérait parfaitement à un Cheval dressé pour la guerre. Il n’y avait qu’une lune seulement que Rochallor tolérait la selle et déjà il manifestait toutes les aptitudes requises pour s’illustrer sur les champs de bataille. Il faut avouer que son nom était lourd de promesses qu’il conviendrait de tenir sous peine de se couvrir de ridicule : Rochallor avait été le nom du Grand Cheval de Fingolfin, Seigneur des Noldors ; pour être plus précis encore, de la dernière monture que Fingolfin avait chevauchée avant d’aller affronter sa mort aux Portes d’Angband. En hommage à ses Origines, Tebrindel avait fait vœu de baptiser tous ses Chevaux de ce nom glorieux entre tous. Certes, Rochallor n’appartenait pas à la Race illustre des Mearas, mais ses ascendances étaient pures : le fruit de siècles d’élevage et de sélection des meilleurs produits.

Sous la pression affectueuse des jambes puissantes de son Maître, l’animal, après un dernier écart bien vite corrigé, recouvra sa sérénité et continua sa course altière sur le versant boisée de la colline.

Tebrindel régla l’allonge du Cheval et le laissa aller, jouissant des parfums de ce nouveau matin.


- Encore une journée, Rochallor. Une de plus !

Les derniers mots avaient été lancés dans un profond soupir emprunt de lassitude.

- Que faisons-nous de cette Eternité, Ara ? Pourquoi ne jouissons nous pas, comme les Hommes, du Don d’Iluvatar, qui semble donner à leurs jours une saveur si particulière ? Toi aussi, Rochallor, tu auras un jour la chance de partir… Je ne le peux que par les armes, la souffrance et le malheur !

Le Cheval piaffa puis ralentit, prenant le pas en atteignant le sommet de la colline.

- Pourquoi ne faillirai-je jamais à l’Estel ? Pourquoi ces exigences de Pureté, cette sublimation permanente de la Vie, de la Beauté, et cette quête à jamais inachevable de la Perfection de toutes choses ? Même l’Amour ? Sommes nous condamnés à d’éternelles étreintes subtiles et délicates, sans réel abandon ni folle ivresse ? Ne puis-je souhaiter de tout mon cœur et de toute mon âme pouvoir voler un baiser ? N’y a t il pas plus de jouissance à le voler sur des lèvres convoitées qu’à le quémander ? Quelle place avons-nous réservé à la passion, à la folie et à la langueur ?

Tebrindel tira légèrement sur les rênes de cuir, ordonnant à Rochallor de s’arrêter. Il embrassa d’un regard circulaire le paysage grandiose qui scintillait dans la rosée du matin.

- De tout cela aussi, je commence à me lasser !

L’Elfe relâcha son emprise sur le Cheval qui profita de l’aubaine pour brouter l’herbe haute.

- Je t’ennuie avec mes états d’âme, n’est-ce pas ? Oh ! Ne me fais pas l’affront de me donner raison, et laisse moi encore un peu goûter au mirage de ton entendement ! Pleurer et se lamenter ne sert de rien. Peut-être suffirait-il de donner un sens à tout cela en prenant mon destin en mains ? Ma loyauté et le respect de mon Sang sont mes plus lourdes chaînes finalement…

En prononçant ces dernières paroles, Tebrindel eut une pensée pour Fadrielas.

Fugitive.

Douloureuse.

Il ne pouvait songer à son Père sans verser quelques gouttes de sang.

Fadrielas ! L’Archer avait combattu à Minas Thirit aux côtés d’Aragorn. La charge des Rohirim déferlant comme une lame de fond et perçant les lignes de l’armée maudite du Mordor avait à jamais changé sa vision de la Guerre et des Batailles. Lorsqu’il lui était venu un fils, - qui serait d’ailleurs le seul et l’unique -, il l’avait soustrait à la tiédeur câline des robes de sa Magicienne de Mère pour forger un Cavalier. Tout son or avait été englouti dans la quête éperdue du meilleur Cheval, et la fréquentation assidue et frénétique des écuyers émérites.

Tebrindel se remémorait en grinçant des dents les leçons interminables prodiguées par ce Soldat fervent. La mèche du fouet jamais n’approchait la robe de l’animal, mais lui portait encore sur son dos, sur le haut de ses bras, et sur ses cuisses, les marques de ses morsures les plus profondes, fleurs blanches aux pétales froissées. Adolescent, il faisait déjà l’admiration de ses aînés, pour la rigueur de son assiette, et cette facilité apparente qui donnait à tous l’impression qu’il faisait corps avec sa monture, Elfe et Cheval fusionnés en un être unique.

Tebrindel n’avait été désarçonné que deux fois de toute sa vie : la première, enfant, alors qu’il faisait connaissance du premier Rochallor. Fadrielas l’avait battu comme plâtre, et Tebrindel avait dormi trois lunes sur la paille de l’écurie. L’autre fois, son Cheval avait été grièvement blessé par un Rogue qui l’avait attaqué par surprise à l’orée d’une clairière en brandissant sous le nez de la monture lancée au grand galop un pieu acéré. Le bois s’était fiché dans le poitrail de la bête. Rochallor s’était effondré sur ses antérieurs, et cavalier et monture ensemble avaient roulé dans la mousse et les fougères. Le cheval ne devait jamais se relever, mais lui s’était dressé d’un bond pour faire face à l’ennemi. Dans sa chute, Rochallor avait emporté le bonhomme et son pieu, et le bougre avait les jambes sérieusement brisées. Il rampait sur les coudes, le visage tordu par la souffrance, la peur brouillant son regard. Tebrindel n’avait alors jamais tué, ni homme, ni bête. Mais en contemplant sa monture agitée des derniers soubresauts, il avait senti quelque chose de plus fort que la pitié et la commisération l’envahir. La colère. Ce sentiment banni, cette maladie honteuse pour ceux qui toujours se doivent de demeurer maître de leur esprit supérieur. Elle était là, grondante, tirant sur sa chaîne, et il l’avait laissée le posséder. Il se rappelait avoir brandi sa lance, et d’un geste vif, de toute la vigueur de sa fureur toute neuve, de l’avoir lancé. Le fer avait plongé dans le ventre de l’homme, et avait jailli dans son dos, lui labourant les entrailles, mais laissant sa colonne vertébrale intacte. Stupéfait de son geste, assailli par le remord d’avoir commis l’irréparable, l’Elfe s’était précipité pour porter secours à sa victime. Mais au moment de se saisir du bois de la hampe, il avait entendu Rochallor hennir sa douleur. Alors, pouce par pouce, il avait tiré sur la lance, arrachant à sa victime des hurlements sauvages, et lorsque le fer trempait dans les entrailles de l’homme, il avait tourné l’arme dans la plaie. Puis, il s’était assis et avait accompagné le voleur dans son agonie. C’est là qu’il avait compris. Le prix de la vie. Ce don auquel l’autre, baignant dans son sang, ne voulait pas renoncer. Pleurant, suppliant, luttant contre le vide. En vain. Le Rogue avait mis plusieurs heures avant de passer. Et jusqu’à la fin, il avait hurlé sa peur, souillant son pantalon. Ce jour là, Tebrindel était rentré à pieds, et Fadrielas l’avait accueilli avec une gifle retentissante.

Dès qu’il avait été adulte, ou jugé comme tel, Tebrindel avait rejoint les Rangs des Rangers.

Parmi eux, ses talents de Cavalier ne lui servaient à rien, mais il avait l’honneur de protéger la Forteresse, et sillonnait jour après jour la Terre de Milieu. Des jours qui tous se ressemblaient. Comme si chaque heure devait se reproduire, identique à la précédente.

Et il n’y avait que trop peu d’heures remarquables.

Tebrindel avait tu le meurtre de son agresseur. Mais chaque nuit, le souvenir s’instillait et dévorait son âme. On aurait pu penser que le remord et les regrets l’accablaient. Il n’en était rien. L’Elfe avait ressenti une étrange sensation en privant le Rogue de son essence vitale. Comme si, pour une fois, une seule fois, il avait pesé sur le Destin et l’Histoire. Il songeait souvent aux amis, à la maîtresse, aux enfants de cette ombre vile : il avait changé le cours de leur vie, à jamais. Sa lance avait été le doigt du destin. L’égale d’Enur.

A partir de ce jour, il s’était adonné aux plaisirs de la chasse. Traquant et tuant. Contre toute logique, méprisant les idéaux de sa culture, il avait tué pour tuer, et chaque fois, il avait ressenti ce même sentiment de toute puissance. Même lorsque le sanglier mourant l’avait chargé, et avait plongé ses défenses jusqu’à l’os dans la viande de sa jambe, et qu’il avait du achever le monstre au corps à corps, il avait aimé donner la mort. Le plaisir avait encore été plus intense cette fois là, parce que plus rare. Il avait senti le porc exhaler ses derniers souffles sur son ventre, et la tension dans ses muscles l’abandonner soudain. Le goût du sang dans sa bouche avait la saveur de la victoire chèrement conquise. Alors, à chaque escarmouche, il courait en première ligne. Et il comprenait maintenant l’ivresse du combat.

Et puis, un soir d’hiver, Fadrielas n’était pas revenu d’une ronde de routine. L’Officier était venu trouver Tebrindel, la mine défaite et l’œil grave. Selon toute vraisemblance, Fadrielas avait trouvé la mort. Les Rangers avaient quadrillé la contrée, jours et nuits pendant une lune. Tebrindel, sans dormir, et mangeant peu, avait participé aux recherches. Il promenait un visage triste, et l’anxiété lui broyait les tripes. Mais ce n’était pas le sort de son Père qu’il redoutait d’affronter. Il avait peur, - une peur indéfinissable, aussi violente que les craintes irraisonnées de l’enfance -, peur que Fadrielas surgisse dans toute sa morgue et sa froideur et reprenne sa place parmi les Elfes de Gar Thulion. Dans le secret de son âme agitée, il priait pour que Fadrielas soit vraiment, irrémédiablement, mort. Il pria si fort que ses vœux se réalisèrent, et il porta plusieurs années les couleurs du deuil comme marque de sa joie insoutenable d’avoir perdu celui qui tyrannisait ses heures.

Pourtant, Fadrielas disparu, l’existence sembla plus terne encore.

D’escarmouches rares et sans saveurs en chasses furtives et clandestines, Tebrindel brûla sa vie. Sa seule passion restait son Cheval, et les longues courses à travers plaines et forêts. Comme une poignée de minutes précieuses volées à une éternité d’ennui.


- Il faut brûler, Rochallor ! Se consumer dans la fureur, et disparaître…

Claquant l’encolure du Cheval pour capter son attention, Tebrindel planta ses talons dans les flancs de l’animal qui s’élança d’un bond, et au grand galop, ils se dirigèrent vers Gar Thulion.

SA DEMEURE :

La demeure de TEBRINDEL se résume à un appartement qu’il occupe dans la Caserne de la Forteresse de Gar Thulion. Il préfère cette chambre minuscule à un quelconque des privés qu’il pourrait s’offrir dans la ville fortifiée cachée sous la citadelle. TEBRINDEL aime voir le ciel. L’enfermement le glace. Sa chambre est située au dernier étage des bâtiments de la Caserne, et, - luxe infini -, est dotée d’une meurtrière suffisamment large pour permettre à TEBRINDEL de contempler les étoiles, et d’apprécier l’immensité du paysage de l’Emyn Muil. Petite, la pièce est chichement meublée, mais le mobilier est de grande qualité, fabriqué dans des essences rares, et richement orné. Chaque pièce est un chef d’œuvre d’artisanat. Le lit, la table de travail, le fauteuil et les deux chaises, comme l’armoire et le coffre sont tous des cadeaux de la Mère de TEBRINDEL. Les murs sont habillés de broderies représentant des scènes de chasses. Il n’y a ni cheminée, ni poêle en fonte. Les nuits sont donc froides en hiver, et TEBRINDEL se drape alors dans des fourrures. Il s’éclaire avec une lampe à huile.

COMMENT TROUVES-TU LE FORUM : C’est un monument à la Gloire de Tolkien ! J’ai parcouru les différentes rubriques, et je suis bluffé par le niveau du RP ici, et par l’alignement scrupuleux du BG avec l’œuvre de l’Auteur. Il va falloir que je révise beaucoup pour aligner trois mots pertinents et j’espère que vous ne me tiendrez pas trop rigueur de mes erreurs.

COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM : J’ai connu ce Forum grâce à mon merveilleux Ami : Google ! En cherchant un forum RPG fondé sur l’imaginaire de Tolkien.
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Tebrindel, fils de Fadrielas EmptyMer 28 Mai 2008 - 18:05
Bonne connaissance de l'oeuvre de Tolkien, nombre de ligne amplement suffisant (et de loin!^^), bonne expression et bonne orthographe.

Rien à dire à mon goût. Very Happy

Tebrindel a écrit:
C’est un monument à la Gloire de Tolkien ! J’ai parcouru les différentes rubriques, et je suis bluffé par le niveau du RP ici, et par l’alignement scrupuleux du BG avec l’œuvre de l’Auteur.

Il va falloir que je révise beaucoup pour aligner trois mots pertinents et j’espère que vous ne me tiendrez pas trop rigueur de mes erreurs.

Eh bien, le staff et les admins seront contents de ta première phrase. Quant à la seconde, je crois qu'elle est fausse, car ta fiche est supérieure à beaucoup de nouveaux sur le forum.


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Tebrindel, fils de Fadrielas EmptyMer 28 Mai 2008 - 20:53
Excellent travail. Bienvenue parmi nous, Maître Elfe.
Content que le forum te plaise à ce point.

@ Halbarad: si le forum en est là, c'est aussi gràce aux Rps et initiatives des membres et animateurs qui font du très bon boulot Wink


"Tout ce qu'il nous reste à penser, c'est décider que faire du temps qui nous est donné .."
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Tebrindel, fils de Fadrielas EmptyJeu 29 Mai 2008 - 2:30
Merci pour votre accueil !
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Tebrindel, fils de Fadrielas EmptyJeu 29 Mai 2008 - 19:20
Mephisto a écrit:
@ Halbarad: si le forum en est là, c'est aussi gràce aux Rps et initiatives des membres et animateurs qui font du très bon boulot Wink
Hey merci Méphisto! Mais il n'y a pas de secrets, un forum de qualité attire les membres. Que Minas Tirith vive toujours aussi bien! Quant à toi, Tebrindel, si ton Rp est aussi bien que ta fiche, ça s'annonce pas trop mal Wink .

Amuse toi bien sur le forum!


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