Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

 Sighild Bladrick , fille d'Alberick.

Aller en bas 
Sighild Baldrick
Adepte des Arts Secrets
Sighild Baldrick

Nombre de messages : 284
Age : 33
Localisation : Va savoir...
Rôle : Mage/Sorcière

~ GRIMOIRE ~
- -: Semi-Elfe
- -: 115 ans (23 ans humain)
- -:

Sighild Bladrick , fille d'Alberick. Empty
Sighild Bladrick , fille d'Alberick. EmptySam 2 Oct 2010 - 19:09
Nom/Prénom : Baldrick/Sighild (prénom humain) , Elwing (prénom elfique qui signifie « pluie d’étoiles »)

Âge : Dix Huit ans (âge humain).

Sexe : Féminin

Race : Mi Humaine-Mi Noldor

Particularité :

En tant que sang mêlé, Sighild eut un choix à faire : l'immortalité fut ce qu'elle décida. Sighild a hérité de la beauté des elfes Noldor mais aussi des caractéristiques elfiques. Par conséquent, la demoiselle sait parler le Quenya.

La demoiselle possède une magnifique jument blanche qui se nomme Kematari (Reine de la Terre).

Alignement : Le Bien.

Rôle : Apprenti Mage de Minas Tirith

Équipement :

*Bâton Magique sculpté par les hommes dans une chute de bois très ancien et résistant. Il est orné d’une pierre de Lune.

*Epée Elfique qui fut forgée par le meilleur forgeron de Fondcombe, sous l’œil figilant de son grand-père, chevalier de Fondcombe . Elle ne fait qu’un avec cette demoiselle, personne d’autre ne saura la manier aussi bien que Sighild.


Description physique : La demoiselle a hérité de la beauté des Elfes, sa présence perturbera plus d’une personne. Il n’y a que ses yeux qui montrent l’alliance des deux races, ils sont d’un vert exquis, il s’agit là du même regard que son père. C’est d’ailleurs la seule chose qu’elle possède de lui physiquement. La belle brunette possède de longs cheveux bruns soyeux légèrement ondulé. Sa peau est très douce, légèrement blanchâtre mais cela ne gâche pas son charme. Hormis cela, les oreilles de Sighild sont pointus, mais moins que la moyenne elfique.
Sa démarche est semblable à celle des elfes, elle est à la fois sure et gracieuse. Son style vestimentaire est entre l’elfique et l’humain. Mais il vous sera plus coutume de voir la belle dans un style elfique, habillée en « homme ».
Autour de son cou se trouve un magnifique pendentif elfique : un cadeau de sa mère avant son départ de Fondcombe.

Description mentale : L’âme de notre demi-humaine est souvent comparée à l’élément qui donne la vie. L’eau est une puissante car on peut la contrôler, elle peut se montrer calme mais devenir dangereuse si elle se met en colère. En soit, Sighild est une personne remplie de sagesse, il sera très rare qu’elle agisse sans réfléchir. C’est une fine observatrice, aucun détail ne lui échappe, aucune parole ne s’efface de sa mémoire. Ces atouts lui permettent d’avoir une grande intelligence, digne des plus Grands Elfes. Son courage n’a pas de limite, il est impossible pour elle de laisser tomber dans les situations les plus graves. La jeune femme est une personne remplit d’espoir. C’est une demoiselle respectueuse de ce qui l’entoure ; surtout envers la Nature.
La belle a sans doute hérité en majeur partie de la beauté de sa mère, mais son caractère est celui de son père. Cette dernière écoutera toujours ce que son cœur lui dit de faire et fera honneur à ce qui lui est le plus cher en ce monde.

Ce qu’il faut essentiellement savoir c’est que l’âme de cette demoiselle aime tout autant le monde des hommes que celui des elfes.


Histoire :

Cela se produisit il y a vingt et un printemps, lorsque de braves chevaliers de la Cité Blanche rencontrèrent de braves chevaliers Elfiques. Le plus sage d’entre eux parlementa avec le un chevalier elfe. L’humain se nommait Alberick Olorin, fils d’Adalrick, loyal serviteur du Gondor. L’elfe se prénommait Aracano, ce dernier paraissait très jeune mais pourtant, il avait plus de soixante ans. Cette rencontre avait pour but de maintenir la paix entre les deux peuples, les deux chevaliers devaient manifester les exigences de leur peuple par un message écrit de la main de leur seigneur. Tout se passa pour le mieux, et avant de partir, les humains furent accueillit dans le domaine des elfes, où ils s’y reposèrent pour la nuit.
Les hommes furent ébahis par tant de beauté, ils étaient tous en admiration face aux savoirs des elfes. Cette nuit-là, Alberick Olorin ne ferma pas les yeux, il préféra profiter de cet instant rare. Durant sa promenade, il sentit que quelqu’un le suivait, au moment où il se retourna , il aperçut un magnifique regard à travers les branches d’un haut buisson.
A cet instant, Alberick crut rêver, il fut stupéfait par ce regard. Ce sentiment fut d’autant plus développé en voyant l’être sortir de sa cachette. Une dame elfique se tenait devant lui, habillait d’une robe couleur de Lune. La pureté de ses yeux avait ensorcelé ce chevalier, qui d’ordinaire ne se laissait jamais séduire. La noldor se dirigea vers l’homme, un faible sourire sur son visage, elle lui parla d’un ton calme. Cette voix plut à Alberick. C’est ainsi que débuta une longue discussion, qui dura toute la nuit.

Le lendemain, les chevaliers humains repartirent pour la Cité Blanche. Sur son bel étalon noir, Alberick demeurait pensif. Il se remémora de cette nuit au côté de cette Elfe , à discuter de plusieurs sujets. Laurelin était son prénom, cela voulait dire « chant d’or ». En pensant à cela, le jeune homme eut un fin sourire qui se dessina sur son visage, cette dame lui avait promis un chant si il venait à se recroiser un jour. Le chevalier Alberick était alors âgé de vingt ans, il était très sage et intelligent pour son âge, mais il ne se doutait pas du tout qu’il tomberait un jour amoureux aussi facilement.
Ce fut son audace qui séduit Laurelin, car ils se revinrent par « accident ». Alberick Olorin s’était soit disant perdu dans la forêt elfique, une excuse que l’elfe Noldor crut pour lui faire plaisir. Mais les deux amants n’étaient pas dupes : un simple regard signifiait beaucoup.
Cependant, cet amour qui grandissait entre eux ne fut pas très bien vu par les Noldor. Il fallut un an pour qu’Alberick soit accepté en tant qu’aimé de Laurelin. Un an pendant lequel cet homme voyait son amour en cachette, mais rare furent ses moments de bonheur.
Comment arriva t-il à se faire accepter ? Un jour, le peuple elfique de Fondcombe festoyait ensemble pour une fête traditionnelle de chez eux. Alberick regardait de loin cette cité, espérant peut-être entrevoir sa belle. Ce fut grâce à lui que les elfes purent combattre contre une grande troupe d’orcs, qui fonçait droit sur eux. Le peuple des Noldor avait été sauvé par un homme, patient , sage et courageux ; amoureux d’une dame , fille de chevalier.
Avant de vivre au côté de son amour, Alberick dut faire un choix : s’il restait à Fondcombe, il devait abandonner son rang de chevalier. Le choix ne fut que de courte durée, l’homme renonça à son rang et demeura au côté de son aimée . Leur union fut célébrée un an plus tard.

Leur amour donna naissance à un sang mêlé ; contrairement à ce que l’on put penser, cette venue fut bien prise. Il n’y eut que son prénom qui coinça un peu les choses. Etant mi humaine et mi noldor, elle se devait d’avoir deux prénoms mais un seul devait être employé pour la nommer. Ce fut Laurelin qui décida. Dans sa grande sagesse, l’elfe décida de nommer sa fille par son prénom humain car les elfes devaient bien cela au père. Alberick n’avait plus de lien avec le monde des hommes, savoir que sa fille portait un nom humain lui donnerait satisfaction. C’est ainsi que l’enfant porta le joli prénom de Sighild (guerrière victorieuse) car Alberick espérait que son enfant ait le même tempérament que lui. Les elfes quant à eux lui donnèrent le prénom de Elwing (pluie d’étoiles) car l’enfant était née pendant une nuit remplit d’étoiles.

L’enfance de Sighild fut celle d’un nouveau né elfe. Plus elle grandissait et plus elle développait les caractéristiques elfiques. Cependant, on remarqua très vite que ses facultés furent très limitées et que ses yeux ; jadis bleus, devinrent rapidement d’un magnifique vert , comme ceux de son père.
Laurelin apprit à sa fille les chants traditionnels de son peuple, elle lui donna tout l’amour qu’une mère pouvait donner à son enfant. Son père, quant à lui, l’éduqua sur l’histoire de son peuple ; en cachette, il lui apprit le maniement de l’épée. Entre temps, Aracano lui conseilla de lire les écrits du passé, qui lui enseigneraient beaucoup. Sighild lut beaucoup sur la Grande Guerre, celle qui allia les forces du Bien contre celles du mal. Elle fut captivée par cette histoire et respecta plus que tout ces guerriers, ce mage et ces quatre hobbits, d’avoir protégé leur Monde. C’était une belle preuve d’alliance entre différents peuples.

Au fil du temps, la demoiselle devenait aussi belle que courageuse. Son intelligence pouvait étonner plus d’une personne. Ce sang mêlé faisait la fierté de ses parents.

Agée de dix sept printemps, la jeune fille eut une requête à l’égard de sa famille : elle désirait connaître l’univers de son père. L’annonce fut assez dure à avaler ; elle fut cependant très vite comprise par ses interlocuteurs. L’humain amena donc sa fille en dehors des Terres Elfiques. Avant de partir, Aracano fit un cadeau à sa descendance. Il avait confectionné avec son ami Galdor , Grand forgeron de Fondcombe, une épée elfique. Sighild fut touchée par ce cadeau, c’était la première fois que son grand-père lui offrit quelque chose. Quant à Laurelin, elle donna son médaillon de Mithril à son enfant.
Les deux personnes furent équipées comme des elfes partant à l’aventure. Alberick remit son épée à sa ceinture : cela lui paressa bien étrange, c’était comme ci il revenait à la réalité.

Le voyage qui emmena Alberick Olorin et sa fille Sighild dura trois mois. Ils chevauchèrent dans les plaines grâce à leur fidèle monture. Empruntèrent les montagnes de Gondor pour enfin arriver à la cité Blanche. A la vue de sa ville natale, Alberick eut un sourire sur son visage, il fut amusé par la réaction de sa fille qui resta bouche bée par autant de beauté, cette cité était magnifique. Ce que l’on racontait dans les écrits étaient exact.
On n’ouvrit pas aussi facilement la porte à ces étrangers. Seulement, le prénom d’Olorin était encore bien connu au sein de la cité Blanche. Il fallait savoir que la famille Olorin avait servi fidèlement le roi du Gondor depuis les débuts du Roi Aragorn. De plus, Alberick avait une preuve de son identité : son épée , héritage familiale, offerte par le Roi Aragorn à son ancêtre il y a bien des années de cela.

La porte leur fut ouverte, la nouvelle alla comme le vent emporte les feuilles. Les premières personnes à accueillir ce revenant furent ses amis ; les chevaliers qui étaient là lorsqu’il rencontra Laurelin. Ils furent étonnés de constater que leur ami avait avec lui une demoiselle ; on reconnut immédiatement sa fille par ce regard identique à celui de son père. Les retrouvailles furent assez émouvantes, ils étaient amis depuis leur plus tendre enfance.
Par signe de respect, l’ancien chevalier Olorin se présenta au Roi du Gondor. Il expliqua sa venue au sein de ses terres, son but était précis : faire découvrir leur monde à sa fille, ayant vécu à Fondcombe jusqu’à l’heure. Le Roi accepta cette requête.
C’est ainsi que les Olorin demeurèrent à Minas Tirith. Les amis d’Alberick firent une fête en l’honneur de leur ami revenu de Fondcombe. C’était la première fois que Sighild entendait une musique aussi entrainante. Elle sentit pour la première fois l’odeur de l’alcool : une mixture qu’elle détesta rien qu’à la sentir et cela ; pour le plus grand Bonheur de son père.

Sept mois s’écoulèrent ; Sighild connut en long en large et en travers la magnifique bibliothèque de la cité humaine.
Elle eut même le privilège de connaître une pièce spéciale destinée aux objets du passé. On y retrouvait principalement des souvenirs de la dernière guerre de l’anneau. Un objet en particulier interpela la demoiselle, une magnifique pierre brute. Elle était blanche comme la neige fraichement tombée du Ciel. Le bibliothécaire expliqua à la demoiselle que ce cadeau venait du Grand Gandalf le Blanc. Cette pierre était magique et destinée à une personne en particulier , cette dernière serait capable de devenir un grand mage.
Abelrick continuait à s’entraîner à l’épée avec ses amis. Il en fit autant avec sa fille car son enfant ne devait pas perdre cet art qui lui avait enseigné. Bien entendu, Laurelin lui manquait, mais il ne le montra pas…Seul sa fille savait lire dans ce regard. Cependant, ce dernier lui fit comprendre que son éducation était importante et qu’ils l’avaient tous les deux compris le jour où elle demanda de partir en terre du Gondor.
Pendant son séjour à Minas Tirith, Sighild connut pour la première fois de sa vie le sens du mots cauchemars. La jeune femme voyait ressentait toujours la même chose : de la tristesse et de la colère. Des rêves vinrent également brouiller son esprit ; une voix grave lui parlait en Quenya : « N’ayez pas peur de votre destin… ». La demoiselle jugea bon de ne rien dire à son père, par peur de l’inquiéter pour rien.

Vint alors le temps des révélations…

Un jour, l’un des chevaliers du Gondor fut envoyé en éclaireur sur les montagnes blanches afin de vérifier si tout aller bien à Noldor. Seulement, ce dernier aurait du mettre trois jours pour faire l’aller et le retour. Au cinquième jour, Alberick décida de partir à la recherche de son meilleur ami. Radulf était un chevalier très loyal, très pointilleux en ce qui concerne le temps à effectuer pour une mission. Ces deux qualités n’avaient jamais faillis, d’où l’inquiétude de l’ancien chevalier. Il partit immédiatement en route vers Noldor , refusant que sa fille l’accompagne.

Quelques heures plus tard, dans la bibliothèque, la sang mêlé eut un mauvais pressentiment. Ce départ n’était pas une bonne chose ; elle pensa que son père courait un danger. Trop perturbée pour continuer sa lecture, la demoiselle se leva de sa chaise et quitta la bibliothèque. Son regard était déterminé pour une chose : aller à la rencontre de son père.
Mais avant de franchir la porte conduisant à la sortie. Sighild entendit une voix familière, cette voix grave qui venait de ses rêves. Elle parlait toujours en Quenya et répétait toujours la même chose « N’ayez pas peur de votre destin. » Cette voix voulait l’attirait vers un endroit précis. Sighild se retrouva devant la pierre de Lune, posée sur une couverture de soie rouge, protégée par une vitre de cristal. Son magnifique regard fixa un léger instant cette pierre : elle devait faire vite.

Quelques minutes passèrent, Sighild sortit de Minas Tirith en tenue elfique, épée attachée à son dos. Sa monture galopa aussi vite qu’elle le pouvait. Personne n’aurait pu la retenir dans cette Cité Blanche : la vie de son père était bien trop importante à ses yeux.
Il lui fallut deux heures pour accéder au pied de la montagne blanche. Kematari put avancer à quelques mètres d’altitudes, mais au bout d’une certaine hauteur, Sighild dut continuer à pied. La belle elfe laissa alors sa monture au côté de celle de son père, qui attendait après son maître. Il fallait faire vite…

Courant à la recherche de son père, Sighild fut amenée à avancer vers le Nord. Elle se fit confiance à son ouïe développée qui lui faisait entendre des cris d’ennemis : les orcs. Plus les bruits se rapprochaient, plus la course de la belle s’intensifia. En cours de route, la demoiselle vit une fumée épaisse noire, elle sortit immédiatement son épée car le combat serait inévitable.

De son côté Alberick était en train de combattre une dizaine d’orcs. Cinq d’entre eux étaient déjà morts, tués de l’épée de Radulf, qui était aux pieds d’Alberick : inconscient. Trois tombèrent sous l’arme du brave guerrier. Alors que l’un d’entre eux allait frapper le chevalier dans le dos, une épée vint se planter en plein dans son cœur, puis un autre fut frapper en plein visage par la lame de cet inconnu qui s’invita dans ce combat.
Sighild arriva au bon moment. Elle se tenait au côté de son père, épée en main, prête à défendre et protéger celui qui lui avait tout enseigné. Le sanglant combat continua, le père et la fille tuèrent chacun un orc.
Une surprise les attendait. Au loin, Sighild pouvait entendre des bruits de pas. D’autres ennemis venaient : ils étaient dix. Se retrouvant à une quinzaine contre d’eux, Alberick ordonna à sa fille de prendre la fuite, mais rien à y faire : jamais elle ne partirait sans lui. Comprenant parfaitement que son enfant était aussi têtue que lui, il n’ajouta rien et continua le combat. Alberick se mit devant sa fille comme pour la protéger. Il tua les quatre orcs restant et attendit les prochains.
Mais ce choix n’était pas des plus judicieux, il fut touché au bras droit , puis à la jambe gauche. Un orc désarmé vint alors le frapper en plein visage, ce qui le fit tomber au côté de son ami.

Ne supportant pas cette scène, Sighild continua ce combat : ils étaient dix contre un. Deux tombèrent sous son épée, mais les autres la désarmèrent assez vite ; leur nombre était assez suffisant pour enlever une arme à une femme.
La belle elfe se tenait face à ses ennemis. Derrière elle, les corps inertes des deux chevaliers de Minas Tirith. Les orcs riaient de cette victoire, ce qui ne plut pas vraiment à la demoiselle. L’idiotie de ses créatures fut de laisser assez de temps à cette semi elfe de poser sa main dans l’une de ses poches.

Le plus puissant d’entre eux voulut porter le coup de grâce à cette ennemie qui sentait l’elfe et l’humain à plein nez. Au moment où il allait porter le coup de grâce, Sighild sortit de sa poche une pierre blanche qui brillait de mille feux. Elle la pointa vers cette créature qui brûla entièrement . La lumière était si puissante qu’elle toucha les autres orcs. La plus part tombèrent , ils gigotaient et hurlaient car la déflagration leur faisait mal. Ceux qui ne furent qu’un peu toucher s’enfuirent en criant de douleurs.

La pierre de Lune redevint tout à fait normale : comme si elle était une pierre comme les autres. Ses yeux verdoyants fixèrent l’objet qu’elle avait dérobé avant de partir , la belle souffla alors ces mots :


« Je n’aurais pas peur de mon destin. Soyez en sur. »

La demoiselle se retourna et fut heureuse d’entendre à nouveau des bruits de pas : des amis qui venaient à leur rencontre…

~~~~~

Comment trouves-tu le forum ? : Il est bien , le contexte respect le genre de J.R.R Tolkien. Toute fois, il me semblerait plus simple de distinguer les membres en optant pour des classifications (ce n’est qu’une suggestion).

Comment as-tu connu le forum ? : J’ai navigué et cherché pendant longtemps. J’ai trouvé ce que je voulais mais je suis partie…L’erreur est humaine mais me revoici…


Dernière édition par Sighild Baldrick le Dim 16 Déc 2012 - 16:23, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Hadhod Croix-de-Fer
Seigneur de la Moria
Seigneur de la Moria
Hadhod Croix-de-Fer

Nombre de messages : 3219
Age : 32

~ GRIMOIRE ~
- -: Nain de la Maison des Longues-Barbes.
- -: 190 ans.
- -:

Sighild Bladrick , fille d'Alberick. Empty
Sighild Bladrick , fille d'Alberick. EmptySam 2 Oct 2010 - 19:41
Bonsoir, sois la bienvenue à Minas Tirith! Very Happy

Ta fiche est tout à fait correcte, tant en longueur qu'en orthographe. De plus elle est très agréable à lire. Quelques points m'interpellent toutefois un petit peu:

- Tout d'abord, son âge. Dix-huit ans, c'est très jeune pour une elfe (et même pour une demi-elfe, mais sur ce point je t'envoie au tiret suivant). En comparaison des adultes de cette race, Sighild est, comme qui dirait, une adolescente qui a encore beaucoup à apprendre du monde. Mais si c'est ce que tu souhaites, il n'y a pas de souci.

- Je reviens à l'histoire de demi-elfe. Dans les écrits de Tolkien, ces sang-mêlés devaient choisir entre une vie mortelle et une vie immortelle (comme Elros qui est devenu un Homme et Elrond qui a choisit la race elfique, si tu as lu le Silmarillion), mais il n'est pas question d'un allongement des années de vie comme tu le dis.

- Ensuite, un gilet de mithril est incroyablement précieux et coûteux, donc il serait préférable d'y renoncer pour l'instant. Ok pour le pendentif par contre.

Voilà, à part cela je crois que c'est tout bon. Wink


The Half Cop
Revenir en haut Aller en bas
Sighild Baldrick
Adepte des Arts Secrets
Sighild Baldrick

Nombre de messages : 284
Age : 33
Localisation : Va savoir...
Rôle : Mage/Sorcière

~ GRIMOIRE ~
- -: Semi-Elfe
- -: 115 ans (23 ans humain)
- -:

Sighild Bladrick , fille d'Alberick. Empty
Sighild Bladrick , fille d'Alberick. EmptySam 2 Oct 2010 - 19:48
Je te remercie pour ton accueil et tes compliments qui me vont droit au coeur.


Seulement , j'aurais quelque chose à te demander concernant l'âge de mon personnage : j'ai mis dix huit ans en âge humain. Seulement, je ne sais pas vraiment combien cela fait en année elfique d"où l'âge humain ^^. Mais dans tous les cas cela reviendrait au même je pense; si l'âge elfe est équivalent à l'âge humain alors cela fait d'elle une trés jeune elfe (si je ne m'abuse).
Revenir en haut Aller en bas
Hadhod Croix-de-Fer
Seigneur de la Moria
Seigneur de la Moria
Hadhod Croix-de-Fer

Nombre de messages : 3219
Age : 32

~ GRIMOIRE ~
- -: Nain de la Maison des Longues-Barbes.
- -: 190 ans.
- -:

Sighild Bladrick , fille d'Alberick. Empty
Sighild Bladrick , fille d'Alberick. EmptySam 2 Oct 2010 - 22:17
Mmmh... c'est difficile à dire. Disons que parmi les humains, elle apparaît comme une jeune fille de dix-huit ans, c'est-à-dire environ un quart de l'espérance de vie des Hommes. Mais chez les Elfes elle apparaîtra très jeune, justement car ils sont immortels et qu'ils ont peu d'enfants. Tout dépend du point de vue... Mr. Green

Mais s'il faut se risquer à une équivalence, je dirais que l'entrée à l'âge "adulte" chez les Elfes se situe vers les cent ans (ne prend pas ça comme une vérité, ce n'est que mon ressenti)...

Vlà, après je te laisse décider, c'est toi qui voit. thumright

Ensuite, il ne te restera plus qu'à demander un métier, et à commencer le Rp par toi-même ou en choisissant une quête. Si tu as besoin d'un MJ pour t'accompagner n'hésite surtout pas!


The Half Cop
Revenir en haut Aller en bas
Sighild Baldrick
Adepte des Arts Secrets
Sighild Baldrick

Nombre de messages : 284
Age : 33
Localisation : Va savoir...
Rôle : Mage/Sorcière

~ GRIMOIRE ~
- -: Semi-Elfe
- -: 115 ans (23 ans humain)
- -:

Sighild Bladrick , fille d'Alberick. Empty
Sighild Bladrick , fille d'Alberick. EmptySam 2 Oct 2010 - 22:20
Dans ce cas maître nain je laisse l'âge de mon personnage à dix huit ans humain ; ce qui fait d'elle une elfe trés jeune qui devra beaucoup apprendre, ce qui est génial car elle est apprenti mage Smile


Merci pour ton aide Wink
Revenir en haut Aller en bas
Aranuir Dunadan
Ambassadeur d'Arnor
Ambassadeur d'Arnor
Aranuir Dunadan

Nombre de messages : 109
Age : 27
Localisation : Minas Tirith
Rôle : Ambassadeur d'Arnor en Gondor

~ GRIMOIRE ~
- -: Homme d'Arnor
- -: 33 ans
- -:

Sighild Bladrick , fille d'Alberick. Empty
Sighild Bladrick , fille d'Alberick. EmptySam 9 Oct 2010 - 20:48
Bonjour et Bienvenue Sighild,

Je n'ai pas très bien compris ce qu'Hadod à dit a propos de ton âge.

Ce que j'ai compris, c'est que tu devais choisir entre l' Immortalité Elfique ou l' Humanité, ce que je peux confirmer, car j'ai lu Le Silmarillion.

Par contre, à ce que je me souvienne, si tu choisis la Mortalité, tu peux tout de même atteindre un très vénérable âge de plus de 100 ans. Comme Elros l'a eu.

Je ne sais pas si Hadod l'a mentionné, mais si oui, je n'ai seulement pas compris et ce n'est qu'un simple malentendu.

Dans ce cas , je m'excuse de vous avoir légèrement fait perdre votre temps.

Finalement Sighild, si tu en as besoin un jour, n'hésite pas à me contacter par MP pour faire traduire un texte en Quenya, ce pourrait être utile pour une Demi-Elfe et cela me ferait plaisir, car j'étudie cette langue. Wink
Revenir en haut Aller en bas
http://lord-of-the-rings.forums-rpg.com/h9-accueil
Hadhod Croix-de-Fer
Seigneur de la Moria
Seigneur de la Moria
Hadhod Croix-de-Fer

Nombre de messages : 3219
Age : 32

~ GRIMOIRE ~
- -: Nain de la Maison des Longues-Barbes.
- -: 190 ans.
- -:

Sighild Bladrick , fille d'Alberick. Empty
Sighild Bladrick , fille d'Alberick. EmptyDim 10 Oct 2010 - 9:30
Remarque intéressante, Aranuir! Tu as tout à fait raison concernant Elros. En fait, la vie qui lui a été allouée a duré environ quatre siècles, mais cette espérance de vie a décliné au fur et à mesure de sa lignée, si bien que ces descendants lointains, les rois du Gondor du temps de la Guerre de l'Anneau, ne vivaient guère plus de cent ans.

Après je ne sais pas si ce procédé est le même au temps où nous jouons (en plus il faut considérer qu'Elros était quand même Roi de Nùmenor)... de toute façon je ne pense pas que Sighild atteindra cet âge en Rp. Wink

PS: Aranuir, est-ce que tu pourrais un lever un ch'ti peu le pied au niveau des couleurs s'il te plaît? Merci bien.


The Half Cop
Revenir en haut Aller en bas
Sighild Baldrick
Adepte des Arts Secrets
Sighild Baldrick

Nombre de messages : 284
Age : 33
Localisation : Va savoir...
Rôle : Mage/Sorcière

~ GRIMOIRE ~
- -: Semi-Elfe
- -: 115 ans (23 ans humain)
- -:

Sighild Bladrick , fille d'Alberick. Empty
Sighild Bladrick , fille d'Alberick. EmptyDim 10 Oct 2010 - 21:03
Merci pour ces précisions et pour cette proposition Aranuir Smile


Hadhod : Cent ans...mais c'est faisable ! On tient le pari?
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




Sighild Bladrick , fille d'Alberick. Empty
Sighild Bladrick , fille d'Alberick. Empty
Revenir en haut Aller en bas
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» • Kryss Ganaël, fille du Rohan •
» Les chroniques d'Eärwen, fille de la mer.
» Nìniel, Fille des Larmes
» Sildran, la fille des rues
» kazumi une fille sauvage debarque

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Bienvenue à Minas Tirith ! :: - Communauté - :: Registres :: Créer Vos Personnages-
Sauter vers: