Une missive d'alerte chez les nains [Les esclavagistes]

Finalement, l'homme et le nain envoyé du nord parrurent en Moria. Ceux-ci portaient un message de la plus haute importance.
Immédiatement, on les emmena vers Khazad Dum et on soustrait le général à ses retrouvailles avec un ami à lui.

_Sire, la situation est grave. Des hommes de Rhûn, se déplaçant discrètement, assez nombreux, bien que ce ne serait pas une armée, traînent par chez nous. Ils attaquent les voyageurs isolés, par pour les voler, mais bien pour les capturer, et en faire, probablment, des esclaves. Nous savons que l'esclavage rapporte gros dans leur pays.

Il s'arrêta. Il voyait baucoup de visages indignés.
Les visages devenaient rougeauds, certains brandissaient des haches, d'autres poussaient des marmonements incompréhensibles. Ils mâchaient tellement leurs mots qu'ils se mangeaient la barbe.

_De nombreux nains ont déjà disparus. Ils viennent par ici.

Alors ce fut une grande réaction. Puisqu'ils étaient peu, inutile de réunir une armée.
L'expédition serait composée d'une petite troupe, l'élite, qui bougerait discrètement, selon les mêmes méthodes qu'eux.

Toute personne ayant fait ses preuves pouvait demander à être de l'expédition.

//Même remerciments que Nabz, ça fait vraiment plaisir de poster avec Sombre-chêne!//

Sombre-chêne regarda le messager, puis Nabz qui avait promptement réagi et proposé son aide. Ainsi un nouveau danger planait sur le peuple nain. Mais qu'en était-il du danger précédent? Avait-il été écarté? L'elfe secoua sa tête. Il se posait trop de questions et, comme il se l'était déjà fait remarqué, cherchait le mal là où il n'était pas. Il n'empêche... Le ranger examina les visages autour de lui. La plupart étaient indignés, certains même rouges de colère. Sombre-chêne s'avança et parla au général nain:

Général, il semble que ce soit désormais un nouveau danger qui vous menace, et théoriquement ma tache et finie ici. Cependant je me ferais un plaisir de vous accompagner dans cette nouvelle tâche. Pourrais-je joindre les rangs des quelques soldats qui combattrons ces kidnappeurs?

Tout en parlant, Sombre-chêne avait caressé son arc dans son dos. Cela faisait longtemps que sa corde n'avait pas chanté. Il se reprocha immédiatement cette pensée. Il ne devait pas combattre pour le plaisir, mais pour une nécessité. Il attendit la réponse du général. L'elfe espérait que les autres nains seraient de la partie. Il commençait à se lier s'affection avec eux...

//Heuh pardon pour le léger ''non-postage et semi-absence'' mais j'était dans un état psychologique très bas... Un coup de blues comme dit le grand Nabz^^//

C'est avec un sourrir sur les lèvres qu'Horgeon tapa le mi-dos de Nabz et Sombre-chêne. Ils les firent descendre à la hauteur de sa tête. Sa barbe empestait l'alcool ce qui ne devait pas plaire l'elfe qui fit une mimic de mécontantement.
-Mais biensûr vous pouvez venir! Voir que je ne prendrais pas avec moi deux rangers qui ont grandement fait leurs preuve dans une expédition externe! Préparez vous, nous partirons bientôt.
Ils les lachèrent, puis se dirigea vers les autres volontaires. Il en choisis neuf autres. La silhouette de son fils se dressa devant Horgeon. Il était plus grand que lui de quelques pouces, mais ceux-ci paraissait grandement.
-Tu pensais te sauver de moi? Ha tu me deçois Eon!
-Ha! Tête de fouine! Tu me surpasseras toujours je suppose que tu désires venir
Un signe de tête servit de réponse au vieu général. Celui-ci grogna.
-Bon, d'accord, mais je n'aime pas t'ammener dans une mission de terrain. La dernière fois tu as brûler le compement près de Nogrod. Et surtout, tu n'as aucune dextérité... Es-tu sur de vouloir venir?
-Bon parfait, je veillerai sur toi!
-Hé!!!

//Do/erin n'hésité pas à venir! plus on est de nains... plus on est... de nain? Merci Rad, Quel homme ^^//

Le groupe était à présent au complet. Ils formaient un groupe bien étrange avec les deux rangers. Mais ceux-ci sauraient se rendre utils, l'elfe n'en doutait pas. Lorsque le général Horgeon leur dit de se préparer, Sombre-chêne ne put s'empêcher un petit sourire et dit à Horgeon:

Me préparer? Mais tout ce que vous voyez sur moi sont toutes mes possessions que j'ai aenées. Je suis déjà prêt à partir et vous attendrai.

Ils alla vers la porte de la Mine et regarda à l'exterieur. Il contempla le payasage et repensa à Iriön. L'épreuve qu'il avait endurer l'avait complètement changée. Dans les souvenirs du ranger, il était toujours prêt à rire lorsqu'il le fallait. Maintenant il semblait terne, presque vieux. Sombre-chêne se compara à lui. Il avait toujours été réservé, et cela ne pouvait pas s'améliorer, seulement empirer. Après un profond soupir, le ranger réentra dans la mine et attendit que les autres soient prêts. Une nouvelle quête se préparait.

Dorin assistait à la réunion. Il entra dans une rage silencieuse lorsqu'il entendit parler de disparitions de nains. Lorsqu'une expédition fut proposée il se leva rapidement et se dirigea vers Horgeon. Avec une dure expression sur le visage.

Je serais de l'expédition, si vous le permettez.


[HRP] Désolé, pas le temps de poster mais je voulais signaler que je serais présent.[/HRP]

Tous ceux qui avaient participé à la libération du roi étaient présents. Connaitre ses compagnons ne pourraient rendre le combats contre les esclavagistes que plus aisé. Le voyage s'annonçait dans la bonne humeur, si c'était possible. Fort heureusement, les ennemis n'étaient pas trop nombreux. Mais il fallait mieux ne pas se fier aux apparences, et l'elfe resterait sur ses gardes tout le long de la quête. Il demanda au général:

Partons-nous tout de suite ou établissons-nous d'abord le plan, s'il en est un?

// Je rappelle que je vais être absent jusqu'à mardi soir, peut-être samedi.//

Nabz s'avança et répondit à sombre-chêne de manière à ce que tous entendent:

- Je propose de partir dans les plus brefs délais, et d'établir un plan en route, étant donné que nous n'avons pas, pour l'instant, les données nécessaires pour faire un plan quelconque.

Il se dirigea ensuite vers Horgeon.

- Il faut vraiment partir au plus vite si nous voulons éviter d'autres enlevements !

Hrp: bah dis donc ! je m'attendait à plus d'activité chez les nains ! Horgeon, je t'attend ^^ /hrp

Un grognement s'éleva parmi les nains. Décidemment, ces gens-là ne savaient pas débattre normalement. C'était un fait grave, de plus en plus de nains s'eprimaient de manière inintelligible à force de parler dans leur barbe.
Mais après ces quelques instants, il fut avéré que la plupart des nains présents comptaient partir tout de suite.

D'ailleurs, c'était bien logique, vu qu'ils n'avaient que peud'informations sur les ennemis, il était inutile de faire un plan dès à présent.

Un nain affirma :

-Si ils vont vers l'ouest, partons, et vers la forêt noire nous...-il prononça ces mots d'une voix...changée- nous demanderons des infos aux elfes...

On l'approuva. Tous se mirent en route.

En marchant, Eam jouait avec sa masse, celle-ce commençait à être rouiller à quelque endroit mais tiendrait le coup. Son sourire fit froid dans le dos à Eon, même le plus endurci des orcs douterait devant cette mimic. Il fixait Derïn, la personne qu'il devait protèger (Horgeon avait finit par oublier de relever l'ordre et Eam c'était prit plaisir à le défendre). Il se dirigea vers Derïn et son compagnons nouvellement arrivé. Il déposa son menton sur le manche de sa hache. On aurait pu croire que qu'Horgeam voyait, hors du maitre d'arme, une aura supérieur. Il retourna la tête vers son père. *grrreem...* Ce grognement surpris Horgeam, surtout que c'était lui qui venait de le poussé. De plus, le regard qu'il portait à Eon était plein de... il était différent. Il s'en voulait.

Horgeon, de son coté avait oublier le sourire de Eam et s'était plutot tourner vers un nain portant une petite casquette. Il était suivit de 2 paires de chevaux, chacune de ces paires tiraient quelquechose sous un drap. Eon parut surpris, surtout qu'il n'attendait cet livraison avant 4-5 jours.
-Bien parfait, merci de votre rapidité, vous pouvez les ammener à l'intérieur.
-Bien général. À vos ordre général.
Le coursier fit déplacer les deux cheveau pour qu'ils puissent entré dans la porte. Il se fit immidiatement arrêter.
-Non, finnalement, laissez les, nous allons les utilisés. Nous en aurons surment besoin.
-Comme vous voulez.
Les deux mystérieux bolides les suivirent. Maintenant Horgeon pouvait se préparer à concocté un plan avec les deux engins.

//Bah, le voilà Nabz! Maintenant, arrête de m'arceler!!!^^ //

Quelques peu ralentis par les engins, les nains, ou plutôt les nains, l'elfe et l'humain, poursuivaient leur route. L'heure était sombre, ils n'avaient pas le temps d'attendre, chaque heure, il y avait peut-être de nouvelles victimes enlevées, et ils n'étaitent pas sûrs de pouvoir tous les sauver. Si déjà ils trouvaient leurs ennemis...
Déjà, les verts bois de la forêt noire s'élevaient autour d'eux. Mais vu la taille des ces massifs, il le restait du chemin à parcourir pour arriver là où ils trouveraient sans doute les exploits des Rhüniens, mais là encore, ils leur faudraient encore du chemin avant d'espérer de les trouver.

Et puis,au bord de la route. Une charette. Et un cheval. Le cheval estallongé sur le flanc, un fluide rouge ganit le sol à cet endroit. Il est mort.

On peut trouver quelques marchandises éparpillées, le reste étant pillé tout court. Des sacs sont éventrés, des flacons brisés, des paniers vidés.
Deux couvertures aussi, aucune arme tout près. Et pas un corps, ni mort, ni vivant.

Mais là, un peu plus loin, des traces. De quand datent-elles ? Où mènent-elles ? Serait-il possible...

Elles ne sont plus très visibles, à cause de la pluie sans doute. Ou du temps. Sont-elles une piste valable ? Il faudrait d'abord que quelqu'un les remarque.

Silencieux comme à son habitude, Sombre-chêne marchait. Malgré son mutisme, il n'était pas triste : seulement envahi d'une monotonie qui lui était familière. Son dos restait droit, ses pieds ne trainaient pas sur le sol. Son attitude n'était pas fière, seulement... indéfinissable. Cependant, son coeur se réchaufait à l'idée de revoir la Forêt Noire, son berceau. Quelqu'un d'attentif aurait pu apercevoir une furtive esquisse d'un sourire sur son visage. La peur des nains de la forêt natale de l'elfe était presque comique aux yeux du ranger. Cette peur, ancrée dans les esprits du peuple nain, bien que quelque peu fondée, était une idée que ne comprenait pas Sombre-chêne. Lui était bien arrivé à vivre sous les montagnes. Ainsi plongé dans ses pensées, il faillit ne pas remarquer un horrible spectacle. que s'était-il passé? Cela ressemblait étrangement à un événement passé... L'attaque des elfes de la caravane. Pourtant, aucune trace de combat, aucune trace de sang si ce n'est celui du cheval. Le ranger, grâce à ses yeux perçants, avait été le premier à voir le spectacle. il se mit à courir sous les ragards incompréhensibles des quelques soldats nains. Arrivé sur la scène du vol, il s'approcha d'un des sacs. Il était vide, mais l'elfe put sentir une forte odeur s'en échapper. Des épices sans doute. Sombre-chêne oprta une vue d'ensemble sur l'haorrible tableau. Hormis l'abscence de cadavres, un deétail manquait. Le ranger mit quelque temps à le déterminer et le trouva enfin : tout était silencieux. Le bourdenement sourd des mouches manquait. Pourquoi? Après quelques instants de réflexion, Sombre-chêne comprit. L'animal avait du être empoisonné, de même que pour les marchands.

Etait-ce les elfes rénégats qui reprenaient leurs activités? Leur maître avait-il un autre plan? Ou était-ce le même qui se déroulait parfaitement comme il l'avait prévu? La première possibilté était la plus laisante aux yeux du ranger. C'est à ce moment qu'il remarqua des traces à moitié effacées.L'elfe regarda en arrière. Les nains commençaient à arriver. Leur réaction était tout à fait prévisible. Ils seraient furieux, et si les meurtriers étaient bien les elfes, cette fois ils n'auraient aucune pitié. Prenant en compte ce facteur, Sombre-chêne partit tout seul devant et suivit les traces. Il fallait gagner du temps pour pouvoir réagir à toute éventualité. Ses compagnons le traiteraient de tête brûlée, mais peu lui importait. Il prit donc de l'avance et suivit les traces qui se dirigeaient vers la Forêt Noire.

Sombre-chêne se retourna et répondit à Nabz:

Je ne connais cette partie de ma forêt natale aussi bien que le sud où j'ai vécu la plupart de ma vie, mais je pense pouvoir vous conduire. Allons-y de ce pas. Les nains nous ratraperons, nous devons asssayer d'éviter un carnage, même si l'acte de ces bandits est horrible, car nous ne connaissons rien d'eux. Suivez-moi.

Et le ranger partit vers la lisière de la Forêt Noire, sa forêt, sa mère. Que leur réservait le destin? Ils le saurait bientôt. Sombre-chêne espérait que cette étrange affaire allait trouver son dénouement dans les jours avenirs.

Hrp:suite dans un nouveau topic dans "la Forêt Noire"

Cela faiait deux heure que Eleriol chevauchait. Il avit d'abord demandé la route prise par le goupe, puis s'était arrêté de tant à autres pour vérifier qu'i éait toujours sur le bon chemin. Il avait eu énomément de chance que les traces ne soient pas effacées. Aors qu'il chevauchait, il vit un autre cavalier venir au devant de lui. Eleriol ralentit l'allure jusqu'à ce que l'autre cavalier fut à sa hauteur. C'était un elfe. Ce-dernier héla le voyageur:

Que fais-tu ici seul?

Je pourrais vous poser la même question mais la poitesse m'en empêe à présent. Je suis sur les traces d'un groupe de nains accompagné pr un humain et mon fils. Ils devraient être à présent dans la Forêt Noire. Et vous?

Un messager est venu de Fondcombe pour dire que le Rohan avait besoin d'aide. Je précède les troupes pour faire parvenir à Rustor notre mouvement. Joinds-toi à nous!

Je regrète mais j'ai moi aussi un message important à faire passer. De plus, je ne suis plus dans l'armée.

Comme tu voudras. que les Valars te protègent.

Et le cavalier repartit vers Fondcombe. Eleriol, quan à lui continua sa route vers la Forêt Noire. Le temps pressait : une légèrebruine tombait à présent.