Bataille sous l'Arbre Blanc

La place où l'arbre d'Isildur se dressait fièrement.
En haut de celle-ci, le Roy Méphisto qui soufflait après avoir éliminé un de ses derniers assaillants, ignorement probablement qu'il restait leur meneur à l'intérieur de sa demeure.

Et en bas, il put voir l'Intendant Radamanthe, le Mage Mithrandir, et toute une armée de ses soldats déboucher en trombe pour prendre des positions favorables pour contrer ce qui allait arriver.
Car ils étaient suivis d'homme en noir aux lourdes armures, et si il en restait guère plus de quarante, avec leurs terribles armes, épées bâtardes, fléaus, haches, dont certains en avaient une dans chaque main, faisaient un terrible dégat parmi les gondoriens.

Et alors que ceux-ci virent qu'ils étaient proches de leur but, certains sortirent d'un repli de leur cape une fiole qui leur avait été donnée par un expert en la matière...
Et, rapellant un sinistre souvenir à certaines personnalités des défenseurs du Roy, ils mirent le feu à certaines de leur armes, les rendant plus meurtrières.

*Serait-ce un don des Valars ? S'intérèsserait-ils à nouveau aux humains ?*

C'est Radamanthe qui eu ces étranges pensées. Car au moment même où prirent les flammes, le ciel clair se chargea de gris, et la pluie se mit à tomber.
Si cela ne faisait que chatouiller leurs armes, cela était bénéfiques aux incendies dans le bas de la Cité.

Mais il fallait les envoyer à la mort, afin que la Cité perdure.

"Le Roy vous regarde ! La Cité ne peut fléchir tant que les symboles anciens restent là ! L'arbre blanc ne tombera pas ! Battez-vous pour Gondor !"

Alors Radamanthe fit face.

#Méphisto #Radamathe

En sortant de la forge, Nidnama remarqua que de la fumée montait du haut de la citée. Immédiatement, il lâcha Maegthir, son faucon, dans le ciel. Quelques instants plus tard, elle redescendit pour faire comprendre a son maître qu’il y avait du grabuge. Le guérisseur jura et partit en trombe vers la place du marché, pris rapidement quelques simples et un petit peu de matériel. Ainsi, il pourrais combattre mais aussi soigner les blessés. Il Déposa Aladon dans la charrette. Celui-ci ne semblais pas s’en accommoder mais Nidnama lança :

- Une bataille n’est pas un endroit pour un écureuil… Garde donc ma charrette ! Que personne ne me vole !

L’écureuil s’était laissé faire et c’était un souci de moins. Au pas de course, il suivit le Faucon qui volait vers la bataille dans le haut de la citée. Lorsque Nidnama rejoint l’artère centrale, il embrasa le paysage du regard : des cadavres traînaient partout mais déjà quelques civiles venaient s’occuper des survivants… ou les achever. Ce n’était pas ici qu’on aurais le plus besoin de lui. Quelques archers en livrés bleu nuit se trouvaient sur les toits un peu plus loin et tiraient apparemment sur les défenseur de la citée. Nidnama s’engouffra dans les ruelles, guidé par Mardthir. Arrivé au pied d’une maison d’ou les archers tiraient, il s’engouffra dans la porte et alluma un petit feu a l’aide d’un briquet. Il pris une poignée d’herbes et les jeta dans le feu. Une épaisse fumée noire s’en dégagea. D’ici peu les archers sur le toit, au proies d’hallucinations s’entretueraient.

Déjà, le guérisseur se rapprochait de la bataille et un homme en noir voulut lui barrer la route. Désorienté par Mardthir qui lui volait autours, il ne vit pas le poignard s’enfoncer entre ses côtes. Nidnama rejoint les rangs des défenseurs.

- Je pourrais vous apporter des soins mais peu d’aide pour le combat lui même leur précisa-t-il.

Nous y étions enfin, devant l'Arbre Blanc, les attaquants avaient réussi a nous repousser jusque là, nous ne pouvions nous permettre de perdre. La situation s'était retournée en notre sens, car nous pourrions nous battre plus aisément ici, cependant si nous perdions en ce lieu s'en été fini de la Cité.
Je décidais donc résolument de me battre pour l'honneur de la cité blanche et pour mon Roy.
L'un des noirauds me chargea. Décidé à en découdre, je lui asssenais un violent coup de bâton dans le nez suivi d'un coup d'épée dans le ventre. L'homme s'effondra percé de part en part.

Hobasian était descendu des toîts et lui aussi se batait à présent au sol, au corps à corps.
Les Elfes ennemis avaient laissé tomber leur arcs au profit de leur longue lame courbée.
Hobasian para l'attaque de l'un d'eux et lui planta un de ses poignards entre les deux yeux après cette parade. L'affrontements avec les autres ennemis toujours présent continua inlassablement.
Les hommes du Gondor, à la vue de l'Arbre Blanc du Gondor se firent plus violents, plus féroces envers leur asaillant.

Milindë envoyait valsé les attaquants à profusion, elle en avait assez de se battre à la loyale contre de tels traitres.

De mon côté et malgré mes blessures je continuais à me battre avec fougue et entrain, j'étais résolu à faire tomber des têtes autour de moi.

Une ombre sauta d'un toit proche.Elle avaitt son cimeterre brandit au dessus de sa tete.Il atterit en une roulade et coupa un guerrier noir en deux au niveau du bassin.
Il se relva et se dirigea vers l'arbre blancs en tranchant les adversaires sur son passage.



Une lame s'abattit vers le pillard inconscient.Elle arrivait droit vers sa tete.

Je t'aurais,petit haradrim insolent...



Oh,merde...

Le pillard para comme il pu le sabre,mais ressenti le coup dans tout son corp.

Il est vachement plus puissant que les autres...Surement un officier...Il est pour moi...

Darkblade leva son cimeterre au dessus de lui et envoya les coups a toute vitesse vers son adversaire.Qui parai tout avec facilité.

-Pauvre humain,tu est- fini...
-On verra...
Coup d'estoc.Paré.
Celui la il y était presque!

Le pillard envoya un coup de pieds vers le torse de son ennemi en meme temp qu'un coup vers la tete avec son arme.Le noiraud du parer mais fut envoyer 2 bon metre plus loin.Il tomba au sol.Le pillard en profita.Il sauta vers lui et tenta de le clouer a jamais au sol.L'ennemi dévia légérement la lame qui se planta a 2 milimetres de son oreille.

Chiotte!

Le pillard donna un violent coup de poings au visage de son ennemi.Celui ci lacha son arme et cracha un peu de sang.Puis Darkblade tenta de récupérer son arme,mais le guerrier lui donna un coup de pied dans le ventre qui lui coupa le souffle.Puis il se leva,arracha le cimeterre du sol et donna un coup vers le pillard.Ilm se déplaca un peu de coté,mais pas assez pour évitez une entaille assez importante au bras gauche.


AAAAARRRRRHHHH!!!!

Des lueur rouge s'alluimèrent dans les yeux du pillard.On ne l'avais jamais autant humilié(si,peut etre quand il avait prété allégeance,en fait.Mais bon,c'était pas pareil).La rage montait a toute vitesse.Il hurla et attrapa le guerrier au bras.Il lui donna un coup au ventre de l'autre mains,ce qui lui fit lacher son arme.Puis il sortit une dague,trancha l'armure qui protégeai le cou de son enne mi et enfonca ses dent dans la chair molle.Il arracha un bon morceau de cou.Il recracha tout ensuite.Son advesaire,la gorge en sang,titubait.Le pillard prit l'arme qui était tombé au sol,et,sans pitié,transperca de part en part le corp du noireaud.

Non mais.

Il se dirigea vers le magicien qui accompagné belgarath.Il l'avait reconnu.

-Besoin d'un coup de main peut etre?

Nidnama embrassa la scène du regard. Le mage Mithrandir semblais blessé ainsi que le Pillard Haradrim qui achevait l’un des Noirauds. Il donna une petite fiole de potion au mage :

- Voilà qui devrais vous remettre d’aplomb… Cependant faites attention : vous ne sentirez plus ni la douleur ni la fatigue mais vous n’en serez pas moins blessé…

Nidnama se tourna ensuite vers le haradrim. Celui-ci se préparait a recevoir un nouvel assaillant en grimaçant de douleur a cause de son bras, Nidnama sortit un petit pot de pommade de l’une de ses multiples poches et jura en sentant une flèche lui écorcher l’oreille. Lorsque le pillard se fut débarrassé d’un nouvel ennemi, le guérisseur le saisit fermement par le bras.

- Un instant s’il vous plait…

Il appliqua la pommade sur la plaie. Une croûte se forma instantanément.

- La guérison n’est que partielle, il vous faudra prendre du repos murmura le guérisseur pensif. Devant le regard irrité du haradrim, il ajouta néanmoins : cependant, cela suffira pour finir cette bataille.

Enfin, Nidnama retourna en arrière, au pied de l’arbre blanc, il commença à allumer un petit feu avec des brindilles…

Belgarath se battait contre les hordes innombrables d'ennemis, a cote du professeur qui ravageait les Noirauds avec sa hache de guerre. Si l'Arbre Blanc tombera, Minas Tirith tombera pour toujours... la lignee des rois sera interrompue, des dizaines des meilleurs guerriers tomberont... Non, ca jamais!
Un ennemi s'approchait; Belgarath le frappa sur le heaume avec le bout de son baton, celui ci recula sonne, mis revint bientot au combat. Belgarath para le coup de la masse ennemie, en le deviant de son baton, et coupa la gorge du Noiraud...Bientot Darkblade rejoint le combat, apparaissant juste a cote de Belgarath, et tuant des ennemis sans dire un mot. Meneldir fisait preil. Mais la situation etait mauvaise...

Je rendis sa fiole au Guérisseur en tranchant un tête puis je lui dit.

"Merci bien, cependant je n'ai asp le temps de prendre ça, c'est fort aimable mais je suis capable de me soigner..."

Puis quand je vit le Guérissueur s'assoire au pied de l'Arbre Blanc, nonchalant, je me demandais ce qu'il faisait là. Après avoir coupé un bras je me dirigeais vers lui.

"Ce n'est pas un camp de vacance ici, prenez donc une arme et venez combattre plutôt qu d'attendre là."

D'un regard vers le feu, je l'eteignit.

"Vous voulez faire flamber l'arbre ou quoi ?"

Je n'eut pas le temps de finir de houspiller le Guérisseur qui ne faisait que regarder les combats, à la limite de l'indifférence car un Elfe m'attaqua.
Je parais donc un coup d'épée verticale vers mon crâne et envoyais mon bâton dans le tibia de l'Elfe qui fléchit et dont je tranchais la tête eclaboussant au passage le Guérisseur.

"Si vous ne vous battez pas, votre place n'est pas ici, mais aux Maisons de Guérison, ils auront besoin de vous là-bas. Mais si vous ne vous battez pas vous êtes inutiles ici."

Peut-être le Guérisseur fût il outré de mes propos, mais je n'avais pas le temps d'y mettre les formes, soit il se battait, siot il partait, je n'avais pas le temps de discuter, son savoir serait plus utile auprès des Guérisseurs qu'ici où il ne gisait que des morts.

Hobasian affrontait l'un des hommes casqués de noir. L'homme attaquait sans relacher un seul instant la puissance de ses frappes. Bien que relativement doué pour le combat, Hobasian n'étais plus tout jeune, il allait se fatiguer et pour comble de malheur son ennemi fût rejoint par celui qui semblait être le chef de tous les hommes vétus de noir. Son armure était d'un noir encopre plus profond et présentait des motifs et symboles qui la distingué de celle des autres. Ces symboles étaient peut-être même magique.
Voyant la difficulté de son futur beau père, Milindë chargea le chef. Elle réussi à l'éloigner du combat que menait Hobasian. Celui-ci ne tarda aps à le gagner et s'aloigna en quête d'un nouvel ennemi.

//Rada' je te laisse faire ce qu'on a prévu...On fait quelques posts de duel entre Milindë et le chef des noirauds et ensuite on embraye sur ce dont on a parlé.//

un grouppe d'homme ne provenance de la maison de Guerison arrivé avec devant eux Hasharin, cette troupe etait composé de 5 archer et une 10aine de soldats,Hsaharin vit un Guerriseur elf au pied de l'arbre blanc et lui dit:
-Messire je pense que l'on a besoin de vous a la maison de guerison j'en viens et de nombreux hommes bléssés y sont et d'autre arrivent encore, je vous emprie allez-y.
Hashariin n'attendit pas la reponse et dit aux homme qui etait la:
-Vous,les archers venez avec moi, les autres dans la mélée pour sauver votre patrie.
Hasharin sortit son arc et encocha une fleche,Umbre tournait audessus de lui,
l'assassin trouva une position en hauteur pour lui et ses archers et tendit la corde de son arc, son poignet lui faisat atrocement mal, mais il se devait de souffrir pour aider ce peuple. Les fleches filaient et arrivait souventa destination,bcp d'homme tomberent, ceux qui essaiaient de contournee nos rang etaient transpercez d'office, Un homme s'approcha dangeuresement,Umbre attaqua l'infortuné qui perdit un oeil et eut le visage lacéré, le combat faisait rage mais le Gondor pouvait reprendre le dessus ...

Edit Méphi : Merci de soigner ton RP !! Le prochain message du genre sera tout simplement supprimé.

Alors que la bataille faisait rage et qu'un mur de soldat risquaient leur vie pour écarter les ennemis munis d'armes enflammées de l'Arbre Blanc, les rangs des noirauds s'écartèrent pour laisser passer une élite parmi eux, alors qu'ils étaiet déjà des combattants hors pair.

Ceux-là maniaient deux grands lames à la fois, et ils étaient cinq, es reflets rouges garnissaient leur armure.

Et, comme attirés par la violence, chargèrent ceux qui se débrouillaient le mieux parmi les gens de Gondor. L'affrontement n'allait pas être facile.

De l'autre côté de la place, Radamanthe dut presque se jeter à terre pour éviter un assaut. Un genoux au sol, l'autre plié, il dut effectuer deux parades de sa hache dont la lame résisterait à tout, et se releva ensuite brusquement, profitant de sa position basse pour avoir de l'élan et abattre l'autre.

A côté, non loin, il y en avait un qui se démarquait, et il était opposé à la promise du Mage.
Il se servait conjointement d'une hache et d'une épée, et il était animé d'une fureur fanatique.
Parant la lame de l'elfe en la coinçant sous le fer de sa hache, il attaqua à l'épée.

Murdock avait réussi à sauver 10 archers lors du repli. C'était beaucoup plus qu'il n'avait espèré. Demandant aux archers de rester dans la ruelle menant à la grande place pendant que lui allait un oeil sur ce qui se passait.

Jetant un regard, il ne pouvait que constater que la situation n'était pas brillante pour les défenseurs de l'Arbre Blanc. Cependant, Murdock sourit intérieurement, il ne voyait pas les elfes mais il avait une position des plus favorables pour créer une surprise chez les assaillants.

Il se rapproche alors des archers pour leur faire part de son plan.

"Archers du Gondor, vous avez déjà fait beaucoup mais je vais vous demander un dernier effort. La dernière défense est en train de céder mais nous pouvons retourner la situation. Dès que nous déboucherons dans la grande place, je ne vous demande pas de vous préoccuper de votre défense mais uniquement d'éliminer le plus possible d'adversaires. Je tenterais pour ma part de retenir les éventuels adversaires qui viendraient s'en prendre à vous. Tirez sur les hommes de dernière ligne, frappez à coup sur pour le Gondor et pour Minas Tirith"

Les archers acquisent et la petite troupe entre immédiatement en action. Murdock prend la tête du groupe qui entre dans la place et les archers tirent immédiatement une première volée de flèches. Cette attaque surprise cause un certain désarroi ainsi que des pertes importantes dans les rangs ennemis. Murdock semblent voir sept ou huit hommes s'écroulés au sol mais les hommes se reprennent très vite.

Sentant que cela pouvait redonner courage et vigueur, sachant que lui et ses archers venaient de se faire repérer et qu'aucune fuite n'était maintenant possibl, Murdock se dresse entre les archers et les hommes, espèrant ainsi que ces valeureux archers pourraient lancer encore quelques flèches et pousse un cri de guerre

"POUR LE GONDOR, POUR MINAS TIRITH et POUR L'ARBRE BLANC. Soldats soyez forts et braves, nos ancêtres sont en train de voir des braves défendre la cité de Minas Tirith, terre où tout est possible."

Nidnama jeta un regard noir au mage qui avait éteint son feu. Il comptait l’utiliser pour semer la confusion parmi les rangs adverses mais il n’y avais visiblement pas besoin… Qu’importe : le guérisseur n’était pas la pour la gloire et la reconnaissance.

Il jeta un regard au foyer éteint et y découvrit quelques petites braises. Ne tenant pas compte de l’homme le priant de rejoindre les maisons de guérisons, Nidnama ramassa une braise et l’enroula délicatement d’herbes puis n’une fine écorce de bouleau. Ces gestes habilles ne lui prirent que quelques secondes. Il plaça le fagot dans les serres de Mardthir qui s’envola et le lâcha en quelques dizaines de mètres derrières les combats.

Une épaisse fumée noire s’éleva du fagot et le elfes la respirant se mirent à tituber et a s’ente tuer.

Nidnama réitéra sa manœuvre deux autres braises avant de voir la dernière braise disparaître.

La confusion s’était répandu parmi les rangs ennemis mais quelques minutes plus tard, le effets de l’herbe se dissipèrent. Au moins, les elfes déchus n’arriveraient plus en lignes bien ragées. La bataille n’en serais que plus facile. Son œuvre accomplie, le guérisseur s’approcha d’un noiraud occupé a achever un soldat et lui lança son poignard à la figure. Le poignard rata sa cible et tomba au sol mais la diversion permit au malheureux soldat d’abattre l’homme avant de s’adosser au mur.

- Ben voyons… Aller a la maison des guérison alors qu’il y a des blessés sur place ? et puis quoi encore ? Marmona-t-il avec humeur.

Il ouvrit une fiole contenant de l’essence d’athélas et laissa la douce odeur se répandre avant de ramasser sa dague et d’entreprendre de soigner les soldats tombés.

Il aperçut avec plaisir que quelques soldats s’étaient placer en écran devant lui.

- Nous vous protégerons puisque vous tenez tant a rester.

- Ce n’est pas un entêtement inutile. Plus vous serez nombreux a vous battre et plus nous auront de chance de nous en sortir…

//C'est un peu gors que les elfes qui ont une très bonne vue s'entretue pour un fagot jeté derrière eux... Et c'est pas un petit fagot qui fera autant de fumée, esssaye de rester crédible dans ton rp
//Mith'//
// Je me suis mal exprimé... en fait c'est des herbes halucinogénes... Style amanite tue-mouche en fumée. Donc il ont l'impretion de se batre contre un orque, un troll ou je sait pas quoi...//
//Nidnama//

Menelmdir avait remonté toute la marée noire vers le haut de la cité pour aider les soldats du gondor.
Belgareth l'avait suivi et toux deux avant engagé des combats furieux contre des elfes.
Les elfes étaient connu pour leurs dons à l'arc mais il paraissaient aussi maitre dans l'escrime.

Meneldir ne savait où combattre.Le centre occupé par le gros des troupes du Gondor guérroyait férocement mais sur les cotés de petits groupes combattait épée à la main contre des ennemis qui tentaient de déborder vers l'arbre.
Meneldir n'avait plus de hache celle ci s'étant brisé totlement face à un noiraud.
La lame de la hache s'était brisé sur le plastron de l'homme.

Meneldir avait prit deux épées une dans chaque main et esquivait avec une tuant avec l'autre.
Parfois, Meneldir voyait un ennemi détruire les rangs et sortait son arbaléte mais très vite bien trop vite même son carquois se révéla vide.

Un elfe avait engagé un lourd combat contre le professeur et aucun des deux ne dépasser l'autre.
Chacun, bléssé, tentait de faire fléchir son adversaire mais bientôt une fléche perdu vint se ficher dans le bras de l'oreille pointu.
Meneldir réagit très vite en transperçant la gorge de son ennemi.

Les combats s'intensifiaent et quelques soldats ennemis sortirent des rangs pour briser la défence.il était l'élite des hommes en noir.

Meneldir se précipita écartant amis comme ennemi pour tenter de réduire à néant ces monstres.Dérrière lui quelqu'un le suivait.Belgareth selon lui.

Les bras de Meneldir étaient lourds et ses jambes tailladés de nombreux estafilades.

La potion d'Ellesarion faissait encore de l'éffet mais pour combien de temps.La vision de Meneldir semblait ralentir et le sage sentit une force nouvelle en lui, une force jamais égalé quand ses yeux se possèrent sur l'arbre blanc et son Roy qui se tenait tout deux silencieux dans la bataille tel des statues.
Soudain, Meneldir trébucha mais pour une fois ce fut une chance car un géant de l'élite venait de briser une ligne de défence et son épée batarde frola la tête de Meneldir lui coupant un bout d'oreilles.

[HRP je sais pas si on peut les combattre prévenez moi si on peut pas car je veut pas faire de bétises HRP]

Milindë avait le fer de sa lame coincé sous la hache de son ennemi, cependant elle garda son sang froid, se baissa afin d'éviter le coup d'épée de son adversaire et lui assena un coup de pied dans le tibia. Elle n'avait, malheuresement pour elle, pas un pied de Mithril et comprit vite la stupidité de son geste quand elle sentit la douleur se propager dans son pied.

Hobasian affrontait un Elfe, il assena plusieurs coups répétitifs avant d'en changer provoquant l'éttonment de l'Elfe qui sentit la lame le transpercer de part en part. Hobasian tourna la tête en direction de Milindë, celle-ci semblait quelque peu en difficulté, il voulut aller l'aider, mais l'attaque d'un des hommes casqués de noir l'en empecha.

De mon côté je vit le guérisseur faire des siennes et faire tomber des fagots de bois au sols derrière les lignes.

"Croit-il que ces morceaux de bois legerement incandescent auront un quelquonques effets ? je vais lui montrer ce qu'est du feu."

L'occasion se présenta quand un ennemi le chargea en courant vers lui comme un fou. Je visualiasais des flammes dans ma tête et en quelque secondes l'homme se fit de flammes, il brulait litéralement. J'attaquais ensuite un Elfe qui faisait tomber de nombrexu soldats autour de lui. Arrivé non loin de lui et du combat, je lui assenais un coup de bâton sur la tête, il se retourna et le combat s'engagea.
Il tenta de me couper la tête d'un coup de son épée courbée mais je l'évitais en me baissant promptement. Puis je lui enfonçais ma lame dans le ventre en me relevant.
L'un des soldats qu'il avait blessé ne pouvait plus gbouger au sol. Constatant que le guérisseur était occupé, je me chargeais de le soigner du mieux que mon don me le permettait. Je murmurais donc quelques mots en elfique afin de lui redonner de la force et de faire ce cicatriser une longue et profonde entaille dans le dos.

"Vous devrez passer aux Maisons de Guérison pour un soin complémentaire."

Sans un mot de plus et voyant que les soldats autour du Guérisseur tombaient un à un, je me frayais un chemin jusqu'a sa garde rapprochée afin des les aider de mon mieux.

Milindë se battait de son mieux contre l'élite mais elle sentait la difficulté. Son ennemi était bien plus grand qu'elle et maniait ses deux armes avec dextérité et rapidité. Elle n'arrivait qu'a parer, a peine l'avait-elle fait qu'une autre attaque suivait l'empechant de riposter.

Je fut enfin au côté des soldats qui protégaient le Guérisseur. Un Elfe chargea la troupe, comme tous les autres soldats étaient déjà tous occupé, je me chargeais de donner son compte à l'Elfe. Il en prit pour son grade. Après une parade de son coup d'épée verticale, il commit la même erreur que l'un de ses congénaires, il sentit la lame glisser sous sa gorge. La tête tomba au pied du Guérisseur.

"Désolé..."

L'Elfe fut bien vite remplacer par un autre ennemi, ils avaient compris que le Guérisseur pouvait présenter un danger pour eux dans cette bataille.

- Merci bien ! Lançât Nidnama en voyant le mage le rejoindre. Il faudra vraiment que vous me montriez comment faire du feu par magie si c’est dans mes compétences… Nombre de mes simples doivent brûler pour être efficace… Les fagots que j’ai lâcher sur ces traîtres doit leur donner des visions monstrueuses. Certains en ont même fait des arrêts cardiaques. Le guérisseur jeta un regard en coin au elfes et ajouta : malheureusement, ce sont des dures a cuire…

Tout en parlant, Nidnama n’avait pas cessé d’appliquer ses simples sur les blessés. Voyant que sa garde faiblissait, il récupéra une épée au sol et l’envoya dans le ventre d’un des soldats à l’arme enflammée. Malheureusement, il dévia l’épée nonchalamment et elle se planta avec un brui mat dans le ventre d’un noiraud.

Mardthir volait au dessus du combat et fonçait sur les combattants pour offrire aux défenseurs de la citée une seconde de répit souvent suffisante pour empaler l’adversaire. Lorsqu’elle chercha a apporter son aide à Milindë, elle reçut un coup de poing qui la déstabilisa gravement. Une ouverture était apparu dans la défense adverse et la faucone parvint tant bien que mal a rejoindre son maître.



Le dernier blessé était dans un état critique. Le guérisseur s’excusa :
- Je ne peut vous guérire mais cette potion vous donnera la force de vous battre. Vous mourrez peut-être après… Voulez vous que je vous la donne ?
- Pour la citée ! murmura le garde avec un effort. Donnez la moi !
- N’attendez pas que les effets se dissipent pour aller a la maison de guérison.
Nidnama introduit la fiole entre les lèvres du garde et le fit déglutire. Celui-ci se releva comme revigoré. Cependant, son bras blessé pendait, inutile sur son flan. Le soldat partit a la charge avec une puissance impressionnante pour son état. Vraiment, Nidnama détestait utilisez cette potion. Le garde suivant mourut entre ces mains, ce qui arracha un juron au guérisseur.

Les survivants n’avaient plus le temps de se faire soigner et ceux qui étaient hors d’état était trop loin pour recevoir de l’aide. Nidnama ramassât une épée et engageât tant bien que mal le combat.

Le haradrim était déchainé.Il était enfin dans son milieu naturel,une bonne grosse bataille.On ne comptait plus les coupures et autre estafilades qu'il avait sur le corp.Il se battait comme un diable enragé.

Mouhahahahahaha!!!!

Il se battait avec un elfe.Le pillard parait les coups assez facilement.Cela faisait maintenant bien 3 heures qu'il se battait sans répit,depuis l'auberge jusque là.Il décapita l'elfe de son arme.Il en chargea violement un autre.Il avait le gout du sang,rien ne pouvait l'arreter dans cet état.Il transperca l'elfe qu'il venait de charger.

Bande de faible,vous ne méritez pas de vivre!

Une fleche se planta dans sa cuisse.Une flece gondoréene.

-Oh,merde.

Il tomba a genoux.La fatigue lui tombait dessus.

Pas maintenant,non!

Il parvint de justesse a parer un coup qui l'ébranla violemment.Il voyait trouble.

L'arbre blanc...Il faut que j'atteigne l'arbre...

Il se relva en poussant un hurlement de douleur,trancha l'elfe en deux,puis recula un maximum.Il ateignit finalement l' arbre blanc.Il tomba devant.Sa vision s'obscurcissait.Il vit le visage d'un guerriseur se pencher sur lui.

Au non!Tout sauf me faire soigner pendant la bataille comme une larve!Assez d'affront pour aujourd'hui!!

Il se relva et flanqua une grande baffe au guerrisseur.

-Désolé...

Cela l'aévait revigoré.Il repartit en boitant vers les guerrier noirs.

Eleriol avança lentement et sortit d'un geste lent mais sûr son arc. La mélée était à présent complète, et le tir était risqué. Mais l'elfe avait l'avantage d'être derrière les ennemis et avait la vue presque dégagée sur eux. Il tira ainsi cinq flèches qui atteignirent toutes leurs buts. Mais ne voulant pas prendre d'autres risques, il rangea son arc et dégaina sa lame. Il s'approcha doucement des hommes en livrée noire et commença son ballet silencieux et meurtrier. Il profita durant une poignée de secondes de l'effet de surprise, mais ses edversaires se reprirent vite et l'assaillirent de tous côtés. Certains tombaient, mais Eleriol ne pouvait faire face à temps d'adversaires seul. Il attaquait, parait, ripostait sans arrêt. Ses gestes ne ralentissaient pas mais n'étaient pas suffisants. Il dut ainsi reculer de plusieurs mètres et finit adoosé contre un mur face à cinq adversaires. A présent ils étaient tous devant lui. D'un geste puissant, il repoussa une lame et transperça le heaume d'un homme. Mais le coup avait été ralenti et la victime en fut quitte pour une simple balafre. Mais il recula et fit signe à ses acolytes d'en faire autant... simplement pour mieux considérer leur victime avant de l'achever. Ils s'apprêtèrent à lancer leur assaut, mais ce fut l'elfe qui prit l'iniciative. Il fit décrire un arc de cercle à son épée vers un de ses ennemis qui para de justesse. Mais ce-dernier n'eut pas le temps de voir la lame revenir de l'autre côté et lui trancher la tête. Les autres réagirent plus promptement et levèrent à nouveau leurs épées. Elles s'abatirent toutes d'un coup du haut vers le bas et l'elfe put parer mais chancela sous la violence du coup. Il profita cependant de ce chancèlement pour entailler profondément la cuisse d'un autre homme et l'achever d'un geste rapide. Plus que trois. Plus que trois adversaires sur leurs gardes et ayant une tenue parfaite. Il se lancèrent tous en même temps en ne faisant décrire que les mouvements les moins grands possibles à leurs lames. Un long duel s'engagea. Eleriol réussi à un moment à planter son épée dans l'épaule d'un de ses adversaires, mais la laissa là. En effet, un autre homme, comprenant que c'était la seule chance de vaincre rapidement, avait abbatu de toutes se forces son épée sur celle de l'elfe. Celle-ci coupa alors litéralement le bras du blessé le mettant hirs de combat, mais Eleriol était à présent désarmé et face à deux ennemis, seul. Il n'avait pas peur. Il ne ressentait rien.

La compagne du Mage était en grande difficulté face à son adversaire. Celui-ci, après l'avoir frappée de son épée, coup d'ailleurs bloqué, lui asséna un grand coup de sa botte renforcée d'acier pour la déstabiliser.

Ailleurs, le professeur Meneldir vit un des plus grands hommes s'intéresser à lui. L'autre portait un fléau garnit de deux boules conjointement. D'un seul mouvement, il faillit arracher la tête de Meneldir. Il ne paraissait pas très habile , mais semblait impossible à toucher grâce à son arme.

Soudain, alors que Darkblade s'éloignait, un des noirauds s'enquit du guérisseur.
Surgissement avec sa lourde hache, il n'y avait que le pillard entre Nidnama et un mortel adverssaire.

Car brusquement, une main écarta le mage de sa position. C'était là un homme de noir vêtu qui n'avait rien à voir avec les autres, mais semblait être fort discret et, un pignard à la main, s'apprêtait à frapper Mithrandir.

Radamanthe, fut plaqué au mur par une charge d'un des hommes les plus robustes. Sa hache était coincée entre son propre corps et celui de on adrversaire, de même que ses deux bras maintenant par l'autre.
Autre qui avait,contrairement à l'Intendant, une main de libre et s'apprêtait à frapper.

"..."

La souffle coupé, Radamanthe ne put dire un mot, bien qu'il en avait fort envie...

Le coup qui allait tomber sur l'Intendant ne tomba jamais. Le Noiraud arreta son coup dans l'air, son epee glissa de se mains raides. Puis il tomba a genoux.
Belgarath enleva son epee du dos de l'homme et la nettoya avec la tunique du cadavre. Puis il dit au Intendant:
-Venez messire, nos compagnons sont en danger. Battons nous, Radamanthe, meme si c'est notre dernier combat, montrons a ces creatures de quoi nous sommes faits. Laissons dans leurs memoires la lueur de nos lames!
Les deux hommes se precipiterent vers le professeur, qui se battait seul.
Leurs yeux brillaient d'une lueur de heroisme et de furie.

Milindë avait de plus en plus de difficultés à parer son ennemi, la riposte était encore moins envisageable. Il attaquait sans relâche se servant successivement de sa hache et de son épée. Milindë n’ayant qu’une arme était en position défavorable. De plus, son ennemi empêchait toute idée même de riposte, la rapidité et la violence de ses attaques ne permettait à Milindë que de parer et même pas d’esquiver avec un pas sur le côté ou en arrière. Puis elle décida d’utiliser la même technique que son adversaire. Elle se lança en arrière sur les mains, donnant au passage un coup de pied dans le plat de la lame de son adversaire et effectua une roulade en arrière. Lors de cette roulade elle repéra une épée Elfe vraisemblablement perdu par un de ses congères renégats et la ramassa. Elle se redressa, deux armes à la main, plus apte à parer et espérant enfin pouvoir riposter ou battre son ennemi.

Hobasian affronta un Elfe, il para plusieurs fois avant de riposter dans une attaque imparable qui eut tôt fait de coucher au sol ce dernier. Il se résolu à abandonner les corps à corps, il regarda aux alentours en quête d’un endroit où il pourrait envoyer ses poignards sans pour autant être dérangé. Il combattit un autre Elfe et trouva ce qu’il cherchait. Un peu moins au centre des combats, se tenait un amoncèlement de cadavres enchevêtrés. Il se plaça derrière et sortit ses poignards. Il s’agenouilla et malgré l’odeur et la position inconfortable dans laquelle il était, il resta là. Il lança ses poignards à tous vas. L’un d’eux se ficha dans le crâne d’un Elfe. Ceux-ci étaient sa cible privilégiée, ils étaient moins protéger sur la tête que els hommes en armure noir. Un Elfe au loin l’aperçut, il fonça droit sur lui. Hobasian le regarda venir, prit un poignard dans sa main, attendit qu’il se rapproche, arma son bras et l’abaissa. Le poignard se ficha dans la gorge de son ennemi le faisant s’effondrer non loin de là. Il réitéra la manœuvre à plusieurs reprises jusqu'à ce qu’il n’ai plus de poignards. Après quelques secondes de perplexité, il fouilla les corps et se constitua une réserve honorable d’armes en tout genre. Sa réserve était constituée de hache, d’épée et même de dagues.

Je me sentis mis sur le côté et j’eu à peine le temps e me retourner pour voir un homme encapuchonné de noir brandissant un poignard au dessus de ma tête. J’eus juste assez de temps pour placer ma main au dessus de mon crâne et de murmurer quelques mots en elfique. La lame se brisa au contact de ma main. L’homme déçu par la perte de son effet de surprise se retrouva avec mon épée en travers du ventre.

// Ce textye diffère un peu de l'original mais une fausse manip la éffacé... Et là comme je dois aller manger.. j'ai pas le temps de developper plus//

L'un des deux ennemis approcha. Sa démarche assurée ne demonta pas l'elfe, toujours impassaible. Le tueur leva son arme, prenant tout son temps pour impressioner son adversaire et pour faire de ses dernières heures un supplice. Puis l'arme s'abaissa. Elle fit un raclement horrible contre le mur. Contre le mur? Le soldat noir regrda avec perplexité l'endoit où se trouvait quelques secondes plus tôt l'étrange elfe. Il pivota et le vit debout, son arc à la main. Décidément il était rapide. Mais cela ne ferait que retarder sa mort. Il n'aurait pas le temps d'armer son arc et de tirer. En effet, il ne l'eut pas, mais il trouva une autre utilité à son arme. L'homme noir se raprocha à une vitesse impressionnante comme si sa lourde armure n'entravait aucun de ses gestes. Il ne prit pas garde à tenir correctement son épée, et cela lui coûta cher. Eleriol abattit de toutes ses forces son arc sur le crâne de son adversaire qui fut étourdi malgré malgré son casque. L'elfe profita de ce moment d'inattention pour saisir le poignet de son agresseur et le tordre. Un cri retentit et une épée tomba au sol. L'elfe la prit et l'enfonça dans le coeur de l'homme qui s'éfondra. Son acolyte, fou de rage, se précipita sur l'elfe qui n'eut aucun mal à parer l'attaque et à riposter malgré la lourdeur de l'arme. La rage éliminait toute prudence et attention. Ainsi il finit par terrasser son ennemi qui s'écroula par terre. Eleriol laissa tomber l'arme et reprit la sienne. Il revint vers le combat en prenant bien soin de passer du côté des Gondoréens. L'elfe n'avait qu'un seul remord de ce qu'il avait fait : avec le choc, son arc s'étit cassé.

Le combat continuait les elfes tombaient mais les Gondoriens aussi, un des archer d'Hasharin était mort, Hasharin enchainait les flèches et réussit à tuer quelques Adversaire, soudain l'assassin vit un groupe d'elfe qui voulaient faire le tour pour contourner les Gondoriens, Hasharin rangera son arc et chargea, il demanda à ses archers de le couvrir:

-Tirez sur ce groupe la jusqu'a ce que je sois au contact après changer de cible, c'est pas que j'ai pas confiance mais je tiens a ma vie

Sur ces mots Hasharin chargea dans la mélée,quelque flèches filèrent non loin de sa tête, et sur les six ou sept elfes present, 2 furent touchés. Un noiraud s'interposa entre Hasharin et le groupe et le Combat commenca,l'elfe parait les coup avec une telle aisance alors que l'assassin souffrait mais il devait aidé ce peuple si proche du tien. L'elfe attaquait et parait tous les coups, Hasharin sentit sa lame passé à quelques centimètres de sa tête, et le combat continua ...

Nidnama jura : ce n’était vraiment pas son jour… Même ses alliés le frappaient. Lorsqu’il vit le noiraud s’approcher menaçant, il songea avec ironie que finalement, si cette baffe avait revigorer le pillard ce n’était pas plus mal… Sans plus attendre, il plaçât une de ses dernières fioles dans les serres de Maegethir qui la lâchât sur le visage du noiraud. Bien que peu blessé, par la fiole, il ne put s’empêcher de respirer des vapeurs qui s’en échappaient : il s’écroula, endormi.

Maegethir continua sa course, revigorée par les soins de son maître, elle s’attaquât a nouveau a l’élite qui posait tant de difficultés à la compagne du mage et qui avait osé la frapper… Lorsque la boulle de plumes et de serres lui arriva sur le visage, un coup de bec cruel lui arracha un œil. Il donna un coup sur l’oiseau mais, celui-ci étant déjà partit, il s’écrasa le poing sur le visage. Il jura avant de reprendre son combat, tout avantage perdu.

Cette épée ne correspondait vraiment pas aux capacités de combat du guérisseur (très modestes par ailleurs) aussi la projeta-t-il dans le ventre d’un adversaire dans un mouvement tournant. Profitant de la protection du haradrim,.il repris son poignard y versa quelques gouttes d’une de ses fioles. Lorsqu’il blessa un ennemi au bras, celui-ci tituba avant de s’affaler.

- Bonne nuit mon petit… murmura le guérisseur en laissant pour la première foi un sourire planer sur ses traits.

Il ramassa la dague de son adversaire pour l’enfoncer dans sa gorge. Il avait désormais deux armes dont l’une endormirais ses victimes. Il était fin prêt pour le combat.

//Désolé Mithrandir... J'ai fait une érreur en copiant le nom de mon Faucon... //
//C'est pas grave...//

Murdock était stupéfait, les adversaires sur la place continuaient de se battre sans se soucier des pertes parmi leurs rangs dûes aux archers. Il devait s'agir probablement de fanatiques et avec ce genre de personnes, une bataille ne pouvait se terminer pour eux que de deux manière : la victoire ou la mort.

Soit, faisons donc en sorte que ce soit la second option qui soit la bonne pour eux.

"Archers, ne cessez pas de tirer, visez en priorité les groupes ennemies."

Au même moment, la seconde volée de flèches partit vers les rangs ennemis, tuant encore quatre adversaires. Profitant de ce répit, Murdock plaça sa lance dans son dos pour se saisir de son épée et de son bouclier qui lui seront probablement plus utile dans le combat à venir. Il regarde alors avec l'oeil d'un homme pourqui les combats du jour s'enchaînaient à un rythme fatiguant afin de déterminer où il sera le plus utile.

"Archers, visez les ennemis nous bloquant le passage vers l'intendant. Nous devons le soutenir au maximun. Lorsque la passage sera un peu dégagé, suivez moi, je finirais de vous ouvrir les portes menant à l'intendant. Avec lui, nous formerons une défense plus efficace"

Le ballet silancieux reprit, plus efficace cette fois. L'elfe combattait du côté des hommes du Gondor et pouvait compter sur leur aide en cas de besoin, et eux aussi d'ailleurs. Attaque, parade, riopste, feinte, fente. Toutes ces actions s'enchainaient, monotones. Pourtant l'elfe combattait. Certes, il combattait pour l'Arbre Blanc, mais était-ce seulement cela? Où était-ce pour cela? L'elfe l'ignorait. Il combattait, c'est tout. Le sang coule, les lames tintent. La mort, si triste. Et pourtant nécessaire. Le seul moyen de survivre ce jour-là. Tuer pour vivre, tuer pour sauver la Cité. C'est ce que pensent sûrement tous les soldats. Mais pas l'elfe. Il combattait simplement. Il aurait sûrement du en éprouver du remord, mais n'en avait pas. Il faisait tout pour sauver l'Arbre Blanc, et pourtant ne ressentait rien. Comment devait-il être? Fier? Heureux de mourir ici si cela advenait? Triste? Chacun devait être imprégné d'un de ces sentiments. Mais pas Eleriol. Il combattait, simplement. Sa lame n'en était pas moins meurtrière et fendait chair et armure. Parfois il fermait un dixième de seconde les yeux, parfois plus. Il essayait durant ces brefs moment de calme de se comprendre, mais en vain. Il continua à combattre.

// Le trois-centième //

Le pillard comencait apparament a se faire craindre.De moins en moins de guerrier l'attaquait.Il y en avait toujours beaucoup,mais aszsez a son gout.Il massacrait tout ce qui se trouvait devant lui tout en avancant petit a petit,en boitant.Il arriva finalement de l'autre coté de la bataille,au prix d'une déchirure musculaire et d'une belle entaille a la poitrine.Il commencait a perdre du sang,mais était trop imprégné de celui de ses ennemis pour s'en rendre comte.Il vit alors un elfe qui se battait silencieuement.Il abbatait ses ennemis un par un,treanquillement.
Le pillard s'en approcha.Au moment ou il allait lui parler,un noireud lui enfonca son couteau dans le dios jusqu'a la garde.

-AAAAAAAAARRRRRRRRRHHHHHHH!!!!!!

Le pillard tomba au sol devant l'elfe et ne bougea plus.Son souffle était de plus en plus faible,irrégulier,et le guérrisseur le plus proche ser trouvait de l'autre coté de la masse de guerrier noir et d'elfes.

Vais...Crever...