Le bureau des assignations

C'est un petit bureau à deux pas de la caserne où s'entraînent les soldats. Bien que minuscule, on peut facilement le retrouver grâce au panneau en bois décrépi sur la façade : "Bureau d'Assignation" .
Ce n'est pas un hasard que cette institution soit si proche de la caserne car en vérité, elle en dépend entièrement.

Les soldats et recrues, quand ils ne sont pas en entraînements, en patrouille ou sous les ordres de leurs supérieurs sont tenus ve venir y signaler leur disponibilité, au lieu de jouer aux cartes ou de se saoûler à la taverne (ou de joueur aux cartes en étant ronds).

Lorsque vous entrer, un vieil hommevous accueille avec un semblant de sourire sur sa face burrinée de cicatrices. Car c'est un soldat, un vrai vétéran, qui s'occupe à présent de cette institution, trop affaiblis par ses blessures pour continuer à guerroyer.
En fait, ce bureau travaille avec la milice, de sorte que cet homme est toujours au courant de ce qui se passe et peut donc envoyer les recrues sans mission particulière régler un litige au autre.

Donc soldats, si vous avez avez marre de vous tourner les pouces, si vous trouvez honteux qu'on vous paye alors que vous ne faites rien, venez faire un tour ici !


Bien que ce bureau soit réservé à l'armée régulière, il y a des gens qui savent également bien se situer.
A deux pas de là, un homme à la tête de fouine hèle les mercenaires et les soldats qui n'ont pas trouvé d'assignation. Il oeuvre pour Asthrabal le bourgeois, qui a tojours des affaires à mener.

Je rentrais dans le bureau des assignation et j' alla voir le soldat et je lui dit:

Bonjours, je voudrais faire quelque chose car je m' ennuis depuis se matin, je n' ai rien a faire et je trouve que ses honteux de gagner de l' argent tandis que nous on se tourne les pouses donc si vous vouler bien me donner un truc a faire pour m' occuper sa serais trés bien sa serai aussi pour aider notre bon souverains.

J' attendis la réponse du soldat et j' essperait qu' il est quelque chose a lui assigner

Cela faisait trois jours que Aramir c'était installé dans sa petite maison et qu'il menait une vie "normale".
Mais le jeune homme, ne travaillait toujours pas, c'est pourquoi il decida d'aller faire une demande de travail.
Il demanda à un vieil homme si un tel endroit existait, et le brave homme lui repondit qu'il trouverait son bonheur dans un petit bureau appelé "bureau d'assignation" en haut de la cité.
Aramir se dirigea donc vers l'endroit convenu, et au pris de quelques longues minutes de recherche, il trouva ce qu'il voulait.
Il pénetra dans le petit bureau et interpella l'homme à tête de fouine qui s'occupait de gens comme lui.
-Bonjours mon brave, je viens demander une affectation à quelque misson dans le seul et unique but de servir notre bien aimé souverai. Que me proposez vous?
Le petit homme le regarda dédaigneusement et s'en alla dans une petite pièce derrière le comptoir dans l'intention de trouver au jeune homme de quoi le satisfaire...

Lorsque l'homme revint, il était accompagné d'un vieux bougre aux vêtements jaune criard. Ce dernier lui souffla quelques mots à l'oreille, esquissa un sourire maliceux, puis s'en alla d'un pas nonchalant tandis que l'homme responsable du bureau se tournait à nouveau vers Aramir, la main sur le menton, comme s'il réfléchissait tout en inspectant son interlocuteur.

"Informateur, c'est ça ?"

En vérité, ce n'était pas une question.

"Alors comme ça, tu es un gars capable de t'incruster chez les truands, et qu'ils te fassent confiance ? C'est bien, j'aime les types subtils, et on en a bien besoin. Alors ce que tu vas faire, l'ami, c'est faire un tour à l'auberge à l'affût d'une information intéressante. Y a des drôles de rumeurs qui courrent, tu sais, et comme toujours le vieux Gilgamesh est au courant d'ça..."

D'un geste de la tête il désigna le vieil homme vêtu avec un mauvais goût incroyable, qui s'éloignait.

"On compte sur toi pour repérer quelque type louche avec quelque chose de tout aussi louche en tête..."

[Rendez-vous à l'auberge.]

PS : Dark, ce nom ne convient pas du tout, et il faut faire un sérieux effort d'orthographe !

Aramir, après son bref entretien, alla voir le dénommé Gilgamesh.
Il ne fut pas coopératif comme l’aurai souhaité le jeune homme, mais finit à force de menace à daigner lui parler.
-Alors, tu vas me dire ce qui se passe dans cette auberge mon gars sinon, gare à toi… fit le jeune homme de sa voix la plus dur.
-Mais puisque je vous dis que je ne sais rien…
-Menteur ! cracha l’informateur.
-Très bien, très bien, j’ai entendu parler d’un certain Maranör…
-Maranör tu dis ? souffla Aramir à l’oreille du vieil homme.
-Oui… il serai une sorte… d’espion pour le compte de Blankânimad et des Orientaux…
-En es tu sûr ? s’exclama Lahör en saisissant Gilgamesh.
-Je sais ce que j’entends et n’entends pas. fit il le petit homme avec froideur.

Mais à peine sa phrase finit, Aramir poussa le vieillard, et s’en alla au pas de course.
Cela ne pouvait être possible pensait-il, un espion ici à Minas Tirith, et pour le compte de Blankânimad…
La mission devenait vraiment intéressante, et d’une extrême importance.
Le jeune informateur traversait les rues, avec rapidité.
Il ne devait pas perdre une seule seconde ; l’espion pouvait être déjà repartit chez son maître…

//HRP// Dîtes moi si c’est un bon début, et si je peux faire un sujet sur ça ! Merci.//HRP//

Konrad était revenue entier de la mission difficile à Cirith Ungol où beaucoup de ses compagnons d'armes avaient touvé la mort.
Il y eu bien sûr un temps de guérison car, bien qu'étant entier, il n'en était pas revenu indemne, ébranlé par cette bataille qui aurait pu bien mal tourné...

Maintenant qu'il s'était remis, Konrad s'ennuyait quelque peu. Il n'avait pas reçu d'ordres récents, du fait qu'il était revenu d'une mission à risque, et que il y avait pour tout les participants de cette dernière, des sortes de vacances.

Il arriva donc devant la porte. Il l'ouvrit et rentra tranquillement dans la masure. L'homme au comptoir l'accueillit avec un air dédaigneux. Malgré ce "chaleureux" accueil, Konrad ne cilla point, et gardé tout autant du respect pour ce vétéran qui en avait vu bien plus que lui, simple puçot des champs de batailles ensanglantés.

Konrad s'approcha du comptoir, regardant fixement le vieil homme :

-Je viens à vous officier pour le fait que vous vous occupiez de ce bureau d'assignations. Je reviens de la mission récente restée secrète pendant un long moment. j'ai bien faillit d'ailleurs y perdre la vie à maintes reprises, mais bon...c'est ça, la vie d'un soldat !

Konrad essayait de plaisanter, mais l'homme ne laissait transparaître aucun signe d'humour quelconque, ou même de simple fantaisie. Tout en toussotant légèrement, il reprit :

-Hum bref, c'est donc très simple. Après mon baptême du feu très bruyant, je m'ennuie pas mal dans cette caserne...N'auriez-vous pas quelque chose d'interessant à me proposer ??

Konrad attendit patiemment la réponse de l'officier aguerri face à lui, bien que ce dernier semblait ne rien vouloir répondre...

Le vétéran de nombreux combats le regarda avec un certain air hautain.
Il se prenait pour un héros pour avoir survécu à un lourd combat.

Encore un jeunot qui veut monter rapidement en grade.Enfin bon.

Il réfléchit à une quelconque mission puis n'en trouvant aucune officielle.
Toutefois il se pouvait qu'il y en ai une autre.
On parlait depuis déjà un moment d'une action contre le prince de Dol Amroth mais nul n'avait jamais ossé montrer le poing à un tel point que la guerre civile serait proche mais un garde de la Grande Porte de la cité était venu lui parler d'un groupe de chevaliers qui partaient en guerre dans le sud du Gondor.

"Epss, y'aurai peut être une mission mais pas vraiment à Minas Tirith.
Ya une sorte de campagne dans le sud de Gondor.
Va voir près de la Grande Porte et demandes le vieux Meneldir."

Le vétéran pouffa.

Il est reparti comme dans le temps, toujours premier dans les combats. Il se fait vieux le men.Cher vieil professeur.
Peut être que je devrais m'y remettre moi aussi.



[HRP si tu veut c Ici HRP]

Nârwel était monté doucement jusque dans le haut de la cité. Il avait de nouveau aperçu le palais royal. Toujours aussi sublime. Les allées étaient toujours illuminées par la blancheur des murs. Et plus il se rapprochait de la caserne plus il croisait de soldat. Certains en armure, d'autre autour d'un godet. Il entra dans la cour de la caserne, rien n'avait changé, la charrette de foin était toujours au même endroit, l'effervescence du lieu était la même qu'il y trois ans.

Les gardes lui barrèrent la route, repoussant sa cape pour montrer qu'il n'était pas "un simple civil" Nârwel se dirigeat vers le batîment principal. S'écartant du chemin de quelques soldats, Nârwel entra dans la caserne. Il avait aperçu le bureau des assignation. Un sourire passa sur son visage quand il capta le regard du veteran qui le regardait.

"Rien n'a changé..."

Nârwel s'arreta et se dirigea vers le vieil homme qui le regardait toujours.

"Bonjours Messire."

Le vieil homme ne repondit pas. Mais ne cessait de le regarder. Lui et l'etendart du 23°Ohtarrimion qui était brodé sur son gilet de cuir.

Ne sachant pas trop quoi dire Nârwel se lança.

"Il y a trois ans, l'on m'a donné ce veston. Aujourd'hui le 23°Ohtarrimion est un nom bref dans l'histoire de l'armée du Gondor. Notre expédition en Harondor fut la dernière. Mais je ne pense pas que vous l'ayez oublié. "

Nârwel ne savait vraiment pas quoi dire. Exposé ainsi les évènements qui avaient causés a perte de son Ohtarrimion l'attristait, mais au fond de lui ils attisaient la rage et la haine des adeptes de l'ombre.

"Je me tourne vers vous messire. Jadis, j'ai fais serments de servir le Gondor. Ce serment ne peut être défait."

Nârwel tourna la paume de sa main vers le vieux soldat, faisant luire l'arbre blanc qui ornait la peau rugueuse d'un épeïste accompli.

"Que dites vous?"

Le vieil homme se rendit peut-être finalement compte qu'il fixait sans mot dire le "soldat" depuis un peu longtemps déjà. Ou peut-être sortit-il tout simplement de ses pensées, qui devaient certainment être confuses en ce moment précis. Il est vrai que ce n'est courant de voir revenir quelqu'un qui devrait, en toute logique, être mort.

"Etrange, étrange... Et dire qu'il n'y a pas une semaine, on aurait pu dire que l'Harondor était en paix, allié à Gondor. Mais les temps changent n'est-ce pas ? Le travail de ceux qui sont morts dans le Sud a été défait, des unités oubliées depuis longtemps refont surface..."

Nostalgie dans les paroles du vieux guerrier. En vérité, lui-même avait combattu en Harondor, c'était depuis Dur'Zork qu'il avait été blessé et, d'une certaine façon, mis à la retraite, c'est à dire qu'il s'occupait du bureau, à présent...

"Je dis... je dis que plus que jamais Gondor a besoin de l'expérience de guerriers accomplis. Dans le cas présent, vous n'êtes que plus bienvenu. Dans le cas présent, je pense pouvoir vous trouver une occupation vous convenant, vous qui avez survécu trois ans à la perte de votre compagnie..."

Il désigna alors une carte qui traînait sur son bureau et il désigna Osgiliath et la région qui l'entourait.

"La cité des Etoiles est tombée, on l'a apprit hier. Seriez-vous capables d'aller repérer l'étendue de l'armée du Sud, sans qu'il vous repèrent ?Il nous faut absolument avoir des nouvelels, sans quoi c'est la fin de la Cité Blanche..."

[Au passage, si tu pouvais mettre un avatar représentant ton perso... Merci]

Angbor qui était rentré dans la caserne alla au bureau des assignations.Il arriva devans le vétéran au regard dur.Il était passé devant le recruteur de mercenaires.
*Si je n'ai aucune mission,alors j'irai le voir*.

-Bonjour,je cherche du travaille.J'ai une permission mais je n'ai pas de famille et je veux aider le Gondor contre leurs ennemis.Je connais tout les recoins du Lamedon et vous serez d'une aide sur les frontières.

La voix du veteran l'avait calmé. Content d'être de nouveau reconnu, d'avoir de nouveau quelque chose à faire hormis survivre. Il allait partir quand il demanda.

"A qui doit-je faire mon rapport?"

Voyant que un autre soldat arrivait et commençait à parler avec le vétéran,Angbor,commençant à être quelques peu énervé,se tint le menton avec la main et pensa pendant que l'éclaireur,d'après sa tenue,commençais à poser sa question.
*Je vais aller à la forge m'acheter une épée lourde,de toute façon,mon ancienne épée est trop vieille et rouillée.*

-Je m'en vais le temps de votre entretient mais je reviendrais plus tard dans la journée ou demain aux premières du jour.J'espère que vous serez plus bavard,essayant de paraitre amusant.

Il quitta la salle et alla à la forge.

Le vieil homme s'occpant du bureau répondit machinalement au soldat de retour après sa disparition :

"Vous le ferez ici, ou si vous avez l'occasion, et pour éviter de perdre du temps, à l'Intendant lui-même, mais ce sera peut-être plus compliqué, il est presque aussi difficile d'avoir un entretien avec lui qu'avec le Roy..."

Il murmura ensuite quelque chose qui devait être un bonne chance ou quelque chose de similaire. Il se tourna ensuite vers l'autre arrivant.

"Garde des frontières, hu ? Il n'y a plus de frontières... Elles sont bafouées, brisées... Tout ce que vous pouvez faire, c'est vous préparer pour le combat, car bintôt ce sera le chaos."

Après que je sois allé me faire recruté dans la cavalerie de minas tirith, me faire forger des armes et amures et demander à apprendre quelques techniques de combat, je me suis baladé dans les rues de minas tirith. Comme je ne savait pas quoi faire, je me suis décidé d'aller au marché et j'entendis : " Pour tous ceux qui voudrait faire quelque chose, il y a le bureau des assignations en haut de la citadelle. " Alors je m'y suis rendu et poussa cette porte qui me paraîssait bien lourde et je dit :

Je suis cavalier comme je n'ai rien à faire je suis venu ici.

Le vieil homme avait revêtu son armure. Cela faisait fort longtemps qu'il ne s'était pas battu, ah ça oui, mais il semblait que les circonstances étaient exceptionelle cs temps-ci.
Il ajustait son épée à son côté lorsque Lathendil prit la parole.

Il lui jeta alors un regard farouche et désaprobateur, et dit d'une voix bourrue :

"Cavalier... Ne voyez-vous pas que c'est la guerre ? N'avez-vous pas entendu les cloches et trompettes ? La Cité risque de tomber comme ne l'a jamais fait depuis bien longtemps. Alors je doute que vous n'ayez rien à faire !"

Il partit. Le bureau d'assignations n'avait plus lieu d'être pour le moment, l'endroit où tous devaient aller était évident.

Le jeune Earnur franchit la petite arche,et se retrouva dans une petite pièce éclairée par une large fenêtre.Il se dirigea vers le comptoir derrière lequel se trouvait un viel homme dégarni mais aux yeux pétillants.
Salutations,c'est bien ici pour les inscriptions non ? Je souhaite me trouver une mission et ........
Hola jeune homme! trève de salamaleks, dis moi ce qui t'amène.
Si vous m'aviez laisser finir vous le sauriez, sans compter que le peu que vous m'avez laisser débiter devrait satisfaire votre requète.
Inutile de se montrer intraitable jeune homme mais puisque c'est les missions qui ont l'air de t'interresser dis moi donc ton nom et ta fonction que je puisse te trouver une mission à ton gout.
Fort bien, Earnur, éclaireur de Gondor.
C'est entendu, revien me voir dans peu de temps.
A bientôt.

Nârwel arriva à cheval dans la caserne. Cette fois-ci tout semblait se faire exactement à l'inverse qu'il y a encore quelques heures. Les soldats ne couraient plus. Il y avait même une certaine lenteur qui était tout de même aberrante aux yeux de Nârwel. Il descendit de cheval et se présanta au bureau des assignations.

"Je vais partir dans le Nord avec un compagnons garde frontière, que vous devez sans doute connaître sous le nom d'Angbor."

"J'essayerais de faire parvenir un rapport jusqu'a la cité blanche."

Apres un bref signe de tête en guise d'au revoir, Nârwel remonta sur son cheval, et repartit vers le bas de la cité. Il passerait chercher son épée et irai sans doute se rassasier dans une bonne auberge en attendant le lever du soleil.

Marchant dans la ville , berethor se rendait d un pas rapide vers la caserne dans l espoir d une affectation .arrivait a l entrée erenor se diriga vers le bureaux et entra .

-salutation je suis berethor soldat sans affectation auriez vous une mission pour moi ?

Nous avons un problème, on dirait.

Je t'ai demandé d'ajouter une majuscule à ton pseudo, tu ne l'a pas fais. Je t'ai demandé de faire attention aux majuscules en général, tu ne le fais pas. Je t'ai demandé de faire ta fiche personnage, tu ne l'as pas faite.

Et je constate que tu ne sais pas qu'il y a un nombre minimum de lignes par message. J'en déduis donc que tu n'as pas lu les règles.
Ca, ça pose un problème, non ?

Mille excuses, je rectifie tous sa sur le moment .

Beretor marchait d un pas rapide dans les ruelles de minas tirith.Passant devant l' armurie il se dit qu' il faudrait à un moment ou un autres s' achetait une arme mais sa bourse etait loin d etre remplit et il lui restait de nombreuses choses a faire plus importantes pour le moment . Il se dirigeait vers la caserne de la ville pour recevoir une affectation. Il s'était engagé dans l' espoir de voir le monde mais il avait accumulé les erreurs dès son arrivée dans la cité et esperait se rachetait en reussisant une mission ou il esperait rencontrait de courageux frères d 'arme . Il traversa l arche de pierre et arriva dans la caserne . Des hommes s agitaient et discutaient de chose et d autres et s 'affairaient a de nombreuse taches ,des nains et des elfes semblait en grande discussion sur des sujets plutot étranges commes le meilleur buveur ou le plus rapide des deux races mais il ne s 'arreta pas longtemps à regarder ce spectacle et se dirigea vers l' entrée de la salle de recrutement. Il se decida a entrée et franchit le seuil de la porte . Il se trouva devant un vieil hommes plutot petit mais qui semblait etre le recruteur .

Il se decida à parler et dis :

Salutation , je me nomme Beretor ,je suis a la recherche d une mission .
Avait - vous quelque chose a me proposer ? Je suis près à accepter n 'importe qu' elles missions du moment que je suis utile

Toujours pas...Dans les regles il est ecrit 10 lignes completes minimum par RP... et ton post en fait environ sept. De plus, tu n'as toujours pas fait ta fiche de presentation. Si tu ne sais pas qu'est ce que c'est, je te le dis, c'est un texte de au moins 25 lignes completes decrivant ton personnage: son physique, sa psychologie, son histoire, etc.
Supprimes aussi tes deux posts precedents dans ce sujet.

!Galadril avait longtemps pensé à ce qu'il lui était arrivé lors de la traque qui avait conduit ses compagnons à la mort, il avait échoué, blessé et insulté par un homme qui ne devait pas en être un. Il voulait redorer son blason, se refaire un nom, pas celui de perdant et d'échec de la société gondorienne. Il voulait à nouveau que l'on croit en lui, d'abord sa famille, puis son peuple et enfin son Roy. Son Roy auquel il avait prêté serment de revenir victorieux, de toujours réussir. Il ne voulait pas être un déshonneur pour le Gondor.

C'est pour cela qu'un matin il se dirigea vers la caserne, il voulait faire quelque chose pour aider son royaume, quoi que ce soit. Dès qu'il eut atteint le haut de la cité blanche, il put partir à la rencontre de l'homme dans le bureau des assignation. Il y avait déjà une longue file, mais le Paladin attendit patiemment. Tous le regardèrent, mais il ne prêtait pas attention à leurs murmures. Lorsque son tour arriva, il entra dans le bureau spacieux et dit:

-Moi Galadril, fils d'Earnur II, dit le Paladin du Gondor, caporal de la cavalerie, souhaiterai recevoir une mission !

Le colonel était un homme d'une soixantaine d'années. Ses yeux gris et ses traits nobles indiquaient ses origines de Dol Amroth, mais son coeur appartenait à la Cité Blanche. Il était connu par ses hommes en tant que commandant calme mais sévère, juste mais exigeant.

Lorsque Galadril entra dans la pièce, les yeux gris de l'officier montraient un mélange de tristesse et sévérité.

-Galadril...je vois que tu as récupéré de tes blessures...très bien.

Il se tût pendant un moment, comme si il réfléchissait à la formulation d'une phrase difficile, puis dit:

-Les rumeurs se répandent...le seul revenu de la mission, le commandant, tous ses hommes morts. Je vais être franc avec toi, il y en a qui demandent la cour martiale. Ils veulent te voir pendu pour crimes de guerre. Mais moi je te connais mieux. Si tes hommes sont morts ce n'est pas par ta mauvaise volonté. Peut être par ton manque de responsabilité, peut être par quelque magie démoniaque. Je ne sais pas. Mais je ne te verrai pas pendu...

Il soupira, puis continua:

-Cependant tu seras temporairement dépourvu de tes devoirs de caporal de cavalerie...Personne ne veut servir sous les ordres d'un homme qui vient de perdre toute son unité. Je t'assignerai une mission plus discrète, qui te permettra de regagner ton honneur et ton grade.
Tu es un bon guerrier, et j'ai besoin de quelqu'un pour protéger un témoin de la Cour Royale du Gondor. Cependant saches que si tu échoues dans cette mission, ta carrière sera terminée, et je n'aurai peut être pas d'autre choix que de te laisser au jugement de la cour martiale. Qu'en penses tu, Galadril? Es tu capable de prendre ce risque?

Les yeux gris du colonel étaient fixés dans le visage du caporal...

Galadril regarda attentivement le vieil homme derrière son bureau, un colonnel d'environ une soixantaines d'années, de nature calme mais pourtant exigeant.

-Galadril...je vois que tu as récupéré de tes blessures...très bien.

Galadril hocha de la tête, il ne ressentait presque rien désormais.

-Les rumeurs se répandent...le seul revenu de la mission, le commandant, tous ses hommes morts. Je vais être franc avec toi, il y en a qui demandent la cour martiale. Ils veulent te voir pendu pour crimes de guerre. Mais moi je te connais mieux. Si tes hommes sont morts ce n'est pas par ta mauvaise volonté. Peut être par ton manque de responsabilité, peut être par quelque magie démoniaque. Je ne sais pas. Mais je ne te verrai pas pendu...

Le pendre ? Lui qui avait seulement voulu protéger son peuple, comment pouvait-on lui reprocher pareille crime. Il serra le poing, il pensa que c'était plutôt la faute du Roy, et de ses chevaliers. Laisser s'échapper un pareille monstre...

-Cependant tu seras temporairement dépourvu de tes devoirs de caporal de cavalerie...Personne ne veut servir sous les ordres d'un homme qui vient de perdre toute son unité. Je t'assignerai une mission plus discrète, qui te permettra de regagner ton honneur et ton grade.
Tu es un bon guerrier, et j'ai besoin de quelqu'un pour protéger un témoin de la Cour Royale du Gondor. Cependant saches que si tu échoues dans cette mission, ta carrière sera terminée, et je n'aurai peut être pas d'autre choix que de te laisser au jugement de la cour martiale. Qu'en penses tu, Galadril? Es tu capable de prendre ce risque?

Il était tout a fait près, il ne risquait plus rien désormais, étant revenu au statut de simple garde du corps. Cependant une part de lui refusait ce poste et désirai vengeance, mais il accepta sans regret.

-Bien, j'accepte cette mission.

Il attendit la réponse du Colonnel.