\!/ L'Armurerie de Gondor \!/

Firion, en compagnie d'Eoseld, se dirigeait vers l'auberge de Minas Tirith. C'est alors qu'il passa devant l'armurerie de Gondor qu'il n'avait jamais vu auparavant. Il s'arrêta donc et s'approcha pour voir ce qu'on y vendait. Il vit de nombreux articles fort intéressant et décida de dépenser un peu ses sous.

"Bonjour, armurier. Je souhaiterai vous acheter Assaltius, l'Arc de l'aigle à 20 000 £, Hypnos le déviant à 10 000 £ et Pénétrante, la tueuse de trolls à 20 000 £.
-C'est entendu. Par ailleurs, je suis désolé mais les temps sont durs et donc je ne pourrai pas vous faire de promotion. C'est 50 000 £.
-Cela me convient et je vous comprend. J'ai été forgeron autrefois et je sais donc ce que c'est."

Firion sortit 50 000 £ de sa bourse et les donna au marchand.

"Merci, voilà pour vous."

L'armurier tendit l'arc, le bouclier et la lance dont Firion s'équipa. Il remercia le marchand et repartit avec Eoseld qui n'avait rien pris.

Aremir se promenait dans Minas tirith à la recherche de l'armurerie où il comptait s'equiper pour la guerre quand il la trouvat au centre de la cité

" Ah enfin ça fait deux heures que je la cherche mais je n'y suis plus allé depuis longtemps "

Il rentra dans l'armurerie afin de regarder les articles et se decida après quelques minutes

"Bonjour armurier, je voudrais une lance mediocre à 500 £, une épée bien forgée à 1000£, une dague bien forgée à 100£ et un bouclier bardé de fer à 200£."

Il sortit 1800£ de sa bourse dediée à l'equipement militaire et paya l'armurier avant de se diriger vers la sortie de la ville pour rentrer chez lui avec son equipement.

L’homme de l’auberge qui avait raconté l’histoire d’homme est d’orques fut très étrange aux oreilles d’Iriel, mais les songes et les secrets il sent moquaient. Il sortit de l’aubergiste et s’aperçut qu’une chose lui manquait car un mercenaire recherche toujours des missions et de bonnes armes très malléables. L’heure tournait et le soleil commençait à surchauffé la surface des pavés de la cité, soudain il vit une porte s’ouvrir et une pancarte au-dessus marquait armurerie.
Il s’y dirigea et y entra, l’air à l’intérieur était léger et de nombreuses armes, comme des épées, des lances, des boucliers ou autres siégeaient sur de nombreuses étagères. Iriel regarda quelques-unes une d’entre elle est se dirigea vers le commerçant, de nombreuses personnes cherchaient des objets pour leurs besoins. Il posa la main sur le rebord du comptoir et dit à l’homme

Bonjour, je suis un mercenaire qui vient de s’engagé et je recherche un bon arc. Le quel pouvez-vous me concilie ?

Le commerça le regarda d’un œil sournois mais Iriel ne bougea pas et lui répondit par un sourire.

C'était bien là l'habitude de cet ancien vétéran, depuis longtemps reconverti en vendeur d'armes: regarder ses clients de pied en cap, les jauger, avec un visage froid et sérieux, afin de mieux cerner leurs besoins et de satisfaire au mieux leurs envies.

Après un silence interminable, le marchand finit par répondre, affichant un léger sourire.

"Un arc, dites-vous... Voyons voir!"

Il ferma les yeux et posa sa main sur son front, comme pour se souvenir d'une chose enfouie dans sa mémoires...

"M'en reste-t-il..."

Il accompagna Iriel, le menant dans un des rayons de son magasin.

"Ah! Les voici! Je vends un arc de précisions pour 500£. Ce sont les meilleurs arcs fabriqués en série que je possède. Si votre bourse est peu remplie, je dispose aussi d'arc de bonne qualité à 200£."

Iriel suivit le vendeur qui l'accompagna dans l'allée. Il lui montra les arcs qu'il possédait et lui montra un arc de très bonne qualité, tout de suite après un autre moins bien dessiné mais tout aussi intéressant. Il hocha la tête après avoir vu les armes que le marchand lui proposa et lui dit en tendant la main

Je voudrais le second, il me plait beaucoup. Ma bourse n’ai pas très pleine et on attend la paye. Je viens de devenir mercenaire et vous ne savez ou je puis aider personne ?

Iriel se demandait pourquoi il avait posait cette question. Mais au moins s’y le marchand ne répondait pas il pourrait toujours repartirent avec son arme.

L'armurier tendit la main pour recevoir les pièces d'or que lui tendait le mercenaire.

"Je vous remercie, mon brave. Croyez-moi, bien que la qualité soit légèrement moindre que l'autre, cet acte est d'une fiabilité exemplaire, et il vous servira bien. Ce sera un fidèle compagnon, est je vous promets que vous ne serez pas déçu!"

Ainsi parlait souvent le vendeur: il comparait souvent ses armes à des êtres, presque vivants, des compagnons utiles dans bien des cas.

A la question d'Iriel, le vendeur fit silence pendant un instant, sembant encore une fois fouiller dans ses propres pensées.

"Non, fit-il enfin en riant de bon coeur. Je suis un marchand d'armes, pas un conseiller pour mercenaire. Mais je n'en doute pas, vous saurez trouver une place dans la Cité... Elle est vaste, et regorge de gans hétéroclites. En attendant, tenez!"

Il tendit l'arc à son nouveau propriétaire, avant de regagner le comptoir.

"Prenez-en soin, où que vous alliez, brave homme."