Pour la défense de la Cité Blanche !

Peu pressés, contrairement aux militaires qui affluaient de partout, attendant à leurs directives réciproques telle une fourmilière coordonnée, Silence et quelque uns de ses camarades –Sentier et Douleur- firent calmement une ronde, inspectant la muraille et ses dispositions. Ils confrontèrent leurs avis quand aux faiblesses, points stratégiques et atouts de cette imposante mais non-inébranlable barrière vers laquelle une horde assoiffé de sang allait bientôt venir s’abattre.

- Ca pu la piétaille ici, combien ont connus de vrai campagnes, de guerres ? Je ne suis pas partisan des misérables soldes de l’armée Silence et tu le sais. Si j’dois passer l’arme à gauche, j’veux pas l’être au milieu de jeunots pareils !

Là, c’était Sentier qui parlait. Lui tout comme le reste de la ligue avait dut payer le prix de la décision de Silence, car la règle d’or était que l’on n’abandonne jamais un compagnon à une tâche à moins que cela soit nécessaire. Dans ce cas, la bataille serait la même pour tout le monde, autant y participer, malgré une paye ‘ridicule’ voir insultante pour un chien de guerre.

- Aucun problème, on va essayer de trouver un poste où l’on peu être tous ensemble sans essayer de crever face à la marée puante qui va déferler… D’ailleurs, où sont les autres ? demanda Silence.

- En ville. Triväm prépare quelques explosifs et aide les stratèges de la milice, sa place n’étant pas sur les murailles. Venin, Ronfleur et les autres ne participeront pas, ils quadrillent chaque zone de la cité en cas de pénétration… lui répondit Douleur, sans optimisme.

- Paraitrait qu’ils veulent marchés à leur rencontre. J’espère que tu n’as pas pour idée de les accompagnés, à coup sur ils seront un pour cinquante là-dehors et sans leurs jolies murailles, je suis près à parier qu’ils vont regrettés leur initiative… D’après ce que tu nous avais dit de ta mission, ses bougres seraient organisés… reprit Sentier.

- Si ils tiennent à sortir, on les accompagne. J’ai donné ma parole au Roy. On leur ferra leur fête à notre manière c’est tout… Mais comme tu dis, ca risque de leur retomber dessus, ils vont l’avoir mal. Faudrait se réserver un coin sur cette muraille pour nous… Tien, cette tour au fond là-bas, elle est pas mal… Petite, pas trop mal placé, un bon angle sur la plaine et en plus elle n’est pas sur un point sensible donc ne risque pas forcément d’attirer l’attention… On pourrait la tenir à nous trois, si ont y viraient les gardes… Douleur, tu pourrais t’occuper des officiers, des soldats trop entreprenants et autres sales surprises, vu que la plus part des tirs seront fait au hasard, autant se servir de ta précision à bon escient… Sentier et moi on pourra tenir l’entrée, si il y a des escaliers on pourra les retenir indéfiniment…

Ses compagnons acquiescèrent puis ils se dirigèrent vers la dite tour. Sentier agrippa par l’épaule un capitaine de la garde puis ils l’interrogèrent… A leur façon. Après une petite séance d’intimidation, ils eurent la confirmation que la tour leur serait réservée. Le capitaine s’envola en direction de la garnison pour prévenir ses supérieurs de la présence des mercenaires sur cette section de la muraille. Satisfait, le petit groupe quitta les lieux pour aller prendre des nouvelles au poste de garde de la Grande Porte, histoire de savoir ce qu’il en était de cette fameuse charge dans la plaine...

Me tenant sur la muraille exterieur de la citée , j'apercus trois personnes ... Tout d'abord je ne les reconnus pas mais ensuite de leurs attitudes menacantes et dédaigneuses , j'arrivai à cette conclusion , c'était les mercenaires engagés récemment et ils venaient d'avoir une bonne position de défense ...
Apperemment ils voulaient mettrent tout les chances de leurs cotés .


"Faudrait que je fasse attention à eux , c'est pas de la piétaille ordinaire ... Ils aiment pas se mêler à nous et ils ont raisont , on va leurs montrés qu'il y a de bons soldats parmis les nôtres ...
Mais quelque chose manquait , un truc important ... "


Grognant , je descendis du rempart pour aller cherché la bannière de la ville à l'auberge ...

Ce faufillant dans son armure de fer , l'ecuyer royale ce dirigea vers la grande porte.
Peu a peu , il aperçut les hommes qui lui avait fait faux bond a la taverne , il décida de les laisser tranquille pour l'instant , il ce concentra plutôt sur l'homme qui descendait les rempart . D'un pas alourdis par la pièce complète d'armure , il ce dirigea vers l'homme.

_Holà messire , vous êtes 1412 je présume ? Demanda l'ecuyer en ce donnant un coup de poing sur sa cuirasse en guise de salue martial.
_Qui êtes vous ?
_Eosfel Harkonnen , Ecuyer du Roi du Gondor , je voulais savoir ou le roi va t-il prendre position durant la bataille ? Je me dois de l'escorter et de le proteger.

-Tiens tiens , écuyer du roi ... Eosfel Harkonnen ... Harkonnen ... Hark ...Tu serais pas de la famille de Hark ? C'est un demi-elfe qui passe les trois-quarts de son temps à vagabonder et le temps restant chez le toubib ... Et ...

Je venai de m'interompre car Eosfel était devenus rouge , rouge de colère à la mention de son cousin ...

-Bon si tu veux on va au palais pour demander au roy en personne ou il compte se placer et j'en profiterai aussi pour lui parler d'une Comission de la Bière Gratuite pour les Soldats ! Je vais appeler ca le C.B.G.S ...

Les mains de l'ecuyer ce serra , ses paumes blanchirent.
Il dit les dents sérrés :

_Ce bâtard est mon...cousin... Et je ne prèfere pas allez chez le Roy. A vrais dire , j'ai fait une petite...bétises qui a beaucoup la beaucoup deçu , et j'en suis navré.

Sur ce , il salua 1412 en lui promettant de ce retrouver dans la bataille.
Puis l'ecuyer alla regarder les préparatifs d'un groupe de soldat qui tirait au flanc.

Silence se tendit, menant sa main à son poignard quand il remarqua de loin Ronfleur accompagné d'un inconnu portant un sacré morceau d'arc sur le dos qui se dirigaient vers eux. Arriver à une portée d'une dizaine de mètres, Ronfleur fit signe à Yrian de l'attendre pendant qu'il expliquerait la situation à ses supérieurs. Après un court dialogue, on fit signe à l'ex-soldat de s'approcher. Ne perdant aucun temps en presentation, Silence prit la parole en premier :

- Bon le nouveau, on a loué nos services au Roy pour la bataille à venir. Si tu veux rester, tu suit les directives et tu fais en sorte de pas mourrir. Généralement on prend pas de nouveaux avant une confrontation, mais tu peu être utile et visiblement Ronfleur t'as en estime. Dès que l'on aura des nouvelles sur la stratégie de l'armée, on mettera en place notre propre plan. On est payé pour une solde de militaire mais on vaut mieux que ça...

Silence disposa d'eux après un salut de la tête. Ronfleur prit le temps de présenter les trois membres qui s'eloignaient à son nouveau camarade qu'il avait visiblement surévalué pour faciliter son insertion dans la ligue. Il ne restait plus qu'à attendre pour connaître la suite des évenement à venir...

Après les directives de sont nouveau chef Yrian se dirigea vers lui et déclara:

Payer à la solde de soldat ? Est-ce digne de nous ...
Nous nous posterons donc ici ...

Yrian éssayait d'instorer un discution pour mieu connaître son supérieur.

[Hrp] La baston commence quand ? [/Hrp]

Fronçant le regard déjà pétillant de malice, Silence répondit d’un ton neutre qui alla mal avec l’apparente suite qu’il avait dans les idées :

- Ca c’est ce que l’on attendra de nous si on se limite au rôle de pantins de l’armée. Si on se rend indispensable ou redressons la bataille par nos actes, le Roy pourra peu être reconsidérer son offre… C’est un règle que tu pourras d’ailleurs appliquer à n’importe quelle situation où l’employeur n’ose pas te renvoyé en période de conflit mais qui tien assez à sa bourse pour ne pas t’envoyé en mission régulièrement. Néanmoins, pour nous, c’est notre seule motif : le seul prix de la victoire est pesant et brillant. Laisse ta dignité pour les chevaliers, les chiens de guerres s’occupent des basses besognes car il n’y a personne pour le faire aussi bien que nous. Au début, cela sera pourra peu être te paraitre désagréable mais il faudra bien s’y habituer si tu espère avoir un gagne pain suffisant pour survivre.
On se postera en effet ici en cas de retraite, ce qui me semble fort probable pour avoir côtoyé de près leurs garnisons à Cair Andros... On accompagne l’armée quoi qu’elle fasse tu as vu juste sur un point : On vaut mieux que ça. On forcera notre présence dans les situations difficiles et balanceront la bataille en notre faveur, sans pour autant être suicidaire. Le Roy a été conscient de ce que signifiait mon accord. Une promotion est toujours possible, gagnons là tel des mercenaires, en nous valant contre l’adversaire. Sentier t’en dira d’avantage sur nos tactiques quand nous serons en chemin.
Ronfleur, retourne en ville et occupe toi de ta zone attitré.

Visiblement, dans le chaos encore trop jeune au sein de la cité blanche, aucun regroupement militaire n’avait encore effectué, se qui n’avait pas pressé Silence dans son discours. Ses coups d’œil réguliers n’amoindrissaient pas l’attitude d’un homme vigilant et réactif.


hrp// Eosfel : Quand le staff aura prit l'initiative de nous en informer //hrp

Yrian encaissa le discours et dit :

je vous suivrais donc dans vos acte j'ai d'ailleur acheter d'autre flèche et me suis entrainé pour une maîtrise parfaite. Je suis fin près lors de la bataille si je m'éloigne de vous n'ayez crainte, j'ai l'habitude de changer souvent de position pour mieu toucher les ennemis.
J'èspère recevoir une solde à la fin de la bataille pour acheter du poison et des mécanismes pour mes flèches, ils me seront pratiques lors des missions.

- On va faire encore plus simple, tu tireras quand on te l’ordonnera. On aime pas gaspiller les munitions chez nous, on ne sue pas en tuant la piétaille… On a perdu trop d’effectifs pour jouer aux régiments de renons, alors on agit en escarmouche… Telle qu’on l’a toujours fait d'ailleurs. T’inquiète pas, t’es pas le premier type qui nous accompagnes qui aime rester loin derrière et faire pleuvoir ses cures dents sur l’ennemi. Si on affronte des orcs, ne compte pas sur tes brindilles pour les tués instantanément. J’ai déjà pris des flèches à peu près partout où tu peu imaginer en recevoir sans en souffrir une mort directe… Tu vas apprendre à être patient avec nous et valoir chaque coup que tu portes... ! Pense à abandonner tout attirail qui peu nuir à tes déplacements ou qui pourrait provoquer un bruit parasite. On va t’en faire des muscles, petit, tu vas voir ! Ce n’est pas une cure d’être une griffe d’Ammoth… C’est une valeur sûre.

A ses mots, la jeune femme à ses coté souri d’un air complice, visiblement en bonne relation avec le géant blond. Silence quand à lui se contenta t’acquiescer sans trahir aucune émotion, scrutant inlassablement les environs dans l’espoir d’intercepter des bribes de conversations ou un mouvement ordonné des troupes en rassemblement.

hrp// EDIT: Précision, ici c'est Sentier qui parle. //hrp

Citation :

alors j'éxaucerais vos voeux.

Exauce donc le miens: écris français stp et essaye de respecter la synthaxe, parce que là c'est vraiment pas fameux...Fin du HRP//

Hrp: Conseil : Pour tous ceux qui ont des problèmes avec l'écriture des mots français: word est votre ami ! =) (surtout si vous voulez poster des messages de qualités !) /hrp

//HRP// Je remonte un vieux sujet car le titre me plaisait... ^^ //HRP//

Entièrement dévouée à l'observation dans la Pierre d'Omniscience, Douleur sondait et resondait le perimètre d'un kilomètre que lui permetait l'artefact magique, inattentive à son entourage... Heureusement, ses compagnons étaient là pour s'assurer qu'aucun fourbe ne profite de sa vulnérabilitée.

Mesure, le spécialiste de l'artillerie, fixait les champs de son longue vue, lui aussi entièrement dévoué dans l'acte.

Les autres griffes s'impatientèrent, observant l'armée régulière traversée la porte et déferler dans les champs, une fois de plus...

- Voilà presque un an. Commenta Trïvam, le membre le plus agé de la ligue.

Quelques nouvelles recrues échangèrent un regard sans comprendre. D'autre leurs expliquèrent. L'échange de chuchottements fut comme un bourdonnement désagréable qui fit sortir Douleur de sa contemplation.

- Sil... Fermez là ! Ordonna t'elle.

Elle les foudroya tous du regard. Certains ossèrent relever le defi. Elle savait bien que sa condition de "capitaine remplaçante" n'était pas apprécier de tous...
Elle décida donc de reprendre les rênes et réaffermir sa position en tant que leader.

- Amenez moi Ronfleur ! Il menera les hommes au combat...

- Vous ne viendrez pas vous même ? Commenta quelqu'un

- Si, mais uniquement pour augmenter la portée de ma vision avec l'orbe... Je sais qu'Il serait là... Je ne sais pas pourquoi mais j'en suis persuadée...

Ils s'échangèrent des regards intrigués, peu confiants. Mais ils executèrent chacuns leurs tâches, sans commentaires. Il y avait toujours d'autres moments pour les ragots.