Rassemblement des cavaliers.

Firion descendit les marches à vive allure, et arriva au centre du village accompagné par deux gardes.

"Que tous les cavaliers présents se mettent en selle ! cria-t-il. Que tous ce qui veulent se joindre à nous me préviennent, ajouta-t-il."

Certains allèrent chercher leurs armes puis allèrent à l'écurie, d'autres y allèrent directement. Tous les cavaliers couraient. Des cavaliers déjà près se rassemblaient au centre du village. Le Roi retourna au chateau précipitamment et se vêtit de son armure, sans mettre son casque. Son épée déjà à sa ceinture, il resortit du chateau et retourna au centre du village où presque tous les cavaliers étaient rassemblés. Un garde apporta le cheval du Roi et ce dernier monta sur celui-ci. Eoseld arriva en courant, en armure, et fila en direction de l'écurie. Apparement, il avait décidé de se joindre aux cavaliers. Firion et les cavaliers déjà près attendirent ceux qui ne l'étaient pas encore.

La nuit était tombée depuis quelques moments lorsqu'un homme pénétra dans l'enceite d'Edoras. Un homme de taille moyenne avec posé sur l'épaule un beau focon, il était acompagné d'un petit écureuil roux. Sur luis, il portait une cape elfique ce qui le disimulait bien dans la pénombre, dans son dos était accroché une épée, il possédait aussi un arc et des flèches. Il arriva au millieu des cavalier qui se préparaient au départ. Il s'adressa alors au roi qui était présent:

Noble seigneur, mon focon m'a fait comprendre qu'il y avait un rassemblement de cavalier, si vous avez besoin d'aide dite le moi je serais du voyage. Je n'ai maleureusement pas de monture, il faudrai m'en prèter une pour le voyage.

Jolane attendis une réponse

Firion regarda de la tête au pied l'homme qui se tenait devant lui et finti par répondre :

"Et bien soit, vous pouvez faire partie de la compagnie. Suivez l'homme qui arrive, il vous trouvera un cheval et vous expliquera la cause de ce rassemblement."

Le roi se tourna vers Eoseld qui arrivait.

"Je te présente Jolane, il va venir avec nous. Trouve-lui un cheval et explique-lui ce qu'on doit faire.
- Bien, mon seigneur."

Jolane suivit Eoseld qui le mena à l'écurie.

Sanamalada déambulait dans les rue sur un cheval fraîchement acquis, le dernier ayant péri il y a peu dans les bois. Il déambulait donc dans les rues, vêtu de son habituelle cape, et portant son épée dans le dos, comme toujours; lorsqu'il entendit deux enfants parler:

Enfant 1: Pierre, Pierre il y a plein de chevaliers dans le village, et il y a même un grand monsieur qui a dit que tous les cavaliers devaient aller avec lui.
Enfant 2(Pierre?): Quoi, des cavaliers, où ça, où ça? Je veux les voir!
Enfant 1: Sur la place. Allez viens, on va aller les regarder.

Sanamalada réfléchit quelques minutes. Il avait besoin d'argent, et il pourrait sans doute se faire payer s'il se joignait au groupe de cavaliers. Il suivit donc les enfants jusqu'à la place, où se trouvait en effet un nombre impressionnant d'hommes en armure, la plupart sur un cheval. Sanamalada s'avança, et remarqua un homme dont la présence était remarquable, car beaucoup de gens le regardaient, et il dégageait une prestance assez singulière; sans doutes le chef de l'expédition. L'homme alla donc le voir.

Sanamalada: Bonjour, monsieur, j'ai entendu dire par diverses rumeurs qu'un homme rassemblait des cavaliers. Comme cette rumeur semble fondée et que je suis un cavalier, je viens donc me présenter ici.

Sanamalada attendit sa réponse, ne quittant pas l'homme des yeux, mais en veillant à rester respectueux.

Firion regardait Sanamalada, vérifiait son équipement.

"Bonjour à vous, noble cavalier. Je vous accepte parmis nous. Les temps sont durs et un homme de plus ne fera pas de mal. Voyez là-bas, c'est l'écurie. Rendez-vous y et vous recontrerez deux hommes : l'un des deux porte l'emblème du Rohan. Vous lui demanderez les détails de notre voyage. Il vériefira aussi votre équipement. Allez-y et revenez vite !"

L'homme s'inclina devant le roi et partit en direction de l'écurie.

L'homme accepta directement Sanamalada dans sa troupe, ne lui donnant pas plus d'informations pour autant, si ce n'est que Sanamalada devait se rendre aux écuries pour plus d'informations.
Sanamalada s'exécuta et, une fois sur place, aperçu un homme avec l'emblème du Rohan parlant avec un inconnu habillé d'une cape elfique. Il y avait aussi diverses chevaux, tous les plus grands et plus dynamiques le uns que les autres. Décidément, c'était une opération de grande envergure qui s'annonçait. Tant de cavaliers et de chevaux, la quantité et la qualité...
Une fois la conversation entre les deux hommes terminée, Sanamalada s'avança.
Sanamalada: Bonjour. J'ai été accepté dans votre groupe, et l'on ma dit de venir ici pour avoir plus d'informations, et que l'on vérifie mon équipement.
Sanamalada attendit la réponse de son interlocuteur.

Eoseld vérifia l'équipement de l'inconnu après lui avoir demandé son nom. Il semblait être paré au combat.

"Très bien, ton équipement est bon. Alors voici ce qu'on doit faire : il faut sauver un village assaillit par une trentaine de mauvais hommes descendus des montagnes. Nous prenons le plus de cavaliers possibles avec nous pour avoir le moins de perte possible, voire qu'elles soient nulles. Maintenant que vous savez tout, il est temps de repartir."

Eoseld, Jolane et Sanamalada sortirent de l'écuries à cheval, pour rejoindre le Roi et les autres cavaliers.

On avait confié à Jolane un simple destrier du rohan, sufisament fort pour suivre les beaux méaras. Lorsque tout le monde fut pret, les cavalier s'apréterrent à partir.

Quand tout fut prêt; les préparatifs terminés à la hâte, les équipements vérifiées et les chevaux montés, l'armée se mit en marche. Ils se dirigèrent d'abord vers le nors, mais une fois le ruisseau d'Edoras passé, ils bifurquèrent vers l'est.

Les hommes se suivaient l'un derrière l'autre, faisait dans la plaine une longue file de hautes silhouettes noires. Le Roi trotait en tête, accompagné de sa garnison, des grands hommes, forts et vaillants. Ils avancèrent ainsi toute la journée et s'arrêtèrent seulement à la tombée de la nuit pour ne pas fatiguer les destriers, pourtant bien entrainés.

Lorsque la nuit entoura la troupe de guerrier, les cheveaux semblèrent énervés, sans aucun doute ils sentaient au loin une présence maléfique. La nuit passa sans aucun souci. Le lendemain, la longue cavalcade continua.

Au petit matin, alors que l'aube apparassait à peine, deux cavaliers revinrent au galop. L'un des deux descendit de son coursier alors que l'autre emmenaient les braves bêtes à l'écard, afin de s'abreuver.

Le premier parla à un officier:

"Le village n'est pas loin. Nous avons vu de la fumée, et des corps inertes qui gisaient sur le sol. Ayant peur de nous faire repérer, nous sommes rentrés dans l'immédiat. Si vous voulez mon avis, il faudra leur tomber dessus ce soir..."

Après l'avoir remercié, l'officier de garde le congédia. La nouvelle ne tarda pas à faire le tour du campement. Les stratèges et le Roi s'éclipsèrent dans une tente, à l'orée d'un petit bois, et personne ne les vit en sortir jusqu'au crépuscule. Sans doute allait-il falloir dégainer l'épée sous la lueur de la lune.

Jolane pénétra dans la tente du roi, il était assis dans un grand siège de bois, autour de lui se trouvait ces conseillés et les meilleurs de gardes royaux. Le roi se leva et pris la parole tout le monde l'écouta, il expliqua la situation et les nouvelles qu'il venait d'apprendre des éclaireurs et donna son point de vue sur la stratégie à prendre.

Des cavaliers arrivèrent dans le camps. Ils étaient une douzaine et porté les armoiries du Troisième Maréchal de la Marche.

Au milieux d’eux se tenai un homme d’assez grande taille. Tous les gardes Royaux furent heurex de le revoir. Il s’était marrié, et depuis quelque temps n’était pas revenu en Rohan…. SI il était là, le Roy serait sur de gagner…

Un jeune écuyer demanda a son père :

« Mais qui est cet homme ?

C’est Berund, fils de Berunda, prince de Berthil, ancien capitaine du Gondor. Il a de nombreuse fois aidé, notre peuple.Il est maintenant Officier Royal du Rohan. Troisième maréchal de la Marche, mon. Alors qu’il est étranger au Rohan. C’est un homme de grande valeur, tous comme notre Roy.

L’homme du Nord se rendis directement dans la tente du Roy...


A son entré, le Roy se leva pour l'accueillir.

"Monseigneur. Je m'excuse de mon absence à votre cour, mais comme vous le savez, j'avais, après mon mariage, rejoint les hommes de Berthil pour les aider. Apprenant que les troubles qui agitaient notre pays, j'ai galopé à bride abattu. Me voici avec quelques hommes de Berthil pour vous accompagner à la bataille...."

Le Roy de Rohan reçu ses invités avec enthousiasme, les mettant immédiatemment au courant des agissements de leurs ennemis et du plan à mettre en oeuvre. La soirée débutait sur le camp; des jeunes soldats écoutaient les conseils des plus anciens alors que d'autres préféraient exécuter quelques moulinets d'épées afin de se dégourdir les bras. La plupart étaient assis près du feu, regardant les flammes qui leur léchaient la peau.

Un aigle passa au dessus du campement, tel un Dieu qui veillait sur ses hommes. Après une heure ou deux, les officiers sortirent des tentes et mandèrent les hommes à se tenir prêts, l'heure de la bataille ne tarderait plus. A la nuit tombée, la troupe se mettra en marche en direction du village, d'où une âcre fumée grise s'échappait, comme un signe de malheur.

Tout les hommes sortirent de la tente, ils étaient a présent tous prèt pour la bataille. Tous les soldats arnachèrent leur monture, prenaient leurs flèches et leurs épées et s'équipaient pour la guerre qui approchait à grand pas. La lueur du jour déclina à l'ouest...

Berund s'avança près du Roy et lui dit

"Monseigneur. Je vous demande de ne pas trop vous écarter de votre garde. Dans la nuit ; l’ennemi pourrait facilement vous séparer de nos troupe, et votre mort serait signe de déclin pour le Rohan.
-Vos conseil me touche Berund, mais n’ayez crainte. Je ne mourrait pas de la main de vil brigands… Cavalier, cria le Roy. En avant pour le Rohan et la liberté."

Berund rejoignis son eored. L’assaut allait commencer. Chaque archet sortait ses flèche, malgré la nuit noir. Les hommes étaient confiant dans la lune : elle apparaîtrait au moment de tirer, d’après les plus ancien des soldats.

Soudain un bruit de cor se fit entendre…

La nuit tombée, l'eored se mit en marche, la garnison du Roi en tête, les lances levées sous le clair de lune. Leurs pâles silhouettes se détachaient dans la noirceur de la nuit; ils avançaient en silence vers le combat.
Certains contemplaient la lune, d'autres se contentaient d'avancer sans un bruit, sous le regard attentif de quelques oiseaux de malheur, guettant les rohirrims dans leur avancée silencieuse.

Ils approchaient. La fumée grise s'était épaissie, comme si le feu avait été de nouveau alimenté. Leurs mains se crispèrent sur les rennes, les anciens murmuraient des paroles réconfortantes aux jeunes recrues. Les lames ne tarderaient pas à être sorties du fourreau.

Soudain, l'ombre des bariquades du village se dessinèrent dans le noir.

Les cavaliers étaient toujours au pas, à travers la baricade du village, on pouvait apercevoir des flammes. Surement, les chaumières étaient en feu. Jolane avait sorti une flèche qu'il encocha sur son arc, il était pret à tirer à nimporte quel moment. Il n'appercevait aucun mouvement exepté celui des flammes, les hommes du Rohan étaient axieux mais ne se décourageaient pas. Tout le monde attendaient les ordres du Roy, lorsqu'un cri déchira les tènèbres. Les chevaux s'affolèrent les archés avaient bandés leurs arc en dirrection du village, les autres avaient dégainer leurs épées, d'autres encore maintenaient fermement leurs lance et se cachaient derrière leurs boucliers.

Cavaliers de Rohan, cria Berund, sur l'ordre du Roy.

A l'ASSAUT!!!




Il se tenais de l'autre coté d'une barricade. La bataille faisait rage depuis une bonne demis heure.

La mêlé organisée était devenu cohue au milieu du village. On ne savait ou était les éored, ni les officiers. Et il en allait de même pour l’ennemi. La seul chose que l'on savait, c'est que l'on se battaient.

Berund frappa un nouveau soldat adverse. Puis un autre tenta de l'embrocher, quand un coup lui traversa la gorge. Qui était-ce? Il n'en saurait rien.

La lune n'avait toujours pas dévoilé sa lumière, et seul les lueurs des flammes brûlant les maison centrale permettaient de voir la scène...



Soudain un cri.

"Pour le Roi"

Il venait de l'autre coté du pâtée de maison. Berund s'élança, se retrouvant face à face à la garde royal tentant de protéger leur seigneur. La mêlée fus vite inégale quand les homme de Berund eurent rejoint les forces de Firion.

Soudain une volée de flèches fus tiré par l'ennemi. Les Rohirims eurent juste le temps d'abriter leur Roy derrière leurs boucliers, formant par la même occasion un rempart contre les flèches.

Mais la bannière était tombé. La bannière royal.

Un garde la ramassa et la tendis au Roy. Celui-ci devait désigné pour la suite de cette bataille un nouveau porteur...


Le choix fut vite fait…

Jolane sauta habilement de son cheval, il était plus à l'aise à pied. Là, il trancha les bras d'un ennemis et l'acheva sans plus attendre. Lorsqu'il vit les soldats adveses bander leurs arcs en sa dirrection, il plongea par terre, se posta et tira trois flèches, deux furent meurtrières l'autre alla se perdre dans les flames. Les fantassins adverses attaquèrent Jolane se releva et déchiqueta tout sur son passage mais l'ennemis était trop nombreux, il était en grande difficulté.
Quelques rohirrims tomberrent à coté de luis mais les cavalier du Rohans bousculèrent les mauvais hommes à l'aide de leurs forts destriers. La bataille semblait se calmer mais l'espoir des cavalier s'estompa vite, on apperçu des troupes de renfort se jetter plus vite que le vent dans la bataille. Jolane enfourcha un cheval libre, qui avait perdu son cavalier. Il rejoint au galop le groupe puissant qui s'était formé près de Berund.
Ici se trouvait également le Roy. La bataille continua dans l'acharnement...

Sous l'ardeur et l'empleur du combat, le Roy Firion jugea à la hâte sa situation: ses hommes avaient prit l'avantage mais chaque coin de village subissait de violentes effarouches entre les Rohirrims et les bandits.

Soudain, à l'écart, il dinstingua une dizaine d'ennemis s'engouffrer dans une petite maison, sur leur gauche. L'homme à leur tête était grand et brayait de longs cris avec sa voix guturales. C'était sous doute leur chef.
Firion devina qu'une fois celui-ci mort, ses troupes perderaient leur agressvité. Il sonna du cor.

"Rohirrims, à moi, Rohirrims !"

Et il s'élança en direction de la porte défonsée qui jonchait devant la maison.

Berund suivi son Roy...

Il pénétra dans la demeure, se préparant à se battre. Soudain, des cris.


Une poutre tomba. Les flammes brûlèrent devant ses yeux... Il perdis connaissance.





« Bien, nous tenons là le maréchal du Rohan, entendis Berund quand il se réveilla, je na m’attendais pas à le voir ici… »

Ils étaient dans une cour. Devant lui des cadavres de paysans ou de soldats, derrière, des cris de bataille.

« Nous allons quitter cet endroit, cela devient dangereux. Mais d’abord nous laisserons un souvenir à Firion. Brûlez les yeux du maréchal. »

Un poignard fut chauffé à blanc, puis on l'approcha du visage Berund... et ce fut la dernière chose qu'il vu...

Des voix, rien que cela.

Juste après avoir perdu l'usage de sa vue, il avait entendu une voix qui ne'avait pas un accent de Rohirim. Sûrement un des mercenaire suivant l'armée.




Berund entendit un cor alors qu'il était allongé contre un mur. C'était un cor de Rohirim: l'ennemi devait être en fuite, et on réunissait les cavaliers.

Berund se leva avec l'aide de son compagnons et se dirigea vers l'endroit d'ou provenait ce son.



Tous les éoreds étaient là. La garde royale se reformé. De nombreux cavaliers étaient tombé, mais ils seraient vengé.

En effet, le capitaine de la garde royal pris le commandement de plusieurs escadrons d'hommes de Rohan pour poursuivre l'ennemi qui faisait route vers l'Est.

Le reste des hommes allaient se reposer.



"Je suis désolé maréchal, je ne peut rien faire pour vos yeux. Vous devrez rester aveugle jusqu'a la fin de vos jour. Même les elfes ne peuvent rien pour vous, à part peut être le Roy du Gondor, dit le guérisseur du Roy. Il est dis dans les légende qu'il est le guérisseur suprême.

-Merci pour ce que vous avez tenté vieil homme. Pouvez alors me confectionner un bandage que je pourrez garder tout le temps sur ma tête. Je ne tiens a effrayer les gens que je croiserai.

-Bien sur monseigneur.



Mon ami, dit le Roy Firion, je ne vous serez jamais assez reconnaissant pour ce que vous avez fait pour le Rohan. Vous nous avez aidez, vous avez protégé un peuple qui n'était pas le votre, au risque de votre vie. Enfin vous nous avez sacrifié vos yeux.

Vous serez toujours le bienvenu à ma cour, mais je vous demande, je vous ordonne de partir vers Minas Tirith pour essayer de retrouver la vue. Si cela marche, comme je l'espère, revenez à mes cotés, sinon, posez-vous là ou votre cœur vous le dira et finissait votre vie en paix avec votre femme...

Pour le moment galopé vers Minas Tirith le plus vite possible. Laissez le moins de jours possible vous séparer de votre guérison probable. Prenez un ou deux compagnons et allez; votre femme vous rejoindra...