Secte aux amulettes [Une nouvelle attaque]

Dans le bas de la Cité, autour de l'auberge, des hommes avainet surgis. Ils étaient au moins trente et certains tenaient des chiens en laisse. Les bêtes féroces se jettaient sur les passants, déchiquetant la chair.

Une attaque en plein jour ! Les habitants étaient paniqués. Il fallait que des gens interviennent !

Aux ruelles débouchant sur la place, il y avait cinq hommes surveillant. C'étaient sur eux que les arrivants allaient tomber les premiers. Et c'étaient des gens baraqués, chauves, dévoilant leur figure en plein jour.
Ils n'avaient pas l'air d'être dans leur état normal.

Une drogue puissante, sans doute, qui les rendaient dingues mais grâce à laquelle ils ne connaitraient pas la douleur, et seraient furieux. Le combat allait être acharné.

[Mode Hobasian]


Hobasian arriva avec les miliciens et les autres personnes ayant enquêté sur ce genre d'attaque.

"Mais qu'est-ce que ..."

Le spectacle était horrible ... les chiens attaquaient de toute part, les brigands tranchaient des têtes ...

"Miliciens, il faut que nous y allions, même si nous devons y laisser nos vies !!"

Hobasian courut vers le premier chien, celui-ci lui sauta dessus. Hobasian, les quatres fers en l'air, se débattait tant bien que mal contre le molosse. Il saisit alors sa tête, et d'un mouvement sec, lui brisa la nuque.

"Un de moins."

Meneldir,étant averti du tumulte, était passé à son habitation récuperer hache et bouclier et s'étant haté il avait rassemblé quelques soldats éparpillés et il arriva devant ce massacre.
Il lança aux soldats d'une voix ferme en s'élançant dans la bataille :
Défendez les citoyens de Gondor avant tout et pas de quartier.
Il aperçut celui qui pouvait être le chef et s'élança dans dans sa direction.
Celui-ci, voyant Meneldir approcher, lacha un de ses deux molosses.
Meneldir charga bouclier en avant et le chien s'écrasa contre celui-ci dans un choc dur qui desarsonna Meneldir. Il saisit sa lourde hache à deux mains qu'il écrasa contre le cou du molosse.
L'effet fût immédiat mais Meneldir était séparé du reste de la troupe et n'avait que pour compagnie les molosses qui l'entouraient de toute part
Il se demanda en son fort intérieur où était le Roi

Forlong, averti par le Roi, se hata vers l'auberge.
En voyant quelques dizaines d'hommes armes et des chiens se battant contre un petit gtoupe de miliciens, il sortit son epee et s'avanca vers les bandits qui entouraient le professeur. Il enfonca son poignard dans le dos du premier bandit et avec une calme determination se lanca dans le combat. Un petit groupe des miliciens envoye par le Roy le suivait de pres.

[Mode Hobasian]


Hobasian fit demi-tour et arriva vers un des milliciens.

"Je vois que vous avez deux épées, je vous enmpunte celle-ci."

Hobasian courut vers un des autres molosse qui sauta. Hobasian l'esquive, lui tranchant le tête en plein vol. Puis voyant Meneldir seul face aux horribles monstres, Hobasian courut, et sauta, il arriva lourdement dans le cerle de molosse formé autour du Professeur. Il se mirent dos à dos et combattirent les sales cabots.

"Nous sommes dans de beaux draps !"

Lanca-t-il à Meneldir

"Si personne ne vien nous aider, nous finirons dans leur estomac ..."

Puis il pensa

"Si seulement Mithrandir était là ..."

Forlong coupa le bras d'un des bandits et se retrouva parmis les 2 hommes.
- Puisque il est tres probable qu'on va tous les trois mourir ici, alors on pourrait au moins se dire nos noms. Je suis Forlong.
En disant ces mots il se livra au combat avec un enorme chien.
Celui ci lui sauta dessus et le renversa. Forlong, un homme de grande force, reussit a faire tombe le chien sur le cote et lui enfonca l'epee dans la gorge.
Il etait deja au bout de ses forces, et le combat etait loin d'etre fini.
Ou etait donc le roi et son armee?...

Meneldir devait tenir bon car ses compagnons de fortune comptait sur lui.
Il avait déjà l'armure toute amoché mais elle lui avait servi , son bouclier gisait sur le sol.
Il lancait de puissants coups de hache dont certains en vain.
Percevant les paroles de Forlong il lança du voix forte:
Moi c'est Meneldir attention à vous il reviennent à l'attaque
A ce moment Meneldir fut écraser sur le sol et ne pouvant le tuer avec sa hache il réagit avec une adresse particuliere et enfonça son poignard dans la gorge de l'animal.De tout coté ça se battait et on voyait de nombreux miliciens gisant sur le sol.
Mais que fait le roi?

[Mode Hobasian]


"J'aurai aimé faire votre connaissance dans d'autres circonstances, je me prénomme Hobasian, je suis le père de Mithrandir, mais à mon avis vous ne le connaissez pas ..."

A peine avait-il achevé sa phrase qu'un autre molosse lui bondit dessus. Son épée roula un peu plus loin. Il réussi tant bien que mal a taper le ventre de l'affreux cabot avec son pied. Se releva et attrapa un flambeau au mur. Le chien bondit une nouvelle fois et fini en torche canine sur le sol en train de japer.

"Prenez les flambeaux, il auront plus peur de vous approcher"

Dit-il en envoyant à Forlong et Meneldir un flambeau chacun. Puis il ramassa l'épée que le milicien lui avait prété.
Le brigant à qui appartenait le cabot fumé chargea Hobasian.

"Tu vas crever viellard"
"On va voir ça ! Gros tas !"

Hobasian esquiva le premier, le deuxième mais pas le troisième coup d'épée. Celui-ci lui entailla la jambe. Hobasian un genou à terrre continuer de se battre.

"Alors le vieux, on va bientôt crever..."
"Parles pour toi !"

Et Hobasian dans un mouvement assez osé du bras enfonça l'épée dans les intestins de son adversaire qui se vida de sons sabg à coté de son chien flambant.

Les ennemis etaient trop, les allies trop fatigues... Il n'y avait aucune chance de survivre les dix minutes suivantes. Soudain, Forlong regarda l'auberge. Un batiment solide, et l'aubergiste avait surement quelques arbalettes.
Il assomma un des adversaires et sauta a travers la porte. Juste a cote, il y avait une arbalette. Il tira une fleche dans la gorge d'un bandit et cria:
-Meneldir, Hobasian, notre seul espoir est de se barrciader dans ce batiment!
Venez!

Meneldir regarda en arrière et ils étaient seuls.Forlong avait raison et Meneldir traversa les ennemis en prenant quelques morsures.A peine avait il rentré que Forlong s'avancait une arbaléte à la main.
Meneldir n'aimait pas ces armes et prit fermemant une table avec laquelle il bloqua une des fenetres.
Le destin ne tenait qu'à leur défense mais il se battrait dignement.
Meneldir se crput repartir dans ses années de jeunesse.

[Mode Hobasian]


Hobasian, blessé, clopina tant bien que mal parmi les chiens et les brigans pour atteindre l'auberge.

Mais cela n'était pas du goût des brigands qui essayait de l'arreter en lachant les chiens. Fort heureusement Forlong, à la porte de l'auberge, muni d'une arbalète tuait ceux qui s'approchait trop. Hobasian trancha quelques bras, gorges, pattes et gueules avant d'atteindre la porte. Là referma la porte constatant que tous les miliciens survivants ainsi que Meneldir et Forlong.

"Merci de ton aide Forlong,sans toi je serai là-bas, gisant sans vie sous les crocs de ses monstres. Mais que fait le Roy ... ces hommes agissent comme des Orcs !! Je n'ai jamais vu pareil chaos, depuis longtemps."

Des souvenirs désagréables revinrent à l'esprit d'Hobasian.

[Mode Hobasian]


"Bien entendu mais de quoi Meneldir ? Des agissements de ces brigands ...?
J'enquetais sur le vol d'une épée et vous, de quoi s'agissait-il ?"

Puis à Thror

"Vous êtes le Maîtres d'Armes ? Et bien tant mieux, on aura besoin de gens expérimentés. Il faut qu'on tiennent le siège et qu'on les tues."

A Meneldir

"Au fait, j'y pense, lors de l'affrontement près du marché, mon fil qui n'est pas dans la cité est intervenu, peut-être pourra-t-il le faire également."

Quand Forlong avait posé sa question, Balthazar avait répondu :

-Je me nomme Balthazar, venant du sud.

Il avait abattu un des malfrats, tandis qu'un chien lui avait sauté dessus.
Il avait été blessé par la bête féroce, mais après une lutte au corps à corps avec les griffes, il l'avait retourné, et sortant son poignard tout récemment achaté, le poignarda.

Il se releva péniblement et suivit ses compagnons dans l'auberge.

-Bonne idée !

Et il retrouva le sourire à l'arrivée du maître d'armes et en entendant son idée.

-C'est risqué, mais j'approuve...sauf si des renforts arrivent...et cet aubergiste ne sera peut-être pas content après...Au moins, ils nous poursuivent nous au lieu de s'en prendre aux passants.

Ayyaaa !!!

Ce hurlement n'avait rien d'humain, pourtant il l'était. L'homme qui semblait être un chef trancha la tête d'un cadavre et la brandit, la tenant par les cheveux. Ses yeux étaient rouges sangs et exorbités.

Il balbutia des mots, hésitant beaucoup, il était sous l'effet d'une drogue puissante.

-En avannnt !! Ramenons leur têtes à Shamerorsha Il interfèrera en notre faveur ! Nous ne craindrons plus la Mort, elle est notre amie !

Et ils lancèrent l'aataque vers l'auberge, violemment. Ils ne tarderaient pas à parcez les barricades, car aucune dépense d'énergie ne les arrêtaient.

Tout les miliciens se précipitèrent vers la porte qui allait céder on dispersa de l'alccol devant la porte et Meneldir, une torche à la main, attendait le signal.Tout le monde était prêt mais face à la fureur de leurs ennemis ils avaient peur.
Pui d'un coup la porte se brisa en un grand fracas,Meneldir jetta son flambeau qui embrassa tout le contour de la porte.
Une feroce bataille se préparait et rien ne pouvait l'empécher.Meneldir se jetta hache au corps dans la foule grandissante d'énnemi.

Les hommes rases percerent les barricades. En ce voyant, Forlong cria a ses compagnons:
-Ceci est le moment! Versez l'alcool et je vais essayer de les retenir!
La piece se remplissa de bandits. Forlong fut entoure et un adveraire le desarma d'un coup de hache. Desarme, Forlong ne pouvait rien faire, l'homme s'apprettait a tuer Forlong quand Hobasian lui lanca son bouclier.
Forlong l'atrappa et au dernier moment se protega de la hache. Il se lanca par terre et ramassa son epee. Il se leva et enfonca sa lame dans la poitrine du bandit. Lorsque celui tomba par terre, Forlong lui prit son amulette et la mit dans sa poche. Si ils allaient survivre, cette amulette pourrait etre utile.
Il regarda Hobasin et dit:
-Cette fois c'est toi qui m'as sauve la vie. Merci.
Et il continua le combat.

C'est à ce moment précis que Féragond intervient dans sa première bataille. Une première bataille qu'il était loin de gagner, mais il voulait prouver, surtout à lui-même, qu'il était capable de se battre. Il se remémora les instants passés chez le maître d'arme et il abattit son épée. Son premier coup, qui trancha sans pitié la tête d'un homme. Féragond resta de marbre pendant quelques instants avant de se reprendre. Son bouclier para, puis son épée frappa. Un autre bandit tomba, mais quand l'un tombait, un autre le remplaçait. Mais Féragond ne recula pas. Une fureur s'était emparé de lui. La fureur de la bataille. Son épée trancha, les cris s'élevèrent quand une hache s'abattit dans son dos. Le sang perla.

"..."
Féragond ne cria pas, mais se retourna et décapita l'inconscient. La douleur lui fit reprendre conscience de l'énormité de la bataille. Lui, simple soldat débutant se mesurer à dse dizaines de bandits, beaucoup plus expérimenté que lui. Le fracas des armes achevèrent de le réveiller, et il abattit son épée. La force qu'il mit fut sa haine envers lui-même, pour son incapacité de faire mieux.
"Tu es trop dur avec toi-même, Féragond," se dit-il à voix haute.

L'action du magicien donna a Forlong des forces pour continuer le combat. Cependant, les hommes et les chiens etaient de plus en plus nombreux. Malgre que les defenseurs en avaient deja tue au moins quinze, ils etaient plus que au depart. Aux cotes de Forlong se battait un soldat, Feragond.
Forlong et ses amis se mirent devant l'escalier menant a l'etage ou quelques miliciens avaient forme un mur des boucliers.
"dans moins de 10 minutes nous seront obliges de se replier a l'etage" pensa Forlong. La mort etait proche. Seul le Roy avec une unite de soldats reguliers pouvaient les sauver.
-Meneldir, tu dois aller chercher des renforts!

[Mode Hobasian]


"On va se faire déborder, utilisons la ruse pour les vaincre, il faudrait déjà les faire tous sortir, rebarricader tous, et organiser la lutte. Il faudrait se battre méthodiquement."

Hobasian trancha une tête et récupéra le vieux bouclier usé qu'il avait prit par terre. Il transperça un ou deux brigands de son épée, en assoma un avec le bouclier. A ce moment un des clébard le mit à terre. Le molosse lui mordit un bras, Hobasian hurla et planta l'épée dans le crâne, sale bête.

Meneldir, combattant en plein coeur de la bataille perçut les reflexions des autres défenseurs.
Repliez vous, à l'étage barricadez le haut je vais chercher des renforts
Il décapitta son ennemi et fonça droit vers une fénêtre qu'il explosa en je jettant à travers.Meneldir devait se taillait un chemin et trouvez le Roi ou au mieux une puissante troupe.