Secte aux amulettes [Une nouvelle attaque]

Forlong acheva le dernier bandit restant d'un coup d'epee. Apres des longues heures, le combat etait fini. Il arrivait toujours pas a croire que si peu d'hommes affronterent une si grande force pendant si longtemps. 15 hommes tomberent aujoud'hui sous les coups de son epee et de son arbalette. Il etait exhauste. Deux coupures, sur le bras et sur le ventre, commencerent a faire mal des que le combat etait fini. Il but de l'eau et sorta l'amulette qu'il avait cache dans sa poche. Il s'avanca alors vers les autres.
- Mon Roy, voici l'amulette d'un de ses bandits. Elle vous sera peut etre utile.

Forlong regarda autour de lui; le comptoir completement detruit, des chaises et des tables renversees, des bouteiles cassees, des tonneaux cupes en morceaux, les murs couverts de sang, les fenetres et la porte detruites, les sacs de grain troues...
- L'aubergiste ne va pas etre content.
Dit Forlong a voix haute.

Meneldir avait combattu de nombreux ennemis mais c'est à la fin qu'il eu le plus grand mal.Pendant qu'il combattait, il avait déjà été tailladé aux bras et aux jambes mais une fléche perdue l'atteignit de plein fouet dans le mollet et ne survécut que grâce à un soldat qui l'aida à se replier dans un coin obscur de l'auberge.De là, il ne pût qu'envoyer des couteaux à travers la pièce.
Après la fin du combat il s'avança tant bien que mal et demanda si quelqu'un pouvait l'aider à se rendre aux maisons de Guérison.
Il ramassa sa hache dans le tas des cadavres avant de se rendre aux maisons.

Enfin, le combat était fini. Gildor n'avait reçu aucune blessure sinon quelques équimoses. Il contempla la scène...Tout ce sang...

Il vit son compagnon Meneldir, blessé et réfugié dans un coin. Il l'aida à se relever.

"Je vais vous conduire aux Maisons de Guérisons, si vous me le permettait. Prenais donc mon bâton pour vous appuyer."

Puis, s'adressant au Roy:

"Si Mon seigenur nous le permet, je propose d'envoyer un messager aux Maisons, afin qu'il soit prêt, et que les moins blessés aident les plus touchés. Laissons nos défunts ici pour l'instant, nous leur ferons gloire telle qu'ils le méritent plus tard..."

Le Roy acquiesça et un messager partit sur le champ.

Hé bien allons y mon bon maitre archer
Il nous faudra ensuite monter voir le Roy pour savoir qui sont ces hommes et que faire
Meneldir s'en fût appuyé sur son baton avec à ses cotés Gildor mais il savait que de nombreux allaient suivre car la bataille avait été féroce

Un homme regarda attentivement le symbole sur l'amulette.




-Regardez...il a peut-être une signification...c'est le même sur chaque collier.

Reste à savoir où trouver des indications.

Un autre dit :

Regardez, en certains endroits, le symbole est horizontal et double !

A ce moment, un homme surgit :

_Il y a eu des présences bizarres à la bibliothèque, mais plus rien à présent.

La Bibliothèque...en voilà une bonne idée.

Différents symboles, mais la plupart identiques...une société hiérarchisée donc, pas de simples gredin en vadrouilles. Logique vu leur nombre. Et même lorsqu'il n'avait plus d'espoir et que la dogue cessait, les rendant de nouveaux capable de raisonner, ils se battaient toujours, prêt à donner leur vie. Des fanatiques.

Pendant que Balak tentait de comprendre les raisons d'une telle violence, il aperçut un nain couvert de sang en train de boire toute la réserve de la taverne démolie.

Holà maître nain, quel égoïsme, ne pas faire partager un si délicieux breuvage à ceux qui ce sont battus ici! dit-il avant de prendre une bouteille et d'en boire la moitiéd'une traite.

Puis il se tourna vers l'assemblée, et sa voix de fer tonna à travers la pièce :
Peut-on me dire qui sont ces fientes de ouargs, et ce qui peut bien les pousser à commettre de tels actes ?Les citoyens de cette ville on le droit de savoir dans quelles genres de magouilles les nobles de la ville trempent pour nous attirer autant d'ennuis?

Son regard inquisiteur balaya toute la salle, ravie que son intérvention rajoute encore une once de désordre à l'affaire.

[Mode Hobasian]


"Qu'est ce qui vous permet de dire qu'il s'agit de nobles ? Avez-vous des informations complémentaires au sujet de cette secte ? Parce que c'en est vraisemblablement une ..."

Hobasian s'avança claudiquant vers le Roi et s'inclina

"Permettez votre Majesté que je passe aux Maisons de Guérison avant d'enquêter plus avant."

Il interpella Meneldir et Gildor

"Attendez-moi un peu s'il vous plait, je viens avec vous .... "

Et toujours en claudiquant, il partit en compagnie de Meneldir et Gildor

Alors qu’elle arrivait enfin à l’auberge (heureusement qu’elle avait d’ailleurs retenue son emplacement sur la carte de la cité qu’elle avait achetée), elle remarqua la présence de la garde et de nombreux cadavres dans les environs que certaines hommes-d’armes empilaient en un sinistre tas qui avait tôt fait d’attirer toute sortes de vermines don de bruyants corbeaux sur les toits environnants qui râlaient de voir encore tant de présence d'humains vivants qui ruinerait leur plaisir charognards.
L’odeur du brulé et des cadavres lui monta dans les naseaux et c’est bien heureux pour elle qu’elle fut assez endurante et conditionner à ce genre d’horreurs que la Maître d’Escrime ne flancha pas. Elle ne se retenue cependant pas pour apposer son manche contre son nez afin de modérer cette infect sensation de dégoût.
De sa main libre, elle tenait son parchemin. Peu être parce qu’étant si armée (hrp : voir fiche), certains gardes virent la voir pensant qu’elle était une messagère de la caserne… Ses entrevus lui permirent de comprendre la situation et de se présenter aux miliciens et à la garde. Personne ne lui barra la route quand elle entreprit d’entrée dans les lieux ravagés par les violents combats afin de contempler par elle même la résolution des combats.
Indifférente aux tables et chaises fracassés de ci et là de la pièce commune, elle se dirigea vers le panneau d’affichage et y cloua son parchemin mine de rien, bien en évidence. En se retournant, elle remarqua la présence du Roi -ou du moins de ce qui semblait l’être-
Elle s’approcha dans l’espoir de se présenter à lui, c’était bien fortuné qu’elle tombe si tôt sur pareil personnage aussi emblématique. Vairë prenait elle déjà soin d’elle ?

"Monseigneur…"

Fit-elle après s’être courbée d’un tiers, attendant d’être relevée qu’une fois qu’elle aurait gagnée l’attention du Roy.

Oui, je l'affirme car j'en suis convaincu : quelque chose de si grave ne peut venir du petit peuple, la preuve avec tous ces cadavres! il ya des chefs dans cette secte,les amulettes le prouve, et pour qu'elle est pu survivre jusqu'ici sans éveiller de soupçons, ses agissements on du être couvert par quelques notables à qui on a graissé la patte!

Puis Balak se tourna vers le roi.

Oui, messire, je dis que votre cour est sans nul doute corrompu ou incompétente pour ne pas avoir prévenu plus tôt les citoyens de cette menace! et si vous-même, vous n'étiez pas au courant, c'est des qualités de vos services que je devrais douter!


Balak exhultait. Il tenait des propos scandaleux, et provoquait l'irritation parmi la plupart des gens se trouvant dans la salle. Ses traits était tirés par la colère, mais il se réjouissait interieurement.
Porte-parole du petit peuple...qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour mettre un peu d'anarchie dans tous ce beau monde.

En voyant la face du Roy s'assombrir en entendant les insultes du loup-garou, Forlong se mela dans la conversation:
- Balak, il est beaucoup trop tot pour accuser quelqu'un ,et surtout le Roy sans lequel on serait deja tous morts!

HRP on: euh Forlong (et tout les autres) dans MT, je ne suis pas un loup-garou, c'est juste en rapport avec Bitefight, un jeu auquel je participe. Je suis un homme (presque) normal dans ce jdr. Hrp off



Je n'accuse pas vraiment notre souverain, l'ami. J'accsue toute les magouilles politiques et les corruptions au sein de chaque cité, blanche ou non! et je met juste en garde notre bon roy pour que ses subordonnés enquête chez les castes supérieur, car nul doute que les ennuis on commencé par là

Balak commençait à baisse de ton. Provocation oui, prison non merci. Là, il sentait qu'il devait s'arrêter, ou cela allait se retourner contre lui.

Sur ce, messires, que la justice vous guide et que vos yeux s'emplissent de clairvoyance.

A ces mots, il quitta l'auberge, en adressant un sourire à la femme au multiple lames.

-Bon, puisque le combat est fini, et tous mes compagnons sont partis, alors je n'ai plus rien a faire dans le coin. J'attends avec impatience notre prochaine rencontre, mon Roy.
En sortant il souria a la femme:
- J'ai entendu que vous avez remplace maitre Derin dans certaines de ses fonctions. Je viendrais peut etre plus tard ameliorer mais abilites.
En ce disant il sorta de l'auberge.

Le Roi s'était fait silencieux un instant, plongé momontanément dans une réflexion interne. Il n'écoutait pas ce qui se déroulait autour de lui, ses hommes entassaient les cadavres dehors, dans un coin sombre. Il se permis de jeter un regard autour de lui : les chaises étaient renversés, les tables fracassées, l'auberge était dans un sal état.

Soudain, les paroles du mercenaire lui glacèrent le sang. Il se retourna, prêt à réprimander cet homme qui, à première vue, portait de malheureux préjugés. Balak était sortit et le Roy ne put que jeter un regard noir à la porte qui claqua après sa sortie.

Il baissa la tête. Après tout, cette secte aux multiples adeptes qui se retrouvent si dangereux, et en plein coeur de la cité, nécessiterait forcément une aide, une aide intérieure, et précieuse. Il souffla, le regard vide, y aurait-il un traitre parmi ses hommes ? Son visage s'assombrit devant de telles pensées, mais pourtant si justifiées...

Ensuite, il remarqua la dame ayant fait une élégante courbette. Il sourit et lui rendit son salut d'un mince sourire retenu par les événements passés. Il convoqua un soldat et l'envoya aux Maisons de Guérison afin que celles-ci soient prêtes à recevoir les blessés. Après avoir réfléchis un instant, il se décida :

"Mes amis, votre fidélité sera remerciée en meilleur moment, malheureusement une enquête de taille s'impose. Nous allons passer faire un tour dans la Bibliothèque. Je vais m'y rendre personellement, car je ne peux laisser ces évenements sans leçons et ces fous sans justice."

Aux yeux de Silka, le Roy semblait visiblement occupée où avait l’esprit ailleurs. L’heure ne semblait pas très approprié pour les présentations, elle se contenta de remercier les Valars pour lui avoir offert l’occasion de prouver sa présence si tôt au dirigeant de la cité. N’ayant pas conscience de ce qui se passait dans les environs, Silka jugea qu’elle ne saurait être trop utile à épauler le Roy et ses suivants dans leur enquête. Cependant, elle ressentit au fond d’elle la nécessiter de venir en aide, tant l’expression du Roy était grave et chagrinée.
En se redressant, elle capta l’attention de deux hommes qui s’en allèrent, visiblement sans attache avec la suite du Roy. Leur appart et attitudes rappelaient cependant un tant soit peu d’éducation martiale. Le premier qui quitta les lieux ne semblait pas s’être fait beaucoup d’amis et elle douta quelque peu quand à la nature de l’intention qui motivait son sourire quand il la regarda. Elle s’étonna quelque peu que le second la reconnu et l’aborde sur sa fonction. Elle prit un instant pour jauger l’énergumène avant de répondre :

"Si telle est votre passion, vous serez le bienvenue. Peu être serez vous mon premier étudiant ?"

Elle rendit son salut et son sourire avant que l’homme ne quitte les lieux. Elle chercha par la suite le soldat qui avait été convoqué pour s’occuper des blessés. Des bras de plus étaient toujours bienvenus dans pareilles circonstances, peu être que dans ses conditions elle pourrait filer un coup de main. Elle sonda la pièce pour voir qui était dans le besoin le plus urgent d’un coup de main.

//A Forlong-->juste pour dire que ce n'est pas Derïn qui occupe la fonction de maître d'armes à Minas Tirith mais son frère,Thrór,un de mes PNJs //

N'ayant pas fait attention à la remarque de Balak,Thrór se contenta d'achever sa bouteille puis d'écouter les différents avis sur ce qui venait de se passer.Pour sa part il n'en avait rien à faire,il venait de rentrer d'un voyage assez éprouvant et rentrer dans la cité mise dans un tel état n'avait rien de réjouissant.
Il finit par regarder le roi qui semblait offusqué par les paroles de certains gens et aperçu une jeune femme qui s'inclinait devant lui,ensuite il remarqua un parchemin qui éclatait par sa 'blancheur'.En effet quelque chose qui n'était pas maculé de sang dans cette auberge se voyait à des lieues.
Il lit le parchemin et son sang ne fit qu'un tour.
Il passa du rouge (ben oui,après avoir bu) au pourpre.
Quelqu'un allait reprendre son poste,non mais!!
Mais il finit par sourire,ça voulait peut-être dire qu'on aurait plus besoin de lui ici.Minas Tirith est magnifique,mais sa montagne lui manque...

*Bah,je vais suivrfe tous ces Gondoriens,y aura bien quelque chose d'intéressant à faire!*

Elessarion, après avoir testé ses nouvelles compétences, repartit à la tour Mithrandir. Il lui semblait avoir vu au loin, son ami et colocataire se diriger vers la bibliothèque de la cité.
Il ne l’avait pas vu depuis si longtemps qu’il doutait de pouvoir le reconnaître de près et de face. Elessarion retourna entreposer ses ingrédients et autres nouveaux produits à la tour en attendant Mithrandir.

[HRP: Mephisto: pourquoi ne m'as tu pas répondu?]