Le Retour d'un Mage

Après m'être rstauré et fait quelques achats, je repartiais ader les miens, dans cette lutte mysterieuse, où le réel ennemi est inconnu. Mais d'abord, je profiterai pleinement de cette magnifiqu cité.

Tout en parlent, Sombre-chêne regardait autour de lui. En réalité, les textes ne mentaient pas. Touts ces bêtiments de pierre blanche...incroyable. mais Minas Tirith lui aurait premièrement déplu si, parmi les rochers, des arbres ne poussaient pas. La verdure, bien que moins importante que la roche, poussait. Quel était ce mystère? Il été raconté que, après la défite de Sauron, egols et quelques elfes étaient venus mettre de la végétation dans sette ville, tandis que Gimli et les siens reconstruisaient la grande porte et consolidaiet les murs. Dans cet incroyavle décor, le ranger aurait presque oublié touts les problèmes qui le hantaient.

Quand ils passèrent devant l'auberge, Sombre-chêne put voir à l'attitude des passants qu'un combat s'était déroulé non loin. Les habitants regardaient le ranger étrangement. Même si quelques elfes vivaient à Minas Tirith, il devait toujours leur être étrange d'en voire un. Dans les quelques regards q'ils croisa, il vit de la méfiance, mais aussi de l'admration. Le ranger ne put s'empêcher de sourire.

Ca fait toujours plaisir...

S'etant arrêté, Mithradir l'avait devancé. Sombre-chêne repartit en courant pour revenir à la hauteur du mage.

Ne vous en veuillez pas. Si vous le désirez, nous pouvons marcher plus vite. Il me reste assez de forces.

Mais Sombre-chêne s'était surestimé. Les maisons de guérison étaient hautes dans la cité, et la route qui y montait grimpait fortement. Il dut se résoudre à marcher plus lentement. Entre les toits des maisons, on pouvait voire les champs et plus loin Osgiliath à cheval sur l'Aduin. Entre deus souffles, il demanda au mage:

Et vous, qu'allez vous faire quand cette histoire sera finie?

Sombre-chêne inspira une grande bouffée d'air, puis répondit:

Ca va aller. Si je vais trop lentement, devancez-moi. Je trouverai tout seul.Ne vous inquiétez pas.

Puis il repartit. Pour économiser so souffle, il cessa de parler. Ces ges qui habitaient ci devaient avoir de la force pour monter ces routes touts les jours. Il pensa la descente.

Ce sera plus facile. Allez courage.

Il rit interieurement. Lui qi avait arbirer et combattu, il avait du mal pour une simple marche. Presque ridicule.