Enquète sur l'intrusion.

Nidnama ne pût s’empêcher de s’insulter intérieurement : l’intendant avait raison… Mais justement… Pourquoi pas en plein jour : il est plus facile de se livrer a certaines activités lorsque tout le monde est persuadé que nul n’oserait le faire.
Nidnama fit part de sa réflexion aux autres avant de, néanmoins appuyer l’intendant :

- Je ne pence pas non plus qu’ils se laissent prendre dans des interrogatoires,… Même musclés. C’est pourquoi, je penche pour les propositions que nous avaient fait Darkblaid et Eleriol : infiltrons nous !
Lorsque le milicien pénétra dans l’auberge, le guérisseur chercha désespérément une issue : il serait nécessairement pris étant le fournisseur de ces herbes…

Aussi lorsque l’intendant demanda s’ils avaient une idée pour se tirer de la il murmura :

- Toujours… Une qui ne sera pas pour vous plaire, ni a vous ni au garde et l’autre qui ne vas pas me plaire a moi… Je vais opter pour le deuxième en priant pour sortire de prison sans trop de problème : c’est moi qui ait fournit les herbes et je ne pence pas qu’un tel commerce soit tout a fait légale… Je peut l’occuper pour vous laisser sortire. L’autre solution est tout sauf légale…

Eleriol proposa de déclencher une rixe : une troisième possibilité qui ne plairais pas du tout a l’aubergiste… Mais que Nidnama accueilli avec joie : il ne tenait vraiment pas a finir au trou.

- Une potion utile dans un moment pareil ? Si vous n’avez pas froid aux yeux… J’espère que vous avez tous bus la potion que je vous ai donner… J’avait utilisé une fumée pendant la bataille et j’ai de quoi en faire a nouveau. Elle a de puissants effets hallucinogènes. S’il se répand dans cette salle je ne nous donne pas 5 second avant la bagarre…

Le guérisseur se réjouit de la proximité d’une torche : ils s’étaient placés dans un coin par soucis de discrétion. Il lui suffirait de lancer les herbes dans le feu pour provoquer une jolie baston… Nidnama se retint pourtant et se tourna vers l’intendant avec une grimace :

- Je vous demande votre accord. Il reste toujours l’autre possibilité.

Huhum...

Le pilard venait de voir le segent rentrer dans la taverne.Un des principaux défauts de cet citté,c'est que les gens ne savent pas se lacher.Une petite herbe et on se fait arreter.Savent pas se détendre.

Lorsque elriol proposa la risque,darkblade,dot les effets de la potion commencait doucement a se dissiper,n'entendit qu'un mot:BAGARRE.

Sans un mot,sans un regard,le haradrim se leva,s'approcha d'un homme,prit une bouteille dans son dos et la lui fracassa sur le crane.Celui ci se figea,se leva de sa chaise,et tenta d'assener un coup de poing au visage darkblade.Qui se baissa,attrapa l'homme par en dessous,puis l'envoya voler sur le sergent.Qui tomba sus le poid de l'homme.Il lui passa immédiatement les menottes.Des amis du prisonniers s'approchèrent des soldat,et une rixe mémorable qui réstera dans "les écrits du pillard anonyme"(qui sortiront dans environ 70 ans et qui deviendront un livre culte pour tout les érudits de la terre du milieux).Bon,elle prit un peu trop d'apleur pour ne pas gener le patron,mais bon,le résultat est la.Il y a une belle baston,et on pouvait se barrer discrétos...

-Seigneur intendant,eleriol,nidmana,petit architecte,on peut y aller,je crois...

Une moue exaspérée se dessina sur le visage d'Eleriol. Si le pillard avait appliqué sa méthode, il n'y aurait eu aucune effusion de sang. Simplement quelques coups et paroles plus ou moins saines échangées. Darkblade y était allé un peu fort, comme une "brute". Malheureusement, c'était le seul mot que trouvait l'elfe pour désigner le comportement du Haradrim. Mais en tout cas, cela leur donnait presque tout leur temps. Eleriol dit à l'adresse de Nidnama :

Je pense que désormais vous n'êtes plus obligés d'utiliser vos potions. Sauf bien sûr si vous voulez ruiner notre ami l'aubergiste. Allons-y.

Et sans plus attendre pour profiter au maximum du temps qu'ils avaient pour se dérober de l'attention du sergent, l'elfe se faufila jusqu'à le porte désignée précédemment par Radamanthe. Evitant balayages, bouteilles vides et chaises, il finit par arriver à une porte de chêne massif. Si on s'y attardait, on pouvait remarquer qu'elle était magnifique. Elle ressemblait aux portes des vieux chateaux. Le dessin du bois était nettement visible, et Eleriol ne put s'empêcher de caresser le relief de ces dessins. Alors qu'il croyait être au bout de ses peines et s'apprêtait à ouvrir la porte, il se rendit compte qu'elle était fermée à clef. L'elfe laissa échaper un soupir, et tourna vers ses compagnons un regard qui en disait long sur la situatio.
Eleriol n'était pas un voleur, il n'avait jamais appris à crocheter des serrures. Peut-être Darkblade...

// C'est pour mettre un peu plus de "piment". Mais si Rada' tu préfères qu'elle soit ouverte, édite. //

Orzer s'avançat. Lui non plus n'avait jamais crocheter de serrure. Il se tourna donc vers Darkblade:

-Heu... la on as besoin urgent de tes capacités. Peut-tu crocheter cette serrure ? Ho dit Oui steplé ! avait dit Orzer.

La bagarre battait son plein, mais au moins ils pouvaient se barrer facilement. Orzer regarda le pillard d'un regard suplicateur. Darkblaede< parut génait, mais surement n'etait-ce pas le cas.



//Le hrpg d'Eleriol concernant l'histoire de la porte fermer ou non, qui devait recevoir une réponse de rada' pas encore arriver, je n'ai donc pas eu l'information si laprote était fermer ou non. Donc si la descision de rada'est que la porte soit oouverte ; suprimer ce message.//


Oui, oui, elle peut être fermée, ainsi, on a besoin des talents de tout le monde
Rada'

Nidnama ne put que se réjouir en voyant la réaction du haradrim : il ne tenait vraiment pas a finir au trou… Pourtant, il ne put s’empêcher de constater l’absence de finesse, et de délicatesse dont il avait fait preuve. Pour éviter de trop attirer l’attention : cinq hommes qui s’éclipsent en même temps passent rarement inaperçu, Nidnama attendit quelques instants avant de se lever. Le combat s’était généralisé et, il ne put éviter de passer a travers le combat. Un premier homme, lui barra le passage et le guérisseur esquiva de justesse le coup de poing partit vers sa figure.

Laissant jouer ses réflexes, Nidnama envoya sa main droite dans le cou de son adversaire pendant que la gauche portait un coup sec dans son sternum. L’homme s’écroula en rallant de douleur. Il enjamba l’homme et continua tranquillement sa progression. Un autre s’interposa et il posa un problème bien plus grave. Ce ne fut pas un coup de poing qui partit mais un coup de poignard et Nidnama Ne put éviter une blessure au bras. Aussi il dégaina pendant l’attaque suivante et la dague elfique traça un chemin dans le bras adverse. La blessure pourtant bénigne suffit a endormire l’homme. Nidnama n’avait pas oublié la bataille et s’il avait changé d’armes depuis, il les avait tout de même enduit de somnifère.

Enfin, il put rejoindre les autres qui semblaient batailler avec la porte. Si elle était verrouillée, il ne pourrait sûrement pas aider. Il fouilla dans sa mémoire pour chercher a savoir s’il avait déjà été confronté a une situation semblable et la réponse fut : non. Il avait bien dans sa charrette des potions qui le sortirait d’affaire en détruisant la serrure mais elles étaient dans la charrette… Autant dire "a l’autre bout du monde".

- Je m’en remet a vous, Darkblaid… Au moins je sait ce que j’apprendrais chez le maître d’armes.

Dans la salle, les chaises commençaient a être utilisées comme armes, et un nombre croissant d’armes étaient tirées. Bientôt, ils ne pourraient plus sortire.

HRP//Si la serrure n’est pas verrouillée, j’éditerais la fin.//HRP

Le pillard eut un grand sourire devant les mines presque implorante de ses compagnons.

Enfin on reconnait mes talents...

Il s'approcha de la porte,et se baissa pour mettre son oeuil au niveau de la serrure.

Alooooorrrssss...

Il prit une dague trés fines dans sa bottes,et l'introduit dans la serrure.Il tenta de relver le verrou.Mais son manque de finesse brisa la lame.

-Oh,merde.

La lame étant brisé en plusieurs fragment a l'intérieur,on ne pouvait la crocheter discrétement.

-Bon,il va falloir utiliser une autre technique...

Darkblade prit son cimeterre,et entreprit de le passer entre la serrure et la porte.Une fois l'arme introduite,il l'actionna comme un levier.
La serrure partit comme une fléche au milieu de la salle,et frappa l'aubergiste en pein front,ce qui l'assoma net.Mais ceci passa inapercu.

-Je crois qu'on peut y aller...

Il donna un coup dans la porte,qui s'ouvrit,pas trés discrètement,mais pas trop bruyamment non plus.Il fallu juste assomer un homme qui voulait les dénoncer.

Le haradrim sortit,suivi des autres.

Eleriol examina le haradrim procéder avec attention. Celui-ci arriva à ouvrir la porte au prix d'une dague. Sans lui, l'opération aurait été nettement plus longue. L'elfe regarda ensuite la serrure voler dans les airs, puis assomer l'aubergiste. Sans prêter plus d'attention aux combats qui commençaient à se calmer, l'elfe franchit la porte et se retrouva à l'exterieur.
Il retrouva avec satisafaction l'air frais d'une pureté incontestable par rapport à l'interieur de la bâtisse. Il remarqua également que ses yeux étaient devenus moins irritants. Sûrement les fumées de herbes.
Eleriol se retourna et vit ses compagnons émerger un à un de la taverne.

Nous ferions mieux de nous écarter. je ne parierais pas sur la clémence des miliciens s'ils venaient à se rendre compte que certains se sont échappés. Allons nous dissimuler dans cette ruelle et discutons de la suite des événements.

Une fois cachés, l'elfe reprit :

Malheureusement, nous n'avons rien appris que nous ne sachions déjà dans cette auberge. Quelles pistes avons-nous? A ma connaissance pas beaucoup, mais peut-être suis-je mal informé. Monsieur l'Intendant?

Darkblade se retourna vers l'elfe.

-Si,nous savons quelque chose:Nidmana a intérogé un bateleur,qui connaissait apparament ces gens.J'ai plusieurs propositions.Soit on le capture,torture et il avoue,soit on continue nos pistes autour de la bibliothèque a laquelle il a fait allusion.
Evidemment,la première proposition me parait plus rapides,mais peu etre un peu rustre...Qu'en pensez vous?
On ne voyait le visage du haradrim dans l'ombre,mais on devinait a son ton quelle choix il portait dans son coeur,pour le moment.

Nidnama vit la porte s’ouvrire avec joie et se glissa a l’extérieur. Il suivit Eleriol et tiqua lorsque Darkblaid fit ses proposition.

- Comme l’a dit notre intendant, je ne pence pas qu’ils soient facile de leur extirper quelque-chose par la torture… Il vaut bien mieux tenter l’infiltration. Celle-ci nous permettra en plus de remonter le réseau : ils doivent être suffisamment organisés pour que si l’un des leurs est capturé, les autres ne risquent pas de pâtir de ce qu’il nous révélera.

Aillant fait part de son point de vue, le guérisseur s’adossa a un mur pour vérifier que personne ne les avait suivit depuis la taverne et attendit une réponse de l’un de ses amis.

Eleriol resta un moment interdit, plongé dans ses pensées. Il finit par reprendre la parole d'une voix monotone :

L'infiltration... Comme cela on pourrait croire que ce mot réglerait tous nos problèmes. Mais étudions les faits avec réalisme. L'organisation de groupe est importante. En effet, comment planifier une attaque sans créer le moindre soupçon autrement? J'ajouterai que même dans les milieux pau nets, c'est un cadre très fermé. Les traîtres sont sévèrement punis, sûrement par la mort. Aucune information ne dois filtrer. Tout est calculé. Alors vous rendez-vous compte de la difficulté d'une infiltration. Il faudrait tout d'abord les trouver (car s'il était possible de les voir près de la bibliotèque avant l'attaque, en est-il toujours ainsi?), ensuite vaincre leur vigilance et gagner leur confiance. Mais ce n'est pas fini. Même si on arrive à entrer dans leur cercle, nous n'aurions peut-être pas droit à toutes les informations tout de suite. Il faudrait sûrement monter en grade. Et cela pourrait se faire soit le temps dont nous ne disposons pas, soit avec une preuve de fidélité, un acte convaincant. je vous laisse imaginer ce que cela pourrais être. Il faudrait pour réussir avant tout être bon dialoguiste. C'est ce que je pense le plus important.

Le regard de l'Intendant se faisait grave. Ils marchaient doucement dans la sombre ruelle, évitant d'attirer l'attention. Le crépuscule tombait doucement, les ombres gagnaient les ruelles. Et quelque part dans la Cité, les Ombres gagnaient les ruelles.

"Je ne tiens pas à m'amuser à torturer quelqu'un dont on est pas sûr de la culpabilité. D'après vos dires, cet homme les a vus et en a eu peur. Cela ne veut pas dire qu'il est avec eux."

Leurs pas se faisaient faibles à présent. L'air qu'ils respiraient chassaient enfin cette fumée nauséabonde de leurs esprits. Pourtant, la situation, et ce qu'il fallait faire était toujours embrumée.

"Ce que vous dites n'est pas faux, Eleriol. Je doute qu'ils acceptent qui que ce soit d'autres. N'oubliez pas qu'il y a de fortes chances pour qu'ils soient appariés à ceux qui ont volé le palantir. En vérité, il est impossible d'imaginer qu'il n'y ai pas un chef parmi eux.
La meilleure solution, je le pense n'est pas de gagner leur confiance. C'est de les suivre, trouver leurs repaires et identifier leur dirigeant. Si celui-ci est prit, le complot devrait s'effondrer et les autres pourraient être neutralisés. Avec de la discretion, c'est possible.
Mais nous en revenons au même point. Comment les trouver ?"

Il marqua un temps d'arrêt, son regard se perdit au loin, par dessus les murailles de la Cité, en contrebas, et sur toutes les ruelles qu'on pût voir.

"Peut-être cela vaut-il la peine d'aller jeter un oeil à cette place. La nuit tombe...Il n'y a que peu de temps à s'être écoulé depuis l'attaque."

Eleriol aquiesça. C'était le seul indice qu'ils possédaient, il fallait l'exploiter au maximum. Il dit :

Et bien qu'il en soit ainsi. Avec un peu de chance, nous trouverons quelque chose d'autre là-bas.

Et sans plus attendre l'elfe sortit de la ruelle pour être nimbé dans la douce lueur de l'astre blanc. Presque plein, il réfléchissait les rayons du soleil et en renvoyait une partie sur la Cité Blanche, rendant ainsi la vue plus aisée. Eleriol se prit alors à comparer la lune à Minas Tirith. Mais le moment était mal approprié pour ce genre d'analogie et de métaphore.

Près de l'auberge, le calme était revenu. Certains clients avaient sans doute étaient emmenés dans les cachots tandis que les autres étaient retournés de force chez eux. Le maître des lieux, quant à lui, devait se réveiller en se frottant son rare cuir chevelu et se demandait quelle était la raison de son évanouissement. A côté de lui, une poignée de porte et en perspective un grand nettoyage. Eleriol s'était imaginé tout cela alors qu'il passait devant la porte de la taverne désormais fermée.

Il marchèrent une vingtaine de minutes avant d'arriver à la place devant la bibliotèque. Les rues qu'ils avaient emprumptées s'étaient fait de plus en plus convenables, les détritus jonchant le sol avaient laissé place à des caniveaux bien propres d'où l'eau s'écoulait en un minuscule ruisseau dont le gazouillement sourd brisait le silence.

Sur la place, à part un badaud qui avait été trop ivre pour rentrer dans son foyer et un chat noir qui malgré la nuit jurait avec le sol de pierre blanche, aucune âme vivante n'était visible. On pouvait cependant entendre le doux huhulement // orthographe? // d'un hibou. Mais pas une once de vent. Dans un autre contexte, l'atmosphère de ce lieu aurait pu paraître appaisante, et l'elfe serait volontier toute la nuit pour ce repaître du calme. Néanmoins c'était pour un but tout autre qu'il était venu ici, et, à l'abri d'un fût qui servait d'enseigne à une boutique, il était à l'affut de tout mouvement suspect et observait des ses yeux perçant la place.

Le pillard suivi eleriol a travers la cité en gromellant.Lorsqu'il arrivèrent devant la bibliothèque,eleriol se cacha et observa la place.Darkblade,quand a lui,commenca a grommeler plus fort,puis a ziguzaguer,afin de se faire passer pour ivre.Il s'affala au milieu de la place,puis se releva en chancelant.
Il reprit sa marche,puis s'affala sur un banc en pierre,de l'autre coté de la place,a coté de la bibliotèque.

Ici,j'ai une vue bien dégagé,c'est cool...

-C'est,a boire a boire a boire a boireuh,c'est a boire que je veux...Hihihihibeurp...


Pompompom...

Eleriol fit mine de retenir le pillard mais ne put achever son geste, le Haradrim était déjà à découvert. L'elfe laissa échapper l'esquisse d'un soupir d'agacement. Darkblade ne pouvait s'empêcher de se mettre en avant. Pourquoi n'était-il pas simplement resté en arrière à observer?

L'elfe ravala son exaspération et tempéra. Finalement, peut-être que cet acte, bien qu'imprudent, serait bénéfique. Les éventuels "promeneurs nocturnes" pourraient être rassurés par la seule présence d'un ivrogne. Avec de la chance, cela le rassurerait et sa vigilance en serait quelque peu amoindri. Mais il était risqué de se fonder sur des préjugés.

Eleriol se tourna vers ses compagnons, cherchant l'Intendant du regard. Dans son manteau, il se fondait dans la pénombre. L'elfe tenta de trouver ses yeux cachés par sa capuche et l'interrogea du regard sur la conduite à adopter, s'il y en avait une autre que l'attente.

Nidnama ne put que se plier aux arguments d’Eleriol. La filature pourrais être plus constructive. En pénétrant sur la place, il fit une rapide analyse de la situation et fit immédiatement demis tour pour se dissimuler dans l’ombre. Il s’éloigna a grands pas pour revenir par une rue adjacente sans avoir rencontrer âme qui vive. Alors, il s’enfouit tranquillement dans un coin sombre duquel il pourrait observer l’ensemble de la place. Pour l’instant, personne ne se présentait. Il joignit les mains pour imiter le hululement (HRP//t'en fait pas... je suis vraiment nul en orthorgaphe mais j'ai un corrécteur qui marche bien ^^//HRP) d’une chouette qui venait de se taire près de lui. Lorsqu’elle reprit son chant, il s’arrêta.

Il n’y avait plus qu’a attendre…

Et là vinrent deux hommes. Ils marchaient silencieusement, d'un pas nonchalant et naturel. La clarté de la lune n'éclairait pas leurs visages, encore qu'on ne pût vraiment dire qu'ils cherchaient à les cacher.
La nuit qui tombait n'était pas sombre, et le ciel s'éclairait encore un instant d'arabesques orangées provoquées par le départ d'Arien du ciel des Terres du Milieu.
Une brise légère soufflait. De ce soir calme et reposant, ils n'en avaient rien à faire.

De temps à autre, ils échangeaient deux mots entre eux, tout bas, comme deux enfants partageant un secret, mais la plupart du temps, ils marchaient droit devant eux.

Alors qu'ils parvinrent à cet endroit, calme et souvent vide, ils marquèrent un temps d'arrêt, là même où la rue se terminait.
Un ivrogne sur un banc. Il n'en fallait pas plus.
Un mot. Ils continuèrent leurs chemin, vers un quartier d'habitations.

Nidnama observa des deux hommes entrer dans la place. Quelque-chose dans leur comportement le dérangeait bien qu’il ne put dire quoi… Les voyant hésiter il comprit : s’ils faisaient partit du groupe qu’ils filaient, ils ne se permettraient sûrement pas de laisser tomber des information dans l’oreille d’un soûlard… Il songea que Darkblaid devrais parfois songer a utiliser un procédé qui lui semblait inconnu : la finesse et la discrétion. Nidnama attendit que les deux hommes ne puissent plus le voir et sortit de l’ombre pour se révéler brièvement à Eleriol et aux autres. Il leur fit rapidement comprendre qu’il les suivait et qu’il leur demandait de faire la même chose. On ne doit jamais laisser passer une chance et ces hommes ne lui inspiraient vraiment pas confiance…

Aussi Nidnama s’enfonça dans les ruelles et partit au pas de course sans faire le moindre bruit. Après quelques instants de courses, il avait rattrapé les hommes et pouvait les suivre en de proche en proche. Les deux hommes semblaient a la fois errer et suivre un chemin précis. Peut-être se trompait-il mais il aurais lui même agit de même pour éviter une filature.

Eleriol plissa les yeux pour distinguer tout détail susceptible de dévoiler la nature des deux individus qui marchaient d'un pas tranquille sur la place. Mais même la lune brillante ne put l'aider. Un instant d'hésitation et il repartirent. Sans plus réfléchir, Nidnama se jetta à leur poursuite en usant de toute la discrétion qu'il possèdait et fit signe à ses acolytes de le suivre.

Mais Eleriol doutait de la justesse de cet acte. Ils ne pouvaient être sûr et certain que ces deux hommes étaient ceux qu'ils recherchaient. Filer ainsi ces deux inconnus sans connapitre leur identité était prendre le risque de ne plus surveiller la place et de manquer ainsi les vrais malfaiteurs. Mais si Nidnama avait vu juste, alors rester ici serait une perte de temps.

Ceux toujours en observations (en tout cas Eleriol) étaient devant un cruel dilemme. Le plus prudent, en admettant que le doute était permis, serait encore que certains restent ici à continuer la survrillance de la place endormie.

L'elfe fit part à voix basse de sa crainte à Radamanthe en se proposant pour rester sur les lieux.

// Mais je suis peut-être trop prudent... //

Le pillard se leva sans bruits,une fois que les inconnus l'eurent dépassés.Il les suivit doucement,sans faire de bruits.Lorsque nidmana le rejoint,il l'areta du bras et lui chuchota:

-Attend,je vais essayer d'accaparer leur attention,pendant ce temp,si tu a un somnifère puissant,essaye de passer derrière eux et de les endormir.Prend ca.

Le haradrim lui tendit une sarbacane e de trés fines aiguilles.

Il s'approcha sans bruits des deux hommes,et,en s'assurant que nidmana était caché,les hèla:

-Eyh,les gars,z'auriez pô une 'tite bouteille pou'moi?Z'ai une peu zoif...

Puis il fit mine de tomber et se rattrapa sur l'épaule d'un des deux hommes.

-Oups!Hihihihihi....Désolé mon vieux,hihihihihi...

Qu'est-ce qu'il faut pas faire,putain...

L'homme le regarda d'un air mauvais. Alors il était à deux doigts de tomber ? Eh bien il tomberait.
Il repoussa violemment, assez fort pour jeter à terre quelqu'un d'un peu émèché.

-Passe ton chemin, pochard. Nous n'appartenons pas au même monde, toi et moi.

L'autre eut un rictus mauvais. Il avait dit cela d'un ton noble et prétentieux, mais vu ses vêtements, on pût douter qu'il fût vraiment de la haute société. Sans doute juste un prétentieux.


Plus loin, Radamanthe répondit à l'elfe.

"Je ne sais pas...Ils sont partis dès qu'ils nous ont vu. Je doute que des véritables malfaiteurs agissent autrement..."

C'est alors qu'il vit le pillard partir, et réagissant à ses paroles.

"Par les Valars, est-il sourd ou bien est-il sortit du Harad sans comprendre le Commun ? Ne connaît-il pas le mot filature. Ah quoi bon les endormir !"

Eleriol hicha la tête, puis répondit tout aussi bas que précédemment :

Les hommes que nous cherchons ne sont sûrement pas les seuls malfaiteurs de la ville. Mais je vous fais confiance, vous connaissez mieux cette citée et les gens qui l'habitent que moi, ou même que quiconque ici.

l'elfe, contourna discrètement le fût qui lui avait servi de cachette et se dirigea à pas feutrés vers la rue qu'avait emprunté les deux inconnus quelques minutes auparavant. Le dos toujours courbé, il se dissumla sous un
porche. Il assista au départ des deux hommes drapés de noir. Il avait pu voir l'action du pillard et, s'il avait eu le temps, il aurait volontiers accablé le haradrim de remontrance, mais ne possédait pas ce luxe. Il passa à côté de lui, le gratifiant seulement d'un regard lourd de sens, puis continua son avancée, le corps clé aux murs. Les deux hommes marchaient toujours. Où allaient-ils?

Vraiment, Darkblaid ne connaissait pas le ses du mot "subtilité". Nidnama ne put s’empêcher de tourner un regard désespéré vers l’intendant et s’amusa de voir une expression semblable sur sa figure… Nidnama repris son périple dans les rues adjacentes, et enduit les quelques fléchettes du même narcotique qu’il utilisait sur ses autres armes. Cependant, s’il avait agit ainsi par principe (quitte a être armé d’une sarbacane, autant pouvoir s’en servire) il ne voulait pas suivre les instructions de Darkblaid. Il ne cessait d’avancer en pestant sur le manque de discrétion… Mais bon... Chacun ses méthodes… Nidnama n’avait encore jamais eut a recourir a un précédé s’approchant de la capture d’hommes pour les forcer a parler et il ne comptait pas revenir aussi vite sur l’un de ses rares principes : il était guérisseur et, dans la mesure du possible, il se devait d’éviter d’attenter a la vie d’un homme.

Comme Darkblaid rejoignait les deux hommes, il se posta néanmoins dans les parages pour pouvoir les neutraliser en cas de besoin. Les hommes repoussèrent Darkblaid, Nidnama se prépara à tirer, redoutant la réaction du haradirim…

Le pillard tomba,lorsque l'homme le poussa.On l'insultait et on le violentait.Bien bien bien...

Verra bien si on appartient vraiment a des moondes différent,mon gars...

Il attendit que les deux hommes se soit rtourné,puis qu'ils aient avancé de quelque pas,puis il fit un signe a nidmana afin qu'il tire.Il s'apercut alors que l'intendant avait un drole d'air sur le visage.Comme si le haradrim n'avait pas de bonnes idées.

Putain de hiérarchie a la con!

Il refit un geste a nid,l'intimant d'oublierl'ordre précédent.Il suivit les hommes dans l'ombre,sans se faire repérer,en imaginant tout les sévice qu'il pourrait un jor faire subir a cet homme prétencieux.

On appartient au meme monde,tu vas voir....Voyons voir,si je t'attache a une table,puis que je te lamine de petite plaie que j'enduis ensuite d'alcool a bruler...Non,c'est trop doux...Voyons voir...La vierge de fer?Non,on peut plus voir son visage...

L'Intendant retint son souffle un instant. Heureusement, il put voir que le guérisseur n'était pas aussi expéditif que le pillard.
Il répondit donc à Eleriol.

"Bien que débordée par cette attaque, la milice fait tout de même son boulot. Il n'y a guère de malfaiteurs dans la Cité, et ceux qui y restent doivent être assez doués et méfiants. Je doute qu'il y enai tant que ça..."



Plus loin, les deux hommes pris en filature continuaient leur route comme s'ils n'avaient strictement rien à faire de l'apparition du pillard. Toutefois, ils jettaient fréquemment un regard circulaire autour d'eux.
Soudain, ils prirent à droite vers le Centre de la Cité, toujours silencieux parmi les ombres.
Brusquement, ils s'arrêtent. Dans la ruelle d'à côté, n'était-ce pas un bruit.
Un des deux fit signe à l'autre de s'arrêter, puis partit voir à grands pas...

Eleriol qui avait suivi les deux hommes cachés par leurs vêtements les vit bifurquer vers le centre de la Citée. l'elfe fronça les sourcils. Cette partie de Minas Tirith, malgré la nuit, serait sûrement plus animée que ce ruelles tortueuses et étroites. Si les deux inconnus comptait aller dans ce quartier, la filature n'en deviendrait que plus compliquée. Même s'il n'y aurait pas foule, les quelques passants non ivres, malgré leur éventuelle bonne volonté, pourraient d'une manière ou d'une autre révéler l'existence des filateurs.

Eleriol se ressaisit devant tant de pessimisme. Même si le pistage serait moins aisé, la discrétion des deux hommes en pâtirait tout autant.

L'elfe s'immobilisa lorsque le bruit parvint à ses oreilles. Les deux présumés malfaiteurs se raidirent eux aussi. L'un partit voir d'où provenait l'étrange bruit, et Eleriol s'avança de quelques centimètres pour avoir une meilleure vue sur la ruelle dans laquelle s'était engoufré l'homme.

En attendant de voir ce qui allait se produire, l'elfe réfléchit à la destinatation possible des deux inconnus.

L'échafaud, la bibliotèque, la milice, la tour de Mithrandir et les cachots... Où veulent-ils aller? Peut-être les cachots, mais je n'ai pas eu vent d'une quelquconque mise en prison de malfaiteurs. La tour de Mithrandir semble une direction également probable. C'est un des sièges de le défense de Minas Tirith. Mais comment savoir s'ils connaissent l'existence de la secte? C'est tout de même une possibilité à envisager... Ou bien un cachette dans une maison tout à fait banale vu de l'exterieur. Impossible à savoir.

Eleriol coupa court à ses pensées et recentra son attention sur les agissements de celui qui s'était écarté.