Longue traversée du désert

Après être sortit de la cité blanche,Ugluk commença à macher vers Dur'zork,après trois jours de marche,son eau était presque épuisée lorsqu'il vit un puit.
Là,il rempli sa gourde et vit une caravane qui se dirigeait vers le puit.

- Laisse nous passer pour atteindre le puit.
Si vous me laissez monter dans cette caravane et si vous me déposez à Dur'zork.

-De quel droit nous dis-tu ça?
Un soldat de la caravane sortit d'un chariot et sortit son épée.Ugluk dégaina aussitôt son épée et courût sur le garde,le garde asséna un coup d'épée dirigé vers le coup de l'harad.Mais celui-ci l'évita et coupa une des jambes de ce garde-qui s'éffondra directement.
Le harad le regarda avec dégout avant de lui trancher la gorge,la tête vola dans les airs accompagnée par une gerbe de sang.

Encore quelqu'un pour protester?
Alors,vous m'emmenez?

-D'accord mais nous devrons vous déposer à deux lieues de la ville,les gardes inspectent toutes les caravanes et riquent de nous kidnapper et de nous vendre en esclaves.

Bien,ainsi soit-il.

Après trois jours de caravanes,il la quitta et se dirigea vers la ville.
Quand il la vît pour la première fois,ce n'était qu'un point noir dans le désert.De loin,il voyait de petits points noirs se déplacer vers lui.C'était des gardes.
Il y avait deux gardes,un petit ,un nouveau sans doute,il posait toujours des questions à l'autre garde qui était un peu plus grand et sans doute plus stupide.

- Qui es-tu?

Je suis un harad et je viens dans la cité.

-As-tu un laissez-passer?

Sur ce,il sortit un sabre.Ugluk détestait devoir tuer des haradrims mais bon,c'était un cas de force majeure.Ugluk sortit un poignard aussi vite que l'éclaire et le lança en direction du petit mais son poignard le manqua et arriva dans un trou de sable mais il avait fait diversion et ouvrit le ventre du petit garde en le coupant verticalement,tous ses boyaux et viscères coulèrent par terre.Le gros voyant ça eut un haut le coeur et Ugluk en profita pour lui lancer son poignard dans la gorge.
Le garde essaya de crier mais le poignard lui avait trancher la gorge,il s'éffondra par terre dans une grande marre de sang.
Ugluk ramassa ses poignards et les lava avec l'eau des deux hommes.

Il continua sa route et arriva devant la porte.
Laisse-moi entrer,j'ai une requête à demander à ton chef.

Le soldat de la porte ouvrît sans poser de questions et Ugluk entra dans le bastion rebelle.