La Salle secrète...

Ainsi Morgoth se trouverait en Mordor, Elessarion comptait y aller pour le retrouver. Les griffes ils avaient avait combattu a ces coté pendant la defense de Dol Amroth. Ses personnages etaient entouré d'un aura de mystere. Puis Elesarion dit qu'il irait seul au Mordor, Hasharin protesta:
-Je vous accompgne au Mordor, Je tient a aidé Morgoth, je lui suis redevable. Laissez moi vous accompagnez.
Hasharin finit son verre et attendit la reponse de l'alchimiste.

Elessarion , quelque peu décontenancé, laissa un instant place au silence.
- Je pense qu'il serait plus sage de reserver mon projet de quête en solo à une occasion plus propice. En terre ennemie une présence amicale est de grande valeur. C'est donc avec joie que j'accepte votre offre! Dit-il avant de s'adresser aux autres personnes présentes.
- Mais nous partirons seuls et je ne saurais toléré que l'on nous suivasse.
Son ton était sans détour.

Radamanthe suivit Bargonno le mage à travers la tour, vers un endroit dans lequel il n'était jamais allé.
Au passage, il se pencha vers le scribe Eaque afin de lui murmurer quelques mots, à propos de sa mission. On ne pouvait pas dire qu'il avait mal agis, puisque c'était le mage qui lui avait apporté ses finormations au lieu de les transmettre au tout nouveau scribe. Et c'était bien le contenu de ces nouvelles et non pas l'attente qui avait poussé Radamanthe à se déplacer lui-même jusque-là.

Il abaissa son capuchon tout en inclinant légèrement sa tête en signe de reconnaissance :

"Salutations à vous, les nouvelles sont graves..."

Il s'arrêta un instant afin de d'inspecter l'étrange salon dans lequel il n'était jamais pénétré, et de dévisager brièvement les différents occupants, en reconnaissant certains, d'autres pas. Finalement, il réagit aux paroles qu'il venait d'entendre en arrivant, et qui s'emboîtaient parfaitement.

"Oh, je ne pense pas que ce sois une bonne idée, alchimiste... J'ai le sentiment que tout est plus compliqué que cela, et plus le temps passe, plus cette attaque haradrim me paraît incongrue. J'ai l'impression que quelqu'un attache plus d'importance à Silindë Celebrindal que celle de dirigeant dans votre guilde, et dans ce cas, ce n'est plus l'affaire de deux personnes, mais tout le Gondor est concerné."

Il s'arrêta, fixant Elessarion d'un oeil perçant. Force était pour lui de constater que la seule chose qui avait disparu après cette attaque, c'était Morgoth Eru. Et il trouvait cela étrange qu'un seul homme puisse déchaîner autant de passions.

Au long du discours de l’intendant l’humeur d’Elessarion fut alternative. Tout d’abord il se fit très honoré et respectueux, mais lorsque l’on lui parla de l’importance attaché à la guilde, Elessarion du retenir un rire. Il était évident que la guilde était encore peu de chose pour les vils d’Arda. Puis l’alchimiste baissa un moment la tête sous le regard de l’intendant.

- Je dois avouer une chose aux membres ici présent. Depuis mon premier contact avec Morgoth Eru, je suis lié, si l’on peu dire, à son sort. Pour être clair, par son biais les maléfices de Melkor obscurcirent mon regard, et éveillèrent en moi un mauvais coté que je n’avais fait que repoussé. Je le sais à présent, ma deuxième conscience naquit suite à un traumatisme dans mon enfance. D’elle et de tout le mal refoulé en présence de Mithrandir, germa une âme mauvaise investie par le noir ennemi du monde. J’ai aussi comprit il y a peu que, mes points communs avec Silindë (mon origine elfe noir, mes contacts avec les serviteurs de melkor,…) on facilité cela. Il est évident que la mort de mon meilleur ami est affectée un peu mon équilibre mental, mais à présent je désire me démarquer de dédain. Mon Morgoth Eru à moi est coi et si je vais en Mordor c’est sereinement que je marcherais. Je n’irais pas secourir Silindë dont l’âme vibre dans ma main, mais partirais à la recherche de Morgoth Eru.
Ce n’est pas sans dangers que j’irais, mais je n’irais pas seul et à l’aveuglette.
Je pense trouver l’elfe en débusquant Silence. A propos, que pouvez vous nous dire à ce sujet ?


Vous n'êtes pas devins . Comment pouvez-vous savoir que Silence à un rapport avec ça sans avoir à faire des suppositions ?
Rada'
Voir plus haut forlong nous rapelé quil les ai vu ensemble pour la dernière fois et Elessarion vait surveillé tant qu'il l'avait pu les griffe après une commende de taille à la boutique. de plus lors de son deuxième voyage au harad Morgoth est venu avec plusieurs Griffes...
J'ai été lire en mordor, je comprend pourquoi sa a de l'importance maintenant même si ge pa tout tout pigé.

Meneldir se leva, se frottant les mains et d'un coup se retourna.

Cela dépasse la guilde. Nous ne pouvons partir en si petit nombre dans ses terres infestés d'orcs même si il y en a moins mais je ne conseille à personne de si rendre.
Longtemps, cela fait longtemps que j'y ai été avec l'armée du Gondor quand je servais encore sous ses baniéres. Je crois que partir seul ne serais pas bon. Il semble que morgoht soit dangereux et ne concerne pas que la guilde. Le Gondor est totalement impliqué dans cette affaire.
Je pense qu'il nous faut l'aide du gondor du point de vue militaire.
Enfin si le Gondor nous l’accorde.
Mais je crois que nous devrons être une sorte de reconnaissance.
La guilde n'a qu'un pouvoir limité mais la guilde est très compétente dans certains domaines pointus. Mais j'espère que les griffes se joindront à nous car si Silence y est mêlé, ils sont tout autant concernés. Une unité en avant, n'est ce pas Radamanthe?

Radamanthe, appuyé négligemment, contre un mur de la pièce, écouta attentivement ce que disait Meneldir, qu'il devait sûrement avoir déjà vu bien que sa mémoire lui jouait des tours. En temps normal, en peu plus de retenue aurait été de mise, même pour un intendant, mais il n'avait la tête à ces formalités.
Finalement, quand le vieil homme eut finit de parler, il se redressa, afin de répliquer, en hochant la tête, néanmoins.

"Tout à fait, c'est justement pour parler d'intervention que je suis venu ici... Si vous avez raison, il est évident que nous vous laisserons passer devant, avec un groupe restreint, tel vos méthodes habituelles. Mais je veux seulement être sûr qu'au cas où les choses tournent mal, au cas où nous nous attaquons à quelque chose de trop gros pour un groupe de quinze personnes, que l'armée sera là pour intervenir dans ce cas."

Une fois encore, c'est là des vies envoyées au casse-pipe pour des principes, peut-être par simple paranoïa. Mais si ses craintes étaient fondées.
Ils commençaient à trouver un accord à ce propos. Il réagit cependant aux paroles précédentes de l'alchimiste.

"Silence ? De quoi parlez-vous ? Il est vrai que c'est depuis qu'il est partit en Harad qu'il a disparu... Inisnueriez-vous que des Suderons en aient après les Griffes d'Ammoth en particulier ?"

Meneldir s'assit réfléchissant, on voyait certains prêt à se précipiter droit vers le Mordor mais ce n'était pas le bon choix.
Comment savoir s'il était bon d'aller secourir un homme en proie à une force intérieure que seul Mithrandir savait calmer.
Le mordor, terre de desespoir, terre inculte.
Meneldir poussa un soupir profond.
Il nous faut agir vite mais pourtant on ne peut se permettre de foncer tête baissé.Il nous faut accepter la proposition de Radamanthe et préparez cette expédition rapidement.
Je crois que la plupart d'entre nous doivent partir mais je resterais ici un moment pour envoyer de l'aide si celle ci vient car j'ai mandé nombreux autres qui sont surement en route.
Radamante, quand pourrez vous avoir l'accord du roi et la mobilisation de la force necessaire.
Mais Nous ne devons pas nous attarder trop longtemps, je dit nous car on ne peut pas partir seul.Je crois qu'un simple vote nous montrera la voie.
Qui est pour partir droit devant dans un lieu dangereux sans réserve et protection et qui est pour attendre du soutien militaire du Gondor.
Je sais que ceci nous place un peu en difficulté mais nous parlons de Morgoth je vous rapelle?

Elessarion, je crains qu'on ne puisse pas agir seuls.Tel est le chemin mais j'espére moi aussi que ce passage sera court.

Meneldir se rassit en réfléchissant sur la marche à suivre, il pensait aussi dans un coin de sa tête à son futur et penser à nouveau au Arnor.A sa terre natale.

hrp: voir plus haut en rouge au sujet des griffes et tout/

Les choses se goupillaient étrangement.
- Silence ? Non je ne vaux rien insinuer, mais si Morgoth est bien là ou l’on nous la dit et qu’une fois de plus des griffes l’on suivit, nous devrons élargir les proportions car plus d’un homme devra être secouru. Quant à Silence j’ai cru comprendre qu’il était leur chef ? Allons chez oui ou faisons le venir, il doit bien savoir ou sont ses hommes…
Suite à ces paroles, Meneldir demanda un vote et avant que ne vienne la phrase destiné à Elessarion, se dernier avait levé la main du plus haut qu’il avait pu. Puis il repris sérieusement et durement :
- Si je comprend bien vous pensez qu’il n’y à que Morgoth la bas, mais que la guilde doit y risquer de lourdes pertes avant d’y amené en sus tout un groupe de soldat Gondorien ? Vous voulez mon avis ? Se sera un massacre. Pur et simple. Envoyer un éclaireur, ou au pire deux, aurais de meilleur résultat. Vous auriez des réponses avant d’envoyer d’autres membres de la guilde. Et puis pour Un homme, je veux dire, Un elfe, pourquoi tant de risque ?
…Attendez…vous voulez couper le ml à la racine n’es pas ? Vous savez qu’il n’y a plus la bas l’âme de Silindë et voulez en finir avec vos sombre ennemis tant qu’il en est encore temps. Je me trompe ?

Radamanthe secoua brièvement la tête en un signe de négation, avant de déclarer d'une voix monotone.

"Il est en effet possible que des Griffes l'aient suivi, elles sont douées pour ça. Mais vous devriez savoir que Silence le stratège a disparu depuis des mois et donc qu'on ne pourrait le lui demander. Ses anciens lieutenants s'occupent maintenant de leurs affaires, avec plus de mystères que leur ancien meneur."

L'évocation de ce nom lui rappella les événements du Harad, et il était bien placé pour savoir que cette attaque haradrim était étrange, vu qu'il était là quand Meakil Duzingi avait reconnu souverran d'Harondor. Que faisait donc le demi-elfe haradrim ?

"Pourquoi tant de risque pour un elfe ? Là est le mystère... Vos révélations indique qu'il n'est pas que ça... Mais pour ce qui d'un groupe gondorien, ce ne serait qu'une arrière garde au cas où il paraît évident qu'un groupe de votre guilde ne suffit pas. Vous passerez en éclaireur si vous voulez, mais un groupe d'une quinzaine de personnes suivra de très près. Quant à vos insinuations, je ne tient aucunement à mettre sa vie en danger mais il me paraît nécessaire d'être paré à toute éventualité."

Il se tut. Si au moins Mithrandir n'était pas mort étrangement... Il aurait pu apporter sa sagesse.

// Je me ramène avec mes grands sabots comme incruste lol//

Gauvin avait été choqué de l'attitude de la soeur de l'intendant, si celle-ci était-là c'était aussi un peu pour aider son frère et plutôt que de l'aider, elle envoie bouler ses "clients".
Gauvin était parti en direction de la tour du magicien avait encore en-tête l'idée d'être envoyé dehors par un mélfice.
Mais cette fois, il serait poli, bien élevé et tout le reste. Espérons que Mithrandir et sa femme ne soit pas là.
En sortant du palais il avait prit son épée et était parti sans se faire attendre, si l'intendant était dans la tour Gauvin y irait et en plus, il pourrait peut-être voir son ami Forlong, qu'il n'avait plus vu depuis la bataille.
Il fesait jour et une petite brise carressait le visage de Gauvin, au point que celui-ci en eut des frissons. Le temps de marcher jusqu'à la tour de nombreux souvenirs lui revinrent, la dernière charge du prince Berund, l'attaque du fief de Forlong, le tournois ou il avait jouté avec son frère d'armes, les ennuis suite au collier acheté.
Et plein d'autres souvenirs.
Il s'approcha de la porte de la tour et inspira un grand coup. Que serait la réaction des personnes qui serait à l'intérieur en voyant Gauvin. Amicale ?
Il approcha son poingts de la porte et frappa trois coups et attendit qu'on vienne lui ouvrir.
Il attendit avec une boule de stresse dans le ventre.

(gauvin c pa la que l’on post surtout si on est pas de la guilde ^^)
Elessarion se leva.

- Puisque tout est réglé et que j'ai votre consentement, (ce sans quoi je n’aurais rien fait croyez-le), permettez-moi de prendre congés de cette assemblé. J’ai fort à faire avant mon départ. Bargonno je vous fait confiance pour tenir mon rôle avec plus de sagesse, Meneldir prenez bien soin de cette guilde après mon départ, Magnir vous aidera à garder la tour. Intendant, membres de la Guilde, au revoir. Peut être nous reverrons nous bientôt. Et Hasharin je vous attendrais devant l’écurie de la tour dès les premières lueurs de l’aube.

Sans perdre plus de temps et sous les libérations des autres, l’alchimiste sortit de la salle secrète. Il regarda la pierre dans sa main.

-Nous n’avons pas le bon.Dit-il d’une voix plus grave, rocailleuse, et sévère.

- Façon de parler. Railla l’alchimiste de sa voix habituelle mais toujours en chuchotant.

- Nous voulons Morgoth pour notre avènement.

- Je sais, je sais.

On grogna derrière Ëolchil.
- Ne t’inquiète pas Thinngaraf mon ami. Tu m’as manqué. Dit l’homme à son loup, et celui-ci fut bien plus rassuré.

Elessarion pris ensuite la direction d’une antre bien plus cachée…

Suite à sa rencontre avec le guerrier assoiffé d’action et d’alcool, Magnir avait envoyé par le biais de Fuinêl, une missive à Elessarion demandant si ce dernier n’avait pas quelques quêtes à partager. Par l’intermédiaire de Mornagol, il fut répondu que le cousin d’Elessarion, un humain nommé Anohtacar, n’avait jamais été retrouvé malgré les recherches de l’alchimiste. Il était pourtant parmi la population de la cité, Elessarion le savait de source sure.
Magnir, fort heureux, répondit plus tard que le destin avait joué un de ses meilleurs tours. En effet le barbu bourru de la taverne était un forestier de Drùandan nommé Anohtacar !

Mais la mort frappa et la famille de Mithrandir connue de lourdes pertes…Et Elessarion, sous le poids du deuil, ne suivit point de lettre.

Magnir alla rejoindre Anohtacar devant la vieille battisse comme il avait été convenu et lui conta l’étrange histoire. Le guerrier confirma les espoirs du nain, avouant se rappeler d’un cousin au nom sindar qui avait pris, il y a longtemps, la route du Sud. En outre, Magnir qualifia Elessarion d’alchimiste, ce qui rendit le plus grand des deux barbus pantois.
Lorsque sa langue fut déliée, il déclara avoir défendu l’alchimiste de Minas Tirith « un gringalet à capuche » suite à quoi il lui avait été offert une dangereuse sphère.
Alors Magnir se souvint qu’un jour Elessarion lui avait conté sa première estocade avec un cavalier noir. Il avait fait mention d’un rustre et musculeux gondorien à la hache d’acier.

Ainsi tout doute fut écarté et Magnir dit au guerrier :
- Voici se que je propose : Rendez-vous à la taverne dans une semaine. Le temps d’organiser une petite réunion de famille…

Durant ce délai, Magnir fit bagages, prit Thingaraf, porta la commende d’Elessarion à la forge et partit hors de la cité. Et nul ne fut rencontré sur le chemin, et nul ne le pu prévenir des drames advenus. Il reçut malgré tout des nouvelles de l’alchimiste de la manière habituelle et partit à temps vers la cité blanche, chargée de plantes en tout genre.

Devant la tour il vit Gauvin.
- Entrez donc avec moi. dit-il en illustrant son propos.
Il invita l'homme et referma la porte.
- Je n'est pas saisit votre nom, gondorien...

Meneldir conclut ainsi :

Hasharin vous accompagnerez Elessarion et vous partirez en éclaireur.J'ai totalement confiance en vous deux pour la discrétion mais nous arriverons peu de temps aprés vous.Je pense que le reste des personnes devrons partir en fin de matinée.
Je part voir les griffes d'Amroth pour voir si ils ont des nouvelles de morgoth et si ils peuvent nous aider d'une quelconque maniére.
Restez ici si vous le désirez, Si vous voulez des armes regardez dans la malle en bas, Mithrandir laissait toujours deux ou trois épées.

Radamante, prévenez nous quand votre escorte sera prête mais il faut qu'elle soit mobile et rapide.

Meneldir se leva saluant certains et parti avant d'ajouter d'un ton suppliant :

Je compte sur vous pour protéger les nouveaux dirigeants de la guilde.

Meneldir sortit de la tour et vit elessarion avec une personne qu'il ne reconnaissez pas et il dit à l'alchimiste.

Nous partirons demain vers midi, mon ami mais ne vous mettez pas inutilement en danger.Cette affaire est dangereuse, bien plus dangereuse que Balthazar.

Elessarion, en seul compagnie de son loup, entendit le nom résonner dans son esprit.
- Baltazar...Baltazar s'est révélé mieux rimmer avec faux espoir qu'avec gloire. Un misérable comme ces cavaliers noirs. Melkor n'a jamais aimé les hommes même ceux à sont services, mais ces indignes pitoyables en on fait fi... Des menteurs.
Elessarion se racla la gorge.
- Si vous voulez des armes, se que j'ai cru entendre oublier le fer passablement rouillé, j'ai vider la malle pour fondre les métaux. Il y a une salle d'arme tout réservé à cela demandez m'en la clé si besoin est. A propos voici celle de "La" salle secrète, je supose que vous avez celle de la porte d'entrée. Je fermerais toute les autres ou presque avant mon départ. Puis il grogna à Thinngaraf qui s'en alla part lescalier tandis qu'il prenait une toute autre direction en marmonant.
- Tss. Baltazar...

Il ne comprenait pas tout. Il ne connaissait en fait rien de cette guilde. Mais il notait. Tout. Jusqu'au moindre soupir. Cela était assez compliqué et fatiguant, il commençait à avoir mal à la main.

Mais il y arriverai. Il réussirait ce travaille.

Comment écrit on MorogthEru? Attaché, non attaché, pensa t 'il.

Que d'importance. Il noté en abréviation. Rien ne lui échapper, car le sort de toute la Terre du Milieu était dans ses mains, si ce qui se disait compté...

Il cassa sa plume. Changea et prit une nouvelle.

Et était prêt à écrire.

Radamanthe faillit réagir à nouveau lorsque parla l'alchimiste, car il lui semblait que ce dernier tenait toujours à partir en solo. il lui vint un instant la pensée que ce dernier pourrait fausser compagie à l'autre groupe pour commencer à faire cavalier seul, mais il chassa cette idée. C'est homme appartenait tout de même à cette fameuse guilde, et même s'il avait par le passé eut d'étrange comportement, il savait que feu le Mage Mithrandir avait onfiance en lui, cela devrait suffir pour lui aussi.

"Très bien, nous ferons donc nos prépératifs chacun de notre côté. Je verrai ce qui est disponible et ce que je juge nécessaire. Pour l'heure, rien ne me retient plus ici, nous nous reverrons demain, j'enverrai un messager pour vous prévenir."

Ou le scribe pensa t-il. Il jeta un oeil vers ce dernier, et il lui sembla qu'il avait fait un bon travail. Il hocha la tête et lui fit signe un petit signe afin que Eaque comprenne qu'il devait le suivre.

"Il faut que nous rassemblions des soldats, et des commandos."

Sur le chemin vers la porte, il remarqua Gauvin.

Eaque vit le signe de l'Intendant. Il rangea vite fait bien fait ses affaires.

Soudain, un pot d'encre lui échappa. Il réussit de justesse a rattraper le pot, avant qu'il ne tombe par terre. Certain avait vu ce geste.

Il devait se dire "Bon réflexe, il a pas salit le plancher"

Le scribe suivit Radamanthe et se dirigea vers la sorti.

"Du travaille ce soir, mettre tout au propre..., pensa-t-il"

Le mage ne dit aucun mot, il observait juste la scène qui passait assez vite.

*Allait en Mordor n'est pas une si bonne idée que ça, mais ils font ce qu'ils leur plaisent. Je ne peux rien contre leur choix ils sont maître de leur destinée*

Sur les derniers mots des personnes présentent, pratiquement tout le monde partit. Il ne restait presque personne. Elessarion était lui aussi partit ce qui signifiait que maintenant il serra le responsable de la guilde. Il regarda les dernière personnes présente et après quelque secondes de silence il prit la parole:

-De quoi voulez-vous qu'on parle maintenant? Je pense que l'histoire de Morgoth est réglée. Si vous n'avez plus rien à dire nous pouvons partir en Arnor ? Mais peut-être devons-nous attendre Meneldir?

Bargonno se resservit un peu d'hydromel et but quelque fines gorgées.

Gauvin vit un homme se diriger vers lui.
Il avait assez entendu pour être très impatient et cet homme était le seul qui était passé. Il n'allait pas laissé passer sa chance.
-Bonjour sir, je recherche l'intendant, j'aimerais m'entretenir avec lui si possible.
Gauvin ne savait pas du tout que cet homme en question était l'intendant.
Gauvin était toujours dehors et la nuit commençait à montrer son nez. Gauvin frissona de froid.
-Pourriez-vous l'appeler ?
Le soleil baissait. Maintenant il était au point que Gauvin ne savait pas voir Radamanthe dans les yeux. La lumière l'aveuglait.
**Et ben c'est toujours aussi accueillant ici.**pensa Gauvin
Il mourrait de soif et de faim, avait froid. Si c'est promotion ne le tenait pas à coeur, il partirait en courant.
Ce n'est qu'à ce moment que Gauvin remarqua le deuxième homme derrière Radamanthe. Celui-ci tenait un pot d'encre.
**Un scribe** pensa Gauvin

L'intervention de l'Intendant ne rendit point la situation plus claire.
Mais Bargonno avait raison, d'apres ce que disait Elessarion, ils n'avaient plus rien a faire ici.

Forlong repondit:

-L'histoire de Morgoth n'est point reglee, cependant nous n'en faisons plus partie... Vous avez raison, Bargonno, il est temps de partir pour les plaines du Arnor.
Apparemment Meneldir a besoin de finir quelques affaires dans la Cite Blanche, je suis sur qu'il nous rejoindra le plus tot possible.
Allons-y!


Il prit un morceau de papier, une plume, et ecrivit quelques mots, adresses a son ami Meneldir:

Citation :

Mon Ami,
Vu que apparemment des affaires importantes Te retiennent dans la Cite Blanche, et que j'ai un presentimment que quelque chose de mauvais se passe dans le Royaume du Nord, nous devons commencer notre voyage sans Toi. J'espere que Tu nous rejoindras le plus tot possible soit quelque part sur le chemin, par exemple a la taverne du Poney Fringant, soit a Annuminas.
A bientot,
Forlong Neldoreth du Arnor

Il salua les personnes presentes dans la salle, puis sortit, suivi par Bargonno.
Mais a la sortie de la tour, il vit un personnage familier; Gauvin, son jeune ami et frere d'armes.

Il le regarda, surpris, et dit:

-Gauvin? Que fais tu la? Je dois te parler, je pars justement vers l'Arnor...

[Petit intermède dans le temps]

Radamanthe fronça les sourcils en examinant l'homme qui venait de l'apostropher alors qu'il ne s'y attendait pas. Il ne l'avait jamais vu, et cela n'était pas étonnant, vu la question que ce dernier venait de lui poser.
Il se redressa de toute sa hauteur, abattit son capuchon afin que son visage soit visible. Malgré la différence d'âge et de sexe, il pouvait, s'il était attentif, reconnaître différents traits communs. Les yeux étaient, par exemble exactement pareils, d'un gris clairs mélancolique.

"Vous n'êtes pas d'ici jeune homme, à ce que je vois... Je suis l'Intendant Radamanthe et je suis pressé, que me voulez-vous ?"

Il croisa les bras et et fixa le chevalier, d'un air assez hautain. Comme s'il avait le temps... Cet homme avait intérêt que ce soit important...

"Mais d'abord, comment vous nommez-vous, et comment m'avez-vous retrouvé ici ?"

-Oh pardon mon seigneur. Je ne savais pas que c'était vous.
Je me nome Gauvin, chevalier de Dol Amroth. J'ai servi mon prince jusqu'à sa mort et j'ai protégé de nombreuses fois le gondor. Mais je ne pense pas que ma place sois à Dol Amroth. Ces derniers temps j'ai beaucoup voyagé et je suis passé par l'Arnor. J'ai trouvé cette région magnifique et je voulais vous demandez si pour de si bon et loyaux services pour le gondor, je pouvais pas avoir un grad eun peu plus élevé que soldats et y être muté.

Gauvin remarqua son ami Forlong

-Gauvin? Que fais tu la? Je dois te parler, je pars justement vers l'Arnor...
-Salut à toi Forlong, ce que je fais ici, je demandais à l'intendant Radamante une permission pour être muté dans la région de l'Arnor.
Quel hereux hasard que tu y aille aussi.


Il se tourna vers Radamande et dit
-Je vous ai trouvé ici car votre soeur m'a dit que vous y étiez.

Hasharin ecouta tout el monde parler, l'intendant Meneldir Elessearion[] proposerent que l'alchimiste et hasharin partent en Eclaireur au devant d'un petit regiment, ce boulot d'eclaireur lui plaisait. Ainsi le depart pour le Mordor cette contrée si sombre etait pour demain. Hasharin declara:
-Chers amis sur ce je vous dit au revoir, qui sera peut etre un aurevoir je ne l'espere pas.
Il ajouta en direction de Elessarion:
- Passerons nous par le Moranon ou bien Cirith Ungol?Nous prendrons nos chevaux jusqu'à où?

Sans même faire reelemtn attention a la reponse Hasharin sortit en direction de chez lui il devait refaire le plein de poison, et recupérer quelques une des ses armes et Umbre son faucon resté a la maison. Il quitta la tour en direciton de chez lui. Il devit aussi prendre quelques heures de Repos.

L'Intendant lui adressa un regard noir. Quelqu'un qui avait beaucoup aidé le Gondor et qui ne savait pas reconnaître son Intendant ? Enfin, pensa t-il pour sa défence, il était vrai qu'il avait son capuchon baissé.

"Soit... Je dois reconnaître que je sais que vous avez été un des derniers fidèles dur prince de Dol Amroth. Après ce qui s'est passé, je comprend que cette ville, où il va falloir prendre quelques mesures sévères, ne vous inspirent plus. Ce sera d'accord, mais uniquement par respect pour le prince Berund fils de Berunda... Je ne considère pas comme un service bon et loyal de quitter le Gondor lorsqu'une expédition s'apprête à courser nos assaillants d'il y a peu..."

Les yeux gris de Radamanthe lançaient des éclairs. Il reprit pourtant d'une vois plus doucereuse.

"Mais vous n'êtes sans doute pas au courant. Vous pourriez être un petit lieutenant, si vous partez en Arnor. Donnez-moi rapidemment une réponse, j'ai des affaires mille fois plus importantes à régler."

Le ton utilisé était semblable à celui qu'avait pris sa soeur lorsqu'elle l'avait remballé de l'Intendance. A la différence près qu'il avait vraiment de bonnes raisons de ne pas perdre de temps. Sorente, elle ne préférait sans doute pas rester seule dans une pièce avec un chevalier qui était entré dansla pièce en vantant ses qualités.