Une bien étrange bataille

Deux silhouettes sortirent de la cité blanche alors que l'armée s'assemblait pour la bataille qui se profilait à l'horizon.On pouvait voir une tache noire devant l'armée.
Meneldir et Avorn se tenaient tous deux sur leurs chevaux, l'épée à la main.
Meneldir était vétéran mais redoutait cette bataille.
L'armée adverse semblait puissante et indivisible.

Tous deux se mélérent aux habitants de Minas Tirith et des environs qui se devaient de défendre le Gondor.

Ils étaient prêt à preter mains fortes.

Aërinhion se tenait là , dans les premières lignes d'infanterie. Il esquivait les piques tout en essayant de toucher ses adversaires , il voyait tout les combattants combattre avec rage .

Les soldats de Minas Tirith , malgré quelques pertes , s'en sortait plutôt bien grâce à leur bouclier . Ils étaient néanmoins obliger de reculer afin d'eviter les coups de sabres jetées par quelques soldats haradrims disseminés dans les lignes de piquiers.

L'elfe recula de quelques pas afin d'etre a l'abri des piques et cria a des soldats qui formait les lignes plus en arrière:
" Venez ici , et combler les espaces laisser par les défunts , il faut tenir cette ligne de bouclier ! "

Il tourna la tête et vit les archers en train de choisir leur cible , la bataille faisait rage

Pendant que Radamanthe avait prononcé ces mots, Hobasian été arrivé au niveau de la porte de la Cité, il en sorti promptement et se dirigea vers l'endroit où l'armée se tenait...
Durant ce temps, les Haradrims avaient commencés leur charge effrennée et Milindë se tourna en leur direction, Erwoyn a ses côtés, prêtes toutes deux à en découdre...Les lances pour certaines se brisèrent au contact des boucliers mais certaines firent des dégats... Milindë dégagea son épée de son fourreau et cria

"Gwanu benn en Harad !"

Et elle s'avança au côté de la première ligne... C'était sa meilleurs façn de protéger ses compagnons et Erwoyn...La charge continuait et les Gondoriens avaient déjà quelques difficultés à contenir la masse ennemi... Alors Milindë eleva sa main libre et des flammes apparurent sur une petite partie des premières lignes ennemis, faisant ainsi retomber la pression sur le premier rang Gondorien...

"Resistez, repoussez les et tuez les..."

Comme pour montrer l'exemple elel saisit le bouclier de l'un des morts Gondoriens et se protégea derrière... elle repoussa violemment son assaillant, écarta le bouclier, trancha la gorge du Haradrim répandant un flot de sang sur les armures et se remit derrière son bouclier...Si tous les Gondoriens faisaient ceal ensemble comme un seul homme, ils auraient une chance de repousser l'ennemi...

Hobasian était arrivé à la hauteur de l'intendant... Il le salua et vit sa future brue se battant déjà avec une rage non contenue... il resta en arrière impressionnée par la masse des ennemis...

Le choc fut assourdissant. La peur saisit les gondorien lorsqu'ils virent les gribouillages des hardarims, mais seul les Valars surent ce que pensèrent les hommes du sud lorsque Balak chargea avec sa clique de guerriers fou furieux. Tous hurlaient leur haine et leur colère, mais c'était le cri de Balak qui résonnait dans le crâne de chacun? Il était beaucoup plus grave, pénétrant, s'immiçait dans l'esprit même des combattants le cotoyant.

Il laissa la hargne guerrière l'envahir, sainte férocité nécessaire à l'élimination de tout obstacle osant se dresser devant lui. Ses yeux vides, son corps contracté, sa double-lame de Mithril sintillante, rendait Balak effrayant pour ses ennemis, mais son attaque dénuée d'hésitation, sa confiance absolue sa volonté de vaincre sembla se propager aux défenseurs de la citadelle. Le noir mercenaire relança l'un de ses cris de guerre, qui fut repris par trois plus d'hommes que la dernière fois.

il arriva tout près de la ligne de front. Le premier coup qu'il portat fut à l'encontre d'un lancier hardarim. L'une des lames trancha sans difficulté apparente l'armure légère du fantassin. le mithril faisait son oeuvre, brisant toute pièces de métal comme un fétu de paille. il se retrouva près d'un soldat aux traits elfiques, et remarqua sa dextérité superieur à celle de ses compagnons.

Toi... avec moi...nous les tuerons tous!

Renaissance ne cessait de trancher, deux nouveux ennemis venaient de rendre l'âme. Balak n'avait même pas à utiliser "L'instant", cete technique de combat faisant quasiment abstraction des pensées évoluées, laissant ainsi une plus grande importance aux sens et à l'analyse. Des haradrims vinrent près de lui, mais sans l'attaquer, le contournèrent. Il y en avait sept. Sept guerriers prêt à tuer. Sept soldats partageant l'amour du combat du mercenaire. Le regard de Balak croisa celui de l'un d'entre eux. Il souriait.

Il...sourit...Cet enfoiré sourit ? pauvre larve...que crois-tu donc pouvoir faire ?

Le corps de Balak sembla se replier sur lui-même. Il ne bougeait plus, respirait à peine. Ses adversaires furent interloqués quelques instants, mais reprient rapidement leurs esprits. Il était dans une position étrange mais laissant un grand nombre de failles. tous étaient convaincus de pouvoir l'atteindre aisément.

Saisir...

Le contact était imminent. Celui qui avait sourit à balak se voyait déjà promu pour avoir ramener la tête d'un dangereux ennemi. Ses camarades partageaient sa confiance.

...L'Instant...

Cela dura une fraction de seconde. La double-lame n'avait fait qu'un moulinet, et cinq gorges furent tranchées. Les deux survivants s'étalèrent au sol, baignant dans le sang de leurs alliés. Et leur dernière vision de ce monde fut les yeux noirs et vide de l'homme aux frusques noirs.

Sombre-chêne, alors que l'armée haradrim n'était plus qu'à un vingtaines de pas, avait commencé à tirer ses flèche. A chaque impacte, un homme mourrait. Mais lorsqu'il faisant abstraction des cibles, l'elfe conentrait toute son attention sur ses getses fluides et rapides. La puissance de l'arc contractait ses muscles, puis la tension disparassait subitement lors de la décoche. Lorsque son carquois fut vide, Sombre-chêne était calme et serein, comme après chaque sénace de tir. Il descendit de Niphredil, lui flatta l'encolure et la laissa en arrière. L'ambassadeur serait plus à l'aise pour combattre à pied, et l'idée de mettre en danger sa jumet ne l'enchantait guère.

Sombre-chêne dégaina Gelmirnoth et se rapprocha du combat qui avait déjà commencé. Il se dirigea vers les côtés latéraux de la ligne de défense qui devait sans doute être bien plus mince qu'au centre. Ce fut en effet le cas. Les Hommes du Sud commençaient même à encercler les défenseurs.

La lame elfique entama sa dance. Un cimterre fut bloqué et l'épée continua osn avancée jusqu'à être arrêtée par la chair. Elle ressort et recommence encore et encore. Les quelques pièces d'armurent ne font qu'adoucir le choc du tranchant qui reste pratiquement tout le temps mortel. Les ennemis reculent, mais la maladresse de l'elfe à manier l'épée lui permettent de remercier plusieurs fois sa cotte et ses protections de mithril.

D'une parade, une halebarde fut déviée et d'un coup et sec fut coupée en son centre. Son posseur hurla de rage en daigainant sa seconde arme, comptant sur ses nombreux tatouages tatouages pour effrayer son adversaire, mais en vain. Son cri s'étouffe dans un ignoble gargouillement.

Le sang coulait et imbibait la terre déjà retournée. La Mort était là, riant de plaisir, ne sachant plus ou aller pour satisfaire les agonisants. C'était un jour de guerre, un jour rouge, un jour triste.



De l'autre côté du champ de bataille, le même scénario se déroule. Eleriol attaquait, parait, ripostait et finalement tuait. Sa lame courbe tranchait la chair à travers le tissu et le cuir.

Meneldir descendit de Nimdalf et lui glissa deu trois mots elfiques à l'oreille.

Noro lim e Ebed

Il partit vers Minas Tirith, son maitre maître face à son destin.
Meneldir se jeta devant les lignes ramassant un bouclier carré et vint remplacer un jeune soldat de la flotte qui venait de mourrir.
De nombreuses fléches passaient au dessus de lui pour venir frapper les haradhrims.
Leur rage était sans égale.
Meneldir subit soudain le choc d'un ennemi se jettant sur son bouclier.le haradhrim tenta d'assener un coup sur le bustre de Meneldir mais le vieux professeur expérimenté leva, d'un grand coup, son bouclier qui vint taper sur le menton du lâche et sa lame vint s'enfoncé profondément dans le corps de son ennemi.

Meneldir se replaça en position de défense.
Cette tactique marchait mais des hommes s'éffondrait affaiblissant les premiers rangs gondoréens.

**********

Avorn sauta aussi de son cheval et le renvoya avec un coup sur les cuisses.Il attrapa une lance et s'élança dans les premiers rangs et vint se placer entre deux larges boucliers en perçant tou ennemi devant lui.Tout à coup une large figure s'étira en un sourire et sa main tranche la lance de bois brisant la hampe.
Avorn fût empris de haine et enfonça ce qu'il restait de la hampe dans l'oeil.L'ennemi s'éffondra de douleur et Avorn planta son épée dans son corps.

*************

Meneldir combattait au corps à corps reculant parfois pour reprendre son souffle.
Des soldats se relayaient sur la ligne de front assez forte.

Meneldir vit apparaitre un homme d'une haute stature dans les rangs des adversaires.
Rarement il en avait vu d'aussi grand.Une lourde armure le couvrait un un casque altier aussi.Il enfonça lez rang devant Meneldir en deux trois coup de sa hache de guere à double tranchant.Meneldir recula en décrochant son arbaléte en l'armant alors que son ennemi s'avançait suiv par des soldats.
Meneldir tira un carreau qui traversa le bouclier de l'ennemi qui venait de le soulever face à sa tête.
Meneldir tira sur la corde pour réarmer son arbaléte.L'ennemi s'avança à grand pas en écartant des soldats et habitants d'un coup de bouclier.

Meneldir sentit bientôt le souffle de son ennemi et sentit soudain la peur de la mort.
Qu'est ce qu'était la mort?Une grande question pour un sage.

L'ennemi souleva Meneldir.

Pauvre petit être sans defence.

Sans défence tu en est sûr.
Meneldir ria au nez de l'haradhrim qui étrangla de plus belle le vieil homme qui assena un rude coup de pied dans les parties sensibles du géant.Le professeur s'étala par terre jste à côté de son arbaléte.Il l'atrapa et tira rapiement.Le carreau transperça le menton et vint finir sa course dans son crane.

Morgoth commenca à se concentré, il ressentait l'âme de son frêre et celui ci serai pret a l'aider à la bataille.
Morgoth mis son casque, un casque allongé vers l'arrière finement cisellé de veinures noires, puis il sortit la lame...
L'épée cingla l'air, une onde sonore se fit entendre et fit détourné l'attention de quelques personnes dont de ennemis.
Morgoth enttona un chant assourdi qui résonné dnas les oreille des ennemis comme un coup de marteau, et das celle des alliée comme une chanson elfique d'une beaté incroyable.
L'ombre commenca à tourbillonée autours du bras tenant l'arme puis autours de Morgoth lui même, les ennemis reculèrnent un peu, puis se réhennardissèrent et chargèrent l'elfe noir.
Mais l'épée de celui ci fit un coup dans l'air au moment de la charge et au moins 6 ennemis se retrouvèrent à terre...
Deux se relevèrent terrorisé, les yeux de Morgoth semblait encore vouloir s'echappé en lambeau de ténèbres, mais l'elfe noir semblait s'en ficher complètement. Il avancais la ou les troupes Gondorienne tombait, faisant reculé l'ennemis morceaux par morceaux. Les tir et les coups ricochaient sur son armure de lumière aveuglante.

-Je te rend grâce au toi la Soleil pour cette lumière qui aveugle les ennemis!!!

Morgoth avait dit cela en noir parlé et les ennemis n'arrivèrent toujours pas à comprendre à qui ils avaient à faire.
Morgoth continua le chant, le gondor avancé, térrassant les lignes Haradrims une par une, la lumières des coeurs ravivé.
Mais l'elfe noir n'était pas remis de son voyage spécial prescedent, et il ne pourrait tenir indéfiniment.
Il apperçu le roi Méphisto entouré de sa garde, il avait l'air fatigué aussi, Morgoth lui souhaita bonne chance par l'âme... Il n'entendrai peut être pas, mais il aurait éssayé...

- Place bandes de va-nu-pieds ! Brailla Ronfleur, à l’avant de la petite colonne de mercenaires.

Les soldats de l’arrière garde fendirent le rang plus par surprise sur la réception de pareils injures que par obéissance.
Ronfleur s’amusait ainsi, il avait besoin de canaliser sa haine sur les autres, pour toute la maltraitance qu’il recevait lui-même…

- Nous nous séparons ici ! Ordonna une voix féminine vers le centre de la colonne.

Les Griffes firent halte et se retournèrent. Douleur, la capitaine remplaçante, désigna de plusieurs hochements de tête ceux qui l’accompagnerait. Elle prit parmi les meilleurs bretteurs, détail qui agaça d’autant plus Ronfleur… Mais c’était là les droits de la hiérarchie. Chacun prit donc sa route, Douleur partant vers le flanc de l’armée avec six hommes tandis que Ronfleur se dirigeait avec une vingtaine de Griffes à l’arrière garde de la cavalerie.

- Fichu blondasse… Pensa tout haut Ronfleur.

Plusieurs regards assassins convergèrent vers son dos mais aucun commentaire ne fut entendu… Plusieurs messages d’insultes furent cependant transmis par langage de signe.
Tous s’immobilisèrent quand leur officier se retourna, désignant l’un d’eux d’un doigt accusateur.

- Va prévenir l’intendant de notre… Présence et participation…

Obéissante et disciplinée, la Griffe sélectionnée pour se rôle fit un rapide salut militaire et disparu dans les rangs de l’armée régulière. Ronfleur dressa son regard vers les murailles, dans l’espoir d’y trouver Mesure. Mais c’était peine perdu, celui-ci devait être entrain de s’occuper des balistes et autres engins de siège…
Le petit homme soupira et repoussant ses mèches grasses qui parassitaient sa vue. Il décida de les attachés à l’aide de son foulard gris, élément caractéristique qui identifiaient les Griffes d’Ammoth. Il éleva un bras et fit une combinaison complexe de signes avec ses doigts. L’instant d’après, presque à l’unisson, chacun des mercenaires dégaina une rapière. Leur bras libre restait cependant dissimuler sous une épaisse cape qui était tirer vers l’avant.
Dans l’attente de voir intervenir la cavalerie, Ronfleur observa le dos de ses derniers… Il cru d’ailleurs reconnaître l’homme de tête. Mais il ne s’en soucia que peu, vu qu’il devait connaître à peu près tout le monde dans la capitale du Gondor…




Plus loin, un homme vint à la rencontre de l’intendant. Celui-ci le repéra du coin de l’œil et se tourna vers lui, sans pour autant perdre l’oreille aux dires de ses compagnons.
La Griffe salua Radamanthe d’un hochement de tête puis pointa du bras l’emplacement où se trouvait le reste de ses compagnons. Il désigna ensuite la muraille puis enfin le flanc où était partit Douleur. C’est uniquement quand l’intendant n’eut plus d’interlocuteur direct que le messager se permit d’expliquer :

- Le soutien de l’artillerie sera en place dans une dizaine de minutes et ne peut être activée que par votre ordre ou l’intervention de nos officiers au cas où vous serriez dans l’incapacité d’effectuer cette série de signe précis.

Le mercenaire effectua une petite série de signes peu complexes que pourrait retenir facilement l’intendant. Ils ne prendraient que deux seconde à effectué mais nécessitait l’utilisation de ses deux bras. Suite à cela, la Griffe continua son explication :

- Nous soutiendrons l’arrière de la cavalerie, s’assurant d’aucun débordement ou encerclement, permettant ainsi des percées plus importantes. Nous achèverons aussi les éventuels survivants et assureront une gorge de repli pour la cavalerie en cas de difficulté, mais il faudra également l’appui de votre infanterie. C’est Ronfleur qui mène cette manœuvre. Douleur est aussi présente mais sera votre flanc gauche, participant au minimum dans les combats. Elle apportera son soutien pour l’organisation, la discipline et le bon maintient de la ligne… Mais sa réelle présence là sera autre. Je ne peux vous en dire plus pour l’instant. Le gros de nos hommes est encore à l’intérieur, s’assurant de la sécurité en cas de nouvelle intrusion.

Sans plus attendre, la Griffe salua une dernière fois l’intendant et disparu à nouveau dans les rangs. Tout dialogue était futile et Radamanthe le savait bien. En passant dans les rangs, le 'messager' alla du côter de Morgoth et fit en sorte que celui ci le repère du coin de l'oeille... Il fallait au moins qu'il sache que ses frères de combat étaient présents...




De son coter, Douleur caressait l’orbe d’omniscience, espérant trouver quelque chose ou quelqu’un dans tout se chaos…

Aërinhion continuait à combattre férocement face aux hommes venus du Sud . La ligne de bouclier tenait relativement bien malgré l'entrée de quelques haradrims de temps à autres .

Soudain , Aërinhion vit un groupe de mercenaire charger et arriver juste derrière la ligne de bouclier , à l'affut de toute entrée de haradrim. Le chef de ce groupe , "Le mercenaire noir", tel que l'appelait l'elfe, était un homme puissant et de grande posture qui béneficiait toutefois de la grâce militaire des elfes dans ses gestes.
D'un coup , 7 haradrims traversèrent la ligne de bouclier et se retrouvèrent face au mercenaire . Pendant quelques secondes , rien , uniquement de l'observation , puis d'un coup attaqua directement les points faibles des haradrims de telles sortes qu'en quelques secondes ils furent tous à terre .
L'elfe rejoint le mercenaire et lui dit:
"joli travail , je me joint à votre groupe si vous continuez à charger aussi férocement les lignes adverses"

Aërinhion fit quelques signes d'encouragements aux soldats qui formaient les lignes et s'en alla rejoindre le groupe qui s'appretaient à charger de nouveau

Alors le combat avait commencé. Au troisième rang, Radamanthe restait pour le moment intouché. Il regarda rapidemment les premiers affrontements d'un oeuil critique, cherchant à répérer le moindre problème possible dans la statégie, pour le moment banale, qui était appliquée.
Alors qu'il finissait de haranguer les rangs devant lui, l'Intendant remarqua l Griffe qui venait lui parler.
Il esquissa un faible sourire. Malgré leurs étranges habitudes, la présence des Griffes d'Ammoth était toujours fort utile.
Il écouta attentivement les paroles de l'homme au foulard gris, acquiessa et transmis un bref message de remerciement à leur son contesté supérieur.

Il considéra la chose avec une expression heureuse. Un soutien d'artillerie était toujours fort bienvenu.
Surtout qu'il estima que le moment était venu de faire intervenir autre chose que des fantassins.

"Archers, tirez !"

Quelques volées furent décochées, dans les seconds rangs de l'armée haradrims. Enfin, il fit le signe attendut par beaucoup qui signifiait aux cavaliers de venir soutenir les fantassins sur les deux extrémités du front, sans charger, simplement pour que les ennemis soient débordés.

Finalement, il profita d'un écart dans les rangs pour venir se placer en première ligne, où il abattut rapidememnt un haradrim ne s'attendant pas à voir surgir un cavalier.

Beaucoup s'était jeté à corps perdu dans la Bataille faisant preuve d'un courage ou d'une stupidité inouïe... Certains Gondoriens trop pressés de faire valoir leur honneur furent térassé par les lignes ennemis...

"Bougre d'idiot, restez en ligne, c'est notre meilleur façon de les contenir...Daro Benn en Harad, Dartho gruith nin !"
Halte Homme du Sud, craignez ma colère !

Milindë se remit en place et maniait son épée et le bouclier trouvé sur le sol avec dextérité... On eut dit une princesse guerrire défendant son peuple, mais ce n'était guère le cas, elle n'était ni princesse ni de ce peuple, mais elle se battait avec fougue et harge comme plusieurs hommes et certains haradrim criagnait la Magie elfique de la Femme du Mage... Hobasian s'avança et se mit dans la deuxième ligne, prêt à prendre la place de n'importe quel Gondorie tombé et pour montrer l'exemple...

"N'ayez crainte peuple du Gondor, defendez la Cité des envahisseurs pour le Gondor, pour le Roi et pour la Gloire !!"

Et il se jeta à la place d'un des soldats qui fut tombés...Il dégaina son épée et prit le bouclier de son predecesseur, appliquant la technique judicieuse de Milindë... L'Intendant voulait que nous les contenions tandis que les archers tirerait leur flèche, aussi c'est ce qu'il faisait... Il repoussait l'assaut des Hardadrim et les empechez d'avancer... Toute la première ligne adopta la tactique et la technique montrée par Milindë et vite la première ligne Haradrim fut décimée... Tous reproduisez les mêmes gestes clair et ordonnées changeant parfois leur mouvement pour ne pas se faire avoir... Cela n'empechait néanmoins pas les Gondoriens de mourir sous les coups ennemis...

"Leithio i philinn !"
Tirez les flèches !
Puis elle prononça plus bas les mots d'une incantation et les Haradrims purent voir dans sson regard son courroux...

"Nai i Naur thoniela i estel"
Puisse le feu allumer l'espoir
Fit Milindë et les flèches alliées s'enflammèrent provoquant plus de dégats parmi les ennemis. Elle donna alors un violent coup de son bouclier sur son ennemi le plus proche qui tomba à la renverse... Cependant comme les Haradrims poussaient toujours plus en avant tentant de percer la ligne défensive, l'ennemi de Milindë n,e tomba pas et fut entraine par la foule de ses alliés... Etant inconscient il se retrouva prit en étau entre les boucliers Gondoriens et l'armée ennemi...De son côté Hobasian se battait bien pour un homme des son âge, il faisait tournoyé son épée après chaque repousse faite avec son bouclier... Milindë voyant qu'Hobasian donnait plus de coup après chaque repousse de son bouclier fit de même et privilégia sa technique, melée à celle de son beau-père et au lieu de ne donner qu'un coup après s'être découverte elle redoubla d'ardeur...

//Vous êtes tous des posteurs fous !! ^^ Je peux pas venir sur mon ordi vers les 21 h, l'heure à lauqelle tout le monde poste, du coup le lendemain j'ai une sacrée tartine à lire...//

Eosfel Harkonnen reconnut tout de suite le signal.
Il se tourna vers ses cavaliers avec une expression grave , puis il se tourna vers un autre capitaine loin à l'autre extremité qui hocha la tête.

-CAVALIER ! Tonna le Baron en dégainant l'épée de son père.
Puis il pris son cor , celui des Montagnes et souffla dedans.
Une note vibra un instant dans l'air , une note plein de tristesse qui donna la chair de poule aux soldats proches du Chevalier.
La note se brisa un instant aprés comme la terre sous les sabots des cinquantes chevaliers qui détournèrent suivis de peu des Griffes , la ligne d'infantrie à l'extreme gauche , là où les soldats pouvaient a tout moments rompre.

Ils firent une roue , et de déployèrent de toute la largeur de la ligne , puis enfin ils avancèrent , leurs chevaux caparaçonnés faisant plus de dégats que leurs propres lances.
Eosfel esquiva un coup de hache et fendit le crâne d'un soldat d'un coup d'épée rageurs , puis il jeta un coup d'oeil à droite et à gauche.
Les cavaliers se débrouillièrent bien , seulement quelques-uns tombèrent sur le coup des haradrims , profitant de leurs position surélevée.
Le Chevalier fit un signe de tête au porte bannière qui se demarquait aisement dans la mélée.

Les cavaliers firent une autre manoeuvre , à même les troupes enemis.
Ils refirent une roue et se preparèrent à battre en retraite pour l'instant.

C'était une tentative d'harcelement destiné à enlever un poid non négligable sur les premières lignes amies.
Une quarantaine d'Haradrims avaient péris sous les coup des cavaliers d'Eosfel.

Encore une fois, l"acier froid pénétra dans la chair brûlante. A nouveau, un homme tomba. Pour la énimème fois, le sang coula. Sombre-chêne maniait son épée avec tout la dexterité qu'il possédait, mais les Haradrims reprenaient peu à peu du terrain sur le groupe de défenseurs qui tentait d'empêcher tout débordement sur les côtés. L'ambassadeur évitait et parait plus les coups qu'il ne les portait. Il jeta son pied dans le genou droit de son adversaire qui perdit momentanément son équilibre. l'elfe en profita et planta son épée dans le coeur du Haradrim qui mourut en silence. Utilisant les quelques seondes de répit qui lui étaient offertes, Sombre-chêne rengaina son épée et sortit ses deux dagues. A présent il se sentait plus à l'aise, dans son élement. Il se mit en garde, les mouvements lui revenant à l'esprit dans un flot inintérrompu, et il se lança. tandis que l'une de ses dagues parait un coup, l'autre tranchait la goroge de l'adversaire. Les Gondriens ne reprenaient pas de terrain mais réussissaient à conserver celui qui restait.

Finalement, la cavalerie arriva en soutien et fut accueuillie avec soulagement par les défenseurs. Même s'ils ne chargeainet pas, ils utilisaient leur hauteur pour farapper avec plus de force et sans répit. Dans le ciel, des flèches enflammées volaient et enflammaient les chairs. Aux cris de rages se mélèrent ceux de douleur, et la haine des envahisseurs n'en fut que plus forte. Ils combattraient sans doute jusqu'à la mort s'il le fallait.



Eleriol reçut l'aide des cavaliers avec autant de joie que son filleul. Mais à présent il était seul contre trois haradrims, dont un avait une hallebarde. Eleriol les regarda un instant, puis ils chargèrent en comptant sur leurs vitesses pour faire le plus de dommages. L'elfe se décala sur la gauche moins d'une seconde avant l'impact et abattit le pommeau de son épée sur l'un des hommes qui s'écroula, évanoui. Les deux autres, surpris, se placèrent de chaque côté de leur adversaire. Celui qui tenait la hallebarde l'envoya en avant, mais Eleriol recula et profitant que celui qui venait d'attaquer soit trop loin, porta un coup de taille au second qui para néanmoins et riposta sans succès. l'elfe ne pouvait se retourner pour voir comment réagissait l'autre, improvisa et passa dans le dos de son adversaire. Il avait vu juste : une hallebarde transperçait de part en part celui qui avait le cimterre. Son acolyte avait pensé pouvoir tuer l'elfe d'un coup dans le dos et s'était élancé, sans pouvoir s'arrêter. Avant qu'il puisse penser autre hose, il vit son adversaire couper le manche de la pique puis contempla ses entrailles qui quittaient son ventre.

Eleriol se retourna et rejoignit la ligne des Gondoréens dont il s'était éloigné. Le combat continua.

A la vue de l'adversaire, Murdock avait organisé ses unités de manière à répondre à l'assaut qui allait venir.

"Thangion des cavaliers (60 cavaliers) placait vous en réserve, derrière nos lignes. Thangion des voltigeurs (20 éclaireurs et 40 archers), préparez vous à utiliser vos capacités d'armes à distance. Archers vous tirerez par Erith et par alternance. Cela permettra de faire des volées de 20 fléches par tirs. Eclaireurs, placez vous en tirailleurs et protégez les en cas de défaite de notre première ligne de défense"

Les hommes exécutèrent les ordres sans problèmes, habitués à faire des manoeuvres ensembles. Murdock se retourne alors avec ces compagnons d'armes du Thangion de la citadelle (60 gardes de la citadelle, 20 soldats et 20 lanciers)

"Gardes de la citadelle, mettez vous en première ligne sur trois rangs. Soldats et lanciers, positionnez vous sur nos flancs par demi erith (soit 10 soldats et 10 lanciers)"

Murdock vit ces hommes se mettrent en place sans l'ordre d'une hésitation et c'est avec une fierté légitime qu'il se place en première ligne.

Alors que les premiers haradrims venaient se jeter sur la première ligne de défense, l'ordre de l'intendant arriva aux archers qui tirèrent volée sur volée en direction de la seconde ligne des ennemis.

Pendant ce temps, les combats de fantassins sont terribles mais les hommes du Gondor tiennent bien. Sur les flancs, la technique des soldats et des lanciers étaient redoutablement efficace, les lanciers profitant de l'allonge de leur arme pour frapper et soutenir les soldats.

Quant aux gardes de la citadelle, ils démontraient qu'ils méritent d'être considérer comme l'élite des protecteurs de Minas Tirith. Pour un garde qui tombe, quatre Haradrims jonchent le sol devant la ligne de défense qui ne fléchit pas pour le moment.

Murdock regarda la situation de la bataille, juste après avoir éliminé son adversaire en lui sectionnant sa jambe au niveau du genou. Tournant la tête vers l'arrière, il voit que les cavaliers s'apprêtent à obéir aux ordres de l'intendant en fondant sur les flancs des ennemis. Mais Murdock n'étaient pas d'accord avec cela, en tout cas, pour le moment, car les Haradrims ne pouvaient pas penser vaincre Minas Tirith avec simplement des fantassins.

"Cavaliers, restez en réserve. Ne participez pas à l'action sur les flancs. Préoccupez vous ne protéger nos arrières et surveillez la situation de nos archers et de l'artillerie. Au moindre danger sur ces unités, foncez pour les soutenir."

Morgoth continuait son avancé foudroyante jusqu'a se qu'un elfe vienne vers lui, Morgoth arreté son chant se recula laissant passé des gondorien, il commencer a painer de chanter, l'energie venait a lui manquait.
Il partit de côté ayant repéré Milindë et Hobasian.
Quand il arriva vers eux il vit qu'ils combattait avec ardeur.
Aussi pris-t-il sur lui même et fonca sur les adversaire Hurlant des mots inpromnocable et intraduisible en noirs parlé que bien sur les Haradims comprirent.
La haine se lisait dans ses yeux, mais l'elfe se controlais encore, il sortit alors une deuxieme épée, celle ci était de nature haradrim, une épée a deux mains, Falshion!
Chrystamas rougoyait de plus en plus, et plus la colère et la haine de l'elfe noir augmenté plus elle ressemblait à une épée de pur sang.
Plus il frappait plus il faisait de dégats son épée était vraiment surprenante....mais contrôlait il vraiment les maléfices de celle ci...
L'aura qui s'en dégagait été on ne peut plus maléfique.

Laurelin dévala les sep niveaux que comptait Minas tirith en courant.
Les ruelles semblaient désertées, un grand nombre d' habitants étaient partis défendre la cité blanche.
c' est en nage qu' il arriva devant son cheval. Il l' enfourcha aussitôt et fila au grand galop vers la bataille.
Il distinguait, maintenant tout près, les premiers rangs des forces Gondoriennes.
Le vent caressait son visage mais les fragrances de sang et de mort qu' il charriait lui firent l' effet d' un choc.
Ses reflexes de combattant se reveillerent d' un coup et sa main se dirigea instinctivement vers Estelië, l' épée de son père, qu' il arracha littéralement de son fourreau en criant à la gloire de Fingolfin.
Il entendait à présent les flèches des archers qui sifflaient, fusant de leurs arcs tel des nuées d' oiseaux tueurs s' abattant sur les assaillants.
Laurelin stoppa son galop effrené car il avait deja pénétré suffisamment loin dans les lignes, son épée virevoltant haute de sa main levée et certain soldat le voyant passé se demandaient quelle mouche avait piqué ce cavalier elfe.
Il mit pied à terre car il venait d' apercevoir un elfe qui courait vers un groupe d' homme. L' un d' eux, de forte stature et entierement vétu de noir semblait en être le chef. Lui et ses hommes venaient de terrasser sept haradrims en quelques minutes et l' elfe semblait fortement impressionné.
- Qu' à cela ne tienne, pensa Laurelin, pourquoi ne pas combattre aux cotés d' un représentant de ma race puisque les hommes sont trop occupés pour m' assigner une tâche.
Il héla l' elfe qui venait de rejoindre le groupe de l' homme en noir et qui semblait être composé de mercenaires.
- Après tout, ne suis-je pas un mercenaire moi même ? Se dit-il

Sombre-chêne combattait toujours, silencieux. D'un coup croisé de ses dagues il désarma un homme et lui entailla profondément la cuisse. le Haradrim tomba à genou dans un cri de douleur puis s'écroula par terre. Sa tête cogna contre le casque d'un homme du Gondor, et sous le choc l s'évanouit. L'ambassadeur regarda un moment son visage que le foulard avait quitté et regarda son expression calme, endormie. C'était un paradoxe, bien que banal et peut-être idiot, agréable à voir alors que la bataille faisait rage tout autour dans le bruit des épées contre le cimterres et des lances contre les armures. L'elfe détourna son attention du corps inanimé et se relança dans le combat. Ses longs cheveux de jais volaient au rythme des mouvements dans un bien sombre ballet.

Une hallebarde arriva à toute vitesse vers sa portine, Sombre-chêne l'évita et d'un coup d'une de ses dagues la baissa vers le sol. Il sauta lestement dessus et le haradrim ne put que lâcher son arme sous ce nouveau poids. l'elfe en profita pour la saisir et la planta dans la cage thoracique de son ancien possesseur. Puis il la ressortit et tenta de répter son mouvement sur un autre haradrim, mais sans grande réussite. Ce-dernier, réjouit de son esquive, eut juste le temps de parer une attaque, mais ne put en faire autant pour la deuxième. Il tomba à son tour, mort.

Un elfe s'approcha soudain d'Aërinhion en plein coeur de la bataille et lui dit quelques mots , Aërinhion l'attrapa par le bras et le recula hors de portée des piques haradrims .

"Enfin un elfe , je commencai à me dire que je ne reverrai peut-etre plus jamais un des miens , de joie de vous trouver , vous resterez a nos cotés" dit Aërhinion

Pendant ce temps , la ligne de bouclier continuait d'etre colmaté et les rares haradrims qui la passait se retrouvait inexorablement annihilés par les mercenaires

Milindë bien que se battant avec rage ne pouvait plus tenir, le poids de ses ennemis devant elle ne lui pemetttait plus de réalsier cet acte de force, elle n'était aps un homme... aussi, elle rejeta son bouclier et se jeta comme bon nombre avant elle dans la bataille esperant ainsi ralentir à sa façon les ennemis... Sa place fut donc prise par un Gondorien qui reboucha le mur de bouclier...(Voila Silence c'est plus crédible du coup ^^ même si elle fait bourrine la du coup^^)Hobasian lui de part sa nature était plus apte a resister comme tous les Gondoriens, c'était un homme... il était pklus proche de la fin de sa vie qu'il ne l'était du début, mais il avait encore des capacités physiques importantes...Cependant, lorsqu'il écarta son bouclier pour transpercer son adversaire, celui-ci lui entailla le bras qui tenait le bouclier...Il lacha celui-ci et du se résoudre à se battre comme Milindë, là encore un Gondorien prit sa place... Il n'y avait que peu d'espoir pour ceux prit entre la nasse, mais leur épées et leur coups répétés les empechaient d'être emporté et écrasé contre les boucliers car leur ardeur dessinait un cerle autour d'eux, cercle dans lequel chaque ennemi entrant en resortais bien vite ou alors tombait rejoindre ses frère d'armes, ces cerces, n'étaient pas isolés, car d'autres avant eux été sorti du mur de bouclier pour semer tant bien que mal la pagaille dans les rangs ennemis, mais là encore Milindë et Hobasian ne pourrait tenir longtemps... C'était un véritable carnage et il leur faudrait très certainement de l'aide... Hobasian portait une cotte de maille en acier, mais elle ne le protégeait pas aussi bien qu'un en mithril, aussi celui-ci fut bel et bien blessé quand un Haradrim ennemi, qui prit un sacré coup d'épée qui trancha son bras gauche chargea Hobasian avec une hargne sans pareille... L'épée frappa à un endroit où sur la côte de maille il y avait un trou, elle s'enfonça dans l'abdomen du vieil homme qui fut percé de part en part...Le Gondorien le plus proche le ramena avec difficulté derrière le lmur de bouclier et il fut ramener aux lignes arrière de la bataille, aucune personne n'avais le temps de s'occuper des blessés tant la bataille était rude...
Milindë n'avait pas remarqué cet evenement, aussi se demena-t-elle de son mieux... mais elle ne pouvait éviter tous les coups, a plusieurs reprise les épées tapèrent contre elle tailladant ses vetêment mais là la cote de maille en mithril rempli bien sa tache contrairement à celle en acier d'Hobasian... Milindë jeta quand elle en eu l'occasion des petites boules de flammes en directions des ennemis, mais c'est quelques petites manipulations n'avaient pas beaucoup d'effet... La rage l'emplissait à chaque coup d'épée et elle invoqua alors Varda lui demandant dans sa tête de bien vouloir lui accorder la force de terrasser chaque ennemi...

"A Elebereth Gilthoniel !!"