Le voyage du deuxième groupe

Eaque recula de quelques pas. Il remarqua l'impertinence de ses paroles. Ce n'était pas parce qu'il était le scribe de l'Intendant qu'il pouvait se permettre de lui parler comme a un ami.

Dans l'autre sens, oui. Radamanthe pouvait lui parler comme à un ami, rire avec lui, mais lui, Eaque, le scribe, se devait de tenir le devoir de resserve envers son maître.

Dorénavant, il écouterai et écrirait. Il parlerait peu.

Sa main se mit a saigner.

Elle avait été blessé par une dents d'Orc. Et soudainement, la nourriture d'Orc lui revint a l'esprit.

Il retira le bandage.

Une couleur noir. Infectée.

Il faudrait trouver un moyen de la guérir et vite. Sinon gangrène, et tout le bras pouvait y passer...

Eaque fut déconcerté par ce que lui dit son frère.
Il n'avait pas fait ce chemin pour rien quand même...
Eaquem laissa Eaque à son travail, se fondant dans la masse de soldats,
discutant à droite à gauche, s'imprègnant de cet univers militaire.
Ils étaient tous plus ou moins anxieux...

Lorsaque l'Intendant demanda des volontaires pour le tour de gardes, Eaquem se proposa.
C'était surtout pour tromper l'ennui qui s'installait en lui.

Il souffrait...Il chuta.

Du noir.

Rien que du noir...

Enfin, une lumière. Mais une éternité était passé.

Il avait encore eut se rêve. Un peu différent tout de fois.




Et le rêve prenait fin.

Sa main prenait un couleur alarmante. Chaque secondes le faisaient souffrir.

Un soldat, qui avait suivit des études de médecine l'examiné au milieu du camps.

"Si nous n'avons pas de remède avant demain, nous amputons..."

Erco marchait sans but sur le champs de bataille, il entendit un cris, il regarda autour de lui et vit un homme allongé par terre une flèche planté dans le torse. Erco couru juste qu'a lui et lui dit

-Sa va?...Tu peux marcher.

Tout en disant sa erco lui donna à boire. Erco reprit

-Je vais devoir t'enlevé cette fléche, sa va faire mal je compterai jusqu'a trois et je tirerai.

Erco savait que prévenir un homme blessé aidait en général avant que le blessé aye le temps de dire quoi que ce soit. Erco lui mit un bout de vois dans la bouche et dit

-Sert bien fort...UN...DEUX...TROIS.

Erco tira. puis il aida l'homme à rejoindre le camps, chose difficile dans l'état du blessé. Une fois arrivé il le déposa par terre vers le guérisseur et il partit.

"Amputer...
"
Il regardait sa main comme si c'était la dernière fois qu'il la voyait...
non...

"Que doit on faire, demanda Eaquem, son frère...

-Attendre, ou trouver un medecin meilleur que moi. J'ai fait tout mon possible...", répondit le guerriseur de l'armée...

L'Intendant lui jeta un regard noir. Ce n'était pas vraiment le moment de faire du zèle, il n'en avait pas l'humeur.

"Non."

Il tourna brusquement les talons, sans donner plus de détails. Puis, sans doute dans un élan d'humanisme, il se retourna à nouveau vers le cavalier, en ajoutant d'un ton sec :

"Ils ne seront pas plus utiles à Minas Tirith. N'allez pas imaginer qu'il s'agissait d'un carnage. Face à soixante orcs surpris, les blessures graves se doivent d'être rares. De toutes façons, un long voyage ne les aiderait en rien. Ici, ne fut-ce que leurs yeux peuvent servir."

Après une nouvelle pause, il continua.

"Mais vous montrez du courage et un esprit remarquablement volontaire. Si nous montons un petit groupe d'intervention, vous en ferez partie."

C'était bien entendu une affirmation.
Finalement, il s'assit pour attendre. De toutes façons, rien n'était envisageable tant qu'on avait pas soigné les blessés et porté les honeurs funéraires aux morts.
Finalement, apercevant le capitaine Quirocas, bien évidemment indemne, il lui glissa une idée à l'oreille.

L'instant d'après, le capitaine au sang chaud braillait :

-Les bleusailles ! Ouais, ceux qui viennent de vivre leur premier combat mais ne sont toujours pas foutus de se battre corrctement, et les autres aussi, on va essayer de rectifier ça ou vous faisant vous taper d'ssus avec le plat d'vos armes ? Deux volontaires pour qui croient s'y connaître pour donner une démonstration de ce qu'est un combat ?

Gebir soigna de petites blessures car il n'y avait que peu de lourds bléssés et ceux là étaient soignés par des medecins si on peut les nommer ainsi.

Gebir pansa le bras sanguignolant d'un homme alors que celui ci gémissait de douleur et de terreur.Le chevalier expérimenté remarqua que l'homme s'était fait dessus de peur.

Il retint son rire et le laissa dans son état.

Ah, les bleus.

Il soigna rapidement un autre et s'accorda ensuite un repos, assis contre un pin noir, s'occupant à polir sa lame.

Ajax vint vers lui pour lui confier une information précieuse :

On l'a trouvé, le passage.On a joué aux suicidaires et on a failli se faire prendre.
On s'est faufillé à l'abri de la montagne jouant avec les ombres et les crevasses assez nombreuses mais on n'a pas pu accéder au passage.On a juste pu l'observer avec la longue vue qu'on avait emprumpté au Dringalph.


Quoi? Vous avez piqué une des longues vue mais vous auriez pu demander,c'est mon vaisseau.Vas y continue avec ton machin.


Bah il serait facile de passer si l'amée qui stationne ne le surveillerais pas mais il est abrupt et pas du tout praticable pour des hommes en armes.
En revenant j'ai entendu le chef à la hache dire qu'il voulait des volontaires.Y vraudrait mieux q'on y aille sinon on loupera un moyen de faire voir que le peuple de Brethil fait partie intégrante de Gondor et que sa fidélité ne peut être remise en cause.

Oui, tu as raison.
Je vais le voir de ce pas.


Gebir se releva en rangant Gurthascar dans son fourreau de cuir souple.

Il passa entre les hommes postés sans grande organisation dans le camp.
Puis salua Ordile qui parlait de startégie militaire avec un capitaine.

Gebir arriva enfin devant l'intendant et s'inclina devant cet homme à la fois respecté et craaint du Gondor aprés sa fabuleuse campagne au Harad.

Nous avons trouvé le passage dont vous avez fait mention mais il n'est pas accesible completement vu l'armée en position.[b/]

Gebir expliqua la situation et dit que les griffes seraient utiles elle aussi pour ce genre d'informations car le danger est bien présent

Sire, je vous demande l'autorisation de nous joindre aux volontaires et mon ami de Brethil Ajax à découvert votre passage qui passe dans la montagne.Un peu plus bas.
Je tiens à vous dire que nous sommes tout trois des hommes d'expérience, pas comme les bleus qui composent ce groupe bien que j'en ai déjà vu des bien pires.[b]

"Vous avez observé le passage avec une longue vue ?"

La question de l'Intenant n'en était pas vraiment une, il ne fit que répéter ce que venait de déclarer le chevalier.

"Oui, je ne m'attendais pas vraiment à ce que vous réussissiez à l'atteindre. Et évidemment que les Griffes d'Ammoth seront utiles, que pensez-vous qu'il sont en train de faire pour le moment ? D'ailleurs, même si je ne me plains pas qu'on ait des nouvelles de ce passage sans être obligé de retourner vers elles, c'est un peu irresponsable comme attitude, alors que des hommes de métiers, s'en occupent. Je suppose qu'elles sont maintenant en train d'étudier un moyen de passer."

Les mains croisées dans son dos, il se mit à faire les cent pas, à tourner en rond. Encore une fois, tout ce dont ils avaient besoin, c'était du temps, et sans doute par la suite faudrait-il une bonne dose de chance...

"Quant à votre participation à l'expédition, j'accepte votre proposition avec joie. Maintenant, il faut attendre..."

Erco avait mangé un morceau avec d'autre soldat autour d'un feu. Quand la nuit commençait a tombé, il se leva revêtu son armure s'arma et partit avec Arka le suivant.


-Allez vient Arak on un tour de garde à faire.


Erco marchait autour du camps, on entendait les bruits de soldat mangeant riant. De temps en temps le cri d'un blessé qu'on soignait. La nuit tombait. C'était la pleine lune. Erco avait une ligne de vue sur plusieurs mètres autour de lui. Tout en marchant il chantait une chanson du Rohan. Arka le suivait tranquillement en reniflant les touffes d'herbes.


Tout était silencieux. Erco regarda durant un bref instant le ciel, il était bleu foncé et la lune ronde et donnait une lumière blanche. Erco entendit des bruits d'animaux. Il était en ce moment devant le côté Nord du camp. Il marcha plusieurs pas avant de s'arrêter quelque chose n'allait.


Premièrement Arka s'était arrêté.
Deuxièmement il n’entendait plus les bruits des animaux.
Troisièmement son instinct lui disait qu'il y avait quelque chose d'anormal et il se ne trompait jamais.


Erco fixa la nuit en essayant de percer ce qu'elle cachait. Erco était tendue. Il ne voulait pas alerté tous le camps pour rien mais s'il y avait quelque chose il risquait de ne pas pouvoir alerté le camps s'il était tué...

Hrp je laisse Radamanthe dire se qui va suivre Hrp

C'était comme si les battements du coeur du monde avaient cessés de se faire entendre.
Dans un bruissement d'ailes, les oiseaux s'envolèrent et firent silence tandis que même le vent semblait avoir compris qu'il devrait cesser d'agiter les branchages et les broussailles aux alentours.
Soudain, dans le calme ambiant sous les étoiles pâles, il l'entendit au loin.

Padam, padam

Erco Skaline ne voyait toujours rien, mais quand il renifla l'air, il sentit une senteur, non pas nauséabonde, mais plutôt lourde, qui opprimait les sens.

Padam, padam

De quoi pouvait-il bien s'agir ? Soudain, il frissonna, et l'herbe sous ses pieds craqua, comme si elle eut durcit. Lorsqu'il expira l'air de ses poumons opressés, ce fut une buée froide qui sortit. Soudain, un cri aigu qui glaçait tout autant le sang que cette fraîcheur retentit.

Padam, padam

Alors une forme longue et haute se dessinna dans le très lointain, à une bonne distance du camp, même si on pouvait l'apercevoir, et certainement la sentir.
Erco put percevoir un hennissement et il eut la désagréable sensation que ce ne pouvait être le cheval qui avait poussé le cri précédant.
Mais il était sûr que c'était un cheval aux sabots lourement cloutés qui faisait ce bruit sourd.

Padam, padam

Le guetteur eut un mouvement frénétique vers le camp et l'Intendant capta son regard. Il fit soudain signe à tous de se taire, de stopper leurs activités. Le silence...Non.

Padam, padam

Il réagit avec vivacité. Une lueur fébrile d'effroi dans les yeux, il fit signe d'éteindre les feux qui avaient été si durs à allumer dans cette nuit fraîche. Lui-même pitétina les braises avant de s'allonger à plat-ventre.

Padam, padam

Silencieux, immobiles, ils purent distinguer nettement le cavalier noir à quelques centaines de mètres d'eux. Il n'avait pas osé traverser par Osgiliath, et cela sauva l'armée de Gondor, car il aurait suffit d'un demi-mille...

Padam, padam

Il passa tel l'orage du Mordor vers les sinistres terres de L'est, comme appélé par un sombre passé. L'air était devenu étrangement froid, et lugubre alors que la silhouette du cavalier noir n'était déjà plus visible, chevauchant à bride abbatue, à plein galop, vers Morgul.

Padam, padam, padam...

Puis rien...

D'un geste, Radamanthe indiqua qu'il était temps de relever les gardes, surtout après ce qui s'était passé.

"Reposez-vous, cavalier. Nous aurons encore besoin de vous."

Mais le passage du cavalier noir plongea pleinement l'Intendant dans la crainte. Et s'il les avait malgré tout repérés ? Voulant s'assurant du contraire, il s'aventura seul dans la nuit qui faiblissait, afin de trouver le poste des Griffes d'Ammoth.
S'il ne s'était pas rappeller plus ou moins où se trouvaient ces derniers, il ne les aurait sans doute jamais trouvés. En effet, ces mercenaires n'étaient pas des débutants et n'avaient rien laissé au hasard.

Là, on lui assura qu'aucun mouvement de troupe n'avait suivi l'arrivée du cavalier, mais que ce dernier était monté, seul, par le passage. De là, on put en conclure que personne n'avait vraiment le droit de s'en approcher, ce qui impliquait un surveillance négligente.
Du coup, les Griffes pourraient faire un diversion afin de permettre le passage. Il faudrait que la mission soit rapide.

Radamanthe rentra alors au camp, quelque peu soulagé du fait que leur position était toujours bien inconnue de leurs ennemis, mais anxieux aussi, à l'idée que le confrontement approchait.

"Bientôt, annonça t-il. Il faut préparer nos plans. Qui viendra en plus de la Guilde ? Erco Skaline, vous êtes prit automatiquement."

Dans la fin de matinée, deux chevaux et quatresz cavaliers apparurent à l'entrée du camp de Gondor.
Ils furent tout simplement accueilli par des lances pointés.

Soudain, un homme tira une épée de mithril et la pointa vers Meneldir.

Vous êtes en retard, Meneldir. Je pensait ne plus vous voir.

Et pourtant, je suis ici.Je ne vous présente pas Mithrandir, ni son épouse.
Voilà Balak, un homme de confiance.Vueillez me raconter se qu'il s'est passé et vite.Pourquoi avez vous stoppé votre marche alors qu'il fait plein jour?

Gebir expliqua rapidement la situation et les mena devant l'Intendant.
Meneldir prit la parole :

Sieur Radamanthe, je suis désolé d'être en retard mais une autre affaire requierait ma présece et nous voilà revenu.

Nous connaissons votre situation, notre ami nous là expliquer mais Que voulez vous faire.Il semble que nous sommes en minorité.

Erco entendit son nom est compris qu'il avait partir avec la guilde, cela ne le déplaisait.

Erco aquésa de la tête et dit à l'intandent

-Réveiller moi si nous partons.

Puis il se coucha par terre, et s'endormit tout de suite. Cela ne l'étonnait pas il avait besoin de dormir surtout s'il devait combattre. Il rêva de son enfance, des ses aventures, des combats qu'il avait vécu, des plaine du rhohan qu'il avait abandonné depuis fort longtemps. Quand il se réveilla il était reposé, il bu plusieurs gorgé d'eau, regarda sa blessure
, elle allait mieux mais elle lui faisait encore mal defois. Il carressa Arka.

Puis il se leva et alla discuter avec d'autre soldat.

Radamanthe entendit à peine les paroles prononcées par Erco Skaline, et n'y prêta guère attention. Ce qui venait d'arriver lui sembla bien plus troublant et important à la fois.

Son regard ne put se détacher du magicien à la figure familière qui s'approchait, il ne put pas plus cesser de fixer l'elfe qui avançait à ses côtés.
Ses doigts dans sa poche s'étaient ressérés sur un petit morceau de parchemin froissé.
Finalement, il ne put s'empêcher d'éclater d'un rire jovial sembalble au grondement du tonerre.

"Eh bien alors, je pense pouvoir déclarer que plus rien ne me surprendra plus dans ce monde ! Et pourtant, je ne peux pas dire que je ne fut pas prévenu (il tenait à présent le parchemin plié dans sa main) mais je me demandais si je devais y croire..."

Mais il reprit bien vite une expression plus neutre, bien que toujours étonnée. Une ombre passa sur son visage, car les paroles de Meneldir lui rappelait bel et bien ses problèmes.

"En effet, nous sommes en bien moins nombreux que cette armée, ce à quoi je ne m'attendais pas. Mais par dessus tout, nous ne savons pas qui est derrière tout cela, et on dirait qu'une grande importance est accordée à Silindë Celebrindal... Mais je n'en ai la certitude et hésite avant de risquer les vies pour lui. Mithrandir, vous que la providence nous renvoie, vous avez des connaissances que nous n'aurons jamais, et vous conaissiez Morgoth Eru..."

La fin de la phrase était très claire, bien qu'il fallait la deviner. "Qu'en pensez-vous ?"

Je rigolais à mon tour en m'approchant de Radamanthe

"Et oui, nous revoila qui aurait pu croire cela ?"

Fis-je dans un sourire en m'inclinant tandis que Milindë elle aussi souriait...

"Nous voila de nouveau réuni pour une même quête Radamanthe, cela m'avait manqué..."

Puis nous nous arretâmes de parler et nous pensâmes à ce qui nous attendais...

"Vous parlez d'une armée, vous n'aviez pas mentionné ce détail Meneldir...Même si je l'ai senti en venant ici... Cette armée est nombreuse, alors deux choix s'offrent à nous, mais avant de décider que faire nous devons rélféchir."
"Asseyons nous..."

Proposa Milindë avant de reprendre

"Silindë Celebrindal... vous devriez savoir pourquoi ils lui accordent tant d'importance mon cher."
"Tous ici connaissez l'histoire de la création des Orcs, et bien on peut dire que Silindë est en quelque sorte leur ancêtre... Une partie de lui a été perverti par Morgoth, et c'ets en cette partie que tous nos ennemis semblent fonder leur espoir... Car ils ont perdus... Morgoth a été jeté à bas de son trône et envoyé en dehors des neuf cercles de l'univers, enchainés par des chaines forgée par Aulë...et son fidèle lieutenant à été réduit à l'état d'esprit incapable de retrouver la moindre force et puissance suite à la destruction de l'Anneau...C'est pour cela que je parle d'espopir pour eux, l'espoir de voire venir leur temps, leur domination sur ces Terres... Et cet espoir réside en Silindë car la perversion introduie en lui est en vérité tel un morceau de Morgoth, une infame gangrene qu'il nous faut détruire ou renvoyer au plus profond de son être... mais je pense que nous ne sommes pas assez puissant pour cela"
"Il est probable qu'a l'instant ou nous parlons Morgoth soit dans le corps de Silindë"
"Deux choix s'offrent à nous... Soit nous allons au devant de l'armée et leur inspiront le courroux de Valinor, soit nous passons par un chemin plus secret et trouvons Silindë avant de faire ce qu'il faudra faire..."
"Cependant nous ne disposons pas de toutes les données, aussi il nous faudrait savoir tout ce que vous savez, car sans celà nous ne pourrons trouver le bon chemin..."
"Tous les Sages ne peuvent prédire ce qui arrivera et comme dirait Olorin Tout ce que nous avons à décider c'est que faire du temps qui nous a été imparti. Or ce temps est bref est cours, dites nous ce que vous savez et nous nous efforcerons de trouver la bonne chose à faire, Morgoth est moins puissant qu'autrefois, mais il ne le montre aps à ses serviteurs, il a beaucoup perdu en puissance et celle-ci est limitée par son enveloppe charnel, il est aussi diminuer que le furent les Istari pour ne pas briser le monde, voila ce que je pense..."

"Co..comment est-ce possible ? Cela signifierait laf in du monde que nous connaissons, ou sans doute la fin du monde tout court..."

La voix de l'Intendant n'était qu'un murmure frénétique presque imperceptible. Ses yeux qui s'étaient illuminés d'espoir à la vue du Magicien étaient sombre à nouveau, plus que jamais.

"C'est une terrible nouvelle. Et je suppose que vu d'où vous êtes de retour, il n'y aucun espoir pour que vous vous trompiez, hum..."

Radamanthe eut un rictus forcé, nerveux. Ils étaient dans une situation de désespoir totale.

"Et bien, je suppose que cela règle le problème de l'importance de Silindë Celebrindal. Nous enverrons des messagers demander tous les renforts disponibles. Mais le plan ne change pas. Nous éviterons tout affrontement avec l'armée. Cette nuit, nous crérons une diversion afin de pouvoir atteindre le passage de Torech Ungol où nous combatrons pour la chose la plus importante pour laquelle nous combattrons jamais, j'espère. Sans doute certains ne reviendrons pas... Mais peut-être sommes-nous nés uniquement pour ça..."

Il soupira.

"Cette nuit..."

"La fin du monde ? Non pas necessairement...Ne soyez aps fataliste... Voyez plutôt ça comme un renouveau, mais je ne pense pas que le temps soit encore venu à un remodelage du Monde... Pas encore..."
"Ce n'est pas parce que nous revenons de Valinor Radamanthe que nous detenons toutes les réponses..."

Le silence pesait à présent et je décidais de le rompre.

"Des renforts ? Non Radamanthe, cela ne ferai qu'accentuer les risques que nous soyons vus...Je ne pense aps que ce soit la solution a envisager...Le combat dont vous parlez n'est pas déséspéré, en un mot nous devons renvoyer Morgoth d'où il vient et pour cela nousa avons deux solutions, la première serait de tuer Silindë celebrindal, privant aini Morgoth de son essence corporelle et le renvoyant ainsi dans les tenèbres et le vide qui s'etend en dehors des neuf cercles de l'univers... L'autre seraient de l'affronter et de vaincre sa volontée pour le forcer a quitter le corps de Silindë... cette tâche bien qu'ardue, je m'efforcerais de la tenter, si jamais cela tourne mal vous saurez quoi faire...
N'ayez crainte, le pouvoir de Morgoth est plus faibles qu'autrefois, je vous l'ai dit... ce n'est plus un Valar, il n'est plus considéré comme tel, de plus ces pouvoirs bien que plus faibles que celui des Valars se trouveront diminués par Silindë Celebrindal... De deux façons, la première c'est un Elfe il adonc des possibilités limitées par rapport à ce qu'aurait été sa réincarnation dans un balrog ou autre chose de puissant, et en plus je pense que la volonté de Silindë n'a pas totallement déserté son corps...
C'est en cela que réside notre espoir... Je ne pense pas que cette histoire soit si importante, je sent que ce n'est que le commencement d'autres troubles, plus graves que le retour d'un fragment de Morgoth, car c'est ce qu'il est, tous ses serviteurs pensent qu'il a retrouvé son ancienne puissance, c'est faux, il n'est qu'une infime partit de lui-même et son pouvoir est limité... Je ne dit aps qu'il sera facile de le vaicre, je ne suis pas un Maiar a proprement parler et ses pouvoirs diminués sont considérables... Je dit juste que l'espoir réside ou on ne s'attend pas à le trouver....J'ai crains autrefois l'ombre de l'ennemi se rassemblant et j'ai crains la mort, je ne les craint plus... Débarassez vous de toutes peurs et elevez contre le mal, pour que même si nous perdons, ces evenements soient le contenue de chanson, battons nous pour ce que nous considérons comme juste, chations le traître aux Valars et à la Terre du Milieu, renvoyons le à l'abysse lui et ses innombrables serviteurs..."
"Qu'ils payent leur infames crimes."
"Il est certes triste d'avoir au pire à tuer Silindë, mais je pense qu'il comprendrait... du moins je l'espère, mais de deux mauts nous aurons choisi le moindre..."

Le ton virulent de ma vois s'éteignit alors et je contemplais le ciel et les étoiles pensant à Varda, à sa beauté et à la beauté de Valinor...Et tous purent voir une chose nouvelle, cette lueur masquée en moi et Milindë se revela un crout instant comme rustor m'avait dévoilé la sienne à Gar Thulion...

Il est plus que temps...

Saluant les membres de l'équipe présente, Balak attendit sagement la fin de la conversation, sans en perdre une miette. Puis il se décida à intervenir :
Vous raisonnez en termes de puissance, Sire Mithrandir, car telle est votre domaine... mais je doute que la plus grande force de... cet être se trouve dans ces actuels pouvoirs...

Le mercenaire attendit quelques instants, cherchant à capter l'intention de ses compagnons.

La trahison de ... mon vieil ami en est selon moi une preuve : les sbires du Seigneur Noir ce sont éveillés. En cette Terre du Milieu trop paisible, où chacun était habitué une paix à peine interrompu par quelques escarmouches, commence à bouger des forces obscurs, dans le secret, prêtes à frapper.
Oui, Morgoth est faible. Mais "Eux", le sont-ils ? Plus que lui en tout cas, mais ô combien nombreux ? Il se passe des choses dans notre monde dernièrement, des choses dont je ne saurais dire la nature, mais qui échauffent mon instinct. Depuis quelques années déjà je foule le sol de ces Terres en Mercenaire libre, et partout, je sens comme une montée de malaise à l'interieur des fiefs et des campagnes. Quelque chose d'indiscernable, dont je ne savais l'origine. Mais désormais... pourrons-nous lutter, alors que nos hommes, nos nations n'ont même pas conscience du danger ? Et mesurons-nous ce danger à sa juste valeur ? Je doute, mes amis... je doute que la tâche qui s'annonce soit si simple que vous ne le laissiez supposer, Mithrandir...

"Mon cher Balak, je sais tout cela, et la tâche n'est guerre simple, depuis déjà longtemps je sent aussi ce malaise se répandre en Terre du Milieu tel l'innondation de flots noirs et pourris... Les racines du mal sont profondes, et les semences de Morgoth ont bien poussées, cependant, si les ennemis on réussi à rassembler tant de personne à leur service c'est parce qu'ils croient au retour de leur maître... Sans maître, il se sentiront vulnérable, si nous réussissons à renvoyer Morgoth à l'abime il nous croiront très puissant... Je c'est que cette tâceh est folle, mais comme l'a déjà dit un Mage avant moi que la folie soit notre manteau, un masque aux yeux de l'ennemi. Rustor m'a fait prendre conscience d'une chose. Il ne sert à ruien de les attaquer ouvertement avec une armée, car personne n'en revienrait, mais il nous faut user de ruse... Frapper au bon moment au bon endroit dans l'édifice de l'ennemi. Désorganiser celui-ci, jouer sur leur différents comme le fit l'ennemi lui même auparavant, divisons pour mieux regner..."
"Les Ennemis pensent que les Valars se sont désinteressé de la Terre du Milieu, ce fut vrai, mais ce n'est plus le cas, ils ont fait don à certains humains de pouvoir leur permettant de continuer à veiller sur la Terre du Milieu tel les Istari d'autrefois. Ils n'interviendront pas en armes, mais nous donneront la force de combattre avec hargne, qu'avons nous à perdre ? Si nous ne nous battons pas de toute façon nous serons réduit à l'état de servitude et plutôt mourir que de servir un si vil maître."
"Ceux qui l'ont fait revenir sont conscient de sa diminution, ils savent qu'ils ne servira pas leur intêret comme un jouet, mais qu'il voudra diriger, ils l'ont fait revenir mais le craigne tout autant... Pour eux il n'est qu'un moyen de rassembler une armée, en vérité c'est un outil car il n'atteint pas l'espoir qu'ils plaçaient en lui. Ils avaient le fol espoir de croire à son retour dans toute son ancienne puissance. Il peut la regagner mais cela sera long et son corps n'est pas approprié à une telle puissance.
Nous devons agir, détourner leur attention et frapper ou il faut... Si nous parvenons à renvoyer l'infâme traitre d'où il vient nous aurons réussi un grand coup dans les plans de l'ennemi, car ils en ont d'autres, ceci n'est qu'une facette de leur plan... Ce qu'ils veulent par dessus tout c'est dominer la Terre du Milieu. La bouche veut croquer la pomme à pleine dans, mais elle pourrira et c'est là leur but... détruire l'oeuvre des Valars ou la pervertir et diriger cette perversion."

Je m'arretais, les étoiles semblaient voilée.

"A Elbereth Gilthoniel
silivren penna míriel
o menel aglar elenath!
Na-chaered palan-díriel
o galadhremmin ennorath
Fanuilos, le linnathon
nef aear, sí nef aearon"

Chantonna alors Milindë et les étoiles brillèrent d'un ardent éclat dans le ciel.

"Voyez comme elles nous répondent... Elebereth nous aidera et Lorien nous guidera, ne perdez pas espoir, mettons nous en marche..."

Radamanthe hocha la tête mais certains points ne parurent pas vraiment le convaincre.

"Mais peut-être sera t-il possible de vaincre l'esprit de Morgoth, mais qui sait si Silindë Celebrindal ne serait toujours pas vulnérable plus tard. L'hypothèse de sa mort est très envisageable..."

Mais ce n'était pas la seule chose. Les messagers étaient déjà partits et tous se préparaient.

"Il faudrait de toutes façons un grand temps pour qu'une armée de renfort vienne. Je sais parfaitement que ne nous ne pouvons compter que sur nous même pour affronter les ravisseurs de l'elfe. Mais ce n'est pas notre seul soucis... Cette armée est plus grande que celle qui attaqua la Cité, et il faut bien (ça voix devint un murmure) il faut bien envisager que nous ne réussissions pas..."

Il esquissa un drôle de grimace puis désigna le petit groupe qui s'était constitué.

"Préparons-nous, la diversion ne doit pas s'élaborer au hasard. Et Balak, non, je doute que ce soit simple et sans doute ne mesurons-nous pas l'étendue des dangers. Mais nous sommes seuls à pouvoir agir..."

"Il est en effet fort probable que nous ne réussissions pas..."

Fis-je avec un grand sourire devant les mines attérées des personnes présentes

"Ne faites pas cette tête, vous voulez connaitre la vérité, oui il est fort probable que l'on meurt... Et après ? La mort n'est pas si grave, je suis passé par là et j'en sort renforcé ! Laissez donc tomber vos craintes, nous serons guidés vers niotre but, mais nous ne nous detournerons pas. Préparez vos armes et vos bagages, le chemin sera obscure et Torech Ungol es toujours mal famé."

Je me levais et parti chercher mon paquetage, j'en sortit un pierre qui lança un éclat brillant et le fourrais dans une de mes poches rapidement. Je mis alors le sac sur mon dos, dégainais la Chantelame qui luit dans la lueur du la lune... Et la rengainais.Milindë se leva à son tour, se dirigea vers moi, m'embrassa et prit à son tous son paquetage.

"La nuit sera longue, puisse les Valars veiller sur nous"

Se fit-elle à elle même abimée dans la contemplation des étoiles.

"Je sens en vous le doute et la peur, mais où est donc la bravoure mes amis, laissez là s'exprimer, nous allons vers le Mordor, une armée nous y attends, si cela tourne mal nous leur inspirons la peur des hommes car les hommes sont forts. N'oubliez pas que les Orcs craignent la lumière et vous savait que la Magieest puissante... Surtout dans les mains d'une Elfe revenant de Valinor, la Magie est lumière en elle, ne craignez pas l'ombre, car elle resulte de la lumière et non l'inverse."

De bien belle paroles... Il nous faudra cependant dresser un plan, prévoir où nous nous cacherons, et ce dès notre arrivée en Mordor.

Puis Balak fit un signe au Mage, lui demandant une rapide entrevue.

Mithrandir... Vous souvenez-vous ce que j'avais demandé à Faegum ? Repousser les limites humaines ? Je vais vous expliquer cela plus clairement...

**(suite par mp)**

...Voila. Si vous pouviez m'aider, Seigneur Mage, j'abandonnerais toutes choses me liant à mon ancienne vie, même ma carrière de mercenaire, pour devenir votre serviteur jusqu'à ma mort.