Dernier groupe en Route pour le Mordor

Aorès avoir chassé Faegulm et prit le temps de préparer nos sacs pour l'expédition nous arrivâmes devant la Grande porte, attendant Meneldir...

Nos sacs contenait de la nourriture en quantité suffisante pour un long voyage, ainsi que de la boisson... Il y avait également des cartes de la Terre du Milieu et plus particulièrement du Sud de la Terre du Milieu... On y voyait les montagnes Blanches, Minas Tirith et le territoire du Mordor... Nous portions également des armes, j'avauis ma Chantelame et mon bâton et Milindë portait son épée... Nous étions paré, paré à une expédition et au combat s'il s'avverait necessaire... Dans le sac se trouvait aussi des vetements de rechange pour le cas ou, des vêtements chaud et des couvertures...

Meneldir arriva alors...

"Vous voila mon cher, nous sommes fin prêt, nous irons grans train ne nous accordant que peu de haltes, nous prendront tout de même quelque peu de repos en route, mais nous établirons un tour de garde, on ne saurait être trop prudent... La route est assez longue et qui sait ce que nous rencontrerons en route, mieux vaut prevenir que guérir... en allant bon train nous pourront peut-être rattrapé le précédent groupe qui est dirigé par Radamanthe, puis en toute logique nous retrouverons le groupe mené par Elessarion...Des questions ?"

Meneldir arriva aux portes où l'ttendait déjà ses deux amis revenant de la terre des valors, la belle valinor dont les elfes dépeindent avec une telle grace.
Il ne dit mots, désirant passer rapidement cette rapide cavalcade jusqu'à Osgiliath et un peu aprés mais ensuite ils leur fallaient se dépecher.

Bien, alors en route.Quand à rattraper Ellesarion, hasharin et les deux demoiselles, il sera bien plus difficile mais nous le tenterons.


Meneldir s'engagea au dehors dre la cité passant sous l'arche refait à neuf par les nains aprés la guerre de l'anneau.

Noro lim Nimdalf an men a prestan ammen na mellon.

Balak marchait lentement, terrassé par le poids de son passé. La vie n'était qu'une illusion douloureuse, il en était désormais convaincu. Rentrant péniblement, seul, car Alderic l'avait laissé à son triste sort, par crainte des réactions qu'aurait pu engendrer tant de frustration. En rentrant dans la cité Balanche, il vit la Grande Porte s'ouvrir, et des cavaliers pressés en sortirent. Lorsque Balak eut le temps d'apercevoir leur visage, il vit Meneldir, l'un de ses anciens compagnons d'armes, Mithrandir, le mage défunt, et Millindë, qui l'avait rejoint.

UNe vision ? une hallucination ?

Déjà, les cavaliers se mirent en marche, et commencèrent à galoper vers un objectif inconnu. Persuadé d'être face à une nouvelle moquerie de son esprit pour lui rappeler sa douleur, Balak ne put s'empêcher de crier :

-Holà, les revenant ! Balak Vous souhaite le Bonjour ! Vous revenez d'entre les morts ? Si vous y retournez, dites à Arianna que je la rejoindrais bientôt!!

Je stoppais net ma course... Et fit revenir mon cheval vers l'homme que nous avions dépassé en trombe sans reconnaître...

"Balak, heureuse rencontre assurément..."

Fis-je en lui souriant et en descendant de cheval tandis que les autres me rejoignaient.

"Vous semblez surpris de me voir... ous n'étiez pas dans la Cité ces derniers temps ? Je suis revenu il y a déjà quelque temps, mais au grand jour depuis hier seulement... Et nous n'avons pas chomé, j'ai retrouvé mon grade et nous avons chassé Faegum de la Tour..."
"Balak quelle joie de vous revoir... Oui nous revenons des morts, mais nous ne pensons pas y retourner de si tôt nous avons des choses à accomplir... Vous teniez de sombre paroles lorsque vous évoquiez cette Arianna que vous voulez rejoindre... Ne despérez pas, il nous sera donné à tous un jour de nous revoir lorsque le monde sera nouveau... En attendant voulez-vous vous joindre à nous ?"

Balak écarquilla les yeux. Ils étaient réels, il le savait, bien qu'il ingorait comment cela était possible.

Joie, Seigneur, Joie! Je suis bienheureux de vous savoir en vie! Je vous savais puissant, Mithrandir, mais de là à repousser les frontières de l'au-delà, jamais je ne m'en serait douté. Oui, je vous accompagne, Seigneur, et je ne demanderais nulle compensations pécuniaires, comme le voudrais mon métier : vous êtes de mes amis, et de surcroît, j'ai une dette envers Madame.

Se tournant vers Millindë, Balak la gratifia d'un sourire bienveillant. Puis il baissa la tête et son ton fut plus grave et sombre.

Je n'ai pu vous défendre lors de l'attaque des Suderons. je n'ai pu empêcher la mort tragique d'Hobasian, et ainsi... la vôtre. Que vous soyez revenu ne change rien, si ce n'est qu'il me faudra m'adresser directement à vous, et non à un membre de votre famille pour éponger ma dette. Je n'ai point de cheval pour voyager, ma jument étant resté au port de Belfalas. Aussi, puis-je me permettre de monter à deux sur un même cheval ?

"Repousser les frontières de l'au délà ? Non , ce sont suelement les Valars qui décidèrent que finalement nous libérer de notre fardeau n'était aps uen bonne chose car ce que nous avions construit s'éffritait déjà..."

Dis-je en le regardant ave cun grand sourire...

"Vous n'avez aucune dette envers moi Balak, ne soyez pas dur envers vous... personne n'aurait rien put y changer, que vous nous ayez sauvé cette fois ou non, n'aurait rien changé, c'était un dessein bien plus grand... mais même avec toute la bonne volontée du monde vous n'auriez rien pu faire... Personne n'aurait rien pu faire pour le protéger, et j'ai quitté la vie de mon plein gré... Même Hobasian mort et Mithrandir en vie je n'aurai aps quitter la vie, mais ce ne fut pas le cas... Chassons à présent ces nefastes jours de nos coeurs et tournons nous vers l'Espoir... "

Je remontais sur ma monture...

"La route que nous suivrons nous menera dans le passage que peu connaissent qui permet d'entrer en Mordor par le Col de la Vallée de Cirith Ungol, nous irons grand train sans trop de halte... Nous somems quatres et avons deux chevaux je pense qu'ils pourront nous supporter... Balak vous montrez avec moi et Milindë ira avec Meneldir... Cela sera plus pratique, je ne dit aps que vous êtes lourd, mais nous ne sommes plus un fardeau pour quelquonque créature que ce soit..."

Fort bien, partons immédiatemment alors. Notre quête nous amèneras sans doute au devant de grands dangers, vu le lieux où vous souhaitez vous rendre. Cela ne pouvait être mieux, au moins aurait-je quelqu'un ou quelque chose sur qui déverser le torrent de haine et de Douleur qui me ronge. Vous souvenez-vous de Khalid, Madame ? J'aurais des choses fortes intéressantes à vous relater à son propos...

Une fois sur le cheval, il n'osa regarder la Dame elfique dans les yeux.

...Mais considérez-le d'ors et déjà comme un traître.

Puis ses yeux se perdirent dans le lointain.

Je ne vous ai que trop retarder. Chevauchons, et que les Valars nous protègent.

(parenthèse intemporelle)

Le flux et reflux de passants et voyageurs, bien que plus pauvre que d'habitude depuis la récente attaque mais reprennant du poil de la bète, laissaient entrevoir toutes sortes de personnages aussi inhabituelles que courants aux portes de la cîté. Parfois, des marchands étaient arrêtés pour des contrôles surprise par la milice, parfois même certaines personnes trop réticentes avec la "coopération forcée" étaient escortés à la caserne pour un traitement surement moins "diplomatique".

Quoi qu'il en soit, dans tout se traffic, rien ne semblait trop inhabituel ni ne gagnait l'attention du trio... Sauf à un moment.
Mithrandir, malgré tout concentrer sur sa discussion pu ressentir comme le piccottement d'une aura étrange, très particulière et distincte à elle seule, un détail unique... Une espèce de marque que portait quelqu'un dans les environs.
De vue, le flux entrant était trop important pour discerner avec précision la personne qui portait cette "marque". Il y avait bien là plusieurs personnes encapuchonnés, portant des chapeaux et autres vetements destinés à la dissimulés un minimum et c'est bien rapidement que cette "sensation" disparu du mage, remontant visiblement dans la cîté...

Le frisson du mage lui sembla sur le coup quelque peu familier... Et bien qu'insignifiant, il happa l'attention de son inconscient l'espace d'une seconde. C'était juste assez pour le faire prendre conscience d'une rencontre particulière, mais sans pouvoir clairement l'identifié...