Bèledin
Garde de Khazad
Nombre de messages : 63
Age : 29
Localisation : ~ Là où il n'y a pas d'elfe, mais où il y a du gobelin à tuer... ~
Rôle : ~ Garde du Khazad ~
~ GRIMOIRE ~
 -: ~ Nain, Boucles Noires ~
 -: ~ Au moins 150 étés sous les paupières... ~
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 |  Dim 17 Mai 2009 - 21:51 | | HRP : À présent, j'écrirais mes posts à la 1ère personne, pour vraiment faire ressentir les émotions de Bèledin, ainsi que ses pensées. Nous étions enfin arrivé près du lac, et mon cœur battait très vite et fort. Je regardais Fréor sans cesse, car c'était lui que je devais suivre. La pleine lune éclairait notre chemin. Nous étions enfin arrivé à Esgaroth...
Cette cité me semblait très bizarre, et son lac encore plus. La plupart des maisons étaient allumée, mais ce qui l'était le plus, je pense, c'était le palais du comte. On pouvait apercevoir, même de loin, son immense beauté. Nous marchâmes un moment, puis, j'entendis des bruits de pas dans l'herbe assez loin derrière nous (cette nuit là, j'eus l'ouïe fine, apparemment) . Je m'étais caché, pour essayer d'apercevoir qui c'était.
Cette chose était petite, car je ne voyait pas de tête dépasser des hautes herbes et fougères. Puis soudainement je vis une queue poilue, dépasser des diverses plantes qui nous entouraient. C'était Arka ! Mais il allait nous faire repérer, car ses pas dans l'herbe n'étaient pas discret. De telle sorte que je ne fus pas le seul à l'avoir entendu. Fréor, mon ami, l'avait aussi entendu ! Je courus alors, le plus silencieusement possible vers la bête, pour la prendre sous mon bras. Elle ne se laissait pas faire, mais je parvins tout de même à l'attraper. Une fois habitué à la puanteur de mes aisselles, il arrêta de gigoter dans tous les sens, et se laissa transporter.
Nous continuâmes notre route, jusqu'aux portes de la ville. Le vent nous engouffrés dans la cité, et sa froideur avec lui.
C'était très silencieux... Voir même un peut trop ! Je regardais toujours derrière, devant, partout à coté de moi. Ce calme me paraissait comme un cri très strident qui agressait mes oreilles velues. C'était infâme, mais cela ne prévoyait rien de bon, car il suffisait qu'il y ait le moindre bruit, pour alerter les soldats.
Nous nous séparâmes, comme l'avait voulu Kivan. Celui-ci, Erco et Sirion partirent à pas de loups vers l'entrée du palais, et Fréor ainsi que ma personne étions partis nous cacher parmi les centaines d'habitations de la ville. Fréhïn, lui, était resté avec le reste des masques...
Dernière édition par Bèledin le Lun 18 Mai 2009 - 15:56, édité 2 fois |
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