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Un enlèvement pour les Chiens | |
| Erco Skaline Ambassadeur du Rohan à Dale
Nombre de messages : 1112 Age : 31 Rôle : Seigneur d'Esgaroth
~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim, descendant d'Eaden -: 31 ans -:
| Jeu 18 Fév 2010 - 23:06 | | Le crépuscule était finit depuis quelques minutes. Le Bâtard était sur place depuis plus d’une heure. Son habillement de la veille avait grandement changé. Son turban n’était plus, il l’avait troqué contre un bandeau de cuir décoré d’étoile. Ses cheveux tirés en arrière le métamorphosaient totalement. Comme seul haut, un gilet de cuir noir clouté vers les épaules. Une étoile ornait, peinte en blanc, l’armure légère. Une cape noire recouvrait le reste de ses vêtements. Mais on devinait facilement un sabre pendre derrière lui. Une dague courbée était cachée dans sa botte droite. Son sourire nargueur avait fait place à un sourire froid. Celui du mercenaire qu’il fut. Un tatouage tribal décorait son épaule droite. Il vit arriver peu à peu ses mercenaires. Tous hétéroclite, mais il avait plus ou moins confiance en eux. Etant un ancien mercenaire, il savait qu’on ne pouvait pas entièrement compter sur eux. Il sourit joyeusement à la vue de Taorin, menant un petit groupe d’homme d’arme. Le noble lâcha et faisant un pas en avant, tenant son fière cheval par la bride : -Bonsoir à vous, le voyage fut plaisant?…Son visage redevint plus dur, et il commença déjà à parler de manière pratique : -Vous arrivez à voir la fumée qui s’échappe là-bas ?....C’est notre destination….Nous devons parcourir environ deux, trois lieux pour y arriver. Je me suis renseigné, il y a dix mercenaires, cinq de gardes, les cinq autres dorment dans un pavillon à l’égard. Les neutralisés sera impératif….le sang pourra couler….Tuer un serviteur est déshonorant, mais tuer un mercenaire ne l’est pas, il est payé pour ça…les serviteurs pas….Ils sont placés de manière stratégique. Deux à l’entrée, et les trois autres patrouillent…..D’après ce que je sais, ce sont pas les meilleurs. On a de grande chance qu’ils dorment dans un coin….J’ai bonne espoir qu’on puisse les envoyer à jamais dans un autre monde en un temps record. Vos archers sont-ils précis ?
Hrp dsl du retard, je suis vraiment désolé, mais je n'ai pas eut le temps avant aujourd'hui. Hrp |
| | | Taorin Emir du Harondor Libre
Nombre de messages : 512 Age : 30 Localisation : Minas Tirith
~ GRIMOIRE ~ -: Humain (Haradrim) -: 36 ans -:
| Mer 24 Fév 2010 - 18:50 | | Nous nous étions retrouvés à quelques lieues de la cité marchande, hors de vue des voyageurs. Il avait fallu plus de temps que prévu pour rassembler tous les hommes, certains groupes ayant avancé trop profondément dans le désert, de sorte que nous arrivâmes à notre rendez-vous avec près d’une demi-heure de retard. La nuit noire du désert enveloppait le paysage d’un étau obscur, empêchant de voir à plus d’une quinzaine de mètres.
Le Bâtard s’avança, tenant son cheval par la bride.
« -Bonsoir à vous, le voyage fut plaisant ? », nous demanda-t-il.
Je hochais la tête. Quelques hommes, situés à proximité, firent de même, bien que la majorité n’ait pas entendu les propos de notre employeur. Puis il ajouta :
« -Vous arrivez à voir la fumée qui s’échappe là-bas ?....C’est notre destination….Nous devons parcourir environ deux, trois lieux pour y arriver. Je me suis renseigné, il y a dix mercenaires, cinq de gardes, les cinq autres dorment dans un pavillon à l’égard. Les neutralisés sera impératif….le sang pourra couler….Tuer un serviteur est déshonorant, mais tuer un mercenaire ne l’est pas, il est payé pour ça…les serviteurs pas….Ils sont placés de manière stratégique. Deux à l’entrée, et les trois autres patrouillent…..D’après ce que je sais, ce sont pas les meilleurs. On a de grande chance qu’ils dorment dans un coin….J’ai bonne espoir qu’on puisse les envoyer à jamais dans un autre monde en un temps record. Vos archers sont-ils précis ?
-Parfait. Mes archers pourront les abattre sans qu’ils s’en rendent compte. Une fois les gardes en faction abattus, j’enverrais quinze hommes neutraliser les gardes au repos. A priori, ceux là seront tués quelques minutes après les premiers. Je vous escorterais avec dix hommes : j’espère que vous retrouverez votre chemin dans cette villa, afin de nous éviter toute mauvaise rencontre. D’accord ? »
Le Bâtard acquiesça : il s’agissait en effet du plan mis en place à l’auberge du port d’Al’Tyr. Je fis un signe à Ezhed et à Khalid, leur expliquait ce qu’ils devaient faire, et nous nous mîmes en route vers la villa.
Les flèches volèrent vers leur cible. Les trois gardes qui patrouillaient autour de la villa tombèrent, répandant leur sang chaud sur le sable du petit sentier qui serpentait entre les diverses plantes du jardin. Les deux hommes qui gardaient l’entrée de la demeure connurent le même sort moins de trois minutes plus tard. Jusqu’à présent, aucun bruit pouvant alerter les habitants de la maison n’avait été produit.
Je fis un signe à Ezhel, qui partit de son côté avec quinze Chiens bien entrainés et fidèles. Face à ces hommes, les gardes ne feraient pas le poids. De mon côté, j’invitais le Bâtard à pénétrer dans la demeure, le faisant ouvrir la marche. Neuf hommes sur les talons, les meilleurs de ceux qui m’avaient accompagné à Al’Tyr, nous passâmes par-dessus les carcasses encore chaudes des gardes et entrâmes dans la villa… |
| | | Erco Skaline Ambassadeur du Rohan à Dale
Nombre de messages : 1112 Age : 31 Rôle : Seigneur d'Esgaroth
~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim, descendant d'Eaden -: 31 ans -:
| Jeu 11 Mar 2010 - 22:51 | | Le début de l'opération se passa à la perfection. Ces chiens étaient les plus efficaces. Ils devaient être dans les meilleurs dans bien des missions. Le Bâtard sourit devant ces hommes qui n'avaient ni foi ni loi, nul allégeance à part celle de l'or. Il avait été des leurs pendant une vingtaine d'année, puis s'était retiré pour profiter de ses gains. Son ancienne troupe avait été annihilé trois jours après sa désertion. Il ne s'en était jamais voulu.... Sans hésitation, son poignard bien en main, il avança en premier et entra d'un pas sûr dans la demeure. Les années passées à se battre et à être toujours à attentif reprenait le dessus sur sa vie de petit bourgeois. Il aimait cette sensations. Cette afflue d'adrénaline et de dopamine. Ses muscles bandés prêt à agir à tout moment. Il dit dans un murmure: -La chambre doit se trouver au deuxième étages, l'escalier pour y monter se trouve au bout du couloir à de droite.....Laissez quatre hommes ici, ils sécuriseront cette étages, et ne doivent en aucun cas perdre cette porte de sortie....Il avait la certitude que les mercenaires feraient bien leur travaille, mais le Bâtard préférait assurer ses arrières car malgré les informations qu'il avait en sa possession, il savait très bien qu'il s'attaquait à quelqu'un d'assez puissant et que donc il ne fallait prendre aucun risque. Il laissa les groupes se former, puis il monta les escaliers, Toarin était à ses côtés. Au moment ou ils arrivèrent en haut, cinq personnes armées sortit d'une porte, il semblait qu'ils avaient aperçu le groupe de mercenaire entré. Ils étaient bien décidé d'en découdre.... Nul n'aurait put dire si c'était de simple serviteur trop fidèle, ou d'autres mercenaires....Il fallait faire vite pour éviter de réveiller toute la maisonnée. |
| | | Taorin Emir du Harondor Libre
Nombre de messages : 512 Age : 30 Localisation : Minas Tirith
~ GRIMOIRE ~ -: Humain (Haradrim) -: 36 ans -:
| Mar 16 Mar 2010 - 16:36 | | Dès que nous eûmes pénétré dans la villa, je sortais mon sabre de son fourreau de cuir, faisant signe à mes hommes de faire de même. Certains avaient opté pour des lames courtes, plus pratiques pour se battre dans des couloirs, d’autres, comme moi, pour de longues lames courbes du désert, bien plus meurtrières mais plus encombrantes.
Quatre hommes restèrent à l’entrée, afin de nous garder une issue de secours. Aucun doute qu’ils réussiraient à tenir le temps que nous revenions, si jamais ils étaient découverts. Confiant, je suivis le Bâtard et montai les escaliers.
Le couloir était assez large : nous étions trois de front, bien qu’un peu serrés. Trois autres Chiens restaient derrière nous, près à prendre la relève d’un blessé. A peine le Bâtard mit-il le pied sur la dernière marche que cinq individu armés se jetèrent sur nous, armés de long coutelas. Habillés de vêtements simples, l’air fatigué et peu confiants, ces hommes devaient être des serviteurs un petit peu trop zélés. La manière dont ils tenaient leurs armes me le confirma rapidement.
Le Bâtard dû voir la même chose, car il réussit à assommer son adversaire d’un coup du pommeau de son poignard sur le crâne du domestique. De mon côté, alors que mon adversaire ne pouvait pas encore m’atteindre avec son couteau, je posai la pointe de ma lame sur sa gorge, faisant couler un mince filet de sang le long de son cou. L’homme lâcha son arme, tremblant, et resta immobile, sachant que sa vie ne tenait plus qu’à un fil.
Mes hommes maîtrisèrent rapidement les autres serviteurs, puis les assommèrent. Cependant, nous n’avions pas été très discrets : quelqu’un aurait pu entendre les petits cris de douleur des domestiques et les cliquètements de l’acier. Nous devions nous dépêcher. Je demandais à un Chien de rester pour surveiller les corps inanimés, puis avançais dans le couloir.
« Où devons-nous aller ? » demandais-je à notre employeur.
HRP// Désolé pour le retard//HRP |
| | | Erco Skaline Ambassadeur du Rohan à Dale
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~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim, descendant d'Eaden -: 31 ans -:
| Mar 30 Mar 2010 - 0:04 | | Le combat fut rapide, et les compagnons furent professionnels et analysèrent avec brio la situation évitant ainsi de faire couler le sang outre mesure. Le Bâtard tira un des corps inertes et fit signe à ses mercenaires d'en faire autant, arrivé devant une porte. Il l'ouvrit doucement et se trouva devant une chambre, sûrement un salon. Le groupe d'intervention cachèrent les assommés dans cette pièce, et les disposèrent de façon à ce que personne ne les trouve dans la pénombre. Ressortant, le noble mena ses hommes à travers les couloirs. Il marchait sur la pointe des pieds. Ses yeux filaient de droite à gauche sans cesse, cherchant un quelconque signe. Après plusiuers minute,s il trouva une large porte à double battant, il hésita, puis dit doucement: -Derrière cette porte se trouve le bureau du père, c'est la seul manière d'accéder à la chambre de sa fille sans devoir enfoncer trois portes de chênes et se confronter à une dizaine de garde....Le seul problème, c'est que ce bureau est aussi gardé, et que nous allons tomber sur le père, mais une fois cette obstacle passé, nous arriverons devant un escalier qui monte directement dans un petit vestibule, donnant à son tour dans une grande chambre, au troisième....A vous de choisir....Il se tut et attendit la réponse du mercenaire pour lui ça lui était égale, dans les deux cas il devrait se battre. La première solution, qui était de se confronter au maître des lieux lui plaisait bien, mais il devrait le tuer pour garder son anonymat....Grave dilemme qu'il remettait à Taorin. |
| | | Taorin Emir du Harondor Libre
Nombre de messages : 512 Age : 30 Localisation : Minas Tirith
~ GRIMOIRE ~ -: Humain (Haradrim) -: 36 ans -:
| Mar 6 Avr 2010 - 17:25 | | Nous progressâmes dans la villa. Les couloirs s’enchaînaient, les portes se succédaient. Puis le Bâtard s’arrêta devant une lourde porte à double battant, où il nous proposa deux alternatives. Soit nous foncions dans le tas, tuant quelques gardes et le maître de la maison, ou bien nous faisions un détour. Bien que la première soit plus risquée sur le moment, je craignais que rester plus longtemps ici ne nous attire que des ennuis, de sorte que je proposais au Bâtard la manière « forte ». Ce dernier acquiesça, et recula d’un pas.
Je fis signe à mes Chiens de se tenir prêts. Chacun dégaina sa lame et se positionna de part et d’autre de la lourde porte. Il me restait cinq hommes bien entraînés, des machines à tuer sans remords. Je reculais de quelques pas, fis signe à Mohammed, le plus imposant des Chiens présent, d’enfoncer la porte. Il se jeta sur le bois, l’épaule droite en avant, la lame levée. La porte céda du premier coup –elle n’était pas fermée à clé- et nous nous engouffrâmes dans le bureau.
Il s’agissait d’une pièce assez large –environ trois mètres sur cinq- avec, face à la porte, un large bureau derrière lequel était assis un homme visiblement assez âgé. De part et d’autre, deux gardes étaient debout, l’air endormi. Trois autres hommes armés étaient assis sur des fauteuils rembourrés de velours un peu partout dans la salle. Notre irruption les réveilla, mais l’heure tardive avait endormi leurs réflexes, de sorte que mes hommes tuèrent deux gardes avant qu’ils n’aient pu réagir. Malheureusement, les trois survivants formèrent un rempart de leurs corps entre nos lames et leur maître. De plus, le bruit causé par les cliquètements des lames fit venir d’autres hommes d’une salle adjacente, visiblement la relève de ceux déjà présents. Très vite, nous nous vîmes en infériorité numérique : au moins cinq autres gardes avaient rejoint les premiers.
Je jetais un rapide coup d’œil en direction du Bâtard : ce dernier, avec ses longs couteaux, menait à mal son adversaire, l’accablant de coups trop rapides. Je dus rapidement détourner le regard, un des hommes du maître des lieux cherchant ma peau. Il feinta, tentant de m’atteindre au bras, mais je ne le laissais pas finir son assaut avant de contre-attaquer violemment. Je lui infligeai une légère blessure sur l’avant-bras, faisant couler un mince filet de sang. Mais cette réussite me déconcentra, et le garde en profita pour lancer sa lame vers mon cœur. Je n’esquivai que de peu, et je senti la lame traverser le tissu et la peau.
Furieux, je lançais attaque sur attaque. Le garde recula et trébucha sur une chaise renversée. Sans le laisser se relever, je lui glissai ma lame entre les côtes, puis je redressais la tête, examinant la situation… |
| | | Erco Skaline Ambassadeur du Rohan à Dale
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~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim, descendant d'Eaden -: 31 ans -:
| Jeu 15 Avr 2010 - 21:59 | | La situation était figé. les deux camps combattaient farouchement, aucun ne voulait perdre. C'était logique. Les uns pour protéger leur maître, les autres par simple appâts du gain. Ils restèrent bloquer cinq minutes, lorsque soudain Taorin mit fin à son petit duel avec un des gardes, lui tranchant d'un mouvement fluide la trachée. Dés ce moment tout se passa avec une vitesse incroyable. Les gardes furent tué les une après les autres. Aucun pitié ne dérangea les mercenaires. Ils étaient entraînés à tuer. A tuer de manière implacable. le Bâtard frappa son adversaire l'éventrant: il criaun large sourire en voyant qu'il ne restait que leur hôte, acculé contre un mur son sabre en main droite, et une dague à la gauche. Il attendait, le regard pétillait. Il voulut parler, mais l'employeur des Chiens le coupa: -Montez donc cherchez notre but, l'escalier est à votre droite, avancer sur dix mètres, il y aura une porte, défoncez-là, elle sera dedans...Elle doit vivre je vous rappelle....
Voyant l'aire incrédule des mercenaires, il ajouta avec un petit sourire, le regard fixé sur le père: -J'ai à parler avec ce monsieur de ma futur conquête....Ha oui, elle est brune, et a un grain de beauté sur le haut de la fesse droite représentant une étoile.la rage emplit son adversaire, il était à présent sur que le Bâtard avait abuser de sa fille au moins une fois. Quel déshonneur. Lui qui la croyait encore vierge. Il s'élança l'arme haute. le noble para en engagea le combat le sourire aux lèvres.... les mercenaires prenaient déjà l'escalier, le montant quatre à quatre. |
| | | Taorin Emir du Harondor Libre
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~ GRIMOIRE ~ -: Humain (Haradrim) -: 36 ans -:
| Lun 26 Avr 2010 - 10:26 | | Nous massacrâmes les quelques gardes sans qu’ils puissent réagir. Mes hommes étaient suffisamment entraînés pour se défaire de ces quelques spadassins de bas-étage sans difficultés. Après avoir achevé mon deuxième adversaire, je jetais un coup d’œil autour de moi, afin d’évaluer les dégâts : les meubles étaient renversés, du sang parsemait les tapis coûteux, des morceaux de chair rosâtre tremblotaient sur le sol, éparpillés entre les cadavres atrocement mutilés.
Le maître des lieux tremblait de tous ses membres, une dague pointée vers le Bâtard. Il semblait sur le point de défaillir, et une flaque se formait autour de ses pieds. Il voulut parler, mais notre employeur le coupa :
« Montez donc cherchez notre but, l'escalier est à votre droite, avancer sur dix mètres, il y aura une porte, défoncez-là, elle sera dedans... Elle doit vivre je vous rappelle... »
J’acquiesçai d’un petit signe de la tête. Mais mes hommes semblaient décontenancés.
« J'ai à parler avec ce monsieur de ma futur conquête....Ha oui, elle est brune, et a un grain de beauté sur le haut de la fesse droite représentant une étoile » ajouta-t-il.
Je ne vis pas le maître des lieux se jeter sur le Bâtard, une épée de spadassin à la main. Mais notre employeur semblait s’y attendre, et un rude combat s’engagea entre les deux protagonistes. Je fis signe à Akhbel de rester surveiller et de n’intervenir que si le Bâtard semblait sur le point de perdre. Il ne fallait surtout pas risquer la vie de celui qui avait les moyens de nous rémunérer.
Entraînant les quatre autres Chiens, je montais les escaliers quatre à quatre. Comme on nous l’avait dit, un couloir menait à une petite porte. Faisant signe à mes hommes d’avancer en silence, je me plaçais face au battant et poussais lentement. Malheureusement, la porte grinça, et une voix endormie demanda qui venait la déranger. Sans plus attendre, j’ouvris violemment la porte et me précipitai dans la petite pièce sombre. Je discernais à peine le grand lit à baldaquin dans la pénombre. Voulant avancer, mes hommes sur les talons, je heurtais une table de chevet, renversant plusieurs ustensiles qui rebondirent avec fracas sur le sol de pierre. En avançant, je vis la personne dans le lit allumer une lampe à huile. Elle se retourna, nous vit, du sang éclaboussé sur nos vêtements, nos longs sabres à la main. Et elle fit la seule chose qu’elle pouvait faire, dans l’état où elle se trouvait : elle cria.
Je me jetais sur elle et lui plaquais ma main sur la bouche. Elle ne bougea pas, paralysée par la peur.
« Calme-toi, et on ne te fera pas de mal. Si tu te débats, on t’assomme. Bien… Calme… » lui murmurais-je.
Mes hommes l’attrapèrent, et la mirent debout. Elle était brune. Pour vérifier, je remontais sa robe de nuit. Elle tenta de se débattre, croyant sans aucun doute à un viol. Elle avait bien le grain de beauté tel que nous l’avait dit notre employeur. Bien. Je fis signe à mes hommes de me suivre, et ils traînèrent la fille qui se débattait comme une furie à ma suite… |
| | | Erco Skaline Ambassadeur du Rohan à Dale
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~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim, descendant d'Eaden -: 31 ans -:
| Mer 5 Mai 2010 - 22:55 | | L'équipe de Taorin était efficace. Ils avaient neutralisé tout leurs adversaires. C'était ce qu'ils croyaient...Dehors on s'activait fermement dans un silence presque complet, il fallait espérer que les sentinelles des Chiens les verront arriver. Pendant que le capitaine et son groupe dévalaient les escalier, le Bâtard terminait son duel d'un coup vicieux au possible, sa rapière perça l'aine et ressortit de l'autre côté. Il retira la lame qui fut poursuivie par un jet de sang. Le père terrifié lâcha son arme et porta sa main à sa cuisse. L'ancien mercenaire n'attendit pas plus pour planter la fine lame en plein dans la gorge, le tuant presque sous le coup. L'agonisant recula avant de s'écrouler. Les mercenaires et le noble se rejoignirent pour descendre dans le hall ou les attendaient les deux sentinelles, ceux-ci venait de repérer la force hostile. d'une dizaine d'homme en arme qui selon le cliquetis de leur équipement étaient entrainé. le Bâtard souffla sans jeter le moindre regard à sa captive: -Maudit, soient-ils....il nous faut passer en force....Taorin prend deux hommes pour m'escorter moi et ma jouvencelle, les autres se sépareront dés que nous auront atteins nos montures.Il laissa le chef des mercenaires ne faire passer son ordre, avant de lancer à voix haute: -On est parti!!!!Ils chargèrent toute arme dehors une force quelque peu inférieure à eux, mais un équipement bien plus puissant. le combat fut rude, mais rapide, les mercenaires voulaient juste s'enfuir, donc dés qu'ils blessaient, ils continuaient à avancer. En un clin d'oeil, ils trouvèrent leur monture et chacun en enfourcha une. Le Bâtard prit sa proie à ses côtés et talonna son étalon pour disparaître dans la nuit suivit par son escorte. Le lendemain, il payerait le dernier acompte pour cette enlèvement. les mercenaires ignoraient tout de ce qu'allait devenir cette jeune fille. Le Bâtard ne portait pas son nom pour rien, il était le pire de tous. Une fois qu'il aurait jouit de son "objet", il la vendrait très chère à un émir ou à un marchand d'esclave jurant de la virginité de sa marchandise. |
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