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[Soirée Discord XVI ans MT] Le trésor du chevalier | |
| Learamn Agent de Rhûn - Banni du Rohan
Nombre de messages : 1076 Age : 25 Localisation : Temple Sharaman, Albyor Rôle : Esclave au Temple Sharaman, Agent de la Reine Lyra, Ex-Capitaine du Rohan
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 25 ans -:
| Lun 4 Jan 2021 - 12:39 | | La nuit tombait sur Tharbad, donnant aux étroites ruelles de la cité arnorienne des airs aussi mystérieux que inquiétants. Jadis, la ville était réputée pour son faste mais cela faisait bien longtemps que les choses avaient changé. Malgré tous les efforts investis par la Couronne dans la reconstruction de la ville, Tharbad courait toujours après sa gloire passée. Pourtant, sous l’impulsion de la politique du Roi Aldarion et du Gouverneur du Cardolan, la ville s’était repeuplée et se développait même considérablement comme l’un des principaux points commerciaux permettant de faire la jonction entre le Gondor et l’Arnor à travers les terres sauvages de l’Enedwaith. Plus important, elle était désormais sûre. Les agents de la Rose Noire et les soldats d’Aldarion ayant désormais complètement fini de purger le royaume des restes du maudit Ordre de la Couronne de Fer. Pourtant une ombre planait toujours sur la cité. D’étranges rumeurs circulaient également dans les travers de la ville depuis que les grands sages de ce monde s’étaient réunis à Tharbad pour y signer la désormais célèbre “Missive des Erudits”, envoyée aux souverains et puissants du continent entier pour les alerter du danger qui les guettait. Sur toutes les lèvres, il n’y avait plus qu’un mot: “artefacts”. Ces mystérieux et puissants objets, ressurgis d’un lointain passé, animaient désormais toutes les passions. Ceux qui parvenaient à mettre la main dessus s’assuraient une grande richesse, voire bien plus… À condition qu’ils ne soient pas tués avant par d’autres chasseurs de trésors. C'est dans la fameuse taverne de Wagramn,aubergiste le plus célèbre de la cité qu'un groupe d’aventuriers hétéroclites profitaient d’un bon repas chaud. Ils étaient tous venus ici en réponse à l’invitation d’un certain Vardem Cara, qui se présentait comme “Porte-Parole des Bâteliers”. La mention de ce peuple, voguant ses les fleuves d’Arnor et d’Enedwaith à bord de leurs longues chaloupes de bois, était pour le moins intrigante. Ce peuple de marins aux activités opaques et coutumes mystérieuses n’inspiraient pas grande confiance aux habitants de la région, ni même aux autorités. Mais Cara avait été très clair dans sa coursive: il y avait une grande récompense en jeu. Et pour ces aventuriers, il n’y avait rien de plus sacré que l’appel de l’Or. Attendant l'arrivée du commanditaire de cette mission, les aventuriers décidèrent de faire plus amplement connaissance au travers d'un jeu importé du royaume frère du Gondor. Une activité plutôt simple mais qui amenait toujours son lot de franches rigolades et interventions savoureuses. Les plus doués du groupe purent d'ailleurs faire apprécier leurs talents d'artistes, une compétence qui pourrait peut être se révéler utile pour la mission à venir. C'est alors que la porte de l'établissement s'ouvrit à la volée. La silhouette trapue d’un homme se dessina dans l’embrasure. Ses traits étaient dissimulés derrière les volutes de fumées que crachait sa longue pipe en houx. Le nouveau venu balaya la salle du regard et s’approcha de la table des aventuriers en écartant les bras: "Ah mes chers amis! Vous-voilà! Excusez-moi du retard! J’ai été retenu par un officier un peu trop zélé de la Garde Marchande. Il doutait de la légalité de la marchandise que je transportais! Ah quelle blague! Vous savez on raconte beaucoup de chose sur nous autres bâteliers mais nous sommes avant tout des citoyens de l’Arnor avant tout désireux de respecter les lois de Sa Majesté Aldarion"Le petit sourire qu’il affichait ainsi que le ton adopté étaient autant d’indices que ses intentions étaient toutes contraires. “Enfin bref, assez parlé de moi! Penchons nous sur le plus important, à savoir VOUS! Ou plutôt ce pourquoi vous êtes venu ici."Vardem s’assit avec nonchalance et intima au jeune serveur indiscret de s’éloigner d’un regard évocateur (non sans avoir commandé une prodigieuse chope d’hydromel au préalable). Il but une longue gorgée avec délectation en faisant claquer sa langue et se décida enfin à en venir au fait. "Notre Princesse - que les Valars veillent sur elle - a récemment obtenu de précieuses informations. Un des grands héros de ce royaume, un preux chevalier d’Arnor, a disparu dans des circonstances mystérieuses avec ses frères d’armes lors d’une mission dans le Rhûdaur. Pour le moment nul ne sait la raison de leur disparition mais avant de partir, ce héros de la nation quié tait un des amis de mon peuple, nous a laissé ceci…”Vardem Cara posa, d’un geste théâtral, deux journaux sur la table. “Notre ami possédait un trésor d'une valeur inestimable dans les caisses de la Grande Banque de Tharbad. Seulement il a disparu sans héritier ni famille et il tenait à ce que son trésor revienne à la personne la plus rusée et brillante qui soit. Pour ce faire, il nous a laissé ces deux journaux. Ceux-ci contiennent des indices qui, une fois déchiffrés, devraient vous permettre d’ouvrir le coffre-fort du chevalier et de mettre la main sur ce fameux trésor. Très bien? Tout est clair? Alors tâchez d’entrer le plus discrètement possible dans la banque et n’ouvrez ce journal qu’après la fermeture de celle-ci,pas avant. Il y a beaucoup trop d’oreilles indiscrètes dans cette foutue ville…”Le Porte-Parole se redressa alors, rabattit son capuchon sur ses longs cheveux gras et ressortit de l’auberge pour disparaître dans les étroites ruelles de Tharbad. Les aventuriers, laissés à leur propre compte, se préparaient pour ce casse de siècles. Cependant, certains d’entre eux, prétextant devoir récupérer quelques effets dans leurs chambres, montèrent à l’étage. Derrière eux une silhouette mystérieuse, jusque là tapie dans l’ombre, invisible aux yeux de tous, se faufila dans leur sillage. The Young Cop |
| | | Evart Praven Trésorier Royal du Gondor
Nombre de messages : 335 Age : 32 Localisation : Minas Tirith Rôle : Trésorier Royal du Gondor
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 21 ans -:
| Mar 2 Fév 2021 - 21:16 | | Tandis qu’il se mouvait telle une ombre dans les ruelles boueuses de Tharbad, Maegon était inquiet. Esseulé aussi, cela faisait un mois qu’il errait dans la région du Cardolan pour traquer jusqu’aux derniers des derniers membres de l’Ordre de la Couronne de Fer dans la plus reculée des grottes ou le plus isolé des châteaux de l’Arnor. Si seulement il n’y avait que ça, voilà qu’ils devaient également chasser ceux qui chassaient des trésors ressurgis du passé. Toutes les organisations les plus interlopes de la Terre du Milieu étaient désormais à la poursuite d’anciens artefacts. Pour le moment, les intentions des uns et des autres semblaient floues mais le danger semblait aussi immense qu’imminent. Et lui était de retour dans la boue, non plus celle des campagnes profondes mais celle des villes, celle qui sentait les excréments. Il devait vite rejoindre l’auberge de Wagramn car on disait qu’il y séjournait.
Le « Il » en question était Caro Vero. Plus bas, le long du Gwatho, il avait entendu de nombreuses rumeurs : le représentant des Bateliers fanfaronnait. Il aurait retrouvé suffisamment d’indices pour mettre la main sur un précieux artefact mais le lieutenant de la Garde de la Rose Noire n’était pas en reste. Il savait tout ou presque de cette affaire. Tout cela avait trait à Angalahad Herestion. Rien que ce nom l’avait fait frémir. Il était connu pour être un grand chevalier du Roi Irimon mais on le disait étrange, parfois même paranoïaque. On racontait qu’il avait organisé autour de lui une petite cour de chevaliers qui partageaient certaines de ses déviances. Maintenant, il lui fallait retrouver ce qu’ils avaient retrouvé et dissimulé ici, à Tharbad. Ainsi, Maegon avait tout … ou presque. Il lui manquait les deux journaux d’Angalahad. C’était eux, et eux seuls, qui lui permettraient d’aller jusqu’au bout.
Heureusement, l’homme avait un plan, il allait prendre Vardem à son propre jeu. Le soldat secret de l’Arnor entra dans la fameuse auberge. Contrairement aux petites gens, lui ne venait pas ici pour se détendre après une rude journée de travail car le service du Roi ne souffrait d’aucun repos. Installé dans un coin, il remarqua le Batelier qui parlait fort et portait beau, celui-ci discutait avec un groupe de gens, pas tout à fait net, peut être des aventuriers en manque de frissons. Se levant, Maegon les suivit à pas de loups jusqu’à une chambre où ils semblaient préparer leur forfait. Ouvrant délicatement la porte, l’agent de l’Arbre Noir entra à leur suite. Face à l’intrus, les aventuriers dégainèrent leurs armes mais ils comprirent vite que cela ne servirait à rien.
- Je ne vous veux aucun mal. Si je suis là, c’est pour une raison de la plus haute importance. Je sais que Vardem Cara vous a confié deux journaux et souhaite que vous voliez le trésor auxquels ils mènent. Si je suis là, c’est pour servir l’Arnor et les Peuples Libres. Ce que Vardem vous demande, c’est de subtiliser un artefact d’une grande puissance pour le revendre au plus offrant. C’est un immense danger pour l’ensemble des Peuples Libres. Si vous aidez l’Arnor à remettre la main sur ce dangereux artefact, il vous sera reconnaissant.
Réfléchissant à la situation, nos aventuriers se rendirent vite compte qu’ils étaient dans une situation délicate. Pour en savoir autant, leur interlocuteur ne pouvait être qu’un homme puissant et dangereux. Valait-il mieux être récompensé par l’Arnor pour servir le Roi ? Ou prendre le risque de revendre ça à quelqu’un qui en offrirait peut-être plus ? Cupides mais prudents, ils choisirent la première option. Ouvrant le premier et second tome du journal d’Angahalad Herestion. Le paranoïaque chevalier avait dissimulé son trésor dans un des nombreux comptoirs commerciaux de la ville sous un nom d’emprunt. Après avoir cherché, parmi les blasons des chevaliers du petit groupe autour d’Herestion, ceux qui leur donneraient le code, ils découvrirent que l’artefact précieux était au Comptoir Nain de Tharbad sous le nom du Comte Arhaus de Chimay. Leur sang ne fit qu’un tour, vite, chez les nains ! Placé sur une petite place boueuse sans prétention, le comptoir se démarquait des masures environnantes. Il présentait une allure massive avec des murs épais, aucune fenêtre apparente et un lourd portique. Tambourinant à la porte, les aventuriers durent négocier avec le portier nain à travers un tout petit judas :
- C’est une urgence de tout premier ordre !
- Eh bien ! Si c’est une urgence, vous pouvez venir demain matin, nous sommes ouverts à l’aube.
- Nous n’avons pas le temps, messire nain. Nous partons dès demain.
- Eh ben… je sais pas, moi ! On est pas censé ouvrir la nuit.
- Je sais bien, messire nain, cependant nous savons l’importance qu’accorde votre comptoir aux relations à ses clients les plus fidèles.
- Pas faux…
- Si nous sommes dans l’impossibilité d’accéder à notre coffre, il va de soi que cette relation serait mise à mal.
- Pas faux…
- Et, si nous ne pouvons plus avoir confiance en vos services. Nous irons probablement ailleurs. Ce n’est pas la concurrence qui manque ici.
- Pas faux… Bon aller.
Ouvrant la porte, le gardien accueillit les aventuriers dans le foyer du comptoir. Vérifiant le nom du dépositaire dans ses tablettes de pierre, il les mena à travers les couloirs. L’établissement nain ne paraissait pas bien grand mais il avait fière allure. Austère à l’extérieur, il bénéficiait de toute la virtuosité des artisans nains dans ses décors intérieurs. Au travers d’un escalier étroit qui descendait plusieurs coudées sous terre, on accédait à la salle des coffres. Le petit être ouvrit la lourde porte d’airain et, ne sachant trop quoi faire, déclara solennellement aux apprentis voleurs :
- J’imagine que vous savez comment ça marche… Remontez quand vous avez fini.
Délaissant les aventuriers pour retourner à sa ronde, il s’éclipsa. Les cambrioleurs à petits pieds étaient maintenant dans la salle des coffres, à l’abri de tout embêtement pour une petite heure, et il leur fallait identifier quel était le bon coffre et en trouver le code. Heureusement, Angalahad avaient laissé suffisamment d’indices pour résoudre cette énigme mais c’était une affaire délicate. Il fallut d’abord comprendre retrouver tes indices dans un rapport de surveillance. Identifiant le numéro de coffre, ils avaient aussi à mettre la main sur son code mais celui-ci était chiffré. Ils durent ainsi en trouver le code, notamment au travers d’une étrange carte où étaient notés une centaine de lieux. Evidemment, il fallut tous les neurones des filous pour finalement ouvrir le coffre. A l’intérieur, ils en sortirent un petit objet enroulé dans un bout de tissu. Soulevant le coin du linge, ils découvrirent cet étrange artefact…
- Spoiler:
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| | | Learamn Agent de Rhûn - Banni du Rohan
Nombre de messages : 1076 Age : 25 Localisation : Temple Sharaman, Albyor Rôle : Esclave au Temple Sharaman, Agent de la Reine Lyra, Ex-Capitaine du Rohan
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 25 ans -:
| Dim 21 Fév 2021 - 19:25 | | Les cambrioleurs en herbe, interdits, observèrent ce mystérieux artefact pendant de longues secondes. Leurs regards absorbés dans ce qui recelait d’une ancienne et puissante magie. La curiosité était de petite taille, elle aurait pu tenir dans la paume d’un enfant ( ou d’un hobbit) mais semblait être d’une grande valeur. On aurait dit une sorte de disque cerné par les corps métalliques de trois vipères du Désert. Des crochets acérés du dangereux reptile, eux bien réels, ornaient la relique et menaçait de blesser quiconque la manipulait sans prudence. La surface du disque était translucide et laissait apparaître une brume d’un rouge vif et profond qui se mouvait lentement sans suivre de logique précise. Un tel phénomène ne pouvait être naturel; c’était la manifestation d’une magie ancienne et puissante. Plus ils observaient avec fascination cet étrange trésor, plus les histoires portant sur ces “mystérieux artefacts” revenaient dans les esprits du petit groupe d’aventuriers. Et si ? Et s’ils avaient entre les mains l’un de ces précieux artefacts convoités par tous les grands de ce monde? Cela faisait d’eux des gens puissants...mais aussi des cibles de choix… On frappa alors à la porte et une voix tonitruante gronda: “Au nom du Gouverneur Elende ouvrez! Ici, la Garde Marchande! Ouvrez!”
Misère! Les autorités étaient désormais à leurs trousses. Ils devaient à présent fuir, quitter la banque et sortir de la ville au plus vite. Dans cette folle course-poursuite, leur nouvel objet précieux pouvait-il leur être d’une quelconque utilité? Alors que les aventuriers se mettent à chercher désespérément une issue, une porte dérobée s’ouvrit à la volée et la silhouette de Maegon, agent de la Rose Noire, apparut dans l’embrasure. “Holà! Suivez-moi nous devons quitter la cité et remettre cet objet à sa Majesté!”
Galvanisés par cette intervention salvatrice, le petit groupe s’engouffra dans le passage secret en se hâtant prudemment. Le couloir étroit les mena jusqu’à l’extérieur mais ils étaient encore loin d’être tirés d’affaires. La lumière blafarde de la Lune révélait dorénavant leurs expressions inquiètes. Plein de courage, Maegon s’exclama: “Je vais faire diversion pour attirer les gardes. Retrouvons-nous à l'entrée de la ville! Faîtes bien attention à l'artefact!”
Les aventuriers prirent donc la fuite mais furent rapidement rattrapés par la patrouille, désireuse de leur faire payer leur crime. Un officier s’adressa alors à eux: “Rendez-vous immédiatement et remettez-nous cet objet.”L’un des membres du groupe répondit alors laconiquement d’un simple “Non” et la bataille s’engage donc. Submergés par le nombre, les aventuriers sont en bien mauvaise posture. Mais alors que tout semble perdu pour eux et qu’il s’imagine déjà croupir dans une cellule de Tharbad, un léger tintement métallique se fit entendre. Une pièce d’or rebondit sur les pavés humides de la ruelle. Un vieillard encapuchonné approchait lentement. "-Hmmmm…. Hmm…."Importunés par cet inconnu, les gardes décidèrent de se débarrasser de lui mais à leur grande surprise le vieil homme était vif et mit rapidement hors d’état de nuire plusieurs adversaires. Profitant de cette diversion miraculeuse, les aventuriers prirent leur jambe à leur cou et foncèrent en direction des portes de la cité marchande en laissant, de manière peu scrupuleuse, les camarades blessés à leur triste sort. L’un d’entre eux, à l’agonie, ne put que voir le vieillard mater la Garde Marchande avant de le laisser pout mort. Le groupe parvint finalement à atteindre les portes de la ville mais les soldats alertés de la présence de cambrioleurs, les ont déjà fermés et barricadés. Malgré quelques tentatives pour les ruser et ainsi s’échapper, les Gardes ne sont pas dupes et refusèrent d’ouvrir ces portes. C’est alors que l’artefact commença à émettre une lueur rouge de plus en plus intense. Les aventuriers purent alors distinctement voir que la brume rouge à l'intérieur du disque se dissipait lentement pour laisser apparaître une succession d’images furtives, comme des souvenirs diffus du passé. Et de toute évidence, l’ancien propriétaire de cet artefact était également passé par ici. L'artefact révélait un passage emprunté par le chevalier, jadis. Une porte dérobée, dans le secret, un passage inconnu des gardes. Sacrifiant l’une des leurs pour retenir les Gardes, les cambrioleurs amateurs se ruèrent à l’intérieur de ce fameux passage censé les mener vers la liberté. Dans l’obscurité de ce tunnel, ils se laissent guider par la lueur magique de l’inestimable objet qu’ils ont désormais en leur possession. Et finalement, le petit groupe parvint enfin à sortir de la ville. Là-bas dans les champs, une silhouette encapuchonnée les attendait. Comment Maegon avait-il pu être aussi rapide? L’homme s’avança lentement en direction du groupe. Il ne leur était pas inconnu. Ces vêtements pourpres étaient particulièrement familiers. Le vieillard qu’ils avaient croisé un peu plus tôt portait exactement les mêmes. Pourtant, ce n’était plus un vieil homme qu’ils avaient face à eux. C’était un jeune homme dans la force de l’âge qui leur barrait désormais la route. Un rictus mauvais sur le visage. Un anneau intrigant brillait à son doigt et une nouvelle pièce en or roula au sol. - Spoiler:
[img] [/img] #Gier
Avec un sourire carnassier, il dégaina sa lame:
“Vous avez quelque chose que je désire...Vous avez quelque chose que NOUS désirons!”
+++FIN+++
The Young Cop |
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