Une ascensions difficile, mais obligatoire

Suite au passage de cette petite troupe d'orcs qui semblait se diriger vers le nord tous vêtus d'armure paré au combat. Edrahil reprit la route direction des monts brumeux sous un ciel partiellement nuageux et une petite brise vivifiante.
Il n'avait jamais vu la neige, c'était pour lui une première, il n'était jamais sorti de la forêt en 110 ans de vie. Impressionné par la taille et la longueur de la chaine de montagne qui s'étendais a perte de vue, il commença l'ascensions des monts brumeux. Il se rendit compte que la neige ce n'était pas si terrible que ça étonner il continua sa marche.
Après quelque heures de marche, il décida de faire une pause, totalement dépayser et en manque de repaire de plus durant ce début de soirée le ciel, c'était couvert d'une étrange brume et les nuages remplaçaient le beau soleil de la mi-journée. L'inquiétude le gagna peu à peu et il décida de monter son bivouac, ici convaincu que la nuit lui portera conseil.
Il mangea son pain du soir en réfléchissant "qu'allait-il se passer demain" il était a la fois exciter et très incertain sur son avenir, avait-il vraiment des dons de magie, et si tous les autre avaient raison si son voyage ne rimer a rien la nuit tombée il s'assoupît rêvent de rien en particulier.
Le lendemain matin levé a l'aube confiante et remonter a bloque de ce qu'il avait décidé durant la nuit,

"il continuera sa route coute que coute".

Il remballa ses affaires dans son sac et continua enfin confiant et motivé d'aller au bout de lui-même après quelque heures de marche dans la neige et le froid il continua sa marche sur une côte très escarpé un sentiment de peur du vide dans la tète il se dit "surtout ne regarde pas en bas, surtout ne regarde pas en bas" mais il devait surveiller sur quoi il marchait. Après avoir passé la côte escarper un nouveau paysage de neige a perte de vue, quand allais t'il en voir le bout, quand allait se terminer cette marche infinie en ce lieu si inhospitalier.
Heureusement il avait rencontré personne jusque là l'idée de devoir croiser le fer ici ne l'enchanter pas.

Deux jours de marche après, ENFIN!!! Des montagnes interminables faisait place au loin a des plaines fertiles a perte de vue enfin la fin des montagnes,

"les montagnes, c'est pour les nains pas pour les elfes, non".

Une fois arriver a la frontière entre terre et neige, il s'arrêta au bord d'un cours d'eau. Il savait grâce à des récits d'elfe plus âgé que c'est plaines étaient aussi très dangereuse infester d'orcs accompagnaient de leurs féroces montures les wargs. Sur ses gardes, il continua de marcher. Le soir venu il s'installa sur un arbre heureux d'en retrouver un et de passer la nuit dessus, il ne parvint pas à trouver le sommeille trop préoccuper par les bruits de la plaine qui semblait éteinte le jour et plus bruyante la nuit bruie de loup ou de bête l'empêchant de dormir il passa donc une nuit blanche. Il reprit la route direction Fondcombe, sur ses gardes toute la journée, il n'entendit et ne rencontra personne de tout le trajet d'ailleurs faire la conversation commencer vraiment a lui manqué. Après une journée assez tranquille il arriva au porte de Fondcombe.

Toutes les âmes innocentes se voient à des kilomètres. Certaines brillent dans le noir, telles des phares. Cela serait presque indécent et donnerait presque l'impression que ces petits soleils réclament le pauvre sort qui leur arrive. Comme si ces âmes innocentes réclamaient qu'on les prennent, qu'on les déprave de leur innocence puis qu'on les jette dans l'ombre. Parfois ces âmes innocentes cessaient de briller et plus personne n'avait pour désir de les prendre de nouveau. Mais était-ce vrai à tous les coups ?

Cela importait peu, l'innocence est un marché juteux. Un marché qui rapporte gros dans les mains des bonnes personnes - ou des mauvaises, question de point de vue ou langage.

Et ce petit elfe solitaire, aussi innocent qu'une vierge, peu attentif à ce qu'il lui arrive, ne serait pas plus différent.

Mais le jour n'est jamais un moment propice, tout le monde le sait.

Alors la nuit tombe, l'âme innocente s'endort et se réveille à cause de bruits suspect. Même perché sur son arbre, l'Elfe a du mal à réaliser ce qu'il lui arrive. Jusqu'à ce qu'il sente la corde à sa cheville se serrer et le tirer vers le bas. Il lutte, résiste, mais la force venant du sol le dépasse et il tombe lourdement. Il est sonné et nous, voleurs d'innocence, l'assommons pour éviter qu'il ne continue de résister. On se fiche de son bouquin et babioles, un Elfe n'a pas de prix au marché noir.

- Chef, on fait quoi de lui ?
- Utilisez le cheval qu'on a prit à cette petit traînée de Bree. Autant l'utiliser correctement, ce canasson.

Alors qu'il était arrivé à Fondcombe sans trop de difficultés, sa rencontre malheureuse et éclair avec ses kidnappeurs l'éloigna de son but sans qu'il puisse y faire quoi que ce soit. Car, attaché comme il l'était, aucune lame ne put lui être d'une quelconque utilité d'autant qu'à part son épais livre, il ne lui restait vraiment que ses vêtements.

Et ses kidnappeurs s'éloignèrent des terres de Fondcombe pour retourner vers l'ouest, gardant Edrahil dans un état semi-constant d'inconscience.