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Sujet: L'innocence aux multiples visages [Nivraya]
Nivraya

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Rechercher dans: Annúminas   Tag zaël sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: L'innocence aux multiples visages [Nivraya]    Tag zaël sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyVen 27 Mar 2020 - 17:33
Tag zaël sur Bienvenue à Minas Tirith ! Alyss10


Le chat ronronne doucement dans les bras de la jeune fille, laquelle attire le regard attendri de ses deux nourrices. La première, tisonnier à la main, semble profiter de ce moment de répit pour reprendre ses esprits après s'être laissée aller à un fou-rire incontrôlable. L'hilarité générale aurait pu gagner Alyss, si la tension dans les muscles n'était aussi forte. Elle s'est contentée d'un petit sourire de circonstance, à peine capable de dissimuler son étonnement vis-à-vis de la réaction de la servante.

Ce rire nerveux, presque dérangeant, n'est que le reflet déformé de l'angoisse qu'elle a su péniblement contenir derrière cette porte fermée. Cependant, en balayant sa nervosité d'un esclaffement léger, elle a eu le mérite d'entraîner avec elle la petite Merilin. C'est encore son bien-être qui prime, et la voleuse ne peut s'empêcher de remercier les puissances du ciel et de la terre pour avoir épargné à l'enfant une inquiétude inutile.

Au lieu de quoi, elle se trouve debout en pleine nuit, à rire aux éclats avec sa nourrice et sa fée préférée. Transgression de toutes les règles établies, chat fortuit apparu comme par enchantement, et ce rire déconnecté de toute réalité… N'est-elle pas en train de marcher dans un rêve ? N'est-ce pas le cas des trois femmes rassemblées ici ?

Alyss est la première à les ramener dans le présent, soucieuse concernant la lettre de Nivraya. Le pli, dont elle ignore le contenu, lui semble tout à coup très important. Est-ce simplement parce qu'elle essaie de protéger sa maîtresse même après avoir été désavouée par celle-ci ? Le vestige ridicule d'un amour terni ? Ou bien est-elle seulement Alyss la Voleuse à l'intellect vif, capable de lier son sentiment de malaise étrange à la présence de cette lettre dans la demeure de Kervras ?

Un voleur aurait mille raisons de s'introduire dans la maison d'un sénateur pour y commettre un larcin, mais quel trésor mérite de risquer la peine capitale ? L'or et les bijoux, un voleur habile les trouverait ailleurs. La véritable richesse des maisons aristocratiques tient davantage au papier qu'au métal : titres de propriété, documents compromettants, livres précieux et autres feuilles à la valeur inestimable. Il serait tellement simple de mettre un sénateur dans sa poche en obtenant sur lui des informations précieuses. De quoi lui extorquer des sommes considérables sans y paraître.

Une reconversion possible pour la voleuse ?

L'idée lui traverse brièvement l'esprit, et se fiche dans l'arbre de ses pensées comme une flèche vibrante. Elle ne prend pas la peine de la décrocher tout de suite, consciente qu'un chaton doit bien se nourrir pour survivre. Elle revient cependant à sa question, et à la réponse de Verica.

« À l'abri ».

Un soupir de soulagement s'échappe de ses lèvres, et elle pose négligemment ses mains sur ses hanches. Voilà une nouvelle excellente. Au moins la servante a eu la présence d'esprit de mettre le document en lieu sûr, et de ne pas le laisser au vu et au su du premier intrus venu.

- C'est bien, répond Alyss avec empressement. C'est très bien. Ne prenez pas le risque de l'envoyer à Thor', j'ai peur que…

Son regard glisse vers Merilin. Est-il bien judicieux de parler de ces choses devant une enfant aux grandes oreilles, qui pourrait retenir des choses qu'elle n'est pas censée entendre ? La fée se penche vers la petite fille, et pointe un doigt vers le chat qui se laisse caresser sans broncher :

- On dirait qu'il un peu fatigué, il faudrait quelque chose pour le requinquer, non ?

Verica, qui comprend la manœuvre, prend le relais efficacement. Il est évident que cette femme est habituée à gérer les enfants, car elle pilote la fillette avec une dextérité incroyable. Sans que l'ingénue ne s'en aperçoive, elle est gentiment mise à l'écart avec le sentiment d'avoir une mission particulièrement importante, et une responsabilité de grande. La petite s'égaille en pépiant de joie, le chat dans les bras et le cœur heureux.

Comme les enfants sont charmants.

Alyss s'arrache à sa contemplation, et répond à Verica :

- Non, gardez la lettre. Laissez-la en sûreté, et n'en parlez à personne.

Elle s'approche de la fenêtre, et en ouvre les battants, puis les volets. L'air frais du soir s'engouffre dans la pièce, glissant sa peine à travers la chemise de nuit qu'elle a passée. La solide tunique de cuir d'Alyss la protège bien mieux de la fraîcheur nocturne, et qu'elle embrasse comme un vent de liberté rassérénant. Enfermée, elle se sent prisonnière, et il lui faut cette sensation de pouvoir plonger dans le vide pour se sentir complète.

- J'ai simplement un pressentiment… Reprend-elle. Une impression étrange…

Les mots lui manquent pour exprimer ce qu'elle ressent réellement. Comment le lui faire comprendre sans l'inquiéter ? Même si elle n'a pas obtenu la preuve formelle de la présence d'un individu dans la pièce, l'explication du chat ne la satisfait qu'à moitié. Par son entraînement, elle est habituée à envisager le pire sans attendre d'avoir des indices probants pour cela. C'est ainsi qu'elle a réussi à demeurer en vie aussi longtemps, et ce mauvais réflexe n'est pas prêt de la quitter. Prudente plus que de raison, elle sait que la demeure de Kervras est vulnérable – sa présence ici en atteste amplement. La vie de Merilin est donc en danger.

- Verica, souffle-t-elle en passant un doigt sur le cadre de la fenêtre qu'elle observe avec attention, j'ai besoin que vous fassiez installer un cadenas sur les volets de Merilin. Je vous en déposerai un demain. J'ai aussi besoin que vous fassiez changer la serrure de sa porte.

Elle s'approche de la porte, et sort de nulle part une sorte de grand clou en métal. Un objet dont l'utilité n'apparaît pas immédiatement aux yeux d'une profane, mais qui est très utile pour les acrobates comme Alyss. Il lui sert simplement de point d'appui lorsqu'elle escalade des parois particulièrement abruptes. Il lui suffit de gratter un peu le mortier, d'enfoncer profondément son clou entre deux pierres, et elle dispose soudainement d'une petite plate-forme stable à partir de laquelle il lui est possible d'observer ou d'ouvrir discrètement une fenêtre.

Elle enfonce le clou tranquillement dans la serrure, selon un angle particulier, puis donne un grand coup de pied dans le tout. Un « crac » sonore retentit, suivi du cliquetis métallique du verrou qui est allé rebondir sur le sol dans le couloir.

- Voilà, vous n'avez pas besoin d'inventer une excuse pour justifier votre course, comme ça.

L'esprit d'Alyss est simple, pour ne pas dire simpliste, et elle n'a en aucun cas pensé à ce que Verica à son employeur pour justifier l'état déplorable du verrou. Les détails techniques peuvent attendre.

- Adressez-vous au serrurier sur la place du beffroi, c'est un des meilleurs de la ville. Dites-lui que vous voulez sa serrure la plus perfectionnée, celle qu'il a utilisée pour le bureau de l'intendant Enon, au Palais.

La précision de la requête ouvre de nouvelles questions, mais est-il vraiment utile de demander à Alyss comment elle peut être au courant de tant de détails ? La petite Haradrim, qui semble inhabituellement agitée, observe tout autour d'elle avec fébrilité, cherchant quelles autres failles peuvent mettre en danger la vie de Merilin.

- Est-ce que vous voyez autre chose ? Pas d'autre accès à la chambre ? Une sortie de secours, peut-être ?

#Alyss #Zaël
Sujet: Le passé finit toujours par nous rattraper
Learamn

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Rechercher dans: Bree   Tag zaël sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Le passé finit toujours par nous rattraper    Tag zaël sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyVen 22 Aoû 2014 - 14:12

Visiblement Aliénor avait été très blessée par les dures paroles de Nunne. Le jeune homme navai pas été tendre et il en avait conscience mais après avoir vainement  essayé de la raisonner en lui parlant  doucement et calmement il n'avait vu que cette solution pour essayer de lui faire entendre raison. Si le Suderon se doutait bien que ces paroles ne plairaient pas à la jeune femme sur le coup , il espérait qu'elles la feraient réfléchir plus tard mais le jeune homme ne s'était ps attendu à qu'elle lève la main sur lui. La surprise qui cloua Nunne au moment où il sentit la douleur de la gifle sur sa joue était bien supérieure à sa douleur , à peine eut-il le temps de réagir , e comprendre ce qu'il venait de se passer ou de dire quelque chose qu'une seconde gifle , beaucoup plus puissante claqua sur son visage , le jeune homme sentit le goût du sang dans sa bouche. Retrouvant ses réflexes guerriers il bloqua la troisième tentative de gifle en attrapant le poignet de la jeune femme. Laissant libre cours à sa colère elle traita Nunne de menteur et de vil personnage , prétendant qu’il la manipulait pour qu’il puisse vivre heureux et tranquille. Elle tentait visblement d’atteindre le visage de Nunne de ses poings , mais le jeune homme maintenait fermement les poignets d’Aliénor , l’empêchant de lui faire du mal.
Finalement au bout de quelques secondes il lâcha les mains de la jeune femme qui se calma aussitôt , inspirant de grandes bouffées d’air , Nunne l’observant en silence .

-Tu as tort Aliénor , peut être que si je te tue je survivrais mais je t’assure que je ne viverai pas en paix.

Après avoir prononcé une dernière parole exprimant ses regrets elle lui tourna les talons et partit , craignant sûrement d’être poignardé dans le dos mais le suderon ne bougea pas d’un pouce songeant à la vie qu’il allait avoir à présent , pour survivre il allait sans aucun doute devoir fuit avec sa femme , il se serait séparé d’elle en espérant la sauver ainsi mais celle-ci n’accepeterait sûrement jamais. Combien de temps allait-il pouvoir survivre ainsi en fugitif traqué par un être surpuissant et qui semblait omnipotent ? Il l’ignorait . Peut-être fallait-il qu’il agisse , qu’il retienne Aliénor , qu’il la prenne comme captive mais biarrement son corps ne semblait pas vouloir obéir à ce qui lui disait sa raison. Il ne pouvait se résoudre à refaire ce pourquoi il avait fui l’Ordre : faire du mal. Mais Nunne n’avait pas faire quoi que soit , en effet quelq’un d’autre s’était chargé de retenir Aliénor. Le suderon entendit un cri suivi d’un bruit sourd.



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Halmun avait quitté Echtebourg depuis six mois maintenant laissant la ville aux soins du consiel des Anciens , la ville n’étais à présent plus en danger et prospérait  nouveau epuis que le seigneur Palantir aidé des elfes de Gar Thulion avaient repris Fondcombe des mains de l’Ordre de la Courrone de Fer et de leur général Lammâth. Mais l’ancien passeur d’étoiles savait bien qu’un autre elfe millénaire était encore sur le ring : Corbeau.  Halmun connaissait bie  l’elfe pour avoir été son disciple pendant plus de quinze ans avant de fuir dégoûté par la cruauté de son mentor et de rallier les Passeurs d’Etoiles quelques années plus tard sous le pseudonyme de Belette à cause de sa manie de fouiller et de retourner bibliothèques et archives entières à la recherche d’informations. A présent que l’Ordre était tombé , Corbeau se retourvait “libre “ de tout supérieur pouvant lui dicter des ordres , exit l’Orchâl ,Lammâth ou même les chefs d’expédition trop sûrs d’eux comme le Bras de Fer , à présent l’elfe millénaire était en roue libre et qui sait ce qu’il préparait. Pour l’arrêter il fallait agir et vite , recueillir des informations , le localiser et apprendre de combien de fidèles disposait-il , après avoir fait un tour dans les archives de Minas Tirith et avoir repris contact avec d’autre Passeurs il s’était dirigé vers Annunimas où le Roi Aldarion avait organisé une purge des anciens agents de l’Ordre , si Halmun voulait recueillir des informations sur Corbeau auprès d’ex membre de l’OCF il allait devoir faire vite , c’est sur la route qu’il aperçut une silhouette familière , il s’empressa de rabattra son capuchon afin que celle-ci ne le reconnaisse pas , quelques mètres devant lui , se dirigeant vers le nord se trouvait Aliénor Valdoré d’Anfalas , s’il y en avait bien une qui pouvait lui révéler des choses c’était bien elle , de plus elle semblait seule. Mais que diable faisait-elle là , Halmun choisit donc de la suivre discrètement jusqu’à sa destination : Bree. Il comprit assez rapidement qu’elle était là pour localiser d’anciens membres de l’Ordre ayant été en contact avec Corbeau pour les réduire au silence. Ainsi l’elfe voulait disparaître pour pouvoir continuer à combiner et à planifier en secret. Corbeau n’était pas encore assez puissant pour pouvoir s emontrer aux yeux de tous et se plaisait donc à manipuler et à jouer dans l’ombre , Halmun reconnaissait bien là les stratagèmes de son ancien mentor. La jeune femme était tombé sur Nunne , un autre ex-agent de l’Ordre qui avait participé aux sacs des villages environants mais qui avait fini par déserter , la haine du jeune homme pour Corbeau éait sûrement très grande et sûrement le suderon pourrait être utile à Halmun. Le chef d’Echtebourg s’était provisoirement installé dans la cabane d’un ami qui se situait en dehors de la ville puis il s’était dirigé vers Bree où il allait devoir intercepter Aliénor. Il la trouva en train de parler avec Nunne dans les écuries d’une auberge , terré dans l’ombre Halmun attendit que la jeune femme se décide à partir pour lui faire. Encpuchonné et vêtu d’une longue cape de voyage , Aliénor ne reconnut pas le sage humain sur le coup et ne put pousser qu’un petit cri strident avant que le vieil homme ne l’assome avec la garde de son épée. A ce moment Nunne accourut

-Qui êtes vous ? Qu’est ce que vous lui avez fait ? fit-il d’une voix à mi-chemin entre le soulagement et la panique.

Le sage d’Echtebourg descendit son capuchon et fixa le suderon de ses yeux bleus électriques.

-Vous savez qui je suis Nunne .

Décidément le jeune homme n’était pas au bou de ses surprises , après être tombé sur Aliénor la veille il avait devant lui Halmun , l’intriguant  et pacifique chef du village d’Echtebourg.
S’il était toujours aussi intriguant il semblait d’un coup beaucoup moins pacifique avec sa longue épée nue dans sa main et son expression dure et sévère sur son visage.

-Si j’avais essayé de la retenir par des paroles elle ne m’aurait pas écouté , j’ai donc agi en conséquence . De toute évidence elle n’est plus là-même que celle que vous avez connu il y a six mois. Elle est encore plus tourmentée , plus hantée par ses souvenirs et plus dévouée à son cruel maître.
-Dévouée à Corbeau? Elle le déteste plus que tout comment pouvez vous dire ça?
- Elle le déteste et c’est bien pour cela qu’elle ne le trahira jamais . Elle est si devouée que je pense bien qu’il sera compliqué de la fare parler.


Nunne semblait  incompréhensif

-La...la faire parler? Mais pourquoi?

-Elle seule peut nous renseigner  sur l’endroit où se trouve Corbeau et sur les forces dont ils disposent.

-Vous voulez vous attaquer à Corbeau? Mais c’est insensé.

-S’attaquer à l’Ordre dans son propre bastion était aussi insensé pourtant des gens l’on fait. A chaque minute qui passe  l’influence et le pouvoir de ce maudit elfe s’étend , il faut agir vite .
Suivez moi à mon logis et je tâcherais de vous éclairer.


Intrigué mais aussi un peu inquiet Nunne s’empressa d’alla chercher sonc heval aux écuries de la ville , Halmun l’attendait déjà aux portes de la ville , Aliénor inconsciente tsur la selle devant lui.
La chevauchée fut courte , cinq minutes tout au plus. Ils atteingirent une modeste cabane où vivait un vieil ermite coupé de la civilisation depuis des années , visiblement Halmun le conaissait puisqu’il avait investi l’endroit.

-Veuillez excusez notre hôte , il ne vient ici que pour dormir , il passe ses journées auprès de ses amis sans soucis aucuns ; les fleurs , les écurueils et les champignons  
, fit Halmun en rentrant dans la maison avant d’attacher Aliénor au pied du lit avec une chaîne.

-La chaîne est-elle vraiment nécessaire ?

-Oui elle l’est , la jeune femme n’hésiterait pas à courir rejoindre son maître si elle en a l’occasion.


A ce moment Nunne , visiblement contrarié par les méthodes d’Halmun s’emporta

-Où est passé l’homme sage et pacifique qui gouvernait Halmun? Et comment savez ce qu’elel va faire ou non ? Comment?

-Jeune homme! L’homme que vous avez vu à Echtebourg était un homme qui tentait de sauver les habitants de son village et celui que vous avez en face de vous est l’homme qui essaie de sauver l’ensemble de la population des Terres du Milieu d’un mal impensable. L’echelle n’est pas la même , quand ons acrifie du blé pour sauver un village , il faut sacrifier plus pour sauver un continent. Et sachez que je connaîs que trop bien les méthodes qu’exercent Corbeau sur ses serviteurs , je ne l’ai côtoyé que trop longtemps.


-Vous le connaissiez? fit un Nunne passant d’une émotion à l’autre en quelque secondes

-Il a été mon mentor pendant plus de quinze ans.

Il y eut un moment de silence que brisa Nunen d’une voix inquiète

-Vous n’allez pas la torturer quand même?

-Je ferais ce que j’ai à faire.

-On pourrait essayer de la raisonner , pas la peine d’en faire autant. Il ne faut pa sla brusquer elle est notre meilleure chance.

-En effet elle est notre meilleure chance et je ferais tout pour en tirer le meilleur ; notre invitée doit déjà s’être réveillée, rentrons à l’intérieur.


Les deux hommes poussèrent la bancale porte de bois et firent face à une Aliénor enchaînée  qui reprenait lentement ses esprits sur son lit de paille.
Après une regad jeté à Nunne  ce fut Halmun qui parla le premier

-Je suppose que vous me reconnaissez  Aliénor Valdoré d’Anfalas et je susppose aussi que vous saez pourquoi je suis face à vous aujourd’hui alors je ne vous poserai la question qu’une seule fois pour gagner du temps. Etes- vous prêtes à coopérer?

Halmun fixa la jeune femme de son regard électrique , il avait beaucoup appris de Corbeau et si Aliénor refusait de parler à cause de la crainte que lui inspirait Corbeau Halmun tait bien décidé à se faire craindre plus que Corbeau aux yeux de le jeune fille.

#Aliénor #Zaël #Halmun
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