Des Saltimbanques

Les gardes avaient jeté un drôle de regard quand Salim le montreur d'ours était entré dans la Cité.

Car le fait était là, il avait un ours.


A son passage à la Porte, il était dans une cage, sur un chariot, incapable de faire quoi que ce soit d'inquiétant, mais cette imposante bête à la fourrure brune avait le don d'impressionner.
Une autre caravane suivait menée par un personnage intrigant. En effet, il était de petite taille et fort maigre mais pourtant, c'était indéniablement un adulte.

Il semblait y avoir d'autres gens dans le chariot bâché, des voix s'en élévaient.

Il étaient allé jusquà la place du marché. Et alors qu'ils déchargeaient leurs affaires avec la ferme intention de rester, un officier chargé de l'ordre de la place vint les trouver.
Alors qu'il discutait fermement avec l'homme de voyage, une silhouette colorée surgit de la caravane dans un tintement de grelots et un éclair d'habits coloré.
L'homme sursauta alors que le fou faisait quelques pas sur les mains en riant.

Finalement, l'affaire fut conclue. Salim pourrait rester faire sa foire mais gare au moindre ennui avec l'ours.
Quand il fit sortir celui-ci, pour l'attacher à un pieu, cela provoqua pas mal d'agitation. Mais la bête était bien dressée et ne posa aucun problème.

Le bouffon ne participa au déchargement mais partit déjà amuser quelques passants pour une pièce ou l'autre.
Le petite homme maigrichon ne se révéla guère utile pour porter les quelques caisses mais plus pour alle les chercher à des endroits difficiles d'accès. En vérité, sa souplesse était telle qu'il aurait pu tenir dans une de ces caisses.

Le troisième frère, car tous étaient fils de Salim, semblait particulièrement tenir à une boite contenant des boules de toutes les couleurs. Il était fort habile avec celles-ci, c'était un jongleur expérimenté.

La famille de forains, qui trouvait l'endroit fort attractif, et surtout sans concurence, alors que la ville était énorme, tenait bien à rester un moment, et Salim entendait déjà les exclamations après les premiers tours de l'ours.

Après être passé à l'auberge, Yrian s'était dirigé vers la place du marché, où le montreur d'ours officiait.
Peu après son arrivée, celui-ci s'éclipsa, non sans avoir ramassé un joli nombre de pièces.
Aussitôt, le jongleur prit sa place. Il abandonna vite les balles classiques pour des poignards.
Mais alors qu'il regardait vers sa roulotte, il fut distrait et manqua un des couteaux.
Il ne cria pas, mais on voyait qu'il ne pouvait plus continuer.
Son bouffon de frère le remplaça immédiatement et le fit oublier en deux pitreries.
-Le spectacle continue, mes bons gens !


Mais près de la roulotte, le jongleur appliquait un bandage a côté de son frère contorsioniste.
* Mais qu'est ce qu'il t'as pris de sortir ça, idiot ?*

La voix du jongleur se voulait pleine de reproches.

Yrian s’assit mollement sur une espèce de gros tonneau posé contre un mur. Là il était suffisament en hauteur pour pouvoir observer la scène sans être trop dérangé par les autres personnes.

Il lui restait encore un peu de son plat, il en dégusta tout en contemplant la scène, le jongleur s’était coupé. Les personnes furent tout d’abord surprises puis inquiète mais lorsqu’il se releva sans gindre ils rigolèrent de bon cœur.

Les loups du mercenaire étaient eux aussi monté sur des tonneaux a vrai dire il y a avait une bonne dizaine de tonneaux et les loups disouadraient le propriétaire de leur reprendre leurs sièges.

Bientôt le bouffon vint passer dans les rangs pour utiliser des personnes et leur faire des gags. Il essaya même de venir embêter Yrian mais Urzak, le loup le plus âgé et soit dite en passant le plus grincheux, grogna légèrement faisant fuir le bouffon qui lui tira la langue afin de ne pas perdre la face.

Arriva ensuite l’ours avec son dresseur. L’ours avait un visage rieur et gentil il devait être bien dressé. Il se passa plus d’une heure mais le jongleur ne revenait pas ni l’autre car ils étaient quatre disait l’affiche.

Mais après quelques tours , particulièrement impressionnants, car le dresseur était particulièrement habile, quelque chose d'étrange se passa.

Le montreur, qui justement semblait si habile, semblait de plus en plus être craintif. Et sa bête le sentait.

Alors qu'il effectuait un tour, l'ours se jeta à moitié sur un spectateur.
Heureusement, Salim le retint à temps. Après cet incident, il préféra rentrer sa bête.

Bientôt, l'ours était ataché au poteau, tandis que les passants de dispersaient en racolant.
On ne voyait plus la famille, rentrée dans sa roulotte pour une quelque raison.

Tout le monde était partis du moins la plus part quelques badaux errant à la recherche de miette de pain. Suspect un dresseur qui laisse échapper son ours un instant et un jongleur se loupant en plein spectacle. Les deux avaient sûrement été distrait quelque chose.

Le mercenaire fini son repas rapidement et partit vers leur petite roulotte qui devait surement leur servir de maison, il fut vite accompagné par les trois loups qui n'étaient visiblement pas confiant en eux.

L'ours attaché à son piquet grogna et fit mine d'attaqué Yrian mais les loups montrèrent à leurs tour les crocs disouadant ainsi ce premier.

Le mercenaire entra dans la roulotte et vit les fils causer avec leur père. Mais de quoi causaient-ils ? L'entré du plus vieux des loups, la langue pendante fit se retourner les hommes

Le bouffon, toujours si jovial, ne riait plus du tout. Le jongleur avait saisi deux poignards, même si il devait être plus habitué à faire des tours avec qu'à ce battre. Dehors, l'ours grondait toujours. Il avait tout de même un fameux avantage question taille sur les loups.

Sur la table, il y avait une grande caisse en bois. Le contorsioniste la referma d'un coup du plat de la main.

Salim, se levant, assigna, d'un geste, l'ordre de rester tranquille.

-Que venez vous faire là avec vos bêtes. Sachez que si vous êtes un montreur de loup, un forrain comme nous, entrer dans notre roulotte ainsi n'est guère correct.

Le fait que l'ours se montrait menaçant envers ses loups rendit Yrian énervé. Il fut si énervé que sa main effleura le fourreau de son arme avant qu'il ne se ressaisisse. A la place de dégainer Yrian prit un air sombre et lacha :

- toi le jongleur tu ferais meieu de poser tes dagues ! Je suis rentré, reprit-il, car vous avez arrèté précipitamment le spectacle et je me demandais ce qui vous avais dérangé ?

le mercenaire préféra reprendre un air gentil et ne les questionna pas tout de suite surle contenu de la caisse.

- et non je ne suis pas un forin comme vous quoi que j'aimerai avoir votre talent pour dresser les bêtes, continua Yrian un compliment était toujours utile bein qu'il en doutait pas pouvoir tuer ces forins étant un bon combattant, mais l'ours serait surement une autre histoire.

L'expression que pris Salim ne fut guère joyeuse. Qu'on entre ainsi pour les questionner, et les menacer ne lui faisait pas plaisir.

-Eh bien, l'ami, si tu veux simplement savoir quand on va reprendre car tu nous aimes bien, ça vallait pas la peine d'enter ainsi.
Par contre, si tu veux fuiner dans nos affaires, je vois pas pourquoi on te le dirait. Et d'abord, qui es tu ?

Salim n'était pas rassuré. Cet homme ne lui inspirait rien qui vaille.

Yrian n'aimait pas être questionné ainsi. Il sentait le doute dans l'homme présent il fallait jouer sur cela. Lui dire qu'il était un mercenaire non cela effraierai le vieille homme. Un soldat ? non il penserait que l'on venait l'arrêter pour n'avoir su tenir son ours. Assistant du maître archer oui c'était une bonne idée de plus il avait son arc et son carquois bien fournis.

- Je suis l'apprentis du maître archer de Minas Tirith ! Je voulais savoir lorsque vous reprendriez mais j'aurai une autre question car j'aime particulièrement les annimaux, où avez apris à dresser votre ours ?

Yrian réfléchissait à une autre feinte pour trouver leur secret mais il n'en trouva pas encore il avisera après la réponse.

Salim inspecta l'homme. C'est vrai qu'il avait un arc, mais un apprenti accompagné de loups l'intriguait.

Il se jetèrent un regard de biais.

-Désolé, l'ami, c'est fini pour aujourd'hui. On reprend demain. On a nos raisons, et c'est privé. Quant à mon ours, c'est mon père, et son père avant lui, qui m'ont appris à les dresser, lui et tous les autres que j'ai déjà eu.

//Tu auras du mal à ce qu'ils te révèlent leur "secret" de bonne volonté.//

Yrian allait devoir utiliser un moyen de persuasion fort. Il ferma momentanément les yeux puis dit :

- Bon jouons cartes sur table, y a quoi dans votre coffre ? et avant même qu'ils ne puissent répondre, et c'est non seulement une question mais aussi un ordre je veux voir ce qu'il y a dans le coffre

La curiosité était chez Yrian un gros défaut et si il devait en venir aux mains il en viendrait au mains. Il se prépara justement à un affrontement, il évalua la situation : l'ours était attaché au piquet pas de soucis, trois jeunes hommes guerrent musclé et un troisième plus agé mais plus fort.

Salim se leva violemment. Mais qui était donc cet homme pour se permettre une telle conduite ?
Il s'interposa, mais ne montra aucun geste violent.

-Mais que voulez vous donc , vous êtes un brigand, ou un assassin ? Sachez que le prévôt saura bien vite vos agissements...et ça ira mal...

Alors que le jongleur était sur ses gardes, Salim semblait calme et serein. En tout cas, il ne fit aucun mouvement brusque.

Mais cela n'aurait servis à rien.

Le contorsioniste saisit la boite, sauta par la fenêtre, très très étroite pourtant, d'un bond agile.
Il s'enfuit en courant, évitant agilemment les passants.

-On ne s'introduit pas dans la vie privée des gens aussi facilement...

[Mode Hobasian]


Hobasian commença à enquêter sans le forgeron qu'il n'avait pas vu de la journée. Il flâna donc entre els étales du marché écoutant les conversations dont beaucoup tournées autour du dernier spectacle des Saltimbanques.
Tout en continuant à collecter des informations du mieux qu'il le pouvait, il se rapprochait de la roulotte des Saltimbanques. Il entendit des voies et vit une personne sortir par la fenêtre et partir comme un dératé.

"Cette Homme a quelque chose à se reprocher pour partir à une telle vitesse, c'st surement lui le voleur ..."

Alors Hobasian courut, bien qu'âgé, il avait encore beaucoup de force, il courut à la poursuite du contorsionniste dans la rue et après une course effrénée, le vit passer dans une rue sur la droite, il prit la rue juste avant et arriva au bout de la rue lorsque le contorsionniste y passait. Il l'arrêta donc et le plaqua contre un mur.

"Pourquoi fuyez-vous, avez-vous quelque chose à vous reprocher ? Un vol peut-être, un vol d'épée ? Maintenant ça suffit ! Pourquoi vous êtes vous sauvez de la roulotte comme ça ?"

Le contortioniste échappa à l'étreinte par son agilité mais il trébucha sur le peid du vieil homme, se retrouvant à terre, là où il aurait du mall de se relever.

Il avait laissé échappé la boîte, qui s'ouvrit, et de celle-ci tomba...un foulard avec un petit objet à l'intérieur...trop petit pour être une épée.
Il l'attrappa.

-Laissez ça ! C'est pas une épée ! Qu'avez vous donc tous à nous prendre pour des voleurs. C'est un objet personnel.


Mais un peu plus loin, un homme avec un bandeau sur son oeil avait vu la scène. Il portait une cape rouge vif. Alors qu'il se retournait, l'objet métallique sur son dos cogna le mur, faisant un bruit sourd qui attira grand monde.
Il continua d'un pas pressé.
Il arriva à un croisement. Il prit à droite. Il marcha dans un crotin de cheval, laissant une grosse empreinte très visible. La rue était déserte à part lui.
Alors qu'un peu plus loin il y avait une petite ruelle vers la gauche, il s'y faufila, laissant tomber trois pièces de sa bourse déchirée.
Il s'engouffra par une porte à droite, la referma violemment, et un bout de tissu rouge resta coincé dans l'embrasure, bien en vue.


//Les indices sont fait pour que vous (càd Hobasian, Yrian et Barthemir ou tout autre nouvel arrivant) vous en serviez.//

[Mode Hobasian]


"Mince, excusez-moi de vous avoir ainsi agressé et de vous avoir pris pour un voleur."

Fit Hobasian au saltimbanque en l'aidant à se relever.

"Cependant, une personne qui n'a rien à se reprocher ne s'enfuit pas de la sorte. Aussi, j'oublierais la raison de votre fuite si vous acceptez de m'aider à poursuivre l'homme qui est parti à toute vitesse. En effet, un homme s'est fait dérobé son épée et il vous soupçonnait, si vous m'aidez à coincez l'homme à la cape rouge, vous serez innocenté. Qu'en dites vous ?"

Tandis que le contorsionniste commençait à se demander si ce n'était pas une bonne idée, Hobasian, lui avançait déjà sur les pistes de l'homme à la cape rouge enjoignant le saltimbanque à le suivre d'un geste de la main.

Le contortionniste était déjà trop loin pour lui décocher une flèche et les saltimbanques restant trop tétu pour lui révèler la vérité aussi il déssida de partir à sa recherche.

Il ouvirt la porte et courut, les loups le suivaient langues dans le vent. Il arrivèrent bien vite au pres d'un vieille homme et sans même lui parler Yrian remarqua la trace de pas. Pensant au contorsioniste il courut encore. Un homme était devant lui il détenait une cape rouge.

Aussitôt Yrian s'arrèta saisis son arc et pris une flèche paralisante. La flèche partit contre un mur, le mercenaire reprit sa course éffrené. Autre technique. Il saisit ses trois petits poignards et les lança sur l'homme, un passa à coté de sa tête l'autre vint dans son bras gauche et le dernier dans sa jambe droite.

L'homme à terre Yrian dégaina, il entendit une flopé de juron mais il avança.

Alors charogne qu'a tu as nous dires dit le mercenaire une fois à coté de l'homme à la cape, juste avant l'arrivé des trois loups qui s'assoeillèrent pour se reposer encore une fois avec la langue dehors

//Atention ! J'avais dis que l'homme était entré dans la maison et en laissant des traces derrière lui. Il est évident qu'il est important qu'il soit ratrappé, mais si il est dans la maison, ben c'est là qu'il doit y être.
Soit, imaginons que ce soit là que tu l'aie eu, ça ne change rien, mais on aurait pu développer la traque.//

Yrian avait donc arrêté l'homme dans la maison, surgissant par la porte peu solide. Le brigand à la cape rouge, un regard haineux sur la face sortit une dague. Hobasian et le contorsioniste entrèrent à leur tour dans la maison.
D'une voix rauque, le brigand dit :

-J'aurais jamais du vous surveiller...c'était marrant de voir comment vous malmeniez ces pov' gars. J'ai bien rit...Et je vais rire encore, pa'c'que l'épée que vous cherchez, elle va vous ouvrir le ventre.

Trois gars descendirent de l'étage par l'escalier. Deux portaient une simple rapière rouillée mais l'autre portait une épée magnifique, et une cotte de maille épaisse.
Ces hommes avaient vu l'arsenal dont disposait Yrain et ferraient bien attention de ne pas se laisser toucher par ses poisons.
D'ailleurs, l'homme à l'épée semblait puissant combattant et assez agile pour esquiver.

[Mode Hobasian]


Hobasian se tourna vers Yrian

"Auriez vous une épée à me preter, je sais manier ces armes, mais je n'en porte aucune sur moi, et comme vous le voyez, j'en aurai besoin."

Tandis que Yrian lui prétait une épée, les hommes s'approchaient se faisant de plus en plus menaçants. Hobasian les avertit

"Je vous préviens, sous mes airs de vieillard, je n'en suis pas moins capable de me battre"

Hobasian avait donc une courte épée bien en main.
Un des hommes, qui était encapuchonné et portait une étrange amulette lâcha :

-C'est ce qu'on va voir !

Et il fonça vers le vieil homme, avec une mauvaise technique mais plein d'assurance. Il frappa un coup de haut en bas vers la droite.

L'homme à l'épée décorée chargea Yrian. C'était le seul à ne pas porter d'amulette. Il semblait bon combattant et enchaîna quelques techniques et porta un coup d'estoc vers le ventre du mercenaire.
Le troisième attendait sur le coté, prêt à intervenir si l'un des deux échouait.

Mais soudain, un autre homme, un arc à la main fit irruption dans la pièce.
Quand il vit les intrus, il s'exclama :

-Bon sang ! Je savais que c'était une mauvaise planque, chez ce brigand. J'ai du exécuter Vladi. Je préviens les autres. Dès que vous les avez tués, on se casse.

Il ouvrit une trappe et y descendit, laissant les trois hommes seuls avec les intrus. En endit bientôt des bruits de voix en bas.

Ils ne virent pas un faucon faire demi-tour dehors dans le ciel.

A la vue du retour de Melinol et ravi de son travail, Gildor préféra le suivre avant que la piste ne refroidisse, tanpis pour sa plaie.

A la vue du combat, il bandit son arc et entra dans la pièce, Meneldir et Balthazar, épée brandit.
Deux corps à corps se tenaient dans la pièce, et un homme se tenait à l'écart, tandis qu'un autre, vêtu d'une cape rouge, était cerné de trois loups.

D'un coup d'oeil, il remarqua l'amulette autour de son cou, mais l'homme l'avait remarqué et se jetait sur lui. Mais en un instant, l'homme mourut, une flèche dans la gorge.

"Je ne peux tirer avec certitude, il y a trop de risque de toucher un de nos alliés"

Ses deux compagnons étaient d'accord, et ils se jetèrent en renfort auprès de leurs compagnons de fortune.

De la trappe encore entr'ouverte, six hommes, dont l'assassin archer sortirent.
Tous portaient une robe de bure noire avec une capuche. Une amulette pendait à leur cou. Ils brandissaient un assortiment de dagues et de rapières rouillées.

Ils ignorèrent les combats d'à coté et se jetèrent sur les trois arrivants.

-Imbéciles ! S'exclama un gars robuste, chauve et pâle.
Deux groupes de gars ont découverts notre repaire. Faut régler ça !

Ils chargèrent les trois arrivants férocement, sans se soucier des coups qu'ils pouvaient prendre, tout les six en même temps.

-Bah, comma ça, ça fera des têtes en plus, dit un autre, confiant.

Alors là, c'est moins drôle...pensa Gildor

"Laissez-moi l'archer! Il est à moi celui là!" cria-t-il aux autres.

La situation s'annonçait délicate. Gildor récapitula vite fait, de son côté, on a six combattants et trois loups, de l'autre les six nouveaux venus, plus deux hommes au corps à corps et l'homme à la cape rouge....

D'abord surpris, Balthazar sortit immédiatement son épée. il approuva l'expression de Gildor. Mais ces hommes semblaient peu armés.

Il se tint en garde prudemment, et chargea un des hommes, le plus proche, qui portait une simple dague.

L'homme l'avait chargé hargneusement, et il évita le premier coup.
Ensuite, Balthazar le frappa mais l'homme bloqua de sa dague. Il recula et Balthazar suivit le mouvement. Mais l'homme fit un bas sur le coté et entailla le bras du gars du sud.
Il essaya de lui trancher la gorge mais Balthazar le repoussa, et commença un enchaînements, que l'homme eut bien du mal à parer.
Et finalement, on put lire l'étonnement sur le visage de l'homme qund une épée lui transperça la gorge. Il s'effondra et Balhazar resta à l'affut, attendant la réaction d'un autre homme.

[Mode Hobasian]


Hobasian chargea l'homme qui l'avait attaqué auparavant, il para habilement toutes les attaques du brigands qui s'éssouflait, et au moment où il l'attendait le moins, fit un pas sur le côté en évitant l'épée et d'un ample geste du poignée, entailla la nuque de son agresseur qui s'effondra sur le sol. Pendant qu'il exécutait cette parade, Hobasian se demandait ce que pouvai faire son fils à ce moment même.

Il se jeta sur un second homme et le combat reparti de plus belle.

"Empecher les de s'enfuir, prévenez la milice, appelez les citoyens ! Appelez les a défendre leur cité et a condamné les responsables des troubles !"

Balthazar venait d'abattre son adversaire, lorsqu'un arrivant le chargea. De dos, Balthazar n'avait aucune chance. Gildor banda son arc, et tira en plein coeur et l'homme s'effondra inerte dans un râle de mort.

Gidor profita du laps de temps donné par la mort de son adversaire, pour refermer ce qu'il restait de la vielle porte et se planta devant, empêchant tout ennemi de fuir par là.