A l'Auberge

Forlong se dirigeait vers l'auberge.
L'air frais qui regnait dans les jardins des Maisons de Guerison lui ramena l'appetit.
Il etait suivi par son ecuyer, Bannor, un jeune homme intelligent et devoue a Dol Amroth.
Son regard fut attire par une colonne de fumee montant vers le ciel dans le haut de la Cite...mais ce n'etait rien d'exceptionnel...surement les funerailles d'un noble ou d'un dignitaire mort pendant la bataille.

Ils arriverent ensemble a la taverne, et, apres avoir laisse leurs chevaux devant l'entree, ils entrerent dans la piece.
Le Seigneur de Dol Amroth reconnut tout de suite la voix de son ami Gebir, et se dirigea vers la table, autour de laquelle etaient assis plusieurs chevaliers de Brethil et de Dol Amroth.
Il s'approcha d'eux et dit:
-Bonjour mes amis! Je suis content que vous soyez la...permettez moi de vous joindre...
Il s'asseya, puis demanda:
-J'ai vu une colonne de fumee s'elevant du Haut de la Cite...surement quelqu'un d'important est mort. Vous savez pas de qui il s'agit?

HRPG:en fait la bataille je l'ai fait car j'étais obligé,mais je ne voulais pas la faire alors je n'ai pas posté.

RP:

La bataille avait été rude,mais elle était finit,tant de mort pour juste prendre le contrôle de quelque chose,que les êtres vivant peuvent être cupide et assoifé de pouvoir et d'argent...Nous étions rendu déjà à l'auberge avec Forlong,des fumées venait d'en haut la cité,un homme devait brûlé...Nous entrîmes dans l'auberge,il n'y avait que peu de monde.J'allais m'asseoir à une table et Forlong me suivit.Je commandais deux bières et me mit à boire,les minutes qui suivirent furent silencieuses.
Je me tournais vers Forlong et lui adressais la parole:
Cher amis,une seconde fois je dois vous quitter car je dois rejoindre les miens....Vous me verrez présent quand le moment seras venu,Que les valars éclairent votre chemin et en écarte les ombres...

Sur celà je finit mes bières,donnais l'argent à la serveuse et je sortais de l'auberge regardant Forlong avant de refermer la porte,Je remontais sur mon cheval qui n'étais pas désellé et je repartais de nouveau,m'éclipsant de Minas Tirith pour un long moment...Le voyage serais assez long....


HRPG:

Post court car peu de temps,désolé.

Gebir regarda Forlong avec pitié lorsqu'il posa la question.
La réponse était dure à donner et il se demandait comment le seigneur n'avait pu entendre la nouvelle.

C'est compliqué.
Nombreux furent les morts dans cette bataille mais une famille entiére fût décimé. Mithrandir est mort à Fangorn et on dit que son corps fut amené par un aigle à Rath Dinen où il rejoigna sa femme et son pére pour le dernier voyage.
Je suis désolée mon ami.
On dit que l'enterrement n'aura pas encore lieu avant le retour de ses amis.
Je suis désolé,Forlong mais les temps sont si durs.

Gebir poussa un soupir et regarda le ciel qui était gris.

Jamais, le gondor n'avait pas connu de tel période de dueil depuis la guerre de l'anneau.

Forlong eut juste le temps de saluer son ami elfe avant que celui ci ne parte.
Il se retourna alors vers Gebir.
En voyant les mines graves des chevaliers, il ressentit une douleur soudaine dans le ventre, un peur de ce qu'il allait etre dit dans un moment.

Les mots de Gebir tomberent sur lui comme une avalanche, couvrant tout dans le noir, le noir sans lumiere, le noir du desespoir.
Mithrandir, le mage de la Cite, que Forlong ne connaissait pas si bien, ce personnage toujours occupe a voyager a travers les Terres du Milieu en combattant le Mal.
Milinde, sa belle femme, l'elfe douce avec les amis, mais puissante et dangereuse avec ses adversaires.
Et finalement Hobasien...un de ses premiers amis lors de son arrivee a Minas Tirith, son compagnon pendant les combats contre la Secte des Amulettes...
Une famille si heureuse, attendant un mariage...

Trop. Trop de mort, trop de desespoir. Berund, Mithrandir, sa famille...des centaines d'autres citoyens, soldats, femmes, enfants...
Pourquoi?
Pourquoi la mort continuait a ravager les Terres du Milieu?
Pourquoi meme les coeurs de certains elfes devenaient noirs et pourris?

Meme les plus grands Sages ne pourraient repondre a cette question.

Forlong avait perdu la volonte de vivre et de faire quoi que ce soit.
Sa faim disparut soudainment...Il se sentait fatigue.

Il tourna son regard, embrouille par les larmes qui coulaient de ses yeux,
vers son ecuyer, Bannor, et Furian, celui qui servait Gebir.
Les deux jeunes hommes s'entrainaient ensemble au combat, en riant et lancant des cris enthousiastes.

Comment se fait il que tant de malheur et tant de bonheur peuvent apparaitre aussi prets l'un de l'autre?

Gebir regarda Forlong d'un air chagriné lui aussi avait perdu, son mentor.

Il ne voyait dans la mort que la fin de tout et il pleura lui aussi devant l'air triste de Forlong.Il regarda lui aussi les deux ecuyers et il dit à Forlong d'une voix étouffé.

Nous leur devons à eux, la nouvelle génération pour qu'il connaisse des jours bien meilleurs que les notres.
Le peuple de Brethil doit se battre pour que son peuple prospére un jour.
Tout comme les autres peuples libres.Les sacrifices sont nombreux et tous sont pour la liberté.

Balak pénétra dans l'enceinte de l'établissement. D'un simple geste il commanda le seul alcool qu'il s'autorisait, et que le tenancier avait finis par retenir. Il s'assit donc à une table, seul, où on lui servit un verre d'hydromel. Il vit les Chevaliers de Dol Amroth attablés, dont Forlong, l'un des hommes les plus estimés par le mercenaire. Il semblait agard, perdu dans ses pensées, et son regard traduisait une infinie tristesse et une grande lassitude. Balak vint naturellement à ses côtés.

Forlong, mon ami, je vois à quel point la mort de nos amis vous attriste, et je partage votre sentiment. Mais leur fin de doit point être vaine, et nous devons continuer notre oeuvre. Le mal qui ronge les Terres du Milieu devra payer pour toutes ces ignominies, et nous serons les lames de son châtiment. Redressez-vous, Forlong, chevalier de Dol Amroth, fier guerrier du Gondor, et ensemble, vengeons nos frères d'armes tombés pour notre grande patrie.

Forlong releva sa tete en voyant Balak et le salua.
Lorsqu'il entendit les paroles de ses deux amis, il repondit:
-Vous avez raison... Nous devons continuer a combattre le Mal dans les Terres du Milieu. Mais on a perdu des nombreux allies puissants dans ce combat, qui semble etre sans fin...
La corruption et le mal ronge les terres du milieu comme un ver qui ronge une pomme de l'interieur. Meme les elfes et les chevaliers de Dol Amroth servent ce qu'ils detestaient avant.
Gebir, tu connais Dol Amroth depuis bien plus longtemps que moi...
Que devons nous faire? Il est essentiel que Dol Amroth n'abandonne pas le Gondor dans cette heure difficile.

Dol amroth est encore dans la capacité d'aider le Gondor.
Nous aurons peut être à attaquer une nouvelle fois le Harad pour leur infligé un tel coup qu'il ne puisse se relever.
Les chevaliers de Brethil et les quelques chevaliers de Dol Amroth devront aider le Gondor du mieux qu'ils le puissent.

Il faudra que les chevaliers se mettent d'accord sur un chef car Berund n'a laissé aucune instruction claire pour sa succession.

Gebir pensait à ce que lui avait dit les deux chevaliers de Brethil, les derniéres paroles du Prince étaient dans la langue de Dol Amorth et Gebir avait un peu de mal à tout comprendre.
Il devait aller traduire certains mots.
Tout devait peut etre s'éclairer.

Nous verrons ce que le roi décide, je crois que le mieux pour l'instant est de rester ici dans la cité, un moment.
Partir n'est pas acceptable, nous sommes les représentants de Dol Amroth .

Forlong repondit a Gebir:

-Bien sur, tu as raison, les chevaliers de Brethil sont fideles au Roi Mephisto, et nous l'aiderons comme nous le pourrons...
Mais ce n'est pas le fait que trop peu aideront le Gondor qui m'inquiete, mais le fait que d'autres se tourneront contre lui...

Il s'arreta un moment, puis continua:

-Je pense qu'il serait effectivement de rester dans la Cite Blanche pour le moment. Dol Amroth est un endroit dangereux, et ici nous pourrons rassembler les chevaliers fideles et rester pres du Roi.
Il nous faudra bien profiter des jours suivants...
Je me demande combien de chevaliers reussirons nous a rassembler...

Une ombre rentra dans l'auberge, elle chercha quelqu'un puis le trouva.
Elle s'approcha donc de Forlong et lui dit :
-Seigneur....j'ai une trés mauvaise nouvelle!!!! Comme vous devez le savoir Mithrandir est mort!!!......Mais un autres reste introuvable...Morgoth le Ghildmaitre des Ombres!!!

Puis il s'éloigna et sortit de l'auberge.

Forlong resta bouche bee lorsqu'il entendit l'homme prononcer ces paroles.

Mithrandir ainsi que sa famille, tous connaissant les secrets et etant devoues a la guilde, etaient morts.
Ellesarion Eolchil, le maitre des Ghildmages, etait absent depuis longtemps, et Forlong ne savait pas ou il etait.
Meakil Oth Harad, le maitres des Guildlames, etait probablement quelque part au Harad, quoique l'armee haradrime aux portes de la Cite Blanche ne signifiait rien de bon.
Et maintenant Morgoth, l'elfe noir etrange qui avait combattu aux cotes de Forlong lors des combats a Dol Amroth...

Morgoth est disparu...est ce que Forlong devrait le chercher? Mais comment trouver cet elfe noir qui passait toujours inapercu?

Le Seigneur de Dol Amroth devra se rendre dans la Tour de Mithrandir...peut etre qu'il y rencontrera quelqu'un de la Guilde.

Il regarda Balak et Gebir. Ils etaient tous les deux ses amis, mais la Guilde etait unw organisation secrete.
Forlong savait que Balak avait participe a une reunion avec Mithrandir, mais ne pouvait dire combien le mercenaire savait.

Balak paraissait soucieux.

Ainsi les membres les plus influents de la...tous disparaissent... On dirait que...Pardonnez ces paroles, Forlong...

Le mercenaire adressa un regard désolé au seigneur de Dol amroth et lui sussura à l'oreille.

Mais il semblerait que la guilde est échouée.

Pendant quelques instants, balak se caressa son épaisse barbe, dans un apparent effort de réflexion. Puis son regard se reposa sur Forlong.

L'organisation dont tu fais parti, mon ami, n'était que lumière, et mithrandir était le phare qui illuminait les purs et punissait les mauvais. mais sans lui, la lumière s'aveugle avec ses propres rayons, et sa clairvoyance n'est plus que l'ombre de ce qu'elle fut hier. Forlong, la lumière a failli. Pour vaincre le mal, certains croyaient en elle, mais elle n'est plus. Nous devons désormais y faire face...autrement.

Il invita le chevalier à s'assoir quelques instants à sa table pour s'entretenir avec lui de choses privées. Désormais, l'Ombre se mettait en marche.

La suite par mp^^

Konrad ouvrit la porte de l'auberge et s'arrêta sur le pas de la porte, s'attardant sur l'inscription.
Il jeta un regard alentour, scrutant la salle. En ce moment de la journée, la salle était plutot bien garni, les commercants et autres venant se prélasser devant une bonne bière.

Konrad sourit et rentra dans la taverne d'un pas lourd. Il traversa la salle bruyante et se dirgea vers le comptoir. Il s'apercut que un nain tenait le comptoir.

-J'ai interêt à faire attention à mon argent... se dit-il à voix basse.

Il s'approcha alors du comptoir, se faisant une place parmi les clients alignés au comptoir.

-Une bière s'il vous plait ! fit Konrad d'une voix sèche.

Hasharin apres avoir érré en ville decida d'aller a l'aubergeretrouver ses amis, ses compratriotes. Il rentra avec son loup, et trouva Forlong, Balak et Gebir. Il discutait de problemes de la Guilde. Hasharin les salua et s'assit:
-Bonsoir messieurs. D'apres vos dire, mercenaire nous aurions echoué. Même s la mort de mithrandir nous attriste tous. Mais un mur tient toujours même si il manque une pierre, il est juste plus banqual. Donc la Gui... existe toujours, mais doit etre revigorifié.
En s'adressant à Forlong:
- Mon tres cher ami, je suis aussi attristé que vous par cette nouvelle... -un noeud se forma dans sa gorge mais l'assasin continua- Nous n'y pouvons rien... Nous devrions rester comme vous le dites a la citée pour une periodes indeterminé, en jouant de nous metiers et de nos statut aupres de certaines personne. Si nosu voulons en parler nous devrions reunir autant de membre de la guilde possible et nosu faire une reunion.

Oeil-de-Nuit était couché aux pieds d'Hasharin, et inspirait la terreur au personnes trop curieuse qui tentaient d'ecouter la conversation.

Il rentra dans l'auberge, juste après avoir déposé sa démission à l'amirauté.

La taverne était animé, comme d'habitude. Il s'avança vers le comptoir et demanda une bière.

Il tenait l'alcool, mais pas tellement, alors il éviterait tout ce qui était trop fort.

Le patron lui servit la bière... Et lui la but avec plaisir.

Quand il eut fini sa bière, il demanda un amuse-gueule.. Pour faire passer le temps et réfléchir a son avenir… Scribe ???

HRP Hasharin, t'as pas pu entendre les paroles de Balak sur la guilde, il les a chuchotees a mon oreille... HRP

Forlong salua Hasharin qui venait d'entrer dans la piece.
Apres avoir entendu les paroles de celui ci, il repondit:

-Mon ami, restes discrets a propos de cette organisation...les murs ont des oreilles et des nombreux ennemis caches se trouvent dans la Cite Blanche ces derniers temps... Une reunion serait utile, sans doute...

Il fit signe de la main, montrant a Hasharin de changer de sujet.
Il commanda une choppe de biere, et commenca a boire lentement, en essayant de se relaxer apres cette journee difficile.

Son regard glissait sur les differentes personnes se trouvant dans la taverne; le gros aubergiste rouge, quelques hommes armes, probablement des mercenaires, deux ou trois soldats du Gondor, quelques citoyens...

Son regard s'arreta sur un jeune homme.
Ses cheveux etaient blonds, ses traits avaient une certaine noblesse...elfique. Cet homme devait avoir du sang de Dol Amroth.

Forlong l'appella:

-Hep, l'ami! Tu m'as l'air bien seul! Viens nous rejoindre!

La phrase avait été prononcer en langue de Dol Amroth.

Eaque se retourna. Il vit un chevalier, enfin, ce devait en être un, car il portait un épée.

Il avait besoin de compagnie.

Il s'avança vers la table, et s'adressa au chevalier:

"Je vous remercie de m'inviter. Puis-je connaître votre nom, chevalier, si je me présume. Je vous donne le mien, pour ne pas paraître impolie: Eaque, fils de Théodore, noble marchand de Dol Amroth."

Toutes ces phrases étaient dites en langue de Dol Amroth, et non en langage commun. Eaque voulais voir si cet homme parlé parfaitement la langue de la cité du cygne, un langue assez dure a maîtriser, si l'on n'y est pas né.

Le jeune homme se retourna, et s'approcha de la table ou Forlong et ses compagnons etaient assis. Il parlait dans la langue ancienne de Dol Amroth, que Forlong avait appris pendant les quelques mois qu'il passa a la cour du Prince Berund et en compagnie de Gebir.

Il repondit dans cette langue:

-Je suis effectivement un chevalier de Dol Amroth, auparavant au service du Prince Berund.
Je me nomme Forlong Neldoreth, et je ne suis pas originaire de Dol Amroth, comme vous l'avez surement remarques en entendant les fausses notes de mon accent. Je viens des plaines glacees du Arnor, origine des dunedains du nord.
Mais asseyez vous!

Il dit d'une voix plus forte, en langage commun cette fois ci:
-Aubergiste! Un cruchon de vin rouge!

Heureux de faire votre connaissance. Mon pere recoit souvent des hommes de Dol Amroth dans sa deumeure. Passez donc chez nous un de ses jours.

Puis il se tourna vers les autres, et se présenta, cette fois ci en language commum.

Le pichet de vin rouge arriva, ce qui ravi le jeune homme. Il devait tout de meme faire attention à ne pas devenir trop joyeux.

Konrad attrapa sa bière, et but une longue gorgée, l'appréciant à sa juste valeur. Il parcourut la salle des yeux, cherchant un groupe de personnes dans lequel il pourrait s'intégrer, et entamer une discussion.
Malheureusement, il ne se trouvait pas dans la cité depuis pas mal de temps et il n'osais pas aborder les gens de peur que ces derniers le prennent mal.

Son travail n'était guère réjouissant, d'autant quand ce moment, l'ennui était grand car à part les entrainements journaliers, il ne restait qu'a la caserne.

Il y avait sans doute des guerres au loin, ou on aurait besoin de lui, mais il n'en faisait pas parti. Ainsi, c'est devant une bière modeste qu'il se mit à révasser, et à se remémorer sa vie de soldat, attendant le déclic qui le ferait avancer dans la vie...

Peu a peu, Forlong se relaxait, et oubliait les difficultes de cette journee terrible.
La faim lui revint, et il commanda du poulet roti avec des pommes de terre.
Il commenca a manger, tout en parlant avec ses compagnons et profitant de l'excellent vin rouge.

Son regard passa encore une fois sur les visages des gens rassembles dans l'auberge; ces yeux rencontrerent ceux d'un soldat du Gondor, seul, apparemment ennuye.
D'un geste de la main amical, le Seigneur de Dol Amroth invita l'homme a les joindre a table.

En attendant, il demanda a Eaque:
-Je visiterai la maison de votre pere avec plaisir, si une occasion s'offre.
Quel est votre profession, Eaque?

(hrp: merci mon gars de me faire entrer dans la converse,je me sentais vraiment seul ^^)

Konrad balayait d'un regard vide l'auberge, quand tout à coup un homme le regarda et agita sa main, d'un l'air de dire de le rejoindre à sa table.
D'abord étonné, Konrad fut ravit que quelqu'un est remarqué sa solitude, et il ne fallut pas lui dire deux fois de venir à la table.

Il se retournit, prit sa bière à demi-pleine, et se dirigea calmement à la table de l'homme qui l'avait convié.

-Euh, merci seigneur de m'avoir invité à votre table. bredouilla t-il. Je vous remercie. Je me présente, Konrad, fils de Cullyn et pour tout vous dire peu de chose dans cette immense cité. Un simple soldat,et nouveau en plus!! Quel est votre nom, ainsi que ceux de votre table ?

Konrad avait pris une approche discrète, pour ne pas les brusquer. En effet, il ne connaissait pas encore le caractère des personnes présente à table, et il ne pouvait prendre le risque d'entrainer une bagarre pour de simples paroles, comme cela lui était déja arrivé...

Meneldir descendit à grand pas vers l'auberge jouant des coudes pour traverser la place rempli de marchants et acheteurs de toutes sortes.

Meneldir pénétra dans l'auberge habituelle.Il y trouva assis Forlong, Hasharin, Balak, Gebir et un autre homme que le professeur ne connaissait pas.
Meneldir sortit de sa bourse 30 po et les tendit à laubergiste qui passer lui demandant une bière des rois nains.

Il s'installa à la table et glissa un mot à l'oreille d'un des hommes présents qui firent le tour en évitant Konrad.

Une réunion sera bientôt organisé, ne quittez pas la ville.
Bargonno est revenu..........nous allons enfin savoir comment IL est mort.


Meneldir soupira:


Les temps sont dures, le bien doit gagner.

Meneldir parla peu regardant dans les yeux de Forlong et d'Hasharin le desaroi tel le sien mais il ne trouvait pas le même.Tous était différent.

Bargonno toujours aussi sombre depuis la mort de son cousin entra dans l'auberge. Elle sentait l'alcool et la fumée de tabac, il put trouver dedans plusieurs habitué, ils étaient soi ivrogne ou chercheur de différente quête dans les terres du milieu. Personne ne put le reconnaître car sa capuche les empêchait de le voir, après avoir bien examiné tout ce qui se passait dans la taverne il s'assied près du professeur:

-Vous m'avez demandé de venir alors me voilà. Mais avant de me dire ce que vous avez à m'annoncer il faut que vous sachiez que Feagum à prit la place de Mithrandir, il ne peut certes prendre des décision seul, mais ce rang lui donne certain pouvoir sur la ville.

Le tavernier apporta une bière à Meneldir et avant que l'aubergiste ne reparte il lui commanda une bière du Gondor. Il regarda à nouveau Meneldir et lui dit:

-Vous m'avez dit que vous possédez les clef de la tour, allons y, nous serons au calme.

Forlong repondit a Konrad:
-Je me nomme Forlong Neldoreth du Arnor. Je sers la Cite du Cygne, en tant que chevalier de Dol Amroth. Mes compagnons se nomment Hasharin, l'homme encapuchonne, Gebir, le chevalier, Balak, le grand barbu, et Eaque, le jeune homme.
Je suis ravi de vous faire connaissance. Nouveau dans les rangs du Gondor? Je te souhaite bonne chance, le Roy Mephisto est un bon et noble Seigneur.

Ses paroles furent interrompues par l'arrivee de Bargonno et de Meneldir, le premier qu'il ne connaissait que peu, le deuxieme, son ami depuis son arrivee dans la Cite Blanche. Il les salua, et leur repondit discretement
Allons y le plus vite possible

Soudain un homme entra dans la piece, il portait une tunique pourpre avec un arbre argente. Il lanca un regard attentif sur la salle, son regard se fixa sur le Seigneur de Dol Amroth, et il se dirigea vers lui.

-Etes vous le chevalier Forlong?

-Oui, c'est moi.

L'homme sortit de son sac une enveloppe et la donna a Forlong, puis repartit vers la sortie.

Sur l'enveloppe se trouvait un sceau representant un arbre entoure de sept etoiles, le symbole que seul le Roi du Gondor pouvait utiliser.

Il ouvrit, etonne. Le Roy le connaissait a peine, ils s'etaient rencontres trois fois; deux fois lors des combats contre la secte de la mort, une autre pendant la bataille contre les haradrims.

Il commenca a lire, impatient. Au fur a mesure que ses yeux parcouraient l'ecriture elegante du Roy, une grimace de surprise s'affichait sur son visage.

Citation :

Seigneur Forlong Neldoreth du Arnor,
Apres avoir vus la charge menee par vous et les autres chevaliers, nous decidames de vous offrir un grade important dans l'armee royale.
Les plaines du Arnor viennent de perdre un capitaine, tue par une fleche orque.
Ses hommes attendent des ordres et ont besoin d'un officier.
Nous avons decides, suite a vos origines, de vous nommer Capitaine du Arnor.
Si vous acceptez, partez le plus tot possible. La situation est urgente.

Mephisto, Roi des Royaumes du Nord et du Sud, descendant d'Elessar, ami des elfes.

Forlong regarda la lettre encore une fois, surpris. Il ne s'attendait pas a une avance de la part du Roy...le Arnor...ces plaines glacees lui manquaient tellement. Il restera bien sur fidele a Dol Amroth.
Mais sa patrie l'appellait.
Il donna la lettre a Gebir.