A l'Auberge

L'homme cria bruyament à l'autre de disparaitre.

-Balak est à la poursuite d'un certain Gauvain, il aurait selon ses sources prit le chemin vers Belfalas.Je n'en sais pas plus... Il a dit qu'il laisserait une piste claire pour les elfes...c'est tout.

L'homme parlait sous cape, on pouvait lui faire confiance pour la discretion.

Magnir

Guerrier






- Bien vais donc envoyé un message à mon ami qui est très bien informé sur les quêtes et aventures des terres du milieu. Avec de la chance il auras quelque chose pour nous à Minas Tirith. J'ai bien aimé prendre cette chope avec vous. Je m'en vais dans mes appartement porter la missive ou puis-je vous rejoindre?
- Et bien...
- Vous savez quoi, il y a un établissement connu sous le nom de "vieille batisse" vous y trouverez peut être quelqu'un pour nous accompagner.
Retrouvez-moi donc à la vieille batisse. A tout à leur...garde des frontières.

Silivrien hocha la tête en silence, avant de tremper les lèvres dans sa coupe de vin. Elle regarda ses compagnons, comme pour les inciter à s'exprimer, puis repris la parole à voix basse...

-Nous allons donc partir pour Belfalas...avez-vous le nom d'un lieu précis ou d'un contact à nous indiquer ?

-Non ,je sais juste qu'ils ont suivi la rivière sur un navire avec un certain Novor...

L'homme salua visiblement pressé.

L'Elfe remercia l'homme et le salua d'un hochement de tête, avant de se tourner vers ses compagnons afin de poursuivre la conversation à voix basse...

-Bien...nous allons devoir nous rendre à Belfalas mais tout d'abord, il va fallloir attendre que nos amis reviennent du palais après avoir livré les statues, ce qui va prendre un temps indéterminé. D'autre part, je dois m'entraîner ici. Cela peut aller vite, et de toutes façons, Balak doit nous laisser une piste claire. Si je comprends bien ce qui vient d'être dit, j'aurais tendance à penser que Gauvin est à bord d'un bateau à destination de Belfalas, et que Balak connaît sa destination, qu'il tente de rejoindre par voie terrestre en nous laissant des indications. Je vous suggère donc de prendre des chambres ici, en attendant d'être tous regroupés et prêts au départ. Qu'en pensez-vous ?

Elle ponctua sa question en buvant d'un trait ce qui restait de sa coupe de vin...

"Vous avez raison, allont louer des chambres et on va se reposer un peut pour etre en forme pour la suite, aucuns de vous ne s'est reposer depuis que nous sommes arriver, rendez-vous ici demain matin, vous etes tous d'accords? Vous Silivrien, vous devez allez vous entrainer, il me semble que c'est important pour vous, mais n'en abuser pas, vous aussi reposez-vous..."

Hataldir se leva et se dirigea ver la Sortie et puis quelqu'un lui demanda ou lui il allait, Silivrien pensait-il...

"Je vait me promener dans la citer, bon repos, vous en aurez besoin..."

Levant les yeux au ciel dans un geste d'impatience, Silivrien lança par dessus son épaule et sans même regarder son compagnon qui s'éloignait, un message plus que Sibyllin...

-Hataldir...nous n'allons toujours pas au bal...

Alors que la salle se vidait, on pouvait apercevoir de mieux en mieux un homme dans un manteau maculé, au fond de l'auberge. Il était là depuis le début de la soirée. cependant, personne ne l'avait remarqué, sans doute à cause de son silence lourd et pesant.
Il décida finalement de se lever, pour aller voir les gens qui montaient peu à peu se coucher.

"Alors, vous recherchez quelqu'un? je peux peu-être vous aider?"

Son manque de rafinement, ainsi que son air plutôt louche ne rassurait personne, et il affichait un sourire mi-amusé, mi-sincère . Seule caractèrstique de son visage, le reste restant caché dans l'ombre de sa capuche. Peut être en savait-il suffisament pour aider nos amis?

Alors qu'elle s'apprêtait à aller voir son "ami" l'aubergiste pour louer des chambres, Silivrien fut interrompue par la question de cet homme à l'aspect si particulier. Elle n'avait aucune envie de poursuivre la conversation, mais elle fit toutefois un certain effort pout ne pas paraître totalement désagréable...

-En effet nous chechons quelqu'un, et nous savons désormais qu'il n'est pas ici. En fait, nous savons même à peu près où le trouver. Je vous remercie donc pour votre proposition, mais j'ai peur que votre aide nous soit parfaitement inutile...à moins de pouvoir nous transporter instantanément jusqu'à lui ?...

"Tss ces elfes...Tendez leur votre main et ils la mange. Bien alors. Si un jour vous avez besoin de moi, vous saurez alors ou me trouver."

La porte de l'auberge se referma derrière le mendiant, lorsqu'il prit congé.

Haussant les épaules, Silivrien se rendit au comptoir pour discuter avec l'aubergiste. Leur petit différent semblait complètement aplani, puisqu'il la traita courtoisement et avec tout le respect qui lui était dû, ses deux yeux restant bien ouverts. Quand les chambres furent louées pour l'ensemble du groupe, elle passa un petit moment à rêvasser en pensant à son entraînement, si bien qu'elle ne perçut que trop tard une présence derrière elle, en sentant le léger choc d'une main sur son épaule, alors qu’une voix énergique et harmonieuse retentissait dans la pièce...

-Ah…il semble bien que nous allons avoir de la compagnie…et…euh…

La première pensée de Silivrien en se retournant fut "quoi encore ?", alors que dans le mouvement, son capuchon tomba sur ses épaules, dévoilant ainsi sa longue chevelure auburn. Elle avait porté la main à la garde de son poignard à tête de cygne, mais elle arrêta son geste en voyant la mine déconfite et le regard penaud de son interlocuteur, à qui cette vision soudaine venait de couper le sifflet. Il ne s'attendait visiblement pas à tomber sur une femme. Constatant qu’il s’agissait d’un Elfe, ou plutôt de trois, elle reprit son calme et les salua avant de se présenter…

-Mae Govannen…je suis Silivrien Elemmirë de la Maison de l’Arbre de Gar Thulion…et vous êtes ?…

L'elfe sourit, décidément il avait déjà eut souvent affaire à des femmes, sont capitaine semblait les apprécier.

-Qui je suis importe peu, je suis le messager d'un des plus grand conseiller de Rustor Gelmiron. Nous mouillons au port de cette blanche cité et nous avons ouie dire que notre aide pourrait vous être précieuse...

Il salua, sa chevelure d'or ondoyait comme des vagues.

Un étrange personnage pénétra dans l’auberge attirant momentanément les regard : emmitouflé dans une cape noire, un écureuil d’un blanc immaculé lui entourait le coup et chacune de ces épaules était ornée d’un oiseau : un magnifique faucon au teinte beiges et rousses et une chouette minuscule dont les yeux reflétaient la faible luminosité de la pièce. Il murmura quelques mots et les deux oiseaux s’envolèrent pour aller se poser au dessus de la cheminée.
Nidnama s’approcha du comptoir et ouvrit la bouche pour s’adresser à l’aubergiste :

- Une bière elfe s’il vous plait.

Il déposa les 25£ sur le comptoir et se tourna vers les elfes qui parlaient à côté de lui :

- J’ai bien entendu le nom de Rustor Gelmiron ?

Eöwril regardait, de loins, la conversation. Deux personnes abordait Silivrien en même temps, aussi décida t-il d'aller la rejoindre.
L'elfe, discret comme à son habitude, se leva et répondit au premier elfe, doucement, à peine audible :
"Veuillez éviter de crier sur tous les toits des informations sur notre but, Ami."
Il ajouta, autant pour Nidnama que pour les autres elfes, regardant chaqu'un, tour à tour :
" Montons dans les chambres discuter de cela plus au calme."

Silivrien rendit son sourire au messager qui l'avait abordée, et le dévisagea avec un certain étonnement...

-On dirait que les rumeurs vont vite par ici...

L'arrivée impromptue d'Eörwil et de l'Elfe accompagné d'animaux l'empêcha de poursuivre directement la conversation. Elle partageait totalement l'avis de son camarade sur la nécessité d'une certaine discrétion...

-Je suis d'accord avec toi Eörwil...pourquoi pas les chambres...en tout cas un coin plus tranquille. Inutile de provoquer un attroupement...

-Mon maitre à les capacité de diriger cette expédition. Voici sa parole soyez ce soir au quai.Nous partirons nuitament, soyez armés, Gauvin ne serait pas seul...

Il salua et redescendit vers le port.

Silivrien regarda l'Elfe sortir de l'auberge avec une légère moue dubitative. Elle réfléchit quelques instants, puis se tourna vers Eörwil...

-Bon...nous serons au port ce soir. Prévenons les autres, mais...je trouve étrange qu'il soit déjà au courant de tout...ça pourrait être un piège...Peut-être suis-je trop méfiante, mais gardons cela à l'esprit...

Eöwril scrutait le visage de l'elfe en l'écoutant. Quand il leur dit de le rejoindre ce soir, il fut étonné et flaira un piège. Et c'est donc tout natturelement qu'il tomba d'accord avec Silivrien :

" Je pense aussi que c'est un piège. Allons-y prêts à nous battre. Cet elfe ne m'inspire pas vraiment confiance..."
Il hésita à ajouter que l'un d'entre eux devrait rester là, si c'était un piège et qu'il réussissait. Mais finalement il se dit que ce n'était pas vraiment une bonne idée.

5 lignes minimum !

[HRP] Voilà. Nulle cette règle de 5 lignes, dans certains cas.[/HRP]

Nidnama pris la bière et la vida d’une traite. Il se tourna vers les elfes qui semblaient importunés par son interruption. Aussi s’adressa-t-il à eux dans un murmure à peine audible, sans même bouger les lèvres et en elfique :

- Ne vous en faites pas… Je n’ai aucune idée de ce qui se passe ici mais Rustor m’a dit de rejoindre ici même un groupe d’elfes qui auraient sans doute besoin d’aide alors…

Nidnama reprit soudainement une voix plus normale pour ajouter :

- Mais vous avez tout à fait raison pour ce qui est de la discrétion : si l’un de vous à une chambre ici…

Tout en parlant, Nidnama fit un rapide inventaire de ce qu’il avait sur lui : les simples habituels et quelques armes. Il n’avait pas fait attention en partant… Il aurais pourtant du se douter que son cher employeur ne le demanderais pas pour un travail calme… Surtout que plusieurs autres semblaient déjà sur le coup. Bref : il devrais repasser dans sa charrette avant de partire ce soir.

[Merci messieurs dames, vous pouvez passer au port ou votre embarcation vous attend...Allez allez on va finir par le perdre ^^]

Eorl attacha son cheval qui parraissait triste.

- Ne t'inquiète pas, chuchota-t-il, on ira un peu dehors après.

Il entra dans la taverne. Il s'assit sur une table vide puis commenda 2 bière des nains.
Il donna les 40£ quelles coûtaient, puis en but une première. Il aavala la moitié d'une lampée quand le capitaine qu'il avait vu l'aposthropha. Il vint s'asseoir à côté de lui puis lui dit:

- Salut, gondorien. Vous êtes venu ici, commme je vous l'ai conseillé! Je vous conseille de ne pas prendre les alcool trop chères, certains sont aussi forts que vous vous évanouisser 2 minutes plus tard.

Eorl eut un petit sourire puis termina sa bière. Il offrit la 2e au Capitaine puis lui demanda:

- Vous étiez dans la bataille?

Il hocha la tête:

- Ils sont coriaces, nous avons manqués de perdre. Il y a eut beaucoup de jeunes soldats qui y sont mort, dit-il le ton et le visage grave.
Mais, nous avons vaincus, et les troupes sont parties et ne reviendront pas avant un bon moment...

Il fini la bière que Eorl lui avait offert, remercia et salua ce dernier puis sorti. Eorl avait le regard vague,il observait le lustre puis sorti une demi-heure après son entrée.

Il détacha son cheva le monta et retourna sur les champs du pellenor.

Gebir revint de la forge et possa ses armes au ratelier à l'entrée.
Il trouva dans une salle reculé les chevaliers de Brethil.Une dixaine parlaient et saluèrent soudain gebir que cerains connaissait.

Une porte s'ouvrait sur une cour où il entendit des coups d'épées.

Il passa sa tête par l'encadrement et y découvrit deux chevaliers rieurs qui apprenaient à Furian l'escrime.

Il revint dans la piéce et observa avec attention les chevaliers à l'air sombre et aux dures conversations:

Ils sont partis vers Pelagir, la vie est impossible là bas.Heuresement que un messager est venu, on y serait retourné pour se faire pendre.

Gebir compris de quoi ils parlaient.
Le roi vous rendra Dol Amroth, vous pourrez y retourner.
Gebir regarda deux chevaliers qui ne parlaient guére et qui l'observaient avec intêret.

Vous devez être Gebir.Le prince nous a souvent parlé de vous.

C'est deux hommes racontérent le dernier combat du Prince et ses derniers mots.
Il avait donné le heaume et l'épée et un papier que seul un fidéle du Prince devrait ouvrir.
Les earkano de Dol Amroth devait apparaitre aussi, c'était une prérogative du Prince.

Gebir répondit instinctivement:

Ce serai et je suis dés ce jour un Earkano de Dol Amroth.Enfin je pense être le premier à prendre ce métier en une telle période.
Nous irons tous avec votre peuple jusqu'à ce que nous ayons repris la cité du cygne.