A l'Auberge

Gebir lut la lettre lentement, souriant au début et la mine déconfite sur la fin.

Cependant, il se tourna vers son ami et souria d'un sourire si franc.

Ainsi ton pays t'appele. Il te faut partir et ce je le comprend.

Gebir savait que le mal se trouvait partout.Tel était la vie.

Gebir se leva alors que Meneldir s'était levé et l'avait invité à le suivre à sa grande surprise.
Il savait ce qu'était la guilde mais n'en faissait pas partie.
Il se demanda pourquoi on l'invitait dans cette réunion.


Meneldir sortit de l'auberge et se dirigea vers la tour.

Gebir rattrapa le vieux sage et lui demanda la raisonde sa présence.

J'ai lu la lettre et vous comprenez donc qu'il nous faut quelquun de confiance à Dol Amroth.

Vous avez lu?

Oui, à l'envers.Question d'habitude.


[HRP Suite à la salle secrete ,tour mithrandir pour hobasian, Hasharin et Forlong et moi et moi HRP]

Tandis que Konrad discutait avec le seigneur qui l'avait accueilli à sa table, une personne pénétra dans l'auberge et ce dirigea rapidement vers Forlong. L'émissaire lui remis une lettre, sur laquel Konrad eu le temps de voir le sceau du Roy du Gondor.

Forlong lu la lettre, soucieux, et la fit lire à l'un de ses camarades qui la lui aussi avec attention.
Apparemment, la lettre parlait d'une remise de grade et d'une guerre en Arnor, mais les commentaires de son camarade n'apprirent rien de plus à Konrad.
Tout à coup, toute la tablée se levad'un coup et partit en direction de la sortie. Juste avant qu'il sorte, Konrad lança à Forlong :

-Et bien, à la prochaine Forlong...!!

Puis il se retourna, devant sa bière et la table vide à présent, hormis un homme qui semblait noble mais jeune, au nom de Eaque, s'il s'en souvenait bien.
Konrad le regarda et lui demandit :

-Hum, nous sommes seuls à présent Eaque. Peux tu me parler de ta profession, car nous sommes à la même table depuis un bon moment, et je ne connais de toi que ton prénom. Pour ma part, je suis un nouveau soldat du Gondor, fraîchement arrivé. Et toi ?

"Avec joie Konrad. Je suis en fait, sans vrai métier. Je compte me mettre a disposition d'une ambassade, un ministère, ou alors l'intendant de Minas Tirith, mais on ne m'a pas encore contacté, j'attend donc."

Il but une gorgé de son vin. Pas aussi bon que celui que l'on servait chez son père, mais il se défendait pas mal pour un vin d'auberge...

"En gros, ben j'ai un frère jumeau, et j'était, avant de vouloir devenir scribe, un soldat de la flotte. Mais je n'ai pas trouver la dernière bataille à mon goût."

Et la, il revit l'image de son capitaine, transpercé devant ses yeux, par sa fautes...

Il but une autre gorgé...

La porte de l'auberge s'ouvrit, laissant passage à Eaquem...
Cela faisait trois semaines qu'il n'était revenu à Minas Tirith.
Son père lui avait dit de retrouver son frère à la taverne.
Il le repera tout de suite et se dirigea vers lui.
Les deux jumeaux s'embrassèrent fraternellement.
On ne pouvait déceller la moindre différence entre eux deux...
Eaquem s'assit à la table et salua la compagnie de Eaque.

Il ne s'attendait pas a le retrouver ici. C'était un grande joie. Il parlait dans une langue que personne dans l'auberge ne comprenait, car aucun ne venait du Rohan. La langue de leur Mère. Il ne l'a parlait presque qu'entre eux...

Eaque trouva que son frère jumeau avait le visage un peu bruni. Il avait mit sa tenu habituelle: une sorte de grand manteau blanc, avec les arme de leur père en rouge sur le torse. Eaque avait la même.

Il tendit un verre de vin a son frère, et lui demanda des nouvelles de son aventure...

Entre temps, en homme civilisé, il prit le temps de présenter son compagnons de table...

"J'ais ma foi fait un exellent voyage en harad...
Père voulait que je m'occupe du seigneur eurisphon...
L'homme lui avait emprunté une grosse somme d'argent, et malgrès toutes les relances de père, il ne voulait se résigner à le rembourser...
J'ai donc parcouru tout le harad à sa recherche, et l-ai retrouvé dans un vieille baraque, à demi-ivre...

J'ai donc du faire preuve de... tact pour qu'il me remette la somme dû.
Et je viens tout juste de rentrer."

Puis en language commun:
"Je vois que tu t'es trouvé de la compagnie.
Qui est ce noble seigneur??"

"Il se nomme Konrad. Il est soldat pour notre roy. Il a l'air assez vaillant..."

Konrad souriait... On le présentait à son avantage...

"Mais je crois que vous ne lierez pas connaissance aujourd'hui... Nous devons te quitter Konrad. Les frères doivent se parler..."

Sur ces mots, Eaque et Eaquem se levèrent en même temps.

Ils ouvrirent la porte, ayant pris soin de payer le tavernier d'abord, puis sortirent...

"Il se nomme Konrad. Il est soldat pour notre roy. Il a l'air assez vaillant..."

Konrad souriait... On le présentait à son avantage...

"Enchanté de faire votre connaissance seigneur Konrad."

"Mais je crois que vous ne lierez pas connaissance aujourd'hui... Nous devons te quitter Konrad. Les frères doivent se parler..."

Sur ces mots, Eaque et Eaquem se levèrent en même temps.

Ils ouvrirent la porte, ayant pris soin de payer le tavernier d'abord, puis sortirent...

Tandis que Konad discutait avec Eaque, un homme pénétra dans la pièce et se dirigea vers Eaque. Tout deux s'embrassèrent fraternellement et Konrad compris que le nouveau arrivant était sans aucun doute le frère jumeau de Eaque, qui se nommait Eaquem.

Konrad les regardait tandis qu'il se parlait avec force, ne voulant pas gêner ces retrouvailles.

Puis, Eaque fit les présentations, et Konrad sourit tandis que Eaque le congratulé, lui qui venait juste d'entrer dans l'armée.
Eaquem le fit même rire quand il l'appela noble seigneur.

Puis, les 2 hommes durent prendre congé de Konrad. Ils le saluèrent et sans allèrent tout deux hors de l'auberge.

Konrad se retrouvit à nouveau seul. Il finit sa bière, puis sortit, en laissant une pièce sur la table pour payer l'aubergiste.

Halbarad avait fait tout le voyage depuis Annùminas à pied. Il avait descendu le Chemin Vert, passé par les Gués de Tharbad, et s'était dirigé vers le Rohan. Il avait ensuite traversé l'Isen à la Trouée du Rohan, parcouru tout le Pays des Chevaux, pour arriver en fin de compte à Minas Tirith, la plus grande et majestueuse Cité du Gondor.
Il n'avait pénétré dans le bas de la ville que depuis peu de temps, lorsqu'il vit une petite auberge. Il était fatigué et décida de s'y arrêter.
Il franchit le seuil de la porte, regarda les menus, et s'adressa à l'aubergiste:

"Bonsoir! Je voudrais de la viande de sanglier avec des champignons, à 30£, du lembas à 35£, et enfin de l'eau (5£), ce qui fait... eh bien 70£ si je ne me trompe pas."

Il sortit sa bourse et déposa les pièces sur le comptoir. Puis il s'assit à une table dans un coin sombre de la salle. Bientôt, il fut servi, et mangea son plat avidement. Mais il garda une bonne part de lembas dans sa sacoche. Le pain Elfique se conserve longtemps et il pourrait le manger en voyageant.
Quand il eut fini, il resta longtemps assis, et il se fit tard. Il dit au revoir au patron et sortit dans les rues de Minas Tirith. Halbarad Dunàdan marcha sous les étoiles sans se presser une bonne partie de la nuit.

Un homme svelte et courbé, tiraillé par la faim entra. Il s'approcha du comptoir et dit à l'aubergiste:

- Bonjour. Je vais vous prendre: - Entrée (salade+tomates+oeufs+maïs) + Plat (Brochet+Accompagnement -> Patates grillées) -> 50£
- Bière Elfes -> 25£
- Fromage elfique -> 15£

Le tout pour 90£, si je ne m'abuse. Merci!

Il ramassa sa commande et s'en alla manger. Une heure plus tard, il revint porter la vaisselle à l'aubergiste, rassasié, et partit.

A peine installé, balak héla l'aubergiste sans prononcer un seul mot, le tenancier sachant pertinement quel est le seul alcool consommé par "le gars en noir, avec le machin en tissus dans le dos" : de l'hydromel.Alors que le doux nectar emplissait la gorge du mercenaire, ce dernier se remmémora les derniers évènements.

Le déchirement...L'Uniquat... Quelle puissance! Je n'avais jamais ressenti une telle harmonie avec mes lames, mais par les Valars, j'espère que les répercussions ne seront pas toujours aussi douloureuses. je dois travailler cette technique, et pour ça, j'ai besoin d'un maître.

Plusieurs personnes lui venaient à l'esprit; Silka Sorge tout d'abord, qui fut son seul véritable maître, mais il écarta bien vite cette idée : Silka n'était pas formée à ce genre de choses, le pouvoir demeurant en lui n'était dû qu'au sang impie qui coulait dans ces veines.
A cette pensée, les poings du mercenaire se crispèrent violemment.

Croc-Noir...Je me fous que tu es donné la vie à mon père! Tu as pris la mienne, et celle de ceux que j'aimais. Je te le ferais payer! Au centuple! Tu n'imagines même pas à ce jour la joie que me procurerait Renaissance si elle perçait ton corps infect! Peste sois des ténèbres et des Ombres!

Puis Balak s'apaisa, reprenant lentement son calme habituel. Il se replongea alors dans ses obscures pensées.

Mithrandir. je ne vois que lui, il pourrait m'apprendre à déchirer le voile sans que mon corps ne souffre trop. C'est son domaine après tout, la...

Soudainement, et sans en connaître la raison, le mot qui se forma au creux de son esprit révulsa le mercenaire.

...magie.

Il s'humecta une nouvelle fois les lèvres du déliceux alcool de miel, avant de reprendre son débat personnel.

Je ne suis plus une Ombre, pouquoi ne rentrerais-je pas dans sa guilde ? Je suis sûr qu'il m'acceptera en tant qu'élève si je rejoins ses rangs...

Mais ses délibérations intérieur furent troublées par un bruit inhabituel, presque imperceptible pour un simple humain, rendu discernable grâce à son entraînement intensif pour maîtriser l'Instant. Le son provenait de l'escalier, et Balak eut l'impression qu'on le monta de bien vive façon.

Tiens, Tiens... Je sens que je vais encore m'attirer des ennuis...et je ne suis même pas encore rétablis...

Lythandros semblait se faire attendre. L'assassin était sans nouvelles, peut-être manquerait-il ce rendez-vous. Ce pouvait-il que...
Soudain son attention fut attirée par le craquement provoqué par l'ouverture de la porte de l'auberge, fait qui fut accompagné d'une bourrasque de vent frais.

Dalamyr tourna machinalement la tête dans cette direction. Etait-ce l'archer de Gondor qui arrivait finalement ? A vrai dire non, l'homme qui venait d'entrer n'avait rien d'un garde de la Cité, il prtait des vêtements Haradrim.
Mais la physionomie de son visage était clairement gondorienne... Ce qui lui rappelait immaquablement quelqu'un.

L'étranger resta sur le pas de la porte pendant un long moment, et il en profita pour balayer la salle d'un regard circulaire.
Puis, sans prévenir, il ouvrit la porte et s'engouffra à nouveau dans les ténèbres de la nuit, tournant manifestement à gauche de l'auberge, et quelqu'un connaissant bien les lieux pourrait dire qu'il s'agit là d'une ruelle étroite, et les plus souvent déserte...

Manifestement, le stratagème imaginé par l'assassin ne marcha pas. Ou bien peut-être était-ce prévu ?
Un fracas métallique rententit faiblement lorsqu'une lfèche vint se ficher dans les pavés de la ruelles, juste devant les pieds de Dalamyr, comme un avertissement, et pour l'obliger à s'arrêter.

Il leva machinalement la tête vers le haut, dans la direction d'où venait la flèche. Sa composition de pochard n'était plu vraiment nécessaire...
Sur le toit d'une petite maison assez basse de la ruelles se tenaient trois hommes, tous masqués, à moitié dans l'ombre, mais tenant ostensiblement un arc, et la pointe de la flèche brillait à la lueur de la lune.

L'un d'entre eux, snas doute celui qui avait tiré en premier, car il était le plus proche du bord du toit, s'en laissa tomber avec souplesse, et tout en continuant à tenir l'assassin en joue, il lui déclara :

"La bourse ou la vie, étranger. Vide donc tes poches, si tu ne veux pas finir comme un pelote d'épingles."

Sur la maison, la paire d'archer tenaient toujours l'assassin en mise, tandis que l'autre tendait la main.

Le claquement d'une corde qui se détend, propulsant une flèche qui, à toute allure vient se ficher dans l'épaule de Dalamyr, précisément celle soutenant le bras qui tenait la lame apposée contre la gorge de leur allié.
Ainsi à bout portant, impossible de le manquer; de plus, une telle frappe ne put que faire reculer l'assassin.
Mais la douleur était ailleurs également, il semblait que l'otage, qui n'en était plus un, avait sortit un mince stylet, qui était passé non loin des côtes de Dalamyr lorsqu'il se dégagea.
Il faut avouer qu'ils étaient doués pour de vulgaires brigands agissant une fois la nuit tombée...

Cependant, le sang qui tomba sur le sol n'appartenait pas seulement à l'Haradrim. Son ancien otage tomba bientôt à genoux sur les pavés. Sans doute s'était-il ouvert la gorge pendant qu'il se dégageait de l'étreinte de Dalamyr.

Sur le toit, on pouvait deviner une lueur malicieuse dans le regard de la paire d'archers. C'était à eux de rire, maintenant...

"Tu es doué, petit assassin du Harad, railla l'un d'eux, mais pas assez..."

Les brigands, mais faillit-il encore vraiment les appeller ainsi, le tenaient en joue. Dans un instant, c'est deux flèches qui partiraient...

A l'autre bout de la ruelle, voilà une patrouille de la milice qui apparut.

Derrière lui, aucun bruit. On pouvait deviner qu'à la vue de la milice, les assassins avaient décidé de prendre leurs cliques et leurs claques, et de plier bagage. Après tout, le piège se refermait, de toute façon.
Même le corps de celui qui agonisait avait disparu, sans doute emporté par l'autre paire d'archers.

Mais revenons à la patrouille de gardes que Dalamyr avait apostrophé au coin de la ruelle. Ils semblèrent dévisager un instant cet Haradrim sortit de nulle part, puis un des leurs fit quelques pas en avant. A la lueur de la fneêtre éclairée d'une maison, on pouvait voir qu'il portait une espèce de bandage grotesque sur son nez passablement enflé.

"Eh, mais c'est lui qui m'a agressé, dit d'une voix forte le garde que son pansement rendait ridicule.
Aussitôt, l'attitude des gardes changea sensiblement, et plusieurs épées sortirent des fourreaux.

"On a bien fait de faire un tour dans le coin que nous avait recommandé cet étrange bonhomme, cela me plâit d'avoir choppé celui-ci... ajouta Nez-Cassé.

Et alors, tandis que deux lances se tendaient vers Dalamyr, le chef de la petite troupe, sans doute un sergent, lui tint se langage :

"Eh bien, monsieur, une agression sur un garde, ça vaut bien quelques jours au frais... Suivez-nous sans faire d'histoires."

Le sergent fronça les sourcils. A vrai dire, il ne se serait pas tellement attendu à ça de la part de quelqu'un ayant fracassé la figure d'une garde de la Porte.
Sur un ton qui semblait franc et honnête, il déclara :

"Oh, mon cher, il est venu nous apporter ce petit tuyau il y une heure environ, à la caserne même... C'est là qu'on vous emmène, mais je doute qu'il y soit encore, railla t-il."

Sur ce, les autres miliciens ramassèrent l'impressionnant armement de l'assassin, même si fort heureuseument ils ne savaient rien de ses occupations, contrairement aux trois archers masqués, et plusieurs d'entre eux l'encadrèrent, mettant leurs lances bien en évidence tandis que le sergent commençait la marche en direction de la caserne, et que la troupe escortant Dalamyr le suivit.

Tandis qu'ils marchaient, et alors qu'ils étaient presque en vue de l'endroit, un des gardes déclara ainsi :

"Vous allez passer un petit temps à l'ombre, mon cher..."

Le soleil se levait et un rayon passait à travers la fenêtre de la chambre d'Iriel. La lueur le réveilla et le secoua de son lit. En se levant il s'étira de tout son long et baillâ. il rpit son pantalon et l'enfila et mit un pull. Le tout jeune mercenaire s'avança vers sa porte et l'ouvrit, quand la pensée de sa mère lui revint à l'esprit et lui dit d'une voix douce

"Ne devient jamais comme ton père à te battre et à boire."

Mais tout jeune homme qu'il était il n'en faisait qu'à sa tête. Il referma la porte et descendit dans la rue et arriva sur la place ou siège la statue d'u cavalier portant une couronne.Il salua la statue et prit la direction du nord pour se dirigeait vers l'auberge. La porte était entrouverte et des voix se faisaient entendre, Iriel poussa la porte et de nombreux hommes buvaient, discutaient et racontaient de nombreuses histoires. Le jeune homme s'avança vers le comptoir et appela l'aubergiste et lui demanda

Bonjour aubergiste, je voudrai un verre de lait!

La'aubergiste acquiesça d'un signe de tête et se dirigea vers l'autre bout du comptoir. Cinq minutes plutard le gros bonhomme revint et servit Iriel. Il le remerciement et tourna la tête, un homme racontait une hisoire étrange. Elle l'intriguait il prit son verre dans sa main et décida d'écoutait se que disait l'étranger.


Edit : Message déplacé dans le sujet approprié.