Prise de la ville

Le bas de la colinne dans l'aube naissante, un garde d ela porte reconnait la grand bannière des caravaniers. Le chef de caravane s'avance jusqu'à sa cabane. Moktar sort, et reconnait Kedan, bien jusque là tout se passe comme prévu.
Dans les murs il y a 300 hommes prêts à vous rejoindre. Le reste des troupes?
c'est Sentier qui répondit.
Aujourd'hui après la mi-journée, l'autre armée va remonter vers al-nunar, ils attendant que les portes soient ouvertes.
Bien, le seigneur Jorkil sera heureux de vous voir, il n'a plus une vivre ici, les pillages de l'armée du sud empêchent le ravitaillement de passer.
Cor, double cor, un craquement sinsitre, la caravane s'ébranle, les chameaux avancent tranquillement, ce que Jorkil ignore c'est que la carvane a doublé de volume, et elle contient autant d'armes que de nourrtitures.
Portail, salut des gardes trop heureux de voir des vivres arriver. Les habitants aussi sont là dans la rue, même s'il n'espère pas recevoir le moindre quignon. Moktar les guide. Le traversée de la cité est longue, sur toutes les places les gens huent la bannière du Sultan et le soldats sourient.

Stop! Je suis Lozrak Makaver(non pas mcGiver), commandant de la garnison. Le ravitaillement s'arrête ici, les officiers peuvent monter au palais.
Allons-y.
Longue marche dans le quartier riche, ici pas de tràce de la guerre, Mahdi doit être un nom exécré dans ces parages. Enfin devant eux la demeure de Jorkil, le palais des généraux du nord, le palais du régent, *le palais de Meakil* pensa Kedan. Ils furent acceuilli par un chambellan très enchanté de rencontrer ces gens qui mettaient fin à la famine de sa cité.
Escaliers, grand hall, escalier de droite, grand couloir, partout il y avait de gardes. Ils furent introduit devant Jorkil, le conseil s'était réduit à cause des pertes contre l'Est et de l'emprisonnement de la dizaine de fidèle. La grande porte se referma sur 8 hommes. (Kedan, Sentier, Ronfleur, 2 pillards, un chef caravanier et les 2 gardes de la porte)

Hai! votre arrivée bien que son heure soit innoportune(salutations), nous réjouit grandement.
Nous avons essuyé des pertes, et l'Harnen n'est plus une route très sûre. Mais, voilà nos provisions.
Kedan vit un homme mumuré à l'oreille de Jorkil.Il sembla devenir blanc. D'après Meakil il aimait à parler dans les situations absurdes, Kedan pria pour qu'il parle avant d'agir.
Mon collaobrateur dit que ces hommes sont membres des griffes d'Ammoth, et que vous vous êtes Kedan.. Maatzrawi, grand maître du sabre. GARDES JETEZ-les aux cachots.
Jusque là tout se passait comme prévu, ils avaient pris Automne une première fois la veille, et l'avait laissé repartir, l'ancien mercenaire s'était réfugié chez son protecteur.

Ils arrivèrent dans les cachots, les gardes défirent leur lien, le planton d la porte allait émettre un objection, mais il tomba raide, étouffé par deux mains puissantes . Le tueur jeta le corps dans un cachot vide, c'était Etreinte. dans le silence ils ouvrirent les cellules, les fidèles les regardaient ébahis.
Mahdi sera là demain, maintenant il faut prendre le portail et le palais.
Ils sortirent par les jardins, le point faible du palais était le corps de gardes, et leurs aliés y avaient déjà fini le macabre travail quand ils arrivèrent. Kedan eut un rictus de mépris pour l'officier mort. Il fit de signes à ses compagnons. Prévenez les hommes, qu'ils rebelle la population, j'en veux 200 au palais, les autres se confondent et foutent le riff, que les caravaniers y aillent aussi.
Ils investirent le palais avec la cinquentaine de gardes rebelles, le rez de chaussée fut vite nettoyé. Kedan monta le premier. En bas ils entendirent un bruit de vase cassé, et le corps d'un garde dévala l'escalier. Puis une série de cri et le signal, ils montèrent en haut le couoir était couvert de sang. Kedan était dans un coin, une blessure au bras, au sol 5 gardes à moins d'un mètre de lui.
Dehors le son du cor retentit, calculant vite Ronfleur évlaua que c'était aux portes. De la grande vitre du couloir il put voir ce qui se passait en contrebas. Les rebelles ouvraient le portail et 3 mumaks, cette fis avec nacelles et équipement complet venait de jaillir du désert, mais pas osus la bonne bannière.(Oui, cadeau made from Dimbar)Il se tourna vers Kedan.

Mumaks, du Sultan..
Merde... ... ... Il y a un cor sur le toit de ce palais, c'est une corne de rappel, si on la fait sonner, on l'entend jusqu'à Djafa.
Je m'en occupe dit ronce, il fit signe à cinq gardes, ils continuèrent dans l'escalier
Maintenant, les nobles.
Ils pééntrèrent dans un grand salle affolée, Jorkil n'y était plus, mais les nblions voulaient se rendre les fidèles exigèrent le pas de quartier, dans sa colère Kedan accepta. Il resta en retrait à cause de sa blessure, Le palais sembla trembler, Ronce avait réussi. Un cri de reconnaissance retenit dans la salle, non, plus d'ennemis. Plus de Jorkil ni d'Automne non plus.
Le portail?
Un garde monta sur le toit, Ronce en revint.
Le portail est pris.
Et ils se sont bariccadés avec des vivres, on est en train de bloquer le grand hall, le corps de garde et les cloaques.ajouta Mesure qui déboula essouflé dans la salle du trône, probablement rnommer boucherie en cet instant.

Il ne nous reste plus qu'à attendre.
(Hrp// Voilà, bon amusement, Il y ades renforts pour vous un peu au sud, avec des Mumaks amis, ceux qui viennent d'arriver à Dur'zork par contre ne sont pas vos amis, un duel de Mumak, wha la classe.//hrp)

-Les murs ! Les murs de Dur'Zork en vue !

Au delà de la poussière, s'élévaient en effet des murs clairs. Des éclaireurs revinrent.

-Le portail est ouvert annoncèrent t'ils. Hâtons nous, il y a sûrement plus de 6000 hommes ici, Kedan et son groupe ne tindront pas.

Alors que l'armée s'avançait, guettant afin de prendre garde à tout tir depuis les remparts, un autre cri retentit.

-Des Mumaks ! Il y a des Muamkils qui arrivent !

On entendit une clameur étonnée chez les guerriers. Personne d'entre eux n'avaient vus de ces bêtes avant, Radamanthe n'échappait à ce constat. C'était impressionnant. Il ne regrettait pas le voyage, il ne mourrait pas inculte. Mais voilà, il ne fallait pas mourrir maintenant.

"En avant ! Il faut atteindre la porte. J'espère que les murs pourraient nous protéger de ces monstres...Et que nos archers sont compétents..."

Immédiatement, tout le monde se pressa. Dur'Zork ne semblait pas si facile en fait.

//Fin du post *Rassemblement*//

La'rmée pénétra dans Dur'Zork. Alors que les premiers rangs restaient sur leurs gardes , prêt à recevoir les renforts, l'état-major, avec Radamanthe gagna la planque de Kedan, dont le travail avait été remarquable.
Après une brève discussion, il convint que les nobles barricadés dans le palais étaient sans importance, ou presque. On laissa quelques hommes avec des Griffes pour s'en occuper. Bien vite, on redesendit pour attendre les ennemis.
Mais il restait des troupes dans la ville et il n'allait pas tarder à ce qu'ils arrivent. On laissa des observateurs pour surveiller les mumaks. Quelques saboteurs allèrent en avant pour leur faire discrètement leur fête à quelques uns (travail d'assassin ? Fye...)
Bien vite, iceux de l'intérieur arrivérent assez prêt. Une salve de flèche fut décochée. La place, servant de marché fut envahie et s'apprêtait à vivre une vraie bataille rangée.

Radamanthe chargea avec les cavaliers. Il fallait limiter la menace interne avant l'arrivée des Mumaks.
Ils taillada plusieurs soldats au passage. Ceux-ci ne s'attendait pas àvoir des cavaliers dans les rues. Il fallait profiter de cet avantage, pendant qu'archers s'occupaient d'attendre les Mumaks. les fantassins allaient dans la mêlée, nous faisant profiter de notre avantage numérique, tant dit que tout le monde jetait fréquemment des regards inquiets vers les masses grises avançant à grande vitesse.

Dedain vu les gigantesque animaux, et rentra dans la ville lui aussi...
Aucune envie de se faire tu par des créature monstrueuse...

Il regarda les combats, assez impressionant a son gout...
Il apercu Fye sur un Mumak, mais si d'autres Mumakils le chargait il serai en mauvaise posture... Et Le mercenaire commencai a bien l'apprecier....

HRP // Je ne suis la que pour le week-end.... // HRP

Les combats intérieurs faisaient rage. Il restait des milliers d'orcs. Au moins deux (milliers). Ils se dévèrsèrent sur nous tandis que les hommes semblaient plus lents à agir. C'était l'occasion de finir définitivement l'armée de Thror le traître. Pour les autres, sait on jamais s'ils pourraient s'allier à nous.
Laissant la cavalerie semer le carnage dans les rues, ce qui avait pénétré dans la ville comme infanterie s'occupa des orcs. Radamanthe les suivit, laissant à un noble capable la contrôle de lacavalerie ( ou à Aleth)

Les orcs étaient désorganisés et sans meneurs, mais avaient une soif de sang. L'infanterie dominait néanmoins. Radamanthe participait au carnage, taillant de sa hache tout orc passant à portée. Certains lui donnèrent du fil à retordre, et il se retrouva désarçonné deux fois, et ces passages dans la mêlée lui apportèrent quelques blessures et le fatiguèrent. Mais il put retrouver sa monture et continuer. L'infanterie progressait inlassablement.
La cavalerie devait avoir des adversaires plus coriaces mis un avantage indénniable.

Les orcs n'étaient bientôt plus qu'un souvenir. Mais les hommes, bien que certains avaient laissé leur vie dans les rues, avaient pour la pluspart réussi à sortir de la cité et à rejoindre les ranges des renforts, mais en restant bien à distance des Mumaks.

"Soit...Qu'il reste de l'infanterie pour nettoyer les rues, au moins maintenant, nous ne combattons plus que sur un front. Mais quel front...nous aurrons besoin d'archers de cavalerie. Puisse leurs hommes se faire écraser par lerus bestioles."

Aussitôt, la cavalerie de dépécha vers les murs. Il fallait agir vite, avant que les Mumaks n'atteignent ceux-ci.

"Archers à pieds, sur les murs. Prenez le temps de viser. Nous allons sortir. Ces bestioles paraissent dures à maneuvrer. Si nous les prenons de vitesse, nous pourrions passer par derrière."

Aussitôt ce fut fait. Certaines lignes d'archers chargeaient de front, mais la pluspart, avec le Bourreau parmis eux longeaient les murs pour aller se placer plus loin.
Finalement, ils arrivèrent sur le flanc de la charge des bêtes et des archers les cabnardaient, tandis que les plus téméraires s'approchaient pour taillader leurs jambes. Mais cela n'occupait qu'un flanc, et par la dangerosité de ces bêtes, la charge était étendue.

Mais à un moment un cri rententit.

-Au sud ! De la poussière ! Des autres Mumaks ! Ils ne portent pas les couleurs ennemies. Voilà des renforts !

Morgoth vit les orques, et sortit de la cité pour participé aux combats...
Aucun orques ne le toucha, le peur qu'il leur insulfé etait trop grande pour qu'ils venges les orques deja morts avant eux...
Le mercenaire massacrait tout se qui lui passait sous la main, etant orques ou hommes ennemis...
Il ne serait pas rassasier avant d'avoir tué le plus de monde possible, dans un bain de carnage et de sang...

Alors que le combat faisait rage, on voyait que les Mumaks étaient de mieux en mieux maniés. Radamanthe s'était contenté de rester à distance raisonnable des pieds des bestioles, rangeant sa hache et lançant de temps à autre un javelot ou quelconque morceau de lance ramassé sur le champ de bataille.
Un moment, il s'était approché assez près pour asséner un coup dans le tendon d'une des bêtes, une des moins imposantes de la troupe.
Peu après, l'animal s'effondra sur lui même, causant un chaos terrible parmis les ennemis.

Mais la pression devint assez vite trop forte.

"On se replie ! On attend l'arrivée des renforts !"

L'armée battit en retraite.

Et bientôt, les renforts arrivèrent, une véritable surprise pour les ennemis. Des Mumakils des deux cotés...voilà qui promettait une bataille terrible.

L'armée resta à l'écart un moment, le choc risquait d'être chaotique.
Mais ils allaient bientôt intervenir, il y avait des troupes à pied à éliminer.

Radamanthe vit finalement le Mahdi, ainsi qu'on l'apellait, même s'il ne conaissait pas la signification exacte de ce mot.
Le Bourreau avait besoin d'informations, aussi il s'approcha de lui, en quête de précisions tactiques.

"Sire Meakil. Qui donc sont ces renforts. Et surtout, vous qui onaissez mieux que moi ces animaux, seront-ils suffisant à vaincre les forces de Dur'Zork ? Car je sais qu'il est folie d'attaquer maintenant, de même que nos charges de tout à l'heure l'étiaznt aussi. Mais devrons nous encore intervenir ?"

Radamanthe regardait la valse mortelle des bêtes géantes. Il n'avait jamais vu pareil monstre, et s'il avait été assez téméraire pour les approcher précédemment, il était content d'être à cette distance en ce moment.

Radamanthe glissa le parchemin dans un repli de son manteau.
Il regarda Meakil s'éloigner et écouta sa rengaine. Il se sentait aussi porté par ces mots, mais à moindre mesure.
Il ne prononça mot mais se redressa et la situation lui paraissait plus clair. Dans ses yeux, il voyait un vent de tempête se lever, et il savait de le charisme et les dons oratoires de Meakil avaient encore frappés.

Il rassembla ses esprits et se tint près, envoyant des coursiers prévenir qu'il serait bientôt temps de repartir au combat, mais les harrangues de Meakil avaient fait qu'ils étaient tous prévenus.
Il ne restait plus qu'à attendre pour laisser leur courage se déverser.

"Allez ! Bientôt, il sera temps. Temps de suivre le Mahdi !"

Et les armées qui n'étaient pas parties avec Meakil étaient prêtes à entrer en jeu dès qu'il le faudrait.

Morgoth s'arreta et regarda les cavaliers d'or...Intrigué, il s'approcha d'un soldat et demanda :
-Qui sont ces...hommes?? Habillé d'or ils doivent etres nobles, ou speciaux???

Il arrivait a voir ces hommes au loin, et dit :
-Oui a mon avis ils sont noble!

Le soldat tremblait... Oui, il étaient spéciaux.
C'est la garde d'or... la garde de la capitale. Ces hommes sont des dieux... Il faut fuir, fuir.
Ils commençaient à paniquer, Meakil avait en effet jugé inutile de signaler la présence de LA garde à l'armée. Les mumaks eux continuaient d'avancer. La cavalerie se déployait doucement, Gondor suivait dans la brêche. En haut, l'armée de Dur'zork se reformait sur la place d'arme. Les orcs reformaient les rangs en souriant, Les cavaliers éparpillés rentraient par toutes les isssues. Ils pouvaient encore vaincre, et ils le savaient.
L'officier en charge de la garde sonna encore, et des piquiers se mirent en marche. Les 3 mumaks qui bloquaient l'avenue s'immobilisèrent, une seconde de silence, et une centaine de flèches partirent vers les piquiers. La vraie bataille pour Dur'Zork était commencée.

(hrp// A votre amusement, il y a une ville à nettoyer, les rues indiquées sont les grand axes, le reste est à votre fantaisie.//hrp)

Radamanthe resta un instant immobile, intrigué. Comment cent hommes pouvaient changer ainsi le courage d'une armée ?
Il se resaisit. Il ne pouvait comprendre pourquoi cette peur, il n'était pas du pays. Au moint pouvait-il espérer que les Gondoriens ne soient pas affectés par cela.

"En avant ! Resaisissons-nous ! Il faut nettoyer cette ville !"

Il voyait que l'armée réagissait quand même. Il chercha Meakil des yeux, tout en étant prêt à participer à l'ataque.

HRP// Attention, long post. Pour résumer : Silence quitte son poste et rejoint les groupes d’éclaireurs qui sont en avance sur l’armée et éparpillés sur le territoire. Sentier l’accompagne. Ronfleur devient le ‘remplaçant’ de Silence.
Pour plus de détails, lisez ce qui suit.
Sinon, bon jeu à tous //HRP

Coordonner, ordonner, observer, juger puis à nouveau : Coordonner, ordonner, observer, juger…
Occasionnellement, Silence se faisait escorter plus près de certains combats, quand ceux-ci stagnaient et n’avaient pas de fin évidente. Il venait alors apporter une solution aux troupes et la résolution s’altérait subitement en leur faveur dès lors que les confrontations reprenaient.
Le stratège ne pouvait cependant pas être partout à la fois. Heureusement pour lui les hommes apprenaient vite en situation de combat… Quand leur vie était en jeu. Ses précieux conseils avaient eux aussi un impact sur leur expérience. Au fur et a mesure, ses explications devenaient plus courtes : le reste, les officiers le comprenait où le devinait à force d’être briefé.
Pour certains régiments, le passage de Silence n’était pas nécessaire, quelques Griffes y secondaient déjà les officiers en présence. Ils n’avaient peu être pas le don qu’avait Silence, mais cela l’épargnait d’un passage inutile et le permettait donc de s’investir ailleurs.

Silence arriva dans une rue, au flanc est de l’armée principale qui offrait une certaine résistance. Les routes avaient été sabotés, les bâtiments piégés et des guerriers embusqués attendaient que les rebelles faces le moindre pas dans ce no-mans land pour se faire épingler en beauté, inconscient de ce que leur réservait le terrain et les pièges mis en place.
Sentier s’éclaffa.

- J’aime bien ses types là. Ils doivent être une dizaine là dedans, ils nous retiennent depuis vingt minutes. Ils se battent avec classe, ils ferraient de bonnes recrues.

- Pas le temps pour ça, cramez pour ce bordel et abattez les fuyards.

- Hé bien ! Dit donc Silence, le manque de combat de fait perdre le goût de la subtilité ? Je t’ai connu sous de plus glorieux jours.

- Pas le temps, je te dis.

- Prend-le ! Tu finis maboule avec ton poste ! Le dernier capitaine qui mena les Griffes quand nous étions des milliers remonte à bien longtemps, il n’est plus dans nos habitudes de mener des régiments ! Et puis, laisse donc faire le jeune Prince, qu’il apprenne de ses erreurs !

- Il est absent, tu le sais bien. Et puis, cesse de ressortir tes stupides histoires sur notre soit disant passé. Je n’ai jamais connu les Griffes agir telle une armée régulière, ce n’est tout simplement pas nous…

- Tu n’étais pas né, c’est normale ! Haha ! Cela remonte à bien longtemps, quand les Griffes n’étaient pas encore en ses terres et qu’Ammoth existait soit disant.

- N’insulte pas Ammoth ! Toi et tes fichus annales… Je suis sur que tu les as écrites après t’être finement soulé au préalable.

- Pas huit tomes de milles pages Silence. Ais-je vraiment la gueule d’un écrivain ?

Le grand blond souri. Silence lui rendu la pareille.
Ils se firent une virile tape sur l’épaule et empoignèrent chacun leurs armes.

- T’as gagné Sentier, occupons nous de ses gueux à la bonne veille manière.

- Ca, je préfère ! Haha ! En avant, pour Ammoth !

Les quelques gondoriens hésitèrent avant d’hurler leur propre cri de guerre, sans énoncer de nom en particulier.

En face, dans les bâtiments en ruine, les ennemis embusqués eurent un instant de paralysie, comme si un souffle spectrale venait de les caresser, partageant avec eux le froid d’outre-tombe.

Les rebelles se séparèrent en deux groupes et feintèrent une manœuvre alors qu’ils se dirigeaient originellement vers l’avant des ruines. Ils prirent chacun un flanc tout en balançant en pleine course plusieurs potions explosives concoctés par leur Alchimiste. Les explosions étaient sans grand effet si ce n’était le son assourdissant qui en émanait et le nuage de poussière que cela générait dans les ruines.

Mener par Silence et Sentier en tête de chacun des groupes, ils se faufilèrent telle une vermine en quête d’un repas facile. Les pièges furent rapidement détectés et évités par l’œil avisé des deux meilleurs éléments des Griffes d’Ammoth. C’était presque trop facile, les pièges étaient trop évident… Ou l’étaient-ils vraiment ? C’était plutôt la manière don laquelle ils étaient placés qui rappelait quelques souvenirs… A vrai dire, si cela avait été eux, ils auraient fait de même.

Le raid éclair fut si vif et bien coordonner que les ennemis finirent eux même embusqués sur leur propre terrain.
De gris vêtu, aux couleurs de la poussière des ruines, les ennemis de l’Alliance abandonnèrent leurs armes de jets et manettes de pièges devenus désormais obsolètes. Quelques uns n’eurent pas le temps de s’emparer de leurs armes de corps à corps et furent fauchés par l’arme à rallonge exotique de Silence : une chaîne don les deux extrémités comportaient des dagues en Mithril.
Le stratège mania son arme avec une mortelle dextérité. Celle-ci était si légère que ses attaques étaient quasiment imparables. En contre partie, les rebelles durent éviter d’entre dans le périmètre de Silence car ce dernier avait besoin d’un minimum d’espace pour contrôler sa chaîne et lui offrir la balance nécessaire pour l’envoyé à ses victimes.

Les ruines absorbèrent avec grand mal le sang fraichement déversée de leurs précédents habitants. C’était devenu leur tombe.

Sentier et Silence se rejoignirent, une fois leur sinistre tâche accomplie. Ils assignèrent alors plusieurs hommes pour désamorcer les pièges qu’ils avaient détectés et sécurisés le périmètre.

- Je doute qu’il y est d’autres hommes dans le coin. Les types ici n’avaient pas grand-chose de commun avec les forces habituelles du Sultan, si ce n’est leur couleur de peau. M’est avis qu’ils n’étaient postés là que dans l’espoir de nous ralentir.

- Haha, encore des niais qui n’imaginaient pas que les Griffes étaient dans le coin, hein ? Haha !

- Hum… Cela me chiffonne, tu n’as rien remarqué de particulier avec les pièges ?

- Si ce n’est qu’ils étaient terriblement simple à découvrir, non. Je ne comprends pas pourquoi les hommes avaient tant de mal à pénétrer cet endroit.

- Je crois que c’est autre chose Sentier… Ses pièges, cette tactique… Elle nous est trop familière, trop évidente…

- Ah… Ouais, je vois ce que tu veux dire. C’est vrai que maintenant que j’y pense…

- Regardons les corps, peu être aurons ils des réponses ?

Ainsi, les deux mercenaires se mirent à fouillés les corps sans aucune autre considération pour ceux-ci.
Après quelques minutes, Sentier cria un appel. A son ton, il venait de découvrir quelque chose de très important. Silence n’hésita pas un seul instant de bondit au dessus du cadavre qu’il fouillait précédemment, évita les divers décombres et arriva chez Sentier.

Ce dernier était dans une pièce à l’étage d’un bâtiment don il ne restait plus de toit et où la majeur partie des murs étaient troués. Il était accroupis devant une trappe sur le plancher et non loin de là gisait un archer ennemi qui n’avait visiblement jamais eut l’occasion de tirer son arc pourtant armé.
Silence s’approcha lentement et regarda au dessus de l’épaule de Sentier. Ce qu’il y découvrit le rendit blême. Il prit d’autant plus d’intérêt dans la découverte et s’accroupit lui aussi au dessus du butin…

- Silence… C’est… Le sixième tome… Celui où…

- Où Ammoth disparu.

- Oui… Héhé, finalement on s’y intéresse aux Annales mine de rien hein ?

- … Que fait il ici ? Ne l’avions nous pas perdu il y a de cela trois siècles, à la guerre contre Sauron ?

- Ouep, et en plus dans un taudis pareil, c’est dingue… Il ne reste plus grand-chose du bâtiment, mais cela semblait être une habitation de civil, rien de plus…

- A moins que quelqu’un l’eut apporté jusqu’ici…

- Hum, je vois où tu voulais en venir tout à l’heure… Tu crois qu’Automne était dans le coin c’est ça ?

- Cela semble plus qu’évident maintenant, cela expliquerait beaucoup de choses…

- Il aurait dut le recevoir de Dune… A moins que ce dernier l’eut mis ici.

- Trop de questions et peu de réponses… As-tu fouillé le cadavre là ?

- Non, j’ai pris mon temps pour examiner la pièce d’abord, c’est comme cela que j’ai trouvé la trappe…

- Examiner ? Comment cela, ce n’est pas toi qui l’as tué ?

Sentier ouvrit la bouche et la laissa pendre un instant. En l’instant d’un clignement de sourcil, Silence s’élança vers le cadavre et lui ôta la capuche. C’était Automne. Sentier accourut l’instant d’après.

- Et merde ! Plus qu’une personne qui traine avec les réponses là dehors… Ce petit con à dut s’empoissonner quand il nous à reconnu en train de fumer ses petits potes…

- Et c’est toujours le même… Toujours Dune… J’aurais dus l’attraper quand j’avais l’occasion au Gondor, cette fichue guerre m’a ralentie… Et celle-ci aussi…

Sentier resta de marbre, n’offrant aucun commentaire. De toute leurs années, ils n’avaient jamais autant participé à une campagne pareille et certainement pas avec un rôle pareil…
Le grand blond finit par s’exclamer, calmement.

- Il aura toujours une longueur d’avance sur nous Silence… Et s’il a abandonné le sixième Tome ici, il doit avoir encore mieux sur lui… L’on perd notre temps ici. Il faut cesser de faire la guerre pour les autres et s’occuper de la notre ! Par Ammoth, ouvre les yeux Silence !

- Je… J’ai juré allégeance, je ne peu pas les abandonnés là…

- Quelle mouche t’a piqué ? Bon sang, ne vois tu pas que tu te refuses ta propre nature en te restreignant à ce rôle d’esclave ? Ils n’ont aucune considération pour toi, ni pour nous ! Nous leur sauvons la vie mais une fois que tout cela finit, ils nous regarderons à nouveau de haut, nous jugeant comme de misérables roublards en quête de quelques pièces pour manger ! Notre avenir est là, devant nous ! Nous n’avons jamais été plus proches du but ! Nous avons le sixième Tome et dieu sait ce qu’à découvert Dune pour qu’il nous fasse ainsi faux pas, peu être sait il où est Ammoth ?

Une étincelle brilla un instant dans le regard du Stratège… Sentier continua sur le même ton, animant ses paroles par de larges moulinets des bras et autres gestes inutiles en soit si ce n’était pour signifier son agacement devant l’entêtement de son frère d’arme.

- Il a une longueur d’avance sur nous et profite bien du fait que nous soyons enlisez ici bas avec toi coincé dans tes stupides restrictions digne d'un esclave…
Cette guerre est la leur, laissons les maîtres de leur propre destin et occupons nous du notre !

- Je crois…

- Non ! Tu SAIS ! Quand vas-tu te réveillé Silence ? Regarde le sang sur ta lame ?
D’ailleurs quesque c’est que ce truc sinon l’œuvre de ton inconscient qui démontre sa soif de combat ?
Quittons ce fichu bled et continuons notre véritable quête !!

Silence semblait mi-abattu, mi-engagé. Sa main tremblait sur la paume de « Morsure ».
Elle portait bien son nom. En l’observant, elle eut le même effet sur sa conscience. L’âme de la Griffe qu’il avait dut taire criait au fond de lui et cette fois ci, il lui était impossible de la faire taire.

Un soldat Gondorien arriva à l’étage, dans l’attente de nouvelles instructions.

- Chef, Les ruines sont sécurisées.

Le duo se releva, lentement. Sentier ne quittant toujours pas Silence du regard, dans l’attente d’une réponse. Le Stratège se tourna vers le nouveau venu et s’exclama d’un ton calme et peu autoritaire qui désorienta quelque peu le Gondorien :

- L’on se repli, il n’y a plus rien ici. On rejoint le reste des troupes…

- Oui chef.

Le petit bonhomme fit un salut militaire et redescendit en bas pour coordonner les hommes en présence.
Silence pour sa part se tourna vers Sentier pour finir sa phrase :

- … Et là, j’y annoncerai mon départ à Meakil.

- Ha ! Enfin ! Silence la Griffe est de retour !

- Mais attention, ma parole est ici tout de même en jeu, je ne peu pas entièrement l’abandonner... Nous allons rejoindre nos hommes en éclaireur sur le reste du royaume et tenter d’épinglé Dune… Au dernier rapport de Busard, il serait dans la cité d’Umbar mais avec ce que l’on a découvert ici, rien n’est plus sur…
L’on ne va pas réquisitionner toutes les Griffes, on continu dans la campagne, mais notre tête va aller ailleurs… Sans pour autant que Meakil et Aleth n’en sachent d’avantage, ce n’est pas leurs affaires.

- Enfin de sages paroles, Silence. Ronfleur devrait s’en sortir à ta place, a vrai dire je ne tien pas à l’amener avec nous, il est bon quand on le laisse faire ses trucs à sa sauce, pas quand on l’y force… Même quand c’est pour Ammoth.

- De toute manière, je déteste entendre des ronflements.

Les deux camarades rirent de bon cœur ensemble. Les dés étaient désormais lancés…

HRP// Merci d’avoir lut jusqu’ici (ci cela à été le cas). Désolé, si ne je peu pas participer beaucoup plus, cela ne va qu’en empirant. C’est pour cela que je me suis sentit obliger de justifier de manière roleplay l’ « absence » de mon personnage. Sans offense aucune, j’estime que vous saurez vous adaptez sans moi, libre à vous de gérer les pnj des Griffes, tant que cela reste dans le fluff de la ligue. Meakil a tout de même la priorité de la gestion de mes pnj (surtout qu’il est modérateur maintenant). Bon jeu à tous ! A la prochaine //HRP

Morgoth ne voyait pas se que "la garde d'or" pouvait avoir de si different des autres humains, il continua donc a tué les opposants qui venaient vers lui.
Il apercu Meakil embrassé une femme...
-Meakil avec Serre... et bien temps mieux pour eux, mhh!!
Certains sentiment dépassaient un peu l'elfe, dont l'amour pur...
Un orque etait en train de poursuivre un homme, l'Avari trancha une des jambes de celui ci qui tomba au sol et hurla en noir parler.
Morgoth lui repondit dans la meme langue et le tua...
L'homme n'eu pas le temps de la remercier que l'elfe etait deja dans un autre combat... mais en verité la griffe cherait Silence :
-Mais ou est il donc??? Il disparait!! Puis reapparait!! Vraiment fort cet homme la!!!

Le Bourreau, qui était toujours plus ou moins en face du Palais, avait aperçu la scène. Il resta statique un moment. Son manteau sombre flottait dans la brise.
Une pensée le frappa.
Si Aleth le Prince était blessé et que Silence le stratège partait, il restait seul avec un minimum d'expérience parmi les gens de Gondor, avec quelques nobles.

Il se redressa. Eh bien soit, il ne pouvait faire qu'ainsi. Dans ses yeux gris, le doute étincellait. Il passa sa main sur son menton. Jamais il n'avait eu une barbe aussi négligée. Et pourtant, il faudrait faire avec.

"En avant ! Eliminons les, ces pourris !"

Bien vite, accompagné d'une troupe considérable, il rencontra un groupe d'orc, vacant là, tellement le chaos régnait.

"Allez, si nous pouvons les avoir par petits groupes, ils sont finis."

C'est avec plaisir que Radamanthe porta le premier coup mortel. il n'avait jamais excellé dans le combat au corps à corps, mais là, ça le détendait.
Il continua, tandis que la troupe progressait elle aussi.

Il sortit son poignard et s'en servit avec sa seconde main, quand des orcs s'accrochaientà sa selle. Cela était un excellent entraînement.