Prise de la ville

Mais dans le tumulte, le Bourreau arriva dans un de ces endroits piégés dont Silence avait déjà fait l'expérience. Ce furent les deux premiers cavaliers qui en payèrent le pris. En effet, ceux-ci étaient des amateurs, qui déckanchèrent leurs artifices trop tôt, n'attendant pas assez pour profiter de tout l'impact.
En fait, dans une ruelle étroite, les murs étaiients percés des deux côtés, par des fines entailles grossière. Des archers attendaient, intouchable derrière leurs meurtrières, mais terriblement bien placés.

On fit un signe de la main pour s'arrêter.
Radamanthe descendit de cheval, comme d'autres. Il fallait aller les chercher par d'autres côtés. Ou par le toit. La porte des maisons, des deux côtés, étant dans la rue en face, c'est le toit qui fut utilisé.

"En avant, murmura t-il, prenons les par surprise"

Ceux-ci, de basse hauteur et plat, furent escaladés facilement.

Le Bourreau n'avait plus combattu à pied depuis longtemps.
Il surgit dans les premiers, passant par une trappe. La dizaine d'archer attendait le passage d'autres cavaliers. Ils ne s'attendaient pas à ça.

Mais Radamanthe, en plus de sa hache, sortit sa dernière aquisition. Un fouet, renforcé, qu'il avait apris à manier durement avant de partir. Il frappa, la fine lame de fer de l'extrémité mordait la chair.
Il resta en retrait, frappant chaque fois qu'un ennemi se dégageait. Il ne tua personne, mais ces coups furtifs handicapaient l'adversaire, et les soldats firent un carnage.

"Par Eru, ils n'ont aucune chance !"

Il porta des coups rapides et claquants, comme il le fallait, faisant rougir la chair.

Il fut satisfait de cette embuscade, qu'il trouva fort intéressante, de même que l'arme, qu'il espérait réutiliser assez vite.

Ils reprirent ensuite leurs chevaux et continuèrent, les périls des pièges ecartés.

Le massacre fut bref, sans pitié. Meakil et les hommes qui le suiviaent ramassèrent la bannière de smorts, et ils repartirent vers l'avenue centrale du quartier comerçant, dans la litain le smumaks avançaient doucement.
Al Hadaïm effrayait les orcs qui se débandaient à sa vue, mais pas les humains. certains groupes jetaient leurs armes ou inveraietn le sens de la marche en voyant qui passait... Un soldat interpella Meakil.
Pas par là Madhi, les frères du sable(autre nom de la garde d'or) attendent là-bas.
Shukran (merci). Walfrek anta wa antum dabha..( Walfrek toi et vous-à, allez -y!)
Les hommes s'engagèrent dans le carrefour, une robe au repli d'or apparu.. Kildran Joushbek, second de la garde, souriait au dit Walfrek.
Je veux Meakil Duzingi, toi recule. Cet homme doit mourir pour le Harad. Au nom de Nimrod, Sultan du Nord.
Aei biosotai!
Pas de ça avec moi! Ecarte toi paysan du Sud! Messieurs.
20 hommes en livrée d'or surgirent des bâtiments avoisinants. Ils dégainèrent et entourèrent les 5 cavaliers. Meakil voyait la scène de loin, et seul Kedan ou un autre maître du sabre aurait pu sauver ces hommes.
Naqtilu(nous combattrons), mais d'abord on fait le tour. Appelez un mumak en renfort.
Aya!
Dans le calme qui habitait ce quartier, le galop du soldat qui partait vers l'arrière résonnait comme un gong. Les hommes en livrée d'or furent rapide. et à peine un cri parvint il à leurs compagnons impuissants, que tous les corps tombèrent.
Engeance de Sauron (insulte).
Il n'y tenait plus, il savait que c'était une embuscade, il savait que celà serait sans doute la fin, mais à quoi bon vivre, pour un mond equ'il ne verrait jamais, pour une femme qui ne reviendrait jamais. Il chargea, avec les yeux de la mort. Ses hommes le suivirent en silence, un cou de cor. Alors qu'ils auraient pu vaincre...
Doucement , Meakil vit les points d'or approcher, des flèches volaient, oui c'était une de ces embuscades, oui il aurait défendu la ville de la même manière. L'estoque commença, a cheval puis au sol.Beowulf ne voulait pas lacher Meakil qui dut le chasser sur le coté. Ils combattirent à 10 contre 10, Meakil avait cette étrange impression que le mort n'avait plus aucune importance. Quand Joushbek entailla son bras, Meakil eut du mal à y croire, sa dernière blessure au combat avait plus de 50 ans.
au revoir, chien!
WA HARAD!!!
Une cape noire sembla voler du ciel sur 3 des points dorés. Meakil vit Kedan faire sauter 2 têtes. Puis une troisième. Il ne rstait qu'eux deux et un des gardes. Une flèche se ficha dans le dos du Maitre du sabre quand il voulut attaquer le dit garde. Kedan le tua, puis il se tourna vers Meakil, le visage déjà blème.
Adieu, merci pour le voyage, merci pour tout. Tue les tous pour moi... Au revoir mon ami, nous nous reverrons à l'ouest...
Ainsi périt Kedan Abdulkor al masser Maatzrawi, Grand maître du sabre d'al Fornan et frère d'arme incomparable, en sauvant la vie de celui qu'il avait choisi de servir

Morgoth n'avait pas vu les cavalier chargé et se fit prendre par surprise,
sa chute lui valu un choc a la tete, qui le sonna mais son casque le sauva d'un blessure, il se releva et trancha un cavalier en deux, d'autre s'ecartèrent, essayant de ne plus passé par le sillage de Dedain.
Puis l'elfe aprecu Meakil, il courut vers lui, mais les cavaliers ennemis barraient la route, il en tua un et pris son cheval, les autres voulurent l'abbatre, mais sans succé, alors que lui habilementen tua d'autre et finnit par arrivé devant le combat ou etait le Seigneur Haradrim, il fit :
-Meakil!! Besoin d'aide?? meme de celle d'un sombre fou??? Hahah!!!

Il tua un autre ennemis, puis descendit du cheval et le laissa galopé de peur....

Le visage de Morgoth pris une expression de "fou-à-lier" (le jeu de mot lol) et l'elfe cria :
-Bas toi comme tu ne l'a jamais fait Seigneur du Harad, je suis garant de ton nom, de ta chair et de ton âme!!!!!

Ce que l'avari venait de clamer, n'etait pas un serment en l'air, de la part d'un ancien ces paroles voulait dire une liaison de l'ésprit...

Puis dédain demanda :
-Veut tu une deuxieme arme???? Car je te prèterai la mienne si tu me le demande!!!

Merci, mais non, cette lame l'enverra auprès de ces ancêtres.
Autour d'eux des soldats cessaient le combat, observaient le s fous au milieu, deux en train de se déshabiller. Entièremnt nu, Meakil et Jorkil se firent face.
Un autre elfe??? Meakil tes amis ne sont pas de che znous, et des gens de Gondor? Crois-tu donc que le peuple de harad te suivra quand ils sauront qui sont tes amis? En garde " Père"!
Ils levèrent leurs lames à l'unisson.

Morgoth repliqua a l'adversaire de Meakil :
-Et alors qu'avez vous contre les elfes, de plus personne ne saura!!!

L'elfe repris son manteau pliez dans son dos, et remis sa capuche, le sombre etre avait une aura noir autours de lui, le sol paraissait plus sombre jusqu'a quelque centimetres...

-Bat toi Meakil, bat toi!!

Sur les hauts du palais, Radamanthe put voir que la fameuse garde d'or avait enfin bougé.

"Bon sang, que manigancent-ils ?"

Mais il était tout prêt du palais. Ce carnage l'y avait reconduit.
La garde...

"En avant, il faut savoir ce qui va se passer."

Il ignorait que Meakil et d'autres y étaient déjà. Mais il se doutait que l'intervention de ceux que tout le monde craignaient pouvait tout changer.

C'est donc par là qu'il partit.

La troupe se fraya un passage dans le chaos, et bientôt ils arriveraient en vue de l'étrange spectacle.

La tête de Jorkil sauta en l'air avec le choc, et tomba au pied de Dédain, qui la pris par les cheveux la jeta en l'air et cria en Quenya:
"Victoire au grand seigneur Meakil"

Etrangement tout le monde compris se qu'il avait dit, et au dernier moment l'elfe sortit son épée et trancha la tête en deux, les deux morceau tombèrent sur les orques et la garde d'or.
Morgoth hurla cette fois ci en noir parlé vers eux :

-Gloire au Seigneur de ses lieu, et pour vous soyez maudit, vous etes bannis, voir même damnés!!!!

Puis cette fois en langue commune :
-Et si vous voyez votre premier consul, dite lui de venir me voir!!! j'aurai deux mots a lui dire de la lame de mon épée!! ehehehe!!!!

Son rire etait d'une demence affreuse dnas la bouche d'un elfe.
Certain orques se demandèrent si le mercenaire n'en etait pas un lui même...

L'elfe se tourna vers Méakil, marcha vers lui, lui redonna ses habits, et dit :
-Lève toi seigneur, marche, et conduit ton peuple vers son apogée, chasse le culte Melkorite du pays, redonne vie au Harad!!!

L'ombre autours de Morgoth s'était estompée aprés les paroles dites, comme si le bien etait revenu.
Un sourir amical s'etait formé sur ses lèvres, et une main tendu, une main pâle, mes amie...

Le duel coupa le souffle de Radamanthe, et les acclamations ne le surprirent pas.
Mais il dut vite faire face à la charge de la cavalerie ennemie, cette fameuse garde d'or.

"On réplique !"

Il abaissa la main et à son tour les gondoriens foncèrent. Le choc fut terrible. Mais aucun meneur gondorien ne venait de mourir et ceux-ci voyaient la victoire arriver.

Radamanthe se courba pour éviter une épée et asséna un coup de hache en retour.
Quand la situation s'éclaira un peu, il s'écarta, vers le prince haradrim.

Encore a s'occuper de blessés, Radamanthe ne se reconnaissait plus.
Il descendit de son cheval, gardant un oeil sur les derniers gardes d'or.

"Oui, emmenons le !"

Il accompagna le capitaine tandis que des soldats maintenaient Meakil sur sa selle. Le capitaines présents s'occuperaient bien de gérer les combats.

Au palais, ils ne rencontrèrent rien mais il ne pouvait dire s'il ne restait quoi que se soit de caché.

Mais on trouva bien vite des servantes appeurées pour s'occuper de Meakil.
On trouva des baumes et des potions qui le remettrait d'aplomb.

Morgoth etait partit avec les gardespour emmener Meakil au palais, rien sur leur passage, tout le monde s'écartait...
Une fois arrivé au palais Morgoth etait blême, son teint pâle lui etait revenu, il demanda si les servantes n'avaient pas de plante aromatiques et de soins...
-J'ai des notions de guerison elfique mais j'aurait besoin d'un peu d'aide, je suis guerrier pas soigneur!!

Les soins furent fait, Meakil pus ouvrir les yeux, mais il etait encore faible, Morgoth lui avait fait du mieux qu'il pouvait aider des servantes :
-Vous vous releverai mon ami!! Soyez en sur!!

Une servante demanda :
-Vous etes un elfe???

Morgoth souri ironiquement et repondit :
-Bien sur!! Pourquoi???

-Et bien vous etes....étrange, pâle, les yeux noir, enfin vous semblez etres proche des....orques.

Le dernier mot déplu a Dédain, qui se leva regarda la femme dans le blanc des yeux et repliqua :
-Ne . Me . Comparez plus jamais . A . Un . Gorghûn !!!!

La femme recula et alla s'assoir sur une chaise, les larmes aux yeux de peur...

Le visage de Morgoth s'etait encore endurci...

Morgoth se retourna vers l'émir, et dit :
-Et bien, je suis heureux que vous soyez reveillez, nous avons reussi a soignez vos blessures!!!

Au dehors les combats continuaient, Morgoth etait au bout du rouleau, il n'avait pas manger depuis deux jours, et combattait depuis un peu moins.
Il s'assit au sol et s'affessa contre un mur, les yeux fermé, inconscient mais quelques mots avant :
-Un peu de repos...pour une fois....

Sulaïmane entra, il vit Meakil calme, sans expression qui tentait de regarder la guérisseuse. Il salua
Salam Aleka!
Aleka Salam Sulaïman. Que se passe t'il dehors? J'entends de moins en moins de bruit.
Gondor a pris le contrôle du sud de la ville, ils traquent les orcs. Vos hommes contrôle le haut monseigneur.
Sulaïman pas de ça entre nous, la cour n'existe plus il ne reste que nous deux, frères d'armes. Soit, je vais dormir un peu, que tout ceux qui le peuvent prennent du repos, demain il faudra nettoyer la cité, fais reconstruire la porte au plus tôt, sur l'heure si possible.
Arrivé au bout des quelques forces qui lui restaient, Meakil s'endormit. Il ne comprenait toujours pas pourquoi la guérisseuse pleurait. *Bethy*(chez moi)

L'elfe resta dans cette lethargie pednant 1heure entiere au moins, il se reveilla, tout le monde etait debout, a faire quelque chose.
Il se leva et marcha vers Meakil, la guerisseuse sur s'écarta de son passage en baissant le regard et en tremblant un peu.
Il dit a l'émir :
-Il s'est passé des chose pendant mon sommeil d'ésprit??? Comment va la bataille???

Morgoth sourit a la nouvelle de la chute des orques, et il demanda :
-Et la garde d'or??? Que d'ailleur je n'est pas trouvé plus puissante qu'une autre cavalerie!!!

En attendant la reponse Morgoth enleva son manteau, puis sa veste elfique, pour se retrouvé torse nu.
Lui meme avait ete surpris d'avoir retrouvé des cicatrices, et il l'etait encore toujours un peu.
Des cicatrices de tortures profondes, des coups d'armes, et une grande cicatrice passant de la collone vertebral jusqu'au torse et qui remontait quasiment au cou...

Blême il dit d'un ton las et froid :
-Des cicatrices tellement profondes dans l'ame et l'ésprit qu'elles sont revenus avec l'ombre...

Radamanthe frémit en voyant Morgoth. Il lui rappelait un elfe étrange lui aussi couturé de cicatrices qui était venu le trouver, et qui s'était distingué par un esprit sadique et dont il avait perdu la trace. Il ne comprenait pas de quoi il parlait. Revenu ?

"La garde d'or ? Il ne doit pas y avoir de survivants...Mais c'est vrai qu'elle n'est guère spéciale."

Il réfléchit ensuite au paroles de Sulaiman.

"Préparer la défence ? Craignons-nous une attaque ?"

Deux costauds gaillards portant le foulard gris des Griffes vinrent à la rencontre de Dédain alors que celui-ci inspectait ses propres souvenirs de combat. Ils ne se firent pas discret, hâtant le pas jusqu’à l’elfe. Les deux personnages ne rappelaient aucun nom en particulier à Dédain, ils devaient être de nouvelles recrues. Le plus grand, un puissant mastodonte don la garde d’une épée à deux main mal dissimulée ressortait de sous sa cape, prit la parole en premier. Il avait une voix caverneuse mais non dénuée de politesse, il avait le ton d’un soldat suivant des instructions précises :

- Les troupes ne doivent pas ralentir, il reste beaucoup à faire. Ronfleur est au commandement des forces en présence, bien que normalement ce soit Venin qui soit la plus haut gradé… C’est cette dernière qui nous envois.

- … D’ailleurs, faudrait que tu nous files un coup de main pour faire changer les rôles. Personne peu le pifer le Ronfleur… A part les vétérans mais nous autres, il nous barbe avec son attitude de monsieur-je-sais tout. Il n’a pas l’assurance d’un vrai capitaine et bien que Venin n’ose pas contester le choix de Silence, ce serait tout de même à notre avantage que l’on la mette en commande des rennes ! Fit le second gaillard, visiblement très engagé dans sa cause.

- Merde, parle pas aussi fort Terry… D’abord on délivre les ordres, après on cause ! Tu vas perdre ta langue un jour avec tes conneries…

Le grand type fit une pause et observa Dédain… On pouvait lire dans son regard la crainte d’être balancé. Ce n’était pas courant les rebelles au sein des Griffes et pour cause, ceux-ci passaient un sale quart-d’heure quand on les découvraient. L’homme reprit.

- Bref, on vient te chercher, t’es le seul en première ligne sur ce front là, pour le peu qu’on est on est tous éparpillés un peu partout. Maintenant que le cas de la garde d’or est réglé, faudrait qu’on mette à fond la pression sur l’ennemi. On a ordre de prendre de l’avance sur les forces, saboter, effrayer ou au minimum contrecarré les obstacles que risque d’être confronté le gros des forces sur cette partie là de la ville…

L’autre gaillard, Terry, coupa son confrère :

- Venin veut que tu sois le chef d’opération pour cette mission. T’es pas depuis beaucoup plus longtemps chez les Griffes que nous mais je crois qu’elle ne veut pas que tu l’oublies… Rappel toi ce que j’ai dis tout à l’heure !

Le grand gaillard donna un coup de coude dans les cotes de Terry qui eut une petite convulsion à l’impacte. Il allait râler mais se retint quand il vit deux soldats passés non loin. Le plus grand reprit la parole :

- Bon, quand t’es prêt on y va !

//HRP// Ce n’est pas parce que Sentier et Silence sont absents que la petite dizaine de Griffes n’existent plus… A toi de raviver la flamme mon brave Morgoth si tu le veux bien (ps, c'est bien sur une proposition, si tu veux encore rester avec Meakil rien ne t'empèches, je t'offre juste une ouvertue) //HRP//

Morgoth regarda les deux humains avec un air déconcerté puis dit :
-Et bien... Puisque je suis d'abords chez les Griffes avant d'etre au service de Meakil....je viens !!!

Il se toruna vers Méakil, et fit quelque chose a laquelle personne ne s'attendait... Il s'agenouilla et baissa la tête...
Puis ayant vu le regard intrigué du Bourreau il dit avec un sourire sadique :
-J'aurai peut etre des personnes a faire avouées....

Puis il prit ses armes, mais laissa la son armures et ses habits :
-Seigneur Méakil... veillez bien sur mes affaires, elles commencé a me pesé lourd avec la fatigue!!!

Puis il emboita le pas, suivit des deux Griffes...et sortit....

HRP // Silence, tu peut faire le spitch par contre parseque je sais pas quoi dire ni quoi faire... il me faut une base... // HRP

Le grand homme à l’épée à deux main prit la parole une fois dans la rue :

- Au fait, je me présente : Moi c’est Blason et lui Terry. Venez devant, c’est nous qui vous suivons ‘chef".

Il lui sourit, dans l’attente d’être commandé.

//HRP// ‘Speech’ pas spitch ^^ C’est simple, c’est toi qui a les rennes. Tu commandes les deux gaillards (tu leur attributs les compétences que tu veux, tant que cela reste en cohérence avec le stéréotype d’une Griffe d’Ammoth) et tu choisis quel directions prendre, comment manœuvrer dans les rues, quelles tactiques utilisés, comment embusqué les ennemis sur ton chemin etc.
Meakil qui est modo interviendra à son bon vouloir s’il veut incarner les pnj ennemis.
Ton but est juste de commander les deux hommes, aller vers les lignes ennemis avec seulement eux comme aide puis causer le plus de dommage possible aux troupes du sultan en présence. Tu peu inventer à ta guise la disposition des troupes ennemis que tu rencontreras ; si t’as vraiment du mal avec imaginer les pnj ennemi, Meakil interviendra pour te filer un petit coup de pouce. //HRP//