Armée en marche

L'armée elfe avancait vite,Rustor avait l'intention de s'arreter près d'Edoras et d'attendre que la situation se dégage au gouffre, dès ce moment ils pourraient marcher ensemble vers l'armée Uruk...

[quelque messages pour parler du voyages...Les rangers sont de la partie.]

Un elfe parmi les elfes, Sombre-chêne, juché sur Niphredil, avançait au pas. Il se laissait osciller par le pas régulier de la jument, les yeux perdus dans le vague. Il laissait son esprit voler, vagabonder. Uatour de lui, tous les elfes étaient vêtus de brun et de vert. vu de haut, le spectacle devait être assez impressionant : un long serpent de jade ondulant paresseusement dans une plaine d'herbe brune et rase. Parfois le cortège passait devant des villages abandonnés d'où presque aucun bruit ne perçait, hormis les hurlements de chiens abandonnés qui cherchait un réconfort à leur solitude dans leur ancienne demeure.

L'armée rejoignit finalement la Grande Route, qui malgré son grand âge, relliait toujours La Comté et Fornost à Minas Tirith, avant decontinuer sa route vers le Sud jusqu'à Pellargir, retournait vers l'Est avant de bifurquer une dernière fois Linhir et remonter vers le Nord et s'arrêter à Erech, du côté sud de Montagnes Blanches. Alors qu'il pensait à tout ceci, le caporal put se rendre compte combien les terres étaient grandes et à explorer.

Le galop d'un cheval à sa droite tira Sombre-chêne de sa méditation. Inquiet, il porta sa main à ses armes mais se ravisa lorsqu'il comprit que c'était juste un éclaireur qui venait dire ce qu'il avait vu ou au contraire ce qu'il n'avait pas vu auprès du général Gelmiron. Lorsque le cavalier repartit, le ranger lança au trot Niphredil pour se mettre à la hauteur de Rustor à qui il demanda :

Pensez-vous que nous puissions gagner cette guerre?

La question avait été directe. A quoi bon s'éterniser en paroles inutiles?

Le corps un peu torturé, Lianur descendit de sa monture, elle se sentait un peu honteuse par rapport a elle même de devoir subir des courbatures après une journée de chevauché seulement.

L'endroit ou elle s'était arreté semblait avoir été mis sur sa route pour qu'elle y passe la nuit. La ranger avait un peu biffurqué en fin de journée de son trajet initial pour longer un petit ruisseau qui la mena au petit bosquet.

Brandissant son arc, elle tâta un peu la corde, tira une flèche de son carquois et caressa l'emmpennage. D'un geste vif et precis elle encocha la flèche. Tous ces gestes si communs autrefois lui avaient tant manqués et elle retrouva toutes ces sensations avec émerveillement.

Elle s'eloigna de trente mètres et choisis un arbre en guise de cible. L'arc non bandé, elle ferma les yeux et se concentra quelques instants. Puis elle leva l'arc d'un mouvement lent et fluide, sans trembler. Quand la corde arriva a hauteur de ses lèvres, les yeux fermés, elle tira et au moment ou la flèche partit elle ouvrit brusquement les yeux et n'eu meme pas le temps de la voire partir qu'elle etait deja figée dans l'arbre.

Elle ne se rappelait plus de la puissance de son arc, comme si ses semaines d'attentes avaient laissé derrières elles un grand vide, ayant oublié tout goût a la vie.

En retournant a l'endroit ou resposait ses affaires, exactement en dessous de l'arbre qu'elle visait, elle vit son cheval qui revint en trottant. Sans doute s'était il abreuvé dans le gué. Tirant la flèche avec douceur, elle s'assit, prononca une excuse en elfique a l'arbre, posant la main sur l'endroit touché.

Après ce moment delectable ou elle avit pris tout son temps pour en profiter; elle s'assit, sortit un morceau de lambas d'un petit sac de voyage
Elle s'ammusa a regarder son coursier paître l'herbe grasse et touffue.

Je ne lui ai toujours pas donné de nom pensa t-elle un instant.

Elle plongea dans les songes, et regardant toujours celui qui l'avait emmené en tant de lieux, elle admira la bête. Son coursier avait un pelage extremment doux, de couleur gris clair et une crinière d'un gris plus sombre. Les rohirims l'avait surnommé la perle grise et Lianur finit par accepter le nom, mais préféra le convertir en elfique.

Le soleil ce couchait lentement a l'horizon, et caressant son encolure, elle finit par s'endormir a la belle etoile, utilisant son sac en guise d'oreiller de fortune.

Rustor secoua ses cheveux dans le vent.Il se passa la main devant les yeux.Sombre-chene était en droit de se poser des questions...Rustor l'avait il entendu...
-Si je ne le croyais pas je serais terré en Lorient.J'ai une idée très...personnelle de la guerre..Il m'a fallu des heures pour convaincres mes lieutenants du bien fondées d'une attaque frontale...Tu sais comment on m'appelle dans les clairière et autours des feu de camp?

Le caporal fit non de la tête.

-Le barbare...Simplement parce que je préfère une tactique simple à un plan machiavélique et compliqué...Mais il faut être simple si l'on veut agir en cohésion...Et c'est la cohésion et pas la force qui fait gagner une guerre...Dans tout les cas cette manière de faire la guerre va changer...Il va falloir s'adapter...

Le général semblait désabusé.Pas découragé,non juste las de toutes ces manipulations politiques.

Sombre-chêne resta un moment interdit, à méditer les paroles de son général. Ainsi les chances de vaincre existaient. Le caporal se retourna pour regarder l'armée. Un demi millier d'elfe à cheval avançait, armures et lances brillant au soleil sous la cape. c'était mgnifique, mais dérisoire face aux forces ennemis qui étaient indénombrables. Heureusement, les Rohirrims allaient s'ajouter aux acavaliers et aux rangers elfes, ainsi qu'aux quelques nains présents. Mais était-ce suffisant? Malgré les dires de Rustor, Sombre-chêne ne pouvait s'empêcher de douter.

Quant aux opinions du général sur les plans de combats, le caporal ne pouvait qu'quiescer. Malgré le danger d'une attaque frontale, élaborer des plans, qui en plus étaient difficiles à mettre en place, prenait du temps. Quoiqu'on pouvait s'étonner de l'immobilité des uruk-Haï. Ils voulaient sans aucun doute défier leurs adversaires, les narguer. mais viendrait un moment où leur patience disparaitrait, et alors le plan mis auparavant en place serait inutile.

Sombre-chêne dit finalement :

Veuillez m'excuser mon général, mais sans vouloir être offensant, je suis une des rares personne à avoir vu cette armée, si ce mot peut encore convenir. Imaginez une immense lac noir, long de plusieurs milles et large de presque autant. Avant même de l'avoir vue, la peur vous saisit. Vous entendez tout d'abord un grondement sourd, et au fur et à mesure que vous approchez, ce bourdonement grandit. Mais c'est juste un "avant goût". Alors qu'une boule commence à se former dans votre gorge, vous la voyez enfin, gigantesque. Presque une ville tout entière vidée de ses habitants, sinon plus.

Le acporal se tut à nouveau, puis reprit plus calemement :

Mais mes paroles ne donnent pas l'espoir, elles l'enlèvent. Veuillez m'en excuser encore une fois. Sachez que je combattrais jusqu'à ma mort, et plus loin si nécessaire. Je n'aurai pas peur, je resterai droit. Mais surtout je ferai mon possible pour redonner courage à ceux qui l'auront perdu. une miorité sûrement, du moins je l'espère. Encore une fois, excusez-moi, je me suis laissé emporté tout à l'heure.

Sombre-chêne resta coi un long moment. Il n'était dans ses habitudes d'exprimer tout faut ses pensées. Il changeait. Etait-ce bon signe?

Rustor lanca un regard amusé au Ranger.
-Ne sommes nous pas parmis les meilleurs guerriers que la terre du millieu aie jamais connu?Les nains ne sont ils pas les second meilleur guerriers après nous?Et la cavalerie rohirrim vaut elle si peu que vous vous permettiez de la dénigrer?Il y a ici un gros milliers de cavaliers elfes!Le triple d'infanterie! Des nains barbus et teigneux comme ... des nains....
Si mes sinistres prédiction s'étaient réalisée et si au lieu d'une pareille armée il n'y avait eu qu'un demi milliers de cavalier alors oui...cette armée aurait paru imbatable...Mais la foret noire et la lorient on répondu!Les elfes livrent leur dernière bataille!Mais quels elfes et quelle batailles...

Le général était lancé...Il fit un clin d'oeil au caporal.

-Faites moi confiance...

[en gros j'était persuadé de l'avoir noté quelque part mais j'ai oublié, il y a beaucoup d'elfe et pas juste un demi millier...]

Après avaoir espionner les ourouk avec Sombre-chêne, Hataldir n'etait pas rester au camp, il avait entendu que l'armée allait bientot partir, il etait donc parti,avec un voyageur Edoras comme but, il etait bien décider de se procurer un cheval et ne plus dependre des autres, il etait donc monter derriere le voyageur. plusieurs jours plus tards, il arriva a Edoras.

Il remercia le voyageur. Il se dirigea vers les ecuries, regarda toute les superbes montures qui se presentèrent a lui, il choisi un superbe etalon elfique, de couleur noire, tres robuste,très bien entraîner et tres bien equipé, il etait fier de sa monture, il alla donc trouver un endroit pour se reposer avant de repartir.

Le lendemain il equipa son nouveau compagnon et parti le plus vite possible pour rejoindre l'armée qu'il avait abandonner pour un moment, si elle etait deja partie, il ne devrais pas etre loin car elle devait faire escale non loin, mais il prefairerait la rejoindre avant qu'elle n'arrive, il parti donc en quète de retrouver ses compagnons d'armes, il se mit pour la premiere fois sur le dot de son noble destrier, ROYAL pensait-il, il n'avait jamias rien resentit de pareil, les seuls chevaux surlesquels il etait monter, etait des chevaux etranger, celui-ci etait le sien mais il etait pourtant tres different, et d'un coup, il le lanca au galop, il demara a une vitesse extraordinaire, il retrouverait ses amis en tres peut de temps...

La surprise se lut sur le visage de Rustor.

-Lianur?J'ai eu peur pour vous...J'ai cru que comme beaucoup d'autres vous aviez suivi Echtelion...Avez vous des nouvelles des Havres?

Dans son dos l'armée continuait d'avancer, Rustor ne s'inquiétait pas, il avait un cheval bien assez rapide que pour reprendre la tête du groupe.

Hataldir continuait son chemin a travers bois et prairies, a la recherche de l'armée. ca faisait plusieurs jours qu'il etait partis d'Edoras, il savait qu'il n'allait pas tarder a rejoindre les siens. il regardait le chemin defiler devant ses yeux, il faisait plutot frais en debut de journee, il espairait donc les retrouver avant le crépuscule. mais il prefera s'arrêter un peut pur faire manger et boire son cheval, et en profita pour se reposer, il devais etre en forme pour retrouver ses compagnons.

Une larme de joie monta aux yeux de Lianur, mais elle se retint, esquissant un petit sourire sur le coin des lèvres.

-Les Havres ont eu les nouvelles... Quand a d'autres affinités, ils ne voient pas beaucoup de monde la bas, reculé et loin de tout évènement. Les temps on changés, et les elfes changent avec.

Rustor s'appreta a formuler une réponse mais un bruit non loin attira soudain l'attention de la Capitaine, qui la mine grave, sortit son arc...

Un espion Uruk? Ce n'était pas tout à fait de leurs habitudes d'autant plus qu'a cette distance il n'entendrait pas grand chose.

Le bruissement des feuilles avait résonné clairement au oreilles toujours en alertes des elfes. Un geste de la main rapide, un regard et la ranger mit pied a terre. Son arc bandé, elle s'avança furtivement a la lisière du bois. Pourtant avant de s'y engager elle n'entendit plus rien.

Pénétrant la forêt et la fouillant du regard, balayant le paysage de ses yeux d'aigles Lianur ne pût rien distinguer d'anormal et pourtant...

Soudain (!), une bête sauvage surit derrière elle en bondissant, la prenant de revers. Aussi rapide que son ennemi potentiel, elle evita le saut en dégageant ses épaules, et décocha la flèche l'instant d'après mettant a mort son prédateur, faisant ainsi valoir son statut de Capitaine ranger.

Les galops des chevaux laissaient supposer l'inquiétude bien justifié du Général, accourant avec toute sa garde.

Arrivés ils ne purent que rester aussi impressionés et effrayés du spectacle. Aux cotés de Lianur gisait un loup au pelage noir, suant et aux crocs effilés, le plus impressionant encore étant ses mutations surement dues aux infâmes tortures du mal.

-L'ennemi approche... l'odeur d'une bataille flotte dans l'air.
Rejoignons Edoras en marche forcée, nous n'avons que trop tardés! Ordonna Lianur et le Général acquisa d'un hochement de tête.

Ainsi la colonne d'armures et de bouclier resplendissant se remit en marche et de plus belles. Vers les derniers rayons de soleil, le promontoire de la cité était en vue, rehaussant encore la cadence de marche. C'est vers les débuts de l'aurore que l'armée elfique sonna du cor, demandant l'ouverture des portes...

(hrp: fallait que les choses avancent un peu içi, le rp continue a Edoras!)