Meduseld - Salle du Trône

Désolé mon roi, je ne le savais pas.
- Je m'appelle Togrim pour vous servir.
Sauriez vous ou est le professeur de magie mon seigneur ?

"Bonjour Togrim. Nous n'avons pas de professeur de magie au Rohan et le seul que je connaisse se trouve à Minas Tirith. D'autres questions ?"

- Non, merci mon seigneur.

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et le nain de Khazad pris la rout du Gondor

Firion était tranquillement assis sur son trône à discuter avec le maréchal de la première marche sur des questions militaires. Le roi ouvrit la bouche, s'apprétant à répondre lorsque la grande porte du palais s'ouvrit violemment. Un garde courut vers le roi.

"Mon seigneur, un espion a notre service a découvert une armée orque et il demande à vous parler."

Le roi se leva, le regard anxieux.

"Très bien, faites-le entrer."

Le garde repartit et revint vers le roi avec le deuxième garde et un homme, entièrement vêtue de vert, devant être l'espion. Le roi s'adressa à l'espion.

"Alors, qu'as-tu vu ?
- Mon seigneur, une dizaine de paysans ont été retrouvés morts, assassinés, il y a de cela cinq jours. J'ai été envoyé là-bas pour voir de qui provenait ce massacre, et j'ai découvert une armée d'orques, descendant des montagnes.
- Combien sont-ils ?
- Ils sont plus de dix mille.
- Maréchal, combien d'hommes disposons-nous ?
- Actuellement, nous disposons de mille rohirrims à Edoras, plus l'armée de volontaires, soit une centaine d'hommes et il doit rester environ cinq mille rohirrims dispersés au Rohan.
- Très bien, nous ne pouvons pas rester là. Nous allons au Gouffre de Helm. Quand seront-ils là, d'après vous, espion ?
- Je pense qu'ils seront là dans trois à quatre jours.
- Bien, Maréchal, rassemblez le plus de rohirrims que vous pouvez, et retrouvez-nous au Gouffre de Helm dans trois jours.
- Très bien, mon seigneur.
- Quant à nous, allons avertir le peuple et les soldats présents et direction le Gouffre de Helm."

Le roi sortit du palais, suivit par le maréchal, les gardes et l'espion.

Un homme arriva. C'était un garde des portes de la cité. Il tenait une bouteille dans chacune de ses mains. Il monta les marches deux par deux et grimpa jusqu'au trône où il fit une élégante courbette devant son Roy.

"Mon Seigneur...Voici deux bouteilles en provenance de Minas Tirith. C'est le Roy de la Cité Blanche qui vous les envoies avec ses salutations distinguées. Hum....Bonne journée, Sir !"

Il déposa délicatement les deux bouteilles aux pieds du Roy et s'en fut par la porte.

Firion remercia l'homme et donna les deux bouteilles de vin à un serviteur.

"Mets-les avec les autres bouteilles, avec les grands crus bien sûr.
- Bien, mon seigneur."

Firion appela maintenant son scribe et lui dicta une lettre de remerciement pour le Roy Méphisto.

"J'ai fini, mon seigneur.
Bien, envoie-là au Roy."

Le scribe partit. Le roi resta assis sur son trône et finit par s'endormir.

La garde se tenait prêt. Les 9 gardes royaux allaient en accueillir un 10ème...

Les gardes étaient en tenu de cérémonie. Le Roi avait revêtu son habit royal (c'est le cas de le dire) et se tenait sur son trône...

Berund entra. Il s'avança jusqu'au pied des marches. Il sortit son épée et la déposa sur les genoux du Roi. Celui-ci le bénit et le garde Berund se releva.

Vive le roi... Vive Berund... La Garde vaincra...

Après quelques pintes de bière, chaque garde retourna à son travail.

Un messager arriva en pleine nuit, essouflé.
Il gravit les marches d'or de Meduseld et tenta de passer la porte quand deux gardes lui en empechèrent.

- Que faites vous ici ? Vous portez la livrée du Roi de Minas Tirith.
- C'est exact, j'ai un message d'un des sujet du roi pour Firion, grand monarque du Rohan.
Le messager sortit un parchemin de sa manche et leur montra le sceau du Gondor.
Les gardes retirèrent leurs lances et lui ouvrirent la porte.

Se précipitant vers Firion, le serviteur glissa et tomba par terre.
Confus et faisant des courbettes d'excuse, il s'adressa au Roi du Rohan en déroulant son parchemin.

- Sire, ce message est de la part de Eosfel Harkonnen, chevalier du Roy Mephisto du Gondor.
Il lui tendit d'une main hasardeuse.

Citation :

Messire Firion, je vous pris de me faire grés des politesses habituelles, la baronnie des Montagnes Blanches dont je suis issue a été mis à sac par un groupe de barbares sanguinaires, moi et quelques hommes du Gondor faisons une expédition punitives contre ces mauvais hommes, Berund fils de Berunda nous à proposé de demander l'aide du Rohan. Sire, je vous demande si vous repondrez présent à cette confrontation ?
Mes plus sincères voeux de bonheur et de respect.
Eosfel Harkonnen, Sixième de la lignée Harkonnen des Montagnes Blanches.

Des grosses taches d'encre parsemaient le parchemin jaunis.

Firion répondit au message en écrivant au dos du premier message :

Citation :

Messire Eosfel Harkonnen,

Je ne puis point accéder à votre requête. Mon peuple a déjà suffisament souffert après les deux batailles et je ne leur en infligerai pas une autre. Sincères salutations.

Firion, Roi du Rohan.

Il remit le message au messager et celui-ci repartit voir so maître.

Après avoir passer une bonne dans son chez soi, Elfwine se leva plus tard que d'habitude, la chasse a l'ours l'avait épuiser. Il décida d'aller voir le roi pour le remercier se la réponse pour la chasse a l'ours. Il sortit de chez soi et se dirigea vers Meduseld, la salle du trone. Arrivé a l'entré :

- Bonjour a vous chez garde du roi, je suis venu parler avec notre noble seigneur.

Les gardes le laissa entrer. Il arriva dans la salle, il vit le trone qui étais a l'autre bout de la salle. Il avanca tranquillement vers son roi. Arriver devant, il s'inclina un peu et parla :

- Mon noble roi, je me nomme Elfwine, cavalier a vos ordres. J'ai aider a éliminer l'ours qui faisait des ravages sur les plaines. Je vous remercie de la réponse.
- Si vous avez besoin de mon aide, vous n'avez qu'a me faire signe.
- Je suis a votre disposition

Elfwine s'inclina devant son roi, et parti hors de la salle.

Firion discutait avec Eoseld quand un garde vint le voir.

"Mon seigneur, un paysan demande à vous voir, ça a l'air grave.
- Faites-le entrer !"

Le garde repartit et revint accompagné d'un vieux paysan. Ce dernier avança jusque devant le trône et vacilla en arrière. Eoseld se précipita et l'aida à se relever tant bien que mal.

"Mon seigneur, je viens chercher de l'aide. Mon village s'est fait attaqué par une trentaine de mauvais hommes descendus des montagnes. La moitié des villageois ont pu s'enfuir à temps mais l'autre moitié s'est faite tuée. C'est affreux ! Il y a de cela trois jours, et durant ce temps là, je n'ai eu le courage de m'arrêter et donc je suis exténué.
- Garde, préparer lui un lit. Eoseld, donne-lui à manger et conduis-le à sa chambre. Moi je vais rassembler nos cavaliers."

Sur ce, le garde partit d'un côté, Eoseld et le paysan d'un autre, et le Roi sortit du château.

Un garde entra dans le palais et vint voir le roi.

"Mon seigneur, une lettre en partie brûlée nous est parvenue par un oiseau. Elle vous est adressée.
- Bien, montre-la."

Le garde donna la lettre au roi et repartit. Firion ouvrit le parchemin et lut. Il pâlit à en devenir livide. Eoseld qui se tenait à ses côtés s'inquiéta.

"Mon seigneur, que vous arrive-t-il ? Que dit la lettre ?"

Firion ne répondit point à Eoseld et il laissa tomber le parchemin au sol. Eoseld la ramassa et la lut.

Citation :

Firion,
Theneor et moi... vivants... échappés... orques... au secours... nous sommes à...
Cella.

Eoseld blémit à son tour puis se reprit.

"Mon seigneur, Firion, reprend-toi ! Il faut les retrouver !
- Mais nous ne savons même pas où ils sont. Ils peuvent être n'importe où.
- Envoyez des éclaireurs, des espions, allons chercher nous mêmes, au Rohan comme ailleurs. Je vais demander à Elerion de faire des recherches de son côté. Il faut les retrouver, ils sont encore en vie et ils faut qu'ils y restent. Nous ne savons pas depuis quand a été envoyée cette lettre, n'y même pour quoi elle est en partie brûlée. Allez ! Levez-vous ! Lève-toi !
- Tu as raison. Nous allons remuer ciel et terre s'il le faut mais nous allons les retrouver, et vivants !
- Excellent ! Allons-y !"

Firion fit appeler tous les éclaireurs et tous les espions disponibles. Une fois mis au courant, ils furent envoyés aux quatre coins du Rohan. Ils doivent fouiller chaque recoin du Rohan. Une fois fait, Firion demanda à Eoseld d'écrire à son fils pour qu'il fasse des recherches à Minas Tirith et au Gondor tout entier s'il le faut. Chose faite, Firion et Eoseld sortirent.

Un garde royal entra en toute hâte dans le palais. Le roi n'était pas sur son trône. Le garde trouva une servante.

"Où est le roi ? Je dois le voir au plus vite.
-Il dort.
-Alors allez le réveiller. Je vous suis. C'est une affaire de vie ou de mort.
-Très bien, mais vous assumerez les conséquences s'il doit y en avoir.
-Je les assumerai."

Sur ce, la servante emmena le garde jusqu'à la porte du roi. Le garde regarda de chaque côté du couloir et ne vit personne. Il tira son épée du fourreau et tua la servante. Il entra dans la chambre sans faire de bruit et avança jusqu'au lit du roi où celui-ci dormait. Prêt à tuer à son tour le roi, une servante au loin cria. Elle avait dûe apercevoir le corps de la morte. Firion se réveilla en sursaut. Le garde planta son épée mais Firion eu juste le temps de bouger pour que la lame ne s'enfonce pas suffisamment et pour qu'elle n'atteigne pas de point vital. Le garde croyant le roi mort, il sortit. Il tua la servante qui avait criée et partit. Il sortit du palais et dit aux gardes :

"Le roi a été tué ! Vite ! L'assassin y est sûrement encore ! je vais chercher des renforts !"

Les gardes entrèrent dans le palais à toute vitesse. L'assassin ameuta tout le monde faisant croire qu'il avait découvert le corps puis quand tous les gens porteurs d'armes furent au palais, il vola un cheval à l'écurie et quitta Edoras.

Cella entra dans la chambre du roi, pleurant. Le roi ouvrit les yeux.

"Ne pleurez pas. Je ne suis pas encore mort et ne mourrait pas aujourd'hui, pas de la main d'un traître. Il faut que l'on me soigne. J'ai pu éviter une blessure grave mais pas l'épée. Dîtes à Eoseld qu'il dirigera le royaume le temps de me faire soigner.
-Bien. Ne mourrez pas mon seigneur.
-Ne vous inquiétez pas."

Cella s'apprêta à quitter la chambre. Le roi ajouta :

"Et prévenez Thénéor.
-Ce sera fait, mon seigneur."

Cella quitta la pièce et alla voir Eoseld. Ce dernier discutait avec un garde.

"Eoseld, je viens de voir Firion. Il m'a dit de vous dire que vous dirigerez le royaume de temps qu'on le soigne.
-Il n'est pas mort ?
-Non, et il ne mourra pas. Enfin c'est ce qu'il m'a dit...
-Alors c'est qu'il ne mourra pas. Quel soulagement. J'irai le voir plus tard, il faut que je règle certains problèmes encore. J'ai envoyé des cavaliers à la recherche du traître."

Cella repartit. Eoseld fit de même.

Un cavalier entra. Il s'avança jusqu'au trône où siégeait Eoseld.

"Seigneur Eoseld, nous avons repéré le traître mais nous n'avons pas pu le capturer. Il a été retrouvé retrouvé deux à trois centaines de montagnards. Ils se dirigent vers nous. Des nouvelles d'ailleurs nous sont venues, il y aurait environ trois mille orques qui seraient éparpillés dans le royaume. Le tout depuis qu'ils croivent que le roi est mort.
-Quels sont nos effectifs à Edoras ? Pouvons-nous tenir contre les montagnards ?
-Oui, nous sommes mille. Le plus inquiétant sont les orques qui vont brûler et tuer tout ce qui se trouvera sur leur passage.
-Envoyez des cavaliers pour qu'ils ordonnent à toutes les personnes du peuple qu'ils croiseront de se rendre au Gouffre de Helm. Par contre, les cavaliers qu'ils verront devront être envoyés à Edoras.
-Bien, seigneur. Je m'en charge."

Le cavalier repartit. Eoseld soupira, se leva et alla voir le roi qui se faisait soigner.

Un jeune homme entra dans Meduseld, il s'approcha du trône du Roi Firion et salua ce dernier.

Seigneur , encore une fois, je me permet de venir dans votre citée, en traversant les vastes plaines du Riddermark, j'ai aperçu de nombreuses troupes orc. Il semblerait que ces rat puants tuent tout sur leurs passage. Je vient prêter main forte à votre Royaume et donnerais ma vie si vous me le demandez.

Le roi dévisagea le jeune homme...

[Hrp] Le roi est dans sa chambre en train de se faire soigner. Un de ses gardes a essayé de l'assassiner mais il a heureusement échoué. Eoseld a prit la place du roi pour le temps de ses soins et tu te trouves donc devant lui. [/Hrp]

Eoseld fronça les sourcils.

"Oui, je suis au courant. Ils sont environ trois milles. J'accepte vos services mais je ne vous enverrai pas les tuer. J'ai besoin de vous ici. Trois cents montagnards vont attaquer Edoras. Nous sommes certes trois fois plus nombreux qu'eux car nous sommes mille mais nous ne savons pas si leur armée ne s'aggrandira pas en chemin. Maintenant sortez et allez voir si on a besoin de vos services. Tous les villageois devront rentrés à Meduseld. Nous ne voulons pas risquer leur mort et c'est ici qu'ils seront le plus en sécurité. Moi, je vais aller me préparer et il faut que je vois le roi. Nous nous reverrons donc tout à l'heure."

Eoseld se leva, salua Jolane et partit voir le roi. Celui-ci venait de se faire soigner, il se reposait à présent. Ca n'aurait pas été étonnant qu'il veuille se battre et personne ne pourrait l'en empêcher. Le repos était donc la meilleure solution.

Forlong avait voyage toute la nuit. Son cheva, un magnifique etalon noir du Rohan, semblait reprendre des forces en voyant qu'ils s'approchaient de sa terre natale: le Riddermark. Forlong traversa les portes de Edoras sous les yeux attentifs des gardes. Il deposa son cheval aux ecuries, il savait que les hommes du Rohan allaient tres bien s'en occupper. Il alla en suite dans la direction de Meduseld, le magnifique palais dore construit il y a tres longtemps par Eorl. Il laissa son poignarde, son bouclier et son epee a l'entree.
Dans la grande salle, le trone etait vide. Cependant un noble etait assis a cote sur une chaise decoree.
-Bonjour, o noble conseiller du Roi! Je suis Forlong, mercenaire du Arnor. J'ai entendu que le Riddermark etait en danger. Mon epee appartient au Roi Firion.
Mais ou est donc le Roi?

Eoseld regardait l'homme qui lui parlait. Puis il deigna enfin répondre.

"Le roi est en train de se reposer après avoir été soigné. Un garde a tenté de l'assassiner mais à heureusement échoué. Il se repose en attendant le combat. Le garde est parti rejoindre son armée de montagnard mais je pense qu'il y aura aussi des orques. D'ailleurs, je vais aller prévenir le roi, ils ne devraient plus tarder. Cinq cents Rohirrim sont arrivés il y a peu gonfler nos rangs. Nous devrions tenir. Si vous êtes prêt, sortez et allez sur les murs, les villageois commencent à rentrer ici."

Eoseld vit les portes s'ouvrirent et une longue file de paysans entrer. Quant à lui, il alla réveiller le roi.

Luragorn arriva dans la salle du trone et s'accroupit devant le roi

-Bonjour mon bon Roi, je viens vous voir pour vous demander de m'accepter dans votre pays et devenir par la meme occasion un chevalier!

*J'espere qu'il va m'accepter*

Le conseiller du roi du Rohan -le roi lui-même n'étant pas là- le regarda s'avancer. Déjà il n'était pas au bon endroit pour sa demande, mais passe encore.
C'est alors qu'il lui demanda son nom...
L'homme faillit tomber par terre...Ludwigsnekatotmèlepoincom?

-L'ami, est-ce donc là votre nom ? Il me paraît fort étrange...


En clair, si dans tes mess tu t'appelles Luragorn, change ton pseudo sur le forum...

Firion était assis sur son trône. Il fit appeler Eoseld. Celui-ci vint rapidement et alla s'installer auprès du roi.

"Qu'y a-t-il mon seigneur ?
- Nous avons besoin de renfort. Va quêter auprès du Roi Méphisto. Puis si tu rencontres des personnes sachant se battre en chemin. Rallie à toi le plus de monde possible. En partant, si tu vois des villageois qui ne sont pas encore à l'abri, emmène-les au Gondor. Puissent y être plus en sécurité qu'ici.
- Ce sera fait mon seigneur. Mais qu'allez-vous faire pour notre armée ? Les orques sont à l'Ouest, les uruks à l'est.
- J'ai déjà envoyé les ordres. Les cavaliers ont le choix de venir au Gouffre de Helm ou ici, à Edoras. Nous nous chargerons des uruks tandis que ceux du Gouffre se chargeront des orques.
- Et si les orques nous attaquent ?
- Ils ne nous attaquerons pas. Ils vont bloqués les armées du Gouffre pour que nous n'ayont pas de renfort. L'armée des uruks est suffisamment puissante et vaste pour nous anéantir. Il faut que tu partes au plus vite. C'est une question de temps. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai ouïe dire par les éclaireurs et les espions que les deux armées ne seraient pas en mouvement mais seraient en position, comme s'ils attendaient le bon moment.
- A mon avis, ils prennent leur temps, ils savent que nous ne sommes pas assez pour leur tenir tête. Nous sommes perdus. seul un miracle pourrait nous sortir de là.
- Alors il y aura un miracle. Nous allons leur survivre.
- Je garde espoir. En route. Le temps nous est compté. Je reviendrai le plus vite possible avec des troupes.
- Va ! Adieu."

Eoseld quitta Meduseld en courant. Le roi se leva et quitta à son tour le palais pour aller voir où en était la reconstruction.