Secte aux amulettes [Enquête]

[HRP Balthazar ou .... ^^ , je t'autorise a blesser gravement mon pnj ...HRP]

"Mon Roy, je ......."

Mithrandir disparu.

"Mithrandir, que s'est-il passé, où est-il ?"

Malgré la disparition inattendu de son fils, Hobasian lançait ses couteaux comme un fou.

"Et de un, et de deux, et de trois ..."

Tout autour de Forlong se fut le chaos total. Balthazar s'approchait.
Soudain, l'epee de Forlong prit une etrange lueur. Il avait trouve
cette lame dans la tombe d'un roi antique du Arnor, et la magie
utilisee par Balthazar et cet etrange culte ressemblait fort a la magie
noire du Angmar, l'ancien ennemi du Arnor. Forlong, n'ayant pas
vraiment controle sur sor son corps se lanca vers Balthazar. Son epee
brilliante trancha quelques bandits sur le chemin. Lorsqu'il se
retrouva face a Balthazar, celui-ci s'appreta a lui infliger un coup
fatal avec sa chaine. Mais quand la chaine toucha la lame de Forlong,
celle ci resista au coup violent. Une explosion magique expulsa tout le
monde autour, lorsque les deux magies s'opposerent. Forlong et
Balthazar firent tous les deux jetes par terre ainsi que quelques
combattants autour. Aucun des deux n'avait subi des degats importants.
hrp: a Balthazar de decider la suite de l'evenement.

Silka cru entendre le lointain écho d’une sourde explosion. On aurait dit qu’un alchimiste venait de maladroitement lâcher une de ses créations dans sa cave. La provenance du bruit attira l’attention de la bretteuse alors qu’elle s’apprêtait à quitter le quartier de l’Auberge.
Curieuse, elle osa un coup d’œil dans la ruelle d’où semblait provenir le bruit. Il n’y avait rien, c’était un coin sombre où trainaient au sol plusieurs déchets…
Une légère brise apporta jusqu’à elle l’odeur de charogne… Instinctivement, son regard revint sur les dits déchets. L’odeur était beaucoup trop forte, il y avait quelque chose de louche dans le coin… Le temps que ses yeux s’habituent à l’obscurité ambiante, elle comprit alors que c’était des cadavres qu’il y avait là en face d'elle.

"Allons Silka, tu ne vas pas te laisser attirer par les ennuis quand même… ?"

Elle se parlait à elle-même tandis qu’inconsciemment elle s’approchait néanmoins des corps. C'était les mêmes que ceux qu'elle avait vue empilés l'autre jour devant l'Auberge...
Elle découvrit alors la porte grande ouverte du repaire. Une odeur encore plus forte lui attaqua les narines. Quelle puanteur, il devait y avoir eut un sacrée boucherie là dedans ! Elle manqua peu de vider son estomac à ses pieds, mais son endoctrinement martial lui retint la bile qui se fit amèrement sentir au fond de sa gorge. Elle puisa dans son courage –ou l’inconsciente curiosité ?- et tenta un pas dans le bâtiment. Elle découvrit le corps de plusieurs miliciens. Instinctivement, sa main droite caressa le manche de son épée courte bien que son sixième sens ne lui indiquait aucune menace directe. C’était peu être l’endroit en lui-même qui avait quelque chose de profondément malsain ?

Ainsi, elle osa quelques pas parmi les cadavres, sous la faible lumière des torches… Où était elle entrain de se fourrée ?

//!!! Baltha' n'utilise pas de magie !Mais faisons avec//

Balthazar se retrouva par terre, mais se releva rapidemment, sans chercher à comprendre; d'ailleur ce mot n'avait plus de sens pour lui. Le fait qu'il ait le poignet cassé ne l'importunait pas non plus.

Il fixa le responsable de ses yeux blanchis. Alors, il plongea la main dans le feu qui entourait la salle et celle-ci se conssuma, envoya une droite enflammée vers Forlong. Il faucha ensuite la tête d'un milicien qui atterit près du vieil Hobasian. Cela porta son attention sur celui-ci et il lança un flacon violemment vers lui, afin de le blesser violemment (comme il est demandé^^).

Soudain, deux traits lui rasèrent le crâne, tandis que deux flèches le touchèrent à l'épaule droite et à la poitrine.
Ses yeux de fou se tournèrent vers Turgon. Il ouvrit un flacon, mais cette fois, en prit une gorgée en bouche, et dressant un baton de feu, il fit comme les saltimbanques qui epoustoufflent parfois les foules.

Mais ce jet de flamme attenit une portée terrible et grilla nombre de gens, même des siens.

Les fanatiques étaient moins nombreux, Balthazar lui-même y était pour quelque chose. Il se replia.

Les fanatiques allaient sortirent des poignards et tenter le tout pour le tout à distance, certains serraient empoisonés. Balthazar le Noir, lui, contemplait.

//Méphi' et moi seront sûrement dans l'incapacité de poster demain. Donc, svp, laissez Baltha' tranquil et éliminez surtout les deniers cultistes, après, les choses sérieuses, cette sorte de duel final, qui se promet d'être...chaud ...pourra commencer //

Il ne restait plus que sept ou huit cultes dans la pièce,c'était une vrai boucherie des cadavres de partout aucun pas ne pouvais être fait sans avoir un cadavre en dessous.Je fit que Balthazar utilisait toujours ces "instruments"
mortel contre nous.Il brula les derniers milicien que nous possédions,il n'en restait plus que deux voire trois,Soudain deux de mes allié dont Forlong et Hobasian allait se faire blessé voire tuez si je ne fessait rien.Je décida de m'élancez vers Forlong empêchant les flammes de l'atteindre mais je me fit touchez d'un point critique que mon bouclier céda sous le cou.J'étais à présent à terre avec du flou dans les yeux un effet de tangage et un bruit sourd dans les oreilles.Je perdis connaissance peut de temps aprés...

Lorsque Forlong se releva, il vit Balthazar lui envoyer une espece de boule de feu dessus. Au dernier moment il se baissa, et la flamme explosa sur le mur en lui brulant juste un peu les cheveux. Il vit Hobasian tomber par terre et se lanca en sa direction. Il prit le vieil homme sous les bras et l'emporta dans un endroit moins dangereux. Il lui laissa une gourde d'eau et se lanca au combat. Il s'appercut avec joie et etonnement que la plupart des bandits etaient deja tues, mais malheuresement, parmis les rangs des soldts du Roy, les pertes etaient aussi lourdes. Des quarante miliciens qui sont venus sur place, plus que trois se tenaient encore sur les jambes. Le Roy se battait a cote des quelques solats survivants, mais il perdait les forces pendant un combat contre le reste des bandits. Folong regarda Balthazar avec haine, mais decida que ce n'etait pas la chose la plus impotante pour le moment. Il se lanca alors dans la direction du Roy pour lui porter secours.

Folrong prit le bouclier et les couteaux de Hobasian et se lanca au combat. Les blessures d'Eronn et de Hobasian l'ont vraiment enrage. Il prit le bouclier a deux mains et tapa avec toutes ses forces sur la tete du chauve le plus pres. Le crane du bandit se cassa comme une noisette. Ensuite Forlong mit le bouclier sur le dos, prit l'epee en une main et son poignard dans l'autre et se mit a combattre. Il etait enrage, mais il controlait son corps, et se battait en utilisant les coups appris pendant les entrainements plutot que donner des coups dans toutes les directions. Malgre qu'il tuait tout le monde sur son chemin , plusieurs blessurres lui ont etes infligees. Il etait blesse a la jambe, au bras et a la tete.

De toutes parts jonchait des cadavres que nul ne pouvait compter.Les pertes étaient lourdes et les miliciens se fatigués plus vite.
L'ennemi avait cette drogue qui les rendait fou furieux au point que déjà Eronn était quasiment hors combat et qu'Hobasian était retiré dans un coin sombre de la pièce.
Meneldir quand à lui avait reçu de petites taillades mais avait été en partie brulé sur le bras par Balthazar.Avec ses combats il avait perdu toutes ses armes.Le manche de sa hache ayant été sectionné en plein centre par un épe en se défendant il avait utilisé la lame pour décapité un ennemi de dos.
Menneldir ramassa ensuite deux épées dont un cimùeterre dont il connaissait quelques bottes éfficaces avec cette arme sur le sol pour ensuite se relançait dans un combat féroce contre les derniers fou se tenant dans toutes la pièce

Forlong s'approcha des deux cultistes. Un d'eux lui chargeait dessus, mais Forlong lui enfonca l'epee dns la poitrine. L'autre bandit tira avec l'arbalette qu'il tenait entre ses mains, mais Forlong se lanca par terre et la fleche lui blessa juste la main. Il se releva, frappa le bandit avec l'epee, et loorsque celui-ci tomba, il l'acheva d'un coup de grace.
Il ne restait plus que trois bandits.

Meneldir se jeta dans la melée et remarqua que seuls trois "malades" étaient encore debout et que bientot le duel final qu'il allait mener face à Balthazar était inévitable.
Il trancha la gorge d'un ennemi de dos d'un geste large de son cimeterre et se retourna vivement pour dévier la fiole que venait de jeter Balthazar.Celle-ci aterri en plein dans le visage du milicient qui se tenait à moins d'un metre du roi.

Hobasian bien qu'encore dans le flou, se rendit compte qu'il ne restait aps beaucoup de bandits.
Il saisi donc une épée qui, trainait à côté de lui et essaye de se lever.

"Pas la peine, j'ya rrivera&is aps, c'est déjà un miracle que je sois pas mort !"

Faute de pouvoir se battre avec, Hobasian la lança, elle fendit l'air passa derrière le Roy et transperça un brigands qui s'appretait à attaquer le Souverain de la cité blanche.

[HRP, plus que un, lors, pour qui est-il ? HRP]

C’est qu’il y en avait du bruit là dedans ! Le sol trembla quelque peu, laissant présager à Silka que les explosions provenaient bel et bien du bâtiment… Restait à savoir d’où.
Elle eut un instant de réflexion, se demandait si elle devait chercher du renfort et alerter d’avantage de miliciens… La présence de gardes royaux parmi les cadavres mirent une fin précoce à sa réflexion. Elle se souvenait avoir vue le Roy à l’auberge avec les autres soldats. Nul doute qu’il devait également être dans les parages. L’inquiétude la saisit. Elle rejeta l’option de chercher des renforts, jugeant que ce serait une perte de temps que les enquêteurs ne pouvaient peu être pas encaissés.

Une nouvelle explosion retentit et la motiva à aller de l’avant.
Cette fois-ci, son épée courte sortit de son fourreau.

Elle passa en trombe dans le sinistre établissement, sautant par-dessus les nombreux cadavres qui jonchait le sol et rendait celui-ci glissant par tout le sang et tripes versés. Silka était d’une admirable agilité et adresse, spécificité qui faisait une bonne partie de son talent. Les lieux étaient portant tellement encombrés de corps qu’elle manqua peu de perdre pied à plusieurs reprises.
Les échos de bagarres remontèrent du couloir d’où elle se trouvait. Elle vit enfin la salle d’où se tenaient les derniers survivants de l’expédition. Dans sa hâte, elle sauta par-dessus la trappe piégée sans la remarquer et se remit sur pied suite à une dangereuse roulade qui faillit la faire s’empaler sur une des armes abandonnés au sol. Elle se releva pour contempler les derniers survivants.
Une forte odeur de brulé et de mort émanait de l’endroit.
Bien qu’elle reconnu plusieurs têtes, Silka eut peine à remarquer le nombre d’hommes d’armes gondoriens qui partageaient leur dernier tombeau avec les fanatiques.
La troupe était fortement épuisée, aucun n’était épargné de blessures aussi légère puisse t’elles êtres. Peu être que sa fraiche présente pourrait refaire tourner la balance.

Elle remarqua un grand gaillard chauve à la peau d’ébène non loin. Son air dément le mettait clairement dans le champ des fanatiques mais personne ne semblait presser de s’approcher de lui. Quelque chose de profondément mauvais émanait de Balthazar… Silka prit son temps pour évaluer l’adversaire afin de ne pas être surprise.

(hrp: de retour vers 23h)

Les mélopées des fanatiques… tant de souvenirs refoulés, de nuits de fureur, de visages ensanglantés...et vint alors le piège. Cet homme qui nous accompagnait avait trahis...comme j'ai trahis les miens...la caverne, la milice, le sang inondant le sol froid et humide...seul le rire dément D'Akanos manquait au tableau...tout, tout est similaire à ce jour...non...je ne dois pas...je dois lutter...
Tu ne le peux!
Quoi ? Qui es-tu ?
Je suis celle que tu sais, mère m'a envoyé pour t'aider. "Mon enfant chéri, il a encore tant de vie à m'offir...", mais moi, je ne t'aime pas beaucoup, Balak. Tu es si…affreusement humain. Alors je te rendrai plus fort certes, mais tu ne seras plus toi. Ton corps ne t’appartiendra plus, Tu sèmera mort et destruction sur tes pas, et je te guiderai, tu ne reconnaîtras même plus tes ennemis ou tes amis. Il n' y aura plus que des proies potentielles. Je vais te transformer, mercenaire. Lentement, je vais prendre possession de ce corps mou, et en faire une bête. Je t’ai déjà fait sombrer, et ton arrivé dans cette citadelle m’a rendue les choses encore plus simples. On me nomme Haine, et je suis l'une de ses filles. Je veillerais toujours sur toi, Ahm'daril. Et ce jusque dans les bras de celle que tu sers...

Puis la voix disparue dans les méandres de l’esprit torturé. Tout cela n’avait duré qu’une seconde. L’intensité de cette rencontre fut pourtant si intense, que balak perdit le fil de ses pensées pendant plusieurs secondes, le temps pour un chauve de lui entailler la main.

Pourriture…cette force que tu me donnes je saurais la contrôler…je saurais vaincre ton emprise maudite. Sombre Déesse ou fruit de mon esprit malade, qui que tu sois, je te montrerai que nul n’a autorité sur ma conscience. Ni Toi ni personne !

Il avait réussi, il n’avait pas sombré. Il se releva en enfonçant sa lame dans le front du chauve. La fureur de la haine l’avait quitté, et ce fut sa propre volonté qui domina ses gestes meurtriers. Il avait trouvé une nouvelle façon de donner la mort. Il ne se ruait plus sur l’ennemi, il visait, trouvait les failles et tuait. Toujours saisir le bon moment. Trouver L’Instant.

C’est…c’est bien plus grisant ainsi ! Madame, je vous apporte de nouvelles âmes, et vous ne devez celles-ci qu’à moi.

Tout lui apparu, clair net précis. Il devait tuer, sans ressentir d’émotions. oublié ses blessures Refoulé ses sentiments, devenir roc, faire corps avec l’acier. Ne plus combattre, être le combat. Observer, comprendre, anticiper chaque mouvement. Ne plus penser qu’à l’Instant…

Le ballet sanglant commence, nul n’arrêtera la mort en marche

Il regarda ses compagnons. Un curieux sentiment l'envahi., sentiment qu'il n'avait pas ressenti depuis presque six années. Il n'était plus seul. Des gens l'entourait, des hommes et des femmes qui se battaient à ces côtés, prêts à donner leur vie pour leurs idéaux. En cela, Balak les respectait. Il trouvait leur raisons de mourir stupides, certes, l'honneur et la vertu n'apportant que le malheur, mais les voir se battre ainsi pour ce en quoi il croyait donna à l'homme en noir une bouffée de chaleur. Il adressa un sourire à quelques camarades. Puis son regard se fit plus dur et il dévisagea Balthazar.

Tous sur le traître!

Balthazar comprenait plus ou moins ce qui se passait, il était toujours dément, et le resterait un moment.

"Aeuh aeuh aueh"

C'était un ricanement étouffé.

"Vous voulez...me tuer ? Ne vous battez pas...pour avoir le privilège de m'affronter...Je saurai vous trucider tous...même seul...Allez, venez, mes agneaux...mon Dieu à soif de sang...je boirai le votre pour le rassasier..."

Et vous se donner raison, pour montrer que l'encerclement était futile, il fit tournoyer sa chaîne pour les maintenir à distance.

Il lança un flacon vers les autres, et attendit Balak de pied ferme.

Balak regarda le combattant avec dédain.
Hier, j'aurai reculé. J'aurai craint pour ma vie et je ne vous aurais pas affronté. Aujourd'hui, je ne suis plus le même. Voyez ceux qui m'entoure, voyez la férocité dans leur yeux. Ce n'est plus la haine qui les anime, mais quelques chose de bien plus puissant encore. La ferveur et la foi les guide, et ensenble, nous allons vous maîtriser, Balthazar. Nous ne vous tuerons pas, car vous avez des choses à nous révèler. Aussi je vous le demande, rendez-vous, car désormais, c'est vous qui êtes seul!

Tu te crois invincible mais bientot nous ouvrirons la porte et des renforts pourrons venir et là tu sera cuit si je puis le dire.Qu'a tu à repondre à ceci?
Ne voie tu pas ton destin arrivé
Meneldir se dirigea vers la porte et trouva ce qu'il voulait très rapidement :
Un petit loquet se trouvait cloincé entre deux briques dans les joints.Il le tira mettant un mécanisme en route.
Meneldir perçut un sifflement et le cri de Forlong et s'abaissa vivement pour échapper à une autre fiole de Balthazar qui vint ecraser sur le mur.
Meneldir vut Balak s'avançait vers son ennemi en essayant de le raissonner.Mais jamais le professeur n'avait vu Balak ainsi il faissait parti d'un tout et une lueur brillait dans le fond de ses yeux une lueur devastratrice.
Meneldir envoya vivement un milicien et Hobasian dans l'escalier.Il passa sa tete à l'exterieur de la pièce et entendit des pas descendant de l'escalier.

Des renforts déjà.Fait attention à toi mon vieil ami.lança-t-il en direction de Balthazar

Silka qui était en garde non loin et qui assistait à la scène, s'approcha plus près de Balak, un gaillard qu'elle avait croisser quelques jours plus tôt. Drôle de changement de situation...

Sa main gauche vint chercher une dague à sa botte. Elle était fort consciente des capacités de Balthazar mais elle ne doutait en rien en ses capacités à le désarmer voir à détruire son arme par l'usage d'une simple technique qui requiérait ses deux armes.

Elle restait en posture défensive mais fit en sorte de ne pas dévoiler tout par son attitude martial afin qu'elle ne devienne pas soudainement une cible de choix pour leur ennemi commun.

Elle avanca sur le flanc du groupe, espérant que Balak occupe assez l'attention du fanatique don la vision devait être réduite par la consomation de ses drogues... Elle attendit une ouverture, espérant que Balak ne finisse pas comme les autres miliciens qui gisaient à ses pieds...

Balthazar le Noir sourit, rit même. Il répondit difficilement.

"Ahah, je n'ai que faire de la haine...ni de la douleur..."

Il regarda ses bras transpercés de coups, ses blessures profondes.

"Non, je ne renoncerai pas...Le Roy mourra...même si je dois...tous vous tuer moi-même. Je t'ai vu mercenaire...tu aurais fait...une bonne recrue...mais moi, je ne peux vraiment plus me contrôler...maintenant...alors...Allons dans les ténèbres ensembles !!"

Et il lança sa chaîne meurtrière vers Balak, tout en sortant un fin cimetterre qui s'embrasa dan les flammes lui aussi.

//Petit éclairement, comme je l'ai dit en Mp :

Non, on pourra faire des mini duels, mais pour pas faire de jaloux, la fin viendra de la main de Meph'
En fait, tu sais , je suis Radamanthe, j'ai jamais été un joueur mais juste un complot à long terme, créé juste pour ça, donc...pas besoin d'interrogatoire pour moi, pas besoin que je puisse me casser...En attendant, faites lui mal, attaquer le, mais attendez-vous à une réponse violente, simplement, ne le tuez pas//