Secte aux amulettes [Enquête]

C'était à la fois effrayant, impressionnant et palpitant. Cécilia comprenait qu'elle était spectatrice d'un duel qui resterait gravé dans l'histoire. Tout allait se jouer maintenant. C'était le bien contre le mal. Fier et droit, le roy se tenait en face de l'étrange créature maléfique. Entre eux, rien ni personne ne devait se mettre. Tout allait se décider maintenant. Et mentalement, Cécilia encouragea le roy. Elle savait que c'était lui car elle avait entendu quelqu'un l'appeler. Lorsque l'elfe perdit l'équilibre, elle consulta Lianole du regard et de concert, elle rapatriérent l'archer vers elles. Quand cela fut fait, Cécilia regarda l'elfe une lueur inquiéte dans le regard.

- Est ce que ça va aller Messire, êtes vous blessé ?

Après avoir été tirrer vers les dames.Toujours dans ces penssées quand il entendit la vois il revena.

-Je vais bien mais je suis écorché au genoux,Sinon tous va bien apar que je ne sais que c'est passé avant mon arrivé

Il regarda la femme dans les yeux sans savoir pourquoi elle lui disait quelque chose, mais ce n'était pas sa qui le préoccuper le plus

HRP : Puisque que Baltha' et moi-même sommes en ligne, on termine.

Le Roy regarda ses compagnons comme pour les dissuader d'intervenir. Il vit venir l'attaque frontal de Balthazar mais la parra assez aisément. D'un long mouvement, il fit reculer l'autre. Ils se regardèrent un instant.
Les deux hommes étaient las des combats et plusieurs blessures marquaient leur peau salie. Mais Méphisto était en meilleur était, plus frais et lucide, et la drogue de l'autre commençait peut-être à disparaitre.

Il s'élança et le duel reprit de plus belle, le Roy entrainant son ennemi vers le fond sombre de la pièce...

Balthazar se laissa entraîner, tout ce qu'il lui importait était le combat. Mais il résisterait toujours à la douleur, et en profitant, se mettant dans des situations dangereuses sans penser à sa vie.

Mais alors, il revint à l'assaut, frappa un coup pour feinter, repris par un autre coup que le Roy para.

Mais alors, il lâcha son arme de la main gauche, et de celle-là, il lui décocha un coup de poing dan le visage.

Le Roy recula, et Balthazar aussi four fixer son adversaire au visage endolori. Il s'apprêta à repartir porter un coup final, profitant de son étourdissement.

Le Roy reçu le coup en plein visage. Sous l'effet du choc, il recula de quelques pas, mais cela suffit à le destabiliser.
Voyant, l'autre arriver comme un dingue, le Roy bénit le vieux Hobasian pour lui avoir donné la fiole. Balthazar ne s'y attendait pas...

Il lança sauvagement la fiole deux mètres devant le fanatique. Une fumée épaisse envahit l'air de duel, masquant les deux adversaires. Mais le Roy savait où l'autre se trouvait. Aussi chargea-t-il et il le percuta violemment. Le cultiste n'avait sans doute rien comprit à ce qu'il venait de se dérouler...

Balthazar vola dans les air, mais atterit non loin, au pied de la statue de sa maîtresse la Mort. Mais dès qu'il se releva, il sentit quelque chose le percuter, qu'il ne vit pas à cause de la fumée.

Mais il devina que c'était le Roy.

Il bondit pour se relever, mais fit attention, il remarqua qu'il était contre la crevasse que bordait la statue.
Alors, il ne bougea pas, et resaisit son épée, la leva, et attentit le Roy, près à en finir.

La silhouette du Roy traversa la fumée et se retrouva face à Balthazar. Il le toisa d'un regard dédaigneux et s'avança prêt à en terminer. Le dernier duel fut bref. Méphisto était supérieur, et en meilleure condition physique, en trois ou quatre coups, il désarma Balthazar, un sourire au coin des lèvres. Le gouffre se situait juste derrière.

Le Roy l'attrapa par le cou, et le souleva du sol, leurs yeux très proches les uns des autres. Il le relacha et l'autre ne se débattit même pas, il était comme une pauvre bête tombée dans un guet-apen.

"Alors pauvre fou, regarde autour de toi. La mort a prit tes fanatiques et elle ne va pas tarder à t'avaler. Je t'avais pourtant prévenu. Au final...c'est toi qui finis piégé, dans ton trou à rats. Bon vent..."

Et d'un coup en pleine poitrine, il expédia Balthazar dans le néant, où il était condamné à périr.

Les yeux exorbités de Balthazar lancèrent un regard d'incompréhension.

Que se passait-il ? Pourquoi était-il dans les airs ? Allait-il rejoindre sa maîtresse ?

Non, pas encore. Mais il sentait que la drogue se dissipait, qu'elle était cette douleur à son bras ? Et à l'épaule ?

D'un autre côté, les sentiments le reprennaient et il était à nouveau capable de penser.

Alors, il se ratrappa au bord du vite, de sa main droite qui était encore valide.

"Piégé...peut-être...je préfère ce piège que celui qui t'était destiné..."

Et il tendit la main, l'autre pour essayer de lui saisir la jambe.

Le Roy esquiva la main avide de Balthazar qui cherchait à l'emmener avec lui. Et là, aussi improbable que fut sa réaction, il se mit à rire. Ses hommes le regardèrent étrangement, croyant qu'il était devenu fou. Ensuite, il se reconcentra sur la face crispée de son adversaire et lâcha, dans un souffle:

"Maintenant, c'est terminé ! Va donc pourrir dans les bras de ta maîtresse, puique tu l'aimes tant !"

Et d'un coup, il fendit la main de Balthazar le Noir. Son ennemi, comprennant ce qui lui arrivait, noya un cria de désespoir et chuta dans les ténèbres du Gouffre. C'en était fini, le combat avait été dur, mais ils avaient triomphé.

Le Roy alla se calmer à l'écart, visiblement très affecté...

Cécilia était soulagée que l'elfe n'aie rien. Il avait pourtant reçu un coup difficile. Elle lui sourit nerveusement
- J'ignore comment tout cela a commencé, tout ce que je sais c'est que c'est en train de finir. Et je prie pour que ce soit le bon côté qui l'emporte.

Elle était sur le qui vive et en alerte. Elle n'avait même pas remarqué que l'elfe la regardait avec insistance. A cet instant tout ce qui comptait pour elle c'était de connaitre l'issu du duel. Et lorsque le roi réussit à se débarrasser de son adversaire de maniére définitive elle ne put s'empêcher de crier
- Gloire au roi!

Et puis plus rie, elle s'adossa au rocher, à la fois soulagée et épuisée de tous ces événements dont elle comprenait à peine la signifcation. Mais ce n'était pas le moment. Il y avait de nombreux blessés à soulager. Elle se leva. Elle ratrappa l'homme qui oparait et vint le soutenir
- Messire, il n'y a personne chez les guerisseurs mais l'hapoticaire est là, elle va pouvoir vous aider

Ceci dit elle désigna la jeune femme non loin d'elle

"Fort bien cepandant, il va falloir que les blessés aillent au Maisons de Guérisons"

Hobasian partit donc en compagnie de l'apothicaire et de l'aubergiste. A leur suite, les autres bléssés avancaient.

[HRP, On va aux maisons de guérisons même s'il n'y a plus de guérisseurs actifs ... par contre, is tu vous ne souhaitez aops allez avec moi, dites le j'éditerai mon message HRP]

La drogue perdait vraiment son effet, oui, si bien qu'il le sentit, sa main qui se détachait, mais surtout, la sensation de tomber, de tomber encore.

Il cria, dans un souffle du désespoir, avec sa voix rauque et tordue.

"Non...Elle devait me protéger...jusqu'à la mort...ta mort..."

Il tombait, et en même temps, il comprenait, il comprenait son erreur. Cette drogue qui lui faisait croire n'importe quoi, qui lui donnait un sentiment d'invincibilité. Quelle idiotie de croire que la mort le protégeait, qu'elle lui accorderait la vie éternelle. S'en était fini de tous ces espoirs fous.

Mais il s'en rendait compte trop tard.

Alors, il ferma les yeux, se maudit, maudit la mort, qu'il allait voir à présent. Il était calm, décidé d'en finir sereinement
Il finit aspiré par le noir, dans les ténèbres, où n'apercevait même plus son corps.
Soudain, la lumière d'une explosion gignatesque se vit voir, au fond.
Balthazar le Pyromancien avait encore quelques fioles quand il tomba, qui explosèrent en touchant le fond.

Des fragments de pierres volaient,la lumière s'éteint.

C'était la Fin.

//Djuu, ai mis du temps à poster, moi...//

//Ca va beaucoup trop vite pour moi tout ça!!
On m'explique pourquoi j'arrive toujours quand tout est fini??//

Le Nain avait réussi à se hisser grâce à la corde lancée par l'aubergiste,il était assez soulagé de ne pas s'être retrouvé en brochette...
Pénétrant enfin dans la pièce il ne vit que des cadavres,des gens debouts,dont le Roy,quelques miliciens et auters personnes gravement blessées.
Thrór arrivait une fois de plus quand tout était fini...Il ne lui restait plus qu'à mettre ses maigres talents de soigneur au profit des blessés.
Il s'approcha alors de Balak qui remuait encore faiblement.

Il faut vous amener au Maisons de la Guérison.

Il sortit une flasque de son sac:

Buvez une gorgée de ceci,c'est de l'alcool nain,ça va vous remettre sur pieds le temps qu'on vous soigne correctement.
Vous m'en dirrez des nouvelles...

Thrór semblait dépité...

(hrp: C'est parcqu'il y a trop de seriel-posteurs-fous présents, Derin)

Silka contempla le basané chuté dans le gouffre, n'ayant jamais quitté la proximité du Roy durant tout le duel, au cas où l'impossible arriverait.
Elle aggripa le Roy quand la résonnance de l'explosion remonta vers eux, leur faisant chacun manquer peu de rejoindre leur nemesis.

La bretteuse s'étonna elle même de son geste et relacha son étreinte du Roy. Bien que le geste se voulait bienveillant, elle était trop respectueuse de l'étiquette -parfois à tord- et balbutia quelques vagues excuses tout en effectuant une courbette. Elle se redressa l'instant d'après, rangeant son épée longue à sa ceinture d'un geste vif. Contemplant l'état lamentable du Roy, elle le questionna sur sa santé :

" Monseigneur, arriverez vous à tenir ? Avez vous besoin d'une épaule pour vous supportez jusqu'aux maison de guérisson ? Il ne serait pas être pas très sage de trop forcer sur vos réserves d'énergies restantes... Vous avez bien combattu, l'heure du repos et de la guérison est enfin arrivé... "

Balak se releva péniblement. La crevasse avait accueuilli Balthazar le noir, élu de la mort, en son sein. Aujourd'hui, sa maîtresse l'a abandonné, comme elle l'a fait pour le mercenaire. Ce dernier ne pu retenir un juron contre celle qui avait récupérer l'un de ses plus fervents adeptes. Il lui ressemblait tant...

Adieu, petit frère, et Qu'elle te guide à jamais dans les chemins obscurs de son royaume...

Il avait prononcé ces paroles faiblement, en espérant que ça prière serait entendu par Elle seule. Sa toute dernière prière. Il s'assit alors lentemnt, dans le coin d'un mur.

Je...je vais dormir un peu...

Puis tout devint brumeux, les décors tournaient, les coprs des gens qui s'activaient devant ses yeux se déformaient. Puis vint le néant, sombre et absolu.

Le Roy chancela, perdant l'équilibre, et se rattrapa à l'épaule de Silka Sorge. Il la remercia et lui souffla dans un long râle :

"Je vous remercie, ma demoiselle...Je dois m'éclipser, des tonnes de paperasses qui m'attendent surement...Au nom de Gondor et de mon peuple, un grand merci à vous...."

La fin se termina en murmures indescriptibles. La tête baissée, il remonta au Palais en compagnie de ses hommes. Une dure journée les attendait...

[Vous l'avez sans doute remarquer, le RP ici est terminé...enfin je pense]

Enfin ,le combat etait fini une fois pour toutes. Forlong se releva et demanda a un des miliciens de l'aider a transporter Balak dans la maison de gouerison. En sortant il regarda encore le roi et Silka Sorge..
-A bientot monseigneur... Je viendrais bientot pour finir mon entrainement, mademoiselle Sorge...

Silka tenta d'intercepter le Roy alors qu'il tentait justement de lui filer entre les pattes.

" Sir, vous trouverez un message de ma part dans votre lot de paperasserie... Je suis consciente que vous avez à faire mais j'apprécierai votre attention dès que vous en aurez suffisament pour atteindre aux affaires de la citoyenneté. Merci monseigneur ! "

La bretteuse s'inclina profondément tandis que le Roy s'en allait définitivement. Elle se redressa alors et l'observa de dos. Il n'avait pas bonne mine mais sa carrure démontrait encore toute la puissance de la lignée royale, un homme aussi fort physiquement que mentalement. Il lui rappelait un peu son grand père. Elle soupira.

Parmis les survivants, Silka remarqua Forlong du coin de l'oeil. Ils se saluèrent mutuellement au même moment. Elle lui rendit un sourire joyeux : c'était une bonne chose de voir que son futur élève avait aquis un peu de maturité -et surtout surveçu- dans cette sanglante confrontation. Elle lui laissa prendre la parole en premier avant de répondre, toujours très poliment :

" C'est entendu. A la prochaine ! "