Pirates !

Les trois chevaux galopaient vers la Cité Blanche. Ils étaient porteurs d'un terrible message. Trois bateaux de pirates avaient été stoppés grâce au prince Berund aux portes de Pelargir, mais cinq autres bateaux avait atteint la cité portuaire.
Deux bateaux marchands avaient été coulés et pillés en une vingtaine de minute. Mais si ce n'est quelques échanges de flèches avec les quais, personne n'avait été touché à terre. En effet, les pirates avaient rapidemment dépassé Pelargir. Ils voyaient bien que la situation n'était pas en leur faveur, aussi personne ne fut étonné de les voir s'éloigner.
Mais qu'allait-ils faire ? Se ressaisir et puis revenir à la charge, en espérant de voir leurs adversaires affaiblis par les trois bateaux sacrifiés. Ou bien allaient-ils vers le nord, et alors la Cité serait menacée.

Ces messagers devaient avertir le Roy. Les deux premiers succombèrent dans l'embuscade d'une flèche unique, venant des buissons. Le dernier fut épargné, et alors qu'il lançait son cheval au galop, un pirate embusqué dans un arbre se jeta sur lui, le tuant d'un coup de son cimeterre couleur cuivre.

Les pirates regagnèrent les bateaux et repartirent. Tous les villages sur le bord du fleuve allaient brûler.

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Sorente, la soeur du bourreau s'était eloignée un intant de la Cité, espérant que cette promenade lui fasse oublier ses soucis. Soudain, au loin, elle aperçut de la fumée. Où ? N'était-ce pas là où il devait y avoir un village ?
Les rumeurs de corsaires courraient depuis quelques temps, mais personnae n'y prétait attention.
Pourtant c'état vrai.

Alors qu'elle revenait prestement vers la Cité, à la grande porte, un cavalier arriva au même instant.
Elle et le messager affaibli d'un autre village, avec peu d'informations, allèrent prévenir le palais.

Entretemps, les Pirates étaient en vue d'Osgiliath.

Aussitôt, le conseiller et un capitaine firent sonner les trompes. Malheureusement, il y avait peu d'armée régulière dans la Cité. Comme les pirates n'étaient pas si nombreux, un appel à tous, mercenaires, rôdeurs, ou encore des archers, ce qui serait utile face à des bateaux, étaient nécessaires.

Ils allaient partir sur l'heure.

Les Pirates s'amusaient comme des petits fous... Une bataille, sans espoir pour les adversaires...

Bon, ok, les copain on pas eu cette chance avec Harska, d'après les renseignement des espion placé prés des cotes... Mais ce n'est pas grave... La victoire sera complète...


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« Ohoh, se dit Helfa, un jeune mousse... Voila une cible bien tentante... »

Et il fit feu avec la baliste...





Le guerrier tentait de rejoindre les officier, pour leur transmettre un message, mais il était fatigué... Il ne rêvait que d'un bon verre de vin... Un de la comté. Il était bon. Pourquoi pas une pipe, du vieux Touque... Ou du Tobie... Et un bon jambon traversé par ...



Il n'eut pas le réflexe d'éviter le carreau de baliste, qui le traversa...




Tel est l'ironie de la guerre. Le messager transporté un message ordonnant au officier de traverser la ligne ennemi pour la couper des navires, le soldat rêvait d'une jambon traversé de quelques cornichons, et le tir de baliste le traversa...

Un lieutenant de l'armée regulière jeta un coup d'oeil aux quais sur le port d'Osgiliath. Un coup d'oeil furtif, mais aux multiples conséquences: partout les gondoriens battaient ou retraite, ou pis, étaient abattus dans leur fuite. Les pirates avaient logiquement prit l'avantage et avançaient bon train, le capitaine de la garnison de la cité avait été jeté à bas de sa monture et roué de coups.

"Non d'un chien...bande de..."

Les paroles du lieutenant furent interrompues; les hommes d'Umbar venaient de mettre le feu à un pan entier de barraquements, près du fleuve. Le Gondorien se figea mais se ressaisit assez vite, il convaqua le premier soldat qui passait à ses côtés: un jeune homme qui n'avait surement pas plus d'une vingtaine d'années.

"File à Minas Tirith, amène des renforts, et vite, nous ne tiendrons pas longtemps. Nous te convrons..."

Le soldat acquiésa, conscient de la responsabilité qu'il incombait. Il attrapa à la hâte un cheval et se sauva sous le regard attentif du lieutenant.

"Pourvu qu'ils fassent vite"

Sans savoir que le soldat a qui il s'adressait le lieutenant avait demandé a Gauvin d'aller chercher des renforts pour Osgiliath
En ayant vue Gauvin allait chercher des renforts un pirate lui avait tiré dessus et l'avait blessé à la cheville. Gauvin se retourna brutalement et encocha une flèche visa le pirate et lui tira dessus la flèche lui arriva en plein oeil et le pirate tomba a l'eau. Après Gauvin mis son cheval au galop pour minas-tirith pourvu qu'il arrive a temps...

Eleriol arriva devant Osgiliath. Il voyait sur le fleuve les bateaux remonter lentement mais inexorablement le courant. Le pilonnage avait commencé, et les troupes gondoréennes avaient bien du mal à rendre la pareille aux corsaires. L'elfe relança Niphredil au galop. Il déboucha dans la cité à toute vitesse, dérapant parfois sur le pavé. Encore une fois, les soldats gondoréens furent surpris de la présence de l'elfe. Quand ce dernier arriva près du fleuve, il descendit de sa monture et gravit un escalier qui menait à un point élevé permettant de voir dans son ensemble la situation. La longue chaîne de navires d'Umbar serpentait sur le fleuve sur plusieurs centaines de mètres. Des tirs de balistes partaient des galères les plus proches. Au loin on pouvait voire un navire fumant, mais sans en connaître la raison. Quand aux défenseurs de la ville, ils étaient tous à leurs postes, lachant parfois une salve de carreaux de balistes et faisant pleuvoir une volée de flèche sur les envahisseurs, mais rien de bein conséquent. Ils avaient besoin de renforts. Où étaient leurs compatriotes, leurs frères? Eleriol redescendit. L'elfe chercha des yeux un capitaine, mais ne vit que des archers tirant inlassablement sur les bateaux. Eleriol fit de même, mais avant de décocher ses flèches, il enflammait le bout de chacune, visant les voiles. Il continua ainsi jusqu'à ce qu son carquois soit vide.

Eleriol alla aux côté d'un archer. Il lui dit:

Vous devriez enflammer vos flèches et viser les voiles.

Le soldat le regarda quelques secondes, puis obtempéra. L'elfe était sur le poinr de lui proférer des paroles encouragentes lorsque des cris féroces attirent son attention. Deux barges s'approchaient de la rive. Les corsaires debout à l'interieur tenaient dans leurs mains levées des armes de toutes sortes : cimeterres, épées, haches, faux, grappins, crochets... Ils hurlaient à la mort dans leur soif de sang. Quand il furent assez proches, Eleriol put voir leurs yeux injectés de sang et leurs bouches où n'apparaissaient que quelques dents noires de tabac. Ils en auraient effrayé plus d'un, mais pas l'elfe. Comme à son habitude, il était impassible. Plus que quelques instants, et les corasires débarqueraient. Les cris s'intensifièrent. Les pirates furent enfin lachés par leurs maîtres. Une volée de flèche les acceuillit. Eleriol alla à la rencontre des pirates. Ils étaient nombreux. Trop. Les soldats gondoréens se battaient avec courage, mais étaient dépassés. L'arrivée de l'elfe dans le combat ne fut pas décisive, mais donna de la réflexion aux corsaires. La lame dansait, parant coup sur coup. Heureusement la tactique des envahisseurs était rudimentaire : tuer et gagner. De ce fait ils s'éparpillaient dans les ruelles, et étaient à la mercie des Gondoréens. Le combat continua ainsi logtemps. Mais que faisaient les renforts de Minas Tirith?

Hrp:cette dernière phrase n'est pas que rp. Il faut que des renforts viennent.

HRP Je sais que normalement j'ai pas le droit de faire intervenir l'armee, sans que mon pnj principal soit la etc... Mais une poignee de soldats ne peut pas se defendre contre une flotte des pirates, et vu l'absence de Mephisto et Radamanthe, je me permets, sous ma propre responsabilite de intervenir. Si cela me coutera ma vie, et je serais pendant des longues heures torture par le bourreau, tant pis... Au moins je saurai que je meurs pour Minas Tirith! HRP

Les soldats se battaient avec acharnement, mais a cause de leur petit nombre, ils etaient obliges de se replier vers le centre de l'ancienne cite. Les archers diriges par Elerion tiraient des fleches, mais ils etaient trop peu pour causer des pertes serieuses. Les pirates, qui maintenant etaient sans danger, commencerent a debarquer massivement sur la rive. Soudain une trompette sonna: les renforts arrivaient enfin! Du cote de Ithilien arrivait une petite armee de deux cents hommes environ. Il y avait une cinquantaine des soldats professionnels de Lossarnach, des hommes petits mais baraques, armes avec des haches, dirigees par un de descendants de Forlong le Gros, qui perit lors de la bataille de Minas Tirith se battant contre les armees de Sauron; Cent archers diriges par un descendant de Duinhir, qui combattait brievement lors de la Guerre de l'Anneau, de la Valee de la racine noire; et une cinquantaine des paysans mal armes, mais prets a defendre le Gondor. Ils arriverent a Osgiliath, trop peu nombreux pour repousser les ennemis, mais suffisament pour tenir la garnison pendant une journee au moins, ce qui donnait du temps a Minas Tirith de organiser une defense. Les soldats se cacherent dans les murs de la garnison, et commencerent a tirer sur les pirates, qui repondirent rapidement avec leurs arbaleytes et ballistes. Osgiliath sera bientot perdu, mais Minas Tirith aura le temps de preparer ses defenses.

HRP Je propose que Osgiliath se defende encore quelques heures, mias que la garnison soit obligee de se replier vers MT HRP

Enfin! les renforts arrivaient! Ils se positionnèrent aux côtés des défenseurs de Osgiliath. Les rapports de force furent plus équilibrés. Eleriol continuait de tuer des pirates. Mais pour un corsaire tué, cinq apparaissaient. Il fallait tenir encore. Le plus longtemps possible. Malheureusement, tous les défenseurs étaient éparpillés. Maintenant que les pirates étaient plus nombreux, le combat était de plus en plus inégal. Il fallait que tous se regroupent. Mais comment les avertir? Eleriol regarda autour de lui, à la recherche d'un objet pouvant l'aiser à accomplir son dessein. Il vit, posé contre un mur, un cor. Il le prit et s'adressant aux soldats gondoréens, il dit:

Suivez-moi!

Ils partirent à le suite de l'elfe vers un endroit au perché. Il ne fallait pas se disperser. Eleriol arriva dans un poste de garde, y grimpa et, arrivé en haut, souffla de toutes se forces dans le cor. Un son clair et puissant en sortit. Les combats cessrent quelques secondes. Tous regardèrent d'où venait cet appel. Les défenseurs d'Osgiliath en comprirent le sens, et profitant de l'inattention des corsaires, lachèrent une volée de flèches avant de se diriger à vive allure vers l'elfe. Ce-dernier Souffla à nouveau dans le cor. Puis encore une fois. Il descendit ensuite pour aider les hommes qui subissaient les incessantes attaques ennemies. Les Gondoréens arrivaient petit à petit et grossissaient les rangs du petit groupe. Ensemble ils seraient plus efficaces.

Le roi de Lossarnach se lanca dans la direction de Gauvin Il tua le pirate d'un coup de hache et prit Gauvin sous les bras. Il le transporta jusqu'a la tranchee la plus proche. Le combat se dechainait. Les gondoriens se battaient avec courage, mais il n'y avait aucun espoir pour battre les pirates. Les 200 soldats des renforts et les cinquante de la garnison initiale combattaient, mais en meme temps quelques hommes preparaient deja les chevaux pour la retraite. Encore quelques heures... nous devons donner le temps a Minas Tirith pour se preparer. Les pirates attaquaient avec haches, epees, sabres, cimeterres, arcs , arbalettes, javelins et meme ballistes.
Pendant ce temps a Minas Tirith, le Roi et ses conseillers et strateges preparaient la defence. Osgiliath etait deja condamne a etre perdu. Suite a l'absence de l'armee, chaque homme capable de porter une arme, et surtout les maitres d'armes, mages et mercenaires devaient se rendre a la caserne ou au palais pour recevoir les ordres. On preparait les provisions et les munitions, reparait les trebuchets... Dans quelques heures le combat pour la Cite Blanche allait commencer.

Le groupe défenseurs repoussait les attaques des piartes les une après les autres. Mais à cahque fois Eleriol pouvait voire un de ses alliés tomber, tandis que ses adversaires revenaient inlassablement, toujours plus nombreux. Peu à peu ils reculaient. Les flèches sifflaient dans l'air, mais les carquois se vidaient. Les épées tranchaient la chair mais les bras fatiguaient. Les coups étaient de moins en moins puissants, les tirs de moins en moins précis. Profitant d'un bref répis offert par les envahisseurs dépités de la tenacités des défenseurs, l'elfe souffla une nouvelle fois dans le cor. Les Gondoréens reprirent courage et attendirent la charge suivante fermements campés derrière leurs boucliers. Le choc fut brutal. Le bois éclata et des lames se brisèrent. Celle de Eleriol effectuaient des courbes meutrières, mais lui aussi commençait à faiblir. Il regarda autour de lui pour mieux se rendre compte de la situation. Les cadavres jonchaient les rues de pierre. Le sang coulait. La situation semblait désespérée. Elle l'était... Eleriol se relança avec une nouvelle ardeur dans le combat. Ils devaient tenir. Mais les troupes étaient de moins en moins nombreuses. Encore quelques instants... Chaque minute de plus était une victoire. Encore.... Non, il fallait penser à la vie des hommes. Ils étaient si courageux. Il était temps de se replier. Une fois encore, l'elfe souffla dans le cor. Puis une autre. Il cria ensuite:

Repliez-vous! Nous rentrons à Minas Tirith! Tous aux chevaux!

Tous obtempérèrent. Ils voulaient vivre. Ils avaient raison. Eleriol se plaça derrière avec les meilleurs soldats pour couvrir la retraitedes autres. Mais ce replis redonna confiance aus pirates qui se firent encore plus opréssant. Eleriol arriva bientôt à Niphredil.

La nuit tombait... les Gondoriens ont reussi a tenir la garnison pendant toute la journee. Mais ils etaient fatigues, et les ennemis innombrables.
Lorsque le cor de Elerion resonna, les commandants de l'armee ordonneent a ses hommes de se replier. Les forces de Lossarnach, ainsi que les archers de la valee de la racine noire resterent comme garde arriere pour assurer un repli sauf aux autres. Des que tous les soldats se retrouverent dans la garnison, les archers tireent une salve sur les corsaires qui s'etaient trop approches, affolis par la victoire. Des que une bonne dizaine de pirates s'ecroula par terre, les autres reprirent leur sang froid et se cacherent dans les ruines. Deja 120 soldats se repliaient vers la Cite Blanche, dont 30 blesses. 100 autres resterent en garde arriere. Une trentaine de soldats furent tues pendant cette defence. Cependant, il ne mourirent pas pour rien. Pendant l'attaque, 100 pirates furent tues, et malgre que cela ne soit qu'un petit pourcentage du total de l'armee, ces pertes decouragerent un peu les autres corsaires.



Les pirates sont pas des milliers !!!! Alors, cent c'est beaucoup. La force des pirates c'est de frapper vite par raids, d'avoir des bateaux. C'est pas une grosse bataille rangée

Bon sang !!! Les pirates ont des bateaux ! Ils vont rester à proximité du fleuve ! C'est les défenseurs qi se déplacent !
Oui, je suis pas précis et ferme mais j'ai pas le temps
Tshüss

Excuse moi Radamanthe

//On va ratraper le coup//



Alors que Eeleriol s'aprêtait à enfourcher sa monture et filer vers Minas Tirith, il se tourna et vit que les pirates restaient dans la cité et ne dégnaient pas poursuivre les défenseurs. L'elfe se ravisa dans son mouvement et ressortit sa lame. Ses alliés ne le comprenaient pas. Etait-il fou? Non, réfléchi. Si les défenseurs partaient, les pirates, satisfaits de leur victoire, mettraient le feu à tous les bâtiments. Alors que si le Gondoréens restaient, ils s'acharneraient sur eux, oubliant leur objectif premier : brûler et détruire. Il fallait seulement espérer que Minas Tirith envoie des renforts rapidement. Mais il ne fallait surtout pas que Osgiliath retombe en ruine comme lors de la Guerre de l'Anneau. Peut-être les soldats eurent le même résonnement que Eleriol, ou peut-être le suivirent-ils simplement pas confiance, mais eux aussi revinrent sur leurs pas pour aider l'elfe. La bataille reprenait. Plus équitable cette fois, car les piartes s'étaient dispersés dans toute la cité après avoir vu les défenseurs partir. Eleriol cria:

Nous tiendrons!

// Personne n'est parti de Osgiliath. Tous se sont arrêtés avant de s'enfuir. Et si tu as suivi le raisonement de Eleriol, ce n'est pas pour te guérir qu'il s'est ravisé (désolé!)//



L'humain près de Eleriol avait du courage. Après une blessure au dos encore ouverte, il se battait. De plus il se débrouillait assez bien à l'arc pour un débutant. L'observement de cet homme fit fléchir l'attention de l'elfe qui para in extremis un coup de cimettere. Il fit glisser sa lame le long de l'épée du pirate et lui trancha ainsi la gorge. Il avait failli se faire tuer stupidement. Son attention lui avait fait défaut. Cela ne devait plus se reproduire. Son compagnon à côté de lui s'immobilisa devant la charge d'un corsaire. Eleriol s'interposa entre les deux hommes et le tua de quelques mouvements rapides. Puis il se tourna vers Gauvin et lui dit précipitament:

Si vous ne pouvez combattre, mettez-vous derrière les défenseurs sur une position surélevée. Suportez-nous de vos flèches! Vous serez autant utile là-bas qu'ici!

Puis l'elfe retourna combattre sans attendre la réponse du soldat. Avant de se retourner, Eleriol crut apercevoir plusieurs cavaliers chevauchant à toute allure vers Osgiliath. Etait-ce de l'aide? Il ne retourna pas pour s'en assurer. Il ne ferait pas deux fois la même erreur.

Hrp Gauvin, mon pnj principal, Forlong, n'est pas la, je decrivais juste la situation du point de vue des renforts. Maintenant, mon 2eme pnj, Belgarath vient se joindre au combat. Desole, c'est un peu tordu Hrp
Mode Belgarath
Belgarath et quelques uns de ses compagnons gallopaient vers Osgiliath. Enfin un combat, enfin Belgarath aura la possibilite de montrer ses talents tactiques. Belgarath descendit de son cheval cote de Eleriol, et sortit son vieille bonne epee, et sse prepara au combat.

//Oui j'avais vu que ce n'était pas toi (forlong et j'ai mis le nom de la personne qui m'a sauvée,a oui j'avais mal compris l'histoire ou tu (Eeleriol) te retournais je serai plus attentif la prochaine fois
Gauvin suivant les conseils de l'elfe s'éloignât, de l'avant de la bataille pour se mettre à l'arrière et envoyer plein de flèche, donc il se mit à coté d'un homme qui ne devait pas être beaucoup plus âge que lui, sauf que lui ne tenait aucune armes et qu'il regardait les pirates approchez sans ne rien faire, Gauvin lui dit :
-Mais que faites-vous là à regarder sans ne rien faire
- J'ai peur de la mort et je ne veux pas combattre lui répondit le garçon-Mais alors tenez mes flèches et donnez-les moi comme ça vous serez utile au-moins répondit Gauvin
-D'accord
Gauvin tirailla les pirates pendant que le jeune homme lui passait ses flèches cela faisait un vrai carnage des pirates tombaient un par un mais si Minas-tirith n'envoie pas vite des renforts nous seront sans munitions avant bientôt

Non, Eleriol n'avait pas rêvé. Un viellard se tenair près de lui, épée dégainée et prêt à combattre. Mais il ne falliat pas se prêter aux apparences : malgré sa silouhette peu impressionante, il émanait du nouveau venu une aura de puissance. Etait-ce un mage? Eleriol secoua la tête, encore une fois son esprit s'était échappé de la sitaution. Il se devait de rester concentré! Mais regardant un instant autour de lui, il se dit que même ses talents martiaux n'étaient plus d'une grande utilité. Il devait réfléchir à une atctique pour impressioner ou retarder les piartes dans leur oeuvre meurtrière. Déjà desbêtiments brûlaient. Il regard autour de lui, à la recherche d'une idée, d'une illumination. Il dit à son nouvel allié:

Vous semblez être un mage. Me trompe-je?

Sans attendre de réponse, il interpela un des derniers capitaines encore vivants qui se tenait juste à côté:

Il faurait élever une barricade. Il est impossible de tenir plus longtemps ainsi avec pour seule défense des coins de rues. Je n'ai ici aucune aurorité, mais je pense ne pas me tromper. Qu'en pensez-vous?

Il avait dit cette dernière phrase en s'adressant autant à Belgarath qu'à l'humain. Il attendit leurs réponse avec impatiente. Le temps pressait.

L'enquête sur la contamination de l'eau s'étant terminée, Milindë avait accompagné Belgarath vers Osgiliath afin de défendre du meix qu'elle le pouvait l'antique capitale du Gondor.
Parmis les défenseurs elle vit un Elfe ... Elle se dirigea vers lui et le salua.

"Je suis ici afin d'aider les defenseurs du Gondor, pourriez-vous me résumer brievement ce qui se passe ici ?"

Gauvin lui aussi étonné qu'une jeune femme vienne nous aidés s'avança et lui résuma la situation:

Les pirates ont débarqué voilà déjà 5 jours, nous avons tenu la rive droit pendant 3 jours et hier, elle est tombée au pirates, nous tenons la rive gauche et je suis d'accord avec Eelriol, nous devons dresser des barricades et ce n'est pas tout de là ,ou j'étais j'ai vu des voiles noire arrivées, des orks se joignent aux pirates
A peine avait-il dit cela que comme s'il les avaient entendu un son de cor d'orcks sonna et Gauvin dit
Vous voyer si nous ne formons pas vite des barricades nous sommes des hommes mort, vous qui semblez être un mage que devons nous faire ???

Du cor orque sortait un son lugubre, rustre, brutal. Eleriol y répondit immediatement en envoyant du sien une note claire, puissante et mélodieuse. Puis il se tourna vers l'elfe. C'était une bien étrange rencontre, bien qu'il ne s'en plaignit pas. Il lui dit:

Notre ami Gauvin a très bien résumé la situation. Si, par vos pouoirs, vous pouvez remédier aux problèmes de nos défense, agissez! Je suis bref et mes paroles sont peut-être décousue de sens, mais le temps presse! S'il vous plait, aidez-nous!

Puis il s'en retourna combattre. Les ennemis tombaient, un à un. Mais ils réapparaissaient toujours. Il fallait réduire la menace de ces pirates avant que les orques n'arrivent. Il se relança avec une ardeur décuplé dans la bataille. Ses compagnons en firent autant. Le spectacle était horrible. Qui aurait pu croire que cette cité si belle soit ainsi souillée de sang?

"Commençons par mieux nous répartir les tâches et et organiser la défence. Il faut couler les navires avant qu'ils n'approchent trop et positionner des troupes dans Osgiliath même afin de tendre une embusquade aux quelquers pirates aui auront débarqués. Commençons par mettre en place des baricades sur les rives et sur l'eau. Il faut que nous puissions empêcher l'avançement des pirates qui seront alors obligé de quitter le navire et tomberont dans l'embuscade. Eleriol, vous êtes un Elfe, demandez aux archers de se mettre en position et de tirée des volées de flèches enflammées sur le premier navire, si celui-ci prend feu et coule, il empechera les autres d'avancer."

Milindë s'avança plus vers le lieu des affrontements et dit.

"Mettez en place des barricades terrestres et maritimes, il faut qu'ils ne puissent avancer. Archers, tirez à volonté vos flèches enflammées sur le premier navire."