Pirates !

Belgarath degaina son epee, mais en avait pas besoin pour le moment. Les pirates, desorientes par l'arrivee des nouveaux personnages, se replierent un moment. Belgarath s'adressa au elfe:
-Un mage, c'est un peu trop dit, je connais juste quelques sorts elfiques. Cela suffira pour soigner des blesses ou tuer quelques ennemis, mais si vous cherchez de la magie puissante, adressez vous a Milinde. Quant a la tactique, je suis tout a fait d'accord. Profitant du moment de desorientation parmis nos ennemis, je propose de organiser un mur de boucliers, derriere lesquels pourront se cacher les archers sous vos ordres et tirer sur les bateaux, ainsi que les citoyens qui peuvent commencer une barricade.
Belgarath prit ensuite en main l'etendard avec l'Arbre Blanc, qui etait attache a cote, le leva et cria:
-Venez ici, hommes du Gondor! Que tous les citoyens pas capables de se battre commencent a dresser une barricade! Soldats du Gondor, mettez vos boucliers ensemble, vous devez tenir! Vous defendez vos femmes et vos enfants, ainsi que l'honneur de l'Arbre Blanc! Montrez a ces ordures que la gloire du Gondor n'est pas encore perdue!

Meneldir glopait à un trot moins rapide qu'au début en raison des cavaliers qui l'accompagnés qui ne pouvaient pas suivre le galop fou de Nimdalf qui était fier et rapide dans ces plaines.
Meneldir apperçu Osgiliath une nouvelle fois et empressa ses compagnons à ce dêpecher autant qu'ils pouvaient.
Le professeur observa une volée de fléches enflammés qui piquait sur le fleuve puis une sonnerie de cor suivit d'une autre.Le premier l'inquietait mais pas le second étant donné que le premier était celui d'orques venu renforcész les troupes pirates.Quand au second , son coeur s'emplit de joie car ils n'étaient pas seuls.Des elfes étaient venus desforêts de l'Ithilien où de nombreux s'étaient installé après la guerre de l'anneau et le retour des Rois.

Il poussa son cheval au plus vite distançant quelque peu le reste de la troup qui étaient constitué de deux douzaines de cavaliers.Mais en se retournant il pût appercevoir le reste de l'armée qui suivait en bon ordre loin dérrière.

Meneldir n'était plus qu'à deux miles de l'ancienne capitale.
Cette distance fût vite franchit et il pénétra dans la cité au petit trot en dégainant son épée de son fourreau.
La bataille se trouvait plus dans le centre près du fleuve qu'ilm rejoignit assez vite.Là il pût observer qu'à son horreur il n'y avait pas qu'un navire de pirates mais de nombreux qui attaquaient de toutes parts.
La défense s'organisait quand il descendit de cheval en le renvoyant loin
de la bataille.
Il se dirigea vers le pont.

Eleriol se retourna vers les rangs des archers. Il s'approcha et dit:

Je propose de m'occuper des baricades sur le fleuve et de l'enflamement des navires. Qui est volontaire?

Trois soldats cessèrent de tirer et s'avançèrent.

Personne d'autre?

Pas de réponse. L'elfe partit donc par une ruelle étroite pour contourner le combat. Il faisait appel à toute sa discrétion et somma ses trois compagnons d'en faire autant. Le dos courbé, ils avançaient rapidement. Il étaient presque arrivés à la berge du fleuve lorsque cinq pirates s'avançèrent, un sourire méprisant sur les lèvres. Trois flèches jaillirent, et la lame d'Eleriol trancha une gorge. Malheureusemnt la hache du dernier pirate entailla une jambe de l'elfe. Le blessé riposta promptement et planta son épée dans la poitrine du corsaire. Une grimace de douleur apparut un instant sur le visage de l'elfe mais dispaurut aussitôt.
Les quatre saboteurs se mirent sur la rive à l'abri d'un mur et observèrent la situation. Tous les bateaux étaient à présent arrivés dans les eaux de Osgiliath et étaient serrès les uns contre les autres pour un débarquement plus facile. Des hublots irrégulièrement disposés sur la coque du navire laissient entrevoir l'interieur. Les cordanges devaient se situer dans les cales.

Nous devrions viser les cales. C'est surement là-bas que sont entreposés les cordes. Pourriez-vous me prêter des flèches?

Un archer donna une dixaine de projectiles à Eleriol qui, après les avoir enflammées, tira ses flèches. Ses compagnons en firent autant. D'abord, aucun résultat ne fut visible, puis des flammes commencèrent à sortir par les hublots et léchèrent la coque du navire, qui ne fut bientôt qu'un grand brasier. La première tâche était accomplie.

//Si quelqu'un d'autre veut se joindre à Eleriol, pas de problème!//

Hasharin avait suivit Meneldir depuis l'Archerie et etait accompagné de plusieur cavaliers tandis que le reste des fantassins arrivait et maintenant se trouvait près du professeur et lui adressa la parole:
-Bonjour mon seigneur, je suis ici pour proteger le Gondor et en donné ma vie si il le faut où dois je me placer, ej sais combattre au corps a corps et tirer à l'arc, puige (dsl pour lorthographe) rejoindre le bataillons des elfes? j'ai revé toute mon enfance combattre à leur côté, ou sont ils ??J'ai une envie soudaine de tuer des corsaires cela fait juste quelque jour que j'ai tuer un de leur leader.
Les soldat et millice de minas tirith arrivait au fur et a mesure

// je suprimerai ce message plus tard. Mais Hasharin, tu est aussi dans la caserne en Harad. Tu ne peux pas être en même temps à Osgiliath!//
//Pour une raison étrange je ne peux pas supprimer. Est-ce que un modo ou un admin peut le faire?//

Une main se posa sur l'epaule de Eleriol. Celui ci se retourna brusquement pour tuer l'ennemi eventuel, mais s'arreta au dernier moment, lorsqu'il vit le grnd homme aux cheveux blancs, Forlong. Le mercenaire dit a Eleriol:
-Bonjour Eleriol, quelle heureuse rencontre. Je viens d'arriver du Rohan, j'ai vu le feu et je suis venu ici. Je vois que tu as un plan precis. Puis je t'etre utile?
-Oui, il faut enflammer ces navires!
-Cela ne va pas etre facile. Comment comptes tu faire?

// Dit Forlong maintenant que ton personnage est ici que va-tu faire de Belgarath ? //
Gauvin était en train de tirer des flèches enflammées sur les bateaux quand il vit Eeleriol partir avec 3 hommes, il les suivit en se demandant ce qu'ils pouvaient bien faire et il les vit mettre le feu au cale d'un bateau,mais Eeleriol n'avait pas vu qu'un pirate le visait avec un arc, Gauvin lui cria:
-Eeleriol attention
Ne sachant plus ce qu'il faisait, il sortit son arc et tira une flèche en plein front du pirate, et puis il rejoignit Eeleriol et lui dit
-C'était chaud, puis-je me joindre a vous ? Et pourriez-vous me ,prêter une épée s'il vous plaît car, il est fort probable qu'en j'en ai besoin
Gauvin attendit la réponse de l'elfe

Meneldir se dirigait vers le pont sans avoir rencontré de troupes ennemis importantes en fait aucune à part un orc.Mais là n'était pas le pire des dangers car une pluie de projectiles volaient dans les airs.
Quand il entendut une voix dérrière il fit signe de le suivre et Meneldir s'engouffra dans une maison.

Vous voulez aider et bien voici la mission.

Meneldir se retourna et fixa le pont de son épée

Ce pont est un des principals dangers étant donné que les pirates tiennent la partie est d'Osgiliath il faut à tout pris tenir ce pont.Rassemblez des soldats et postez les tout autour de ce pont.Je dois trouver les chefs ici protégez ce pont.

A peine Meneldir avait il finit de parler que celui ci entendit raissonner un cor de l'autre côté du pont.
L'attaque était lancée.

Rassemblez vous devant le pont vite

Meneldir se précipitta dehors en criant alentour.
Des soldats arrivaient de tout coté mais le pont était noir d'orcs et de pirates.
Il décrocha son arbalette, la chargea en un temps exceptionnel et attendit un réaction.Il rengaina son épée comprennant que ce combat serait violent et long.

Dérrière lui des troupes s'assemblaient et les archers se mettait en place.
Meneldir se trouvait seul au centre et possa son arbalette et sa hache puis s'agennouilla pour prier Eru Illuvar.

Spoiler:

HRP Le fait que Forlong est la, ne veut pas dire que Belgarath doit disparaitre. Au contraire, la staff sera plus contente Non si je les utilise ensemble. Belgarath va pour le moment organiser et diriger les soldats, tandis que Forlong s'occupera d'aider Eleriol et Gauvin. HRP.

- Bien sur, jeune homme, tu es le bienvenu. Quel est ton nom?
- Je suis Gauvin, chevalier du Gondor
-Je suis Forlong, mercenaire du Arnor. Mais attendez, si le but de notre mission est de mettre feu aux bateaux, il me faudrait une arbalette. Je reviens.
La nuit etait deja tombee, Forlong disparut vite dans les ruelles, en quete d'une arbalette. Il revint apres une dizaine de minutes, avec une arbalette pirate et un carquois de fleches. Il sortit aussi une epee, une bonne et solide lame forgee par les forgerons du Gondor.
Il est etrange qu'un chevalier du Gondor ne possede pas d'epee.Mais peu importe.Tiens celle ci, et montre nous comment tu tu t'en sers.
***
Pendant ce temps, Belgarath dirigeait les civils qui construisaient la barricade. Losqu'il vit Meneldir sur le pont, il dit aux civils et aux archers de rester, et aux soldats de le suivre. Il s'approcha vite de Meneldir et dit:
-Si tu cherches quelqu'un pour diriger ces hommes, je serai ravi de le faire, vu l'absence des generaux.

Milindë s'avança et se positionna aux côtés de Meneldir.

"J'aurais préférer vous revoir dans d'autres circonstances, auriez-vous par le plus grand des hasard une épée que vous pourriez me preter ? En effet je n'ai aucune arme si ce n'est ma Magie, or, elle ne suffira pas ..."

Elle se prepara à l'affrontement qui aurait lieu sur le pont, mais aussi sur l'eau. En effet, les Orcs occupaient la rive en face et les pirates le fleuve d'un côté. Afin de dresser une barrière entre les pirates et le pont, Milindë se concentra et pris possession de l'eau autour d'elle. Elle en fit une grande colonne qui provoquerait l'aspiration du bâteau et sa destruction, cependant, cette colonne n'était pas une chose de tous repos, mais elle dissuaderait les pirates sur leur bâteau d'avancer plus.

"Il faudrait faire tomber cette petite tour là-bas, elle empecherait leur passage."

Meneldir avait salué Milindë avec le plus profond respect avant de sortir son épée à peine rangé pour la tendre à Milindë.Il sortit d'une poche intérieure une dague courte juste au cas où qu'il elle aussi à la magicienne.
Vous avez raison pour la tour tenter de les retenir du mieux que vous pouvez en attendant.
Meneldir se releva prit sa hache dans une main et accrocha son abarlette à sa ceinture.
Vous là. fit il à un groupe d'une dixaine de soldats de le suivre.

Ils montirent sur le mur et franchira un parapet.
De là Meneldir pût voir la cité et la bataille.
Elle faissait rage sans limite.
Il faut de dépecher.
Il arrivèrent à la tour qui supomblait de sa hauteur le pont.L'édifice semblait déjà assez abimé.Quand Meneldir entra, il remarqua rien au début de spécial :juste quelques cordes d'amares et un poutre assez mince qui soutenait l'ouvrage défensif.
Puis il regarda sa hache : un seul moyen.
Meneldir se précipita vers la poutre qu'il commença à tailladait.
Les soldats sans même demander avaient compris.
Deux trouvèrent des haches de bucheron et commençèrent à entailler la poutre en même emps que Meneldir quand il ordonna d'entourer la poutre des cordes et de les sortir.
Quand la poutre fût réduite à une faible épaisseur tous sortirent et tirèrent en même temps sur la corde qui fit pencher tout d'abord la tour vers eux puis un puissant CRAC la poutre venait de céder et la tour s'effondrait.
Le combat avait déjà commencait et Meneldir s'empressa de rejoindre les troupes.

Forlong regarda le jeune chevalier d'un air calme et dit:
-Oui, Gauvin, je serai ravi su tu peux m'aider. L'idee de se separer est tres bonne, quoique risquee. Profitons qu'il fasse nuit, et allons vers le bateau le plus proche. Si tu as des objets inutiles sur toi, debarasse toi en.
Forlong laissa son bouclier et sa veste en cuir, et enleva ses bottes. Il mit son epee sur son dos, et entra dans l'eau froide de l'Anduine. Il etait suivi de pres par Gauvin. Les deux hommes s'approcherent a la nage du bateau le plus proche...

Eleriol suivit les deux hommes. Il n'avait pas nagé depuis longtemps, mais les gestes revinrent et redevinrent automatiques. Il arrivèrent ainsi à la coque du bateau. Elle était noire et présentait des aspérités nombreuses qui ne faisaient que faciliter l'escalade. Le bateau sur lequel ils se trouvaient était à l'extrémité sud des bateaux. Une barrière... Une idée germa dans l'esprit de l'elfe. Il se retourna et chuchota à ces deux compagnons.

Nous devrions suivre les condeils de Milindë. Il faut faire une barricade derrière ces vaisseaux pour empêcher une fuite éventuelle. Mais il serait trop long d'en construire une. Voilà ce que je propose : ce bateau se trouve encore assez loin de la zone de débarquement, ses cales doivent être en core pleines. Les pirates ont pour habitude de brûler toutes les ville qu'ils attaquent. Mais pour ce faire ils ont besoin d'huile, qu doit être stoquée dans des tonneaux. Nous pourrions assayer de je ter ces tonneaux dans le fleuve, de les percer et de répandre ensuite leur contenu dans les ondes. Ensuite, enflammons le tout. L'expérience est sans doute perieuse, mais si elle réussit, cous couperons la retraite aux envahisseurs. Etes-vous avec moi?

//Dit Forlong après tu va reprendre tes affaires ? ou tu vas les laisser aux pirates
Gauvin n'avait rien d'inutile sur lui, il était fauché comme un clou et n'avait rien d'autre que ce qu'il avait sur lui, il naga à coté de Eeleriol et quand lui lui donna son idée Gauvinb répondit
Excellente idée, on a plus de chaces de mourrir que de s'en sortir mais cela me plaît je suis avec toi Eleriol
Gauvin encochât une flèche et attendit le signal pour y mettre le feu et brûler le bateau des pirates
J'attends le signal annonça Gauvin, ils vont payer pour mon dos rrrrrrrrrrrrh

Du calme, du calme! Si tu mets le feu au bateau dès maintenant, seul ce dernier brulera, et la "barrière" ne sera que minime et facilement contournable. Il faut jeter les barils dans le fleuve et ensuite les enflammer. Mais pour cela j'ai bien peur que tous les pirates soient des obstacles. Etant donné le poids des tonneaux et leur taille, la discrétion sera fortement réduite. Deux options se préentent à nous : soit d'une manière ou d'une autre, réduire à l'incapacité de mouvement les pirates ; soit réussir à entrer dans la cale sans se faire remarquer et ensuite faire sortir les barrils par une autre voix que le pont? Laquelle choisissez-vous? Nous pourrions bien essayer d'évacuer les tonneaux en créant un trou dans la coque, mais cela serait long et fastidieux. Dans tous les cas nous devons faire vite! J'ai déjà fait mon chois, mais je respecterai le votre.

C'est à ce moment seulement que les trois autres soldats arrivèrent. Eleriol leur résuma rapidement la sitaution. Ils dirent qu'ils suivraient ce qui serait décidé. Gauvin semblait enthousiaste malgré la situation et nul doute qu'il suivrait le mouvement. // Je pense...// Ne restait plus que l'opinion de Forlong.

Hasharin toujours devant le pont appella une dizaine d'archers et de soldats et leur demanda de tenir le pont coute que coute il fallait faire une barricade au niveaux du pont pour empecher les orc d'avancer comme durant la guerre l'anneaux soudain il se tourna vers meneldir et dit:
- Si nous faisions sauté le pont avec le même procédé que Saruman, ou tout autres sortileges comme ca lse orc devrait ramené des barque et nous pourrions les coul et pour ceux qui voudrait passer le pont en rebouchant le trou a l'aide de planche les archer mené par moi meme nous les abatrions qu'en pensez vous??
A ce moment la Hasharin sortit son arc l'arma, le banda en tirant la corde jusqu'à sa joue visa lacha la corde, la fleches fila droit vers un porte entendart et Hasharin se dit a lui même: cela devrait un peu les demoraliser sans une de leur bannière, et en pensant a cela il dit:
-Soldat!!!!
-Moi??
- Oui jeune homme trouve une bannière de l'arbre blanc et plante la en haut de cette ruine pour redonnez du courage a nos homme,File!!!!
et le soldat partit Hasharin commença la barricade avec lse soldat pdt que les archers les couvrent; en attendant les ordres de Meneldir

Le combat avait était arrêté avec la nuit qui était noire comme un crébain.
Les orcs avaient l'avantage avec leur vision mais de nombreux feux avaient été allumés avec des guetteurs embusqués qui avaient pour objectif de prévenir toute attaque.De nombreux bléssés avaient été emmennés à la cité blanche d'où était venu des chariots remplis de provisions envoyés par le Roy.
Il n'y avait aucun général mais juste des caporals et des lieutenants qui avaient rassemblé tout les acteurs principaux.Quand à Meneldir il semblait troublé.
En effet, deux hommes et un elfe était absent.Pour ça part il ne connaissait que Forlong et Gauvin qui avait prevenu Minas Tirith de l'attaque.
Aucune nouvelle d'eux donc deux possibilittés: Soit ils avaient été capturés soit ils fuient mais Meneldir ne semblaient pas de cet avis celà ne ressemblait pas à Forlong le mercenaire.
Meneldir mennait avec certains capitaines les opérations et des plans d'Osgiliath de nombreuses barricades avaient été installés mais le plus grand danger vient du fleuve avec le pirates qui peuvent affreter de nouveaux navires. Il faut couper leur ravitallement mais comment?

HRP Oui, Gauvin, j'ai laisse mes affaires et mon cheval sur la rive, mais dans un endroit calme, et je compte les reprendre apres HRP
Forlong et les autres escaladerent sur l'arriere du bateau. Le mercenaire dit a Eleriol:
-Oui, ceci est une excellente idee, enfin, si les pirates voudront s'enfuir, parce que pour le moment ce sont eux qui gagnent. Vu que la plupart des hommes sont en train de se battre pres du pont, a mon avis ils n'ont laisse que quelques sentinelles sur le bateau. Il faut agir vite et silencieusement. D'abord, eliminons les gardes. Nous allons y aller a trois: Gauvin, Eleriol et moi. Les soldats resteront ici et trouveront les tonneaux. Mais rappellez vous; le succes de notre mission depend de notre discretion. Aucun combat, aucun cri:un coup rapide par arriere dans le dos ou dans la tete. Si nous parvenons a tuer les sentinelles, les trois soldats vont prendre leurs vetements et se ballader sur le bateau, pour ne pas eveiller les soupcons, tandis que nous jeterons les tonneaux. Si personne n'a aucune objection, alors allons-y. Rappellez vous, restez discrets.

Alors ils y allaient. Après une brève poignée de main en guise de geste d'encouragement, Gauvin, Forlong et Eleriol montèrent discrètement sur le pont. Comme l'avait prédit le mercénaire, peu de gardes étaient présents. Seuls trois pirates étaient accoudés sur le grand mat et discutaient, sur de leur victoire et incapable d'imaginer un instant que l'ennemi arriverait jusque dans leur navire. Une moue dubitatrice apparut sur le visage de Eleriol. Il aurait été plus facile d'éliminer les gardes s'ils avaient été écartés. De plus, l'idée d'éliminer trois hommes, même pour la défense de Osgiliath, dérangeait Eleriol. Plongés dans leur onversation, bien que regroupés, les tuer ressemblait plus à un meurtre aux yeus de l'elfe. mais il fallait agir. Un combat loyal aurait attiré l'attention. Eleriol fit signe aux deux hommes de se caher, puis il siffla avant de se cacher à son tour.

C'est quoi ça? Quel est le lascard qui n'est pas allé combattre? Viens ici que je t'éttripe!

Ce disant, un pirate saisit son arme et marcha d'un pas assuré vers la provenance du son. Il regardait autour de lui et un sourire sardonique s'étalait sur son visage défiguré. Lorsque le corsaire arriva à la hauteur de Eleriol, celui-ci contourna sa cache pour arriver dans le dos du pirate. Il lui mit sa lame entre les omoplates et lui sussura:

Un mot et tu es mort. Dis à tes compagnons que tu vas jeter le déserteur par dessus bord et que tu iras ensuite dans les cales pour voir si tu n'y trouverais pas un ou deux prisonniers pour t'amuser. Allez!

Après un petit moment d'hésitation, le corasire obtempéra et répéta mot pour mot la phrase. Toujours en le menaçant de sa lame, Eleriol plaça un chiffon dans la bouche du pirate et le poussa par dessus bord. Un "plouf" retentit à la grande joie des deux autres gardes. Maintenant aux autres d'agir. Ils devaient faire vite pour ne pas éveiller l'attention des gardiens du navire.

Forlong regarda l'elfe avec respect. Sa tactique etait impressionnante. Un des deux pirates restants alla faire une ronde a l'arriere du bateau. Forlong vit la situation et dit aux deux autre:
-Bon, je vais essayer de m'occupper du deuxieme. Gauvin, je te laisse le dernier.
En ce disant, il suivit le pirate sans aucun bruit. Il attendit que celui disparaisse derriere le mat, puis lui sauta dessus. Il lui donna un coup dans la nuque, le pirate perdit connaissance sans emettre aucun son. Forlong prit les vetements du corsaire, et l'accrocha avec une corde puis le cacha dans un coin du bateau parmis les tonneaux d'eau. Il regarda Gauvin, et lui fit signe de s'occupper du dernier pirate.

Gauvin prit son arc (car il était devenu un expert en tire à l'arc) et encochât une flèche enduit de poison qui tuait du premier coup si la cible était touchée,il visa le coeur du pirate et tira.
La flèche arrviva en plein dans son coeur, il rampa jusqu'aux corps pour pouvoir prendre les habits du pirates quand il vit un bateau s'approcher, il murmura très doucement mais assez fort pour que ses compagnons l'entendent et pas les pirates
-Des pirates arrives dans notre direction, qu'allons nous faire, si j'ai bien compter, ils ne sont que 6, voilà mon plan, tout d'abord un de vous deux va chercher les autres qui sont dans les cales, pendant ce temps je me glisserai sur leur bateau à leur insu, et là Eeleriol et Folong habillé en pirates iront sur le bateau avec les autres soldats qui auront leurs armes cachée, vous direz que ce sont des espions, et quand le premier pirate mourra, vous vous jetterez sur les autres, cela devrait faire un peu de bruits mais les autres bateaux sont éloignés et si ils entendaient ils croiraient sûrement que cela viendrait de la berge, que pensez vous de mon plan êtes vous avec moi ?
Gauvin avait gardé tout son sérieux malgré l'excitation de se faire écouter par deux hommes non seulement plus âgés et plus fort que lui mais aussi plus sage

Cette tactique pourrait marcher, mais nous devons éviter le plus posible de sortir les armes. Nous pourrions donc simplement nous vétir des habits de pirates et faire comme si de rien n'était, nous comporter comme de simples gardes. Bien sûr, si besoin est, nous nous défendrons. Mais faisons en sorte de ne pas avoir à dégainer nos épées ou de tirer des flèches. Méditez-sur la situation, je vais avertir nos trois compagnons.

Eleriol se dirigea vers la cale, le dos courbé. Il descendit l'escaier branlant, puis appela les trois soldats qui se dépéchaient de faire rouler les tonneaux sur le "sol" quelque peu humide.

Un bateau pirate approche. Je pense que nous allons faire en sorte de ne pas nous faire remarquer, mais soyez près à combattre. Vous pourriez mettre les tonneaux juste en bas de l'escalier en attendant que la menace soit écartée. Ensuite nous viendrons vous aider à les monter.

Les hommes aquiéçèrent, et revinrent à leur tâche. Eleriol, quant à lui remonta sur le pont et rejoignit Gauvin et Forlong.

Alors, qu'avez vous décidé?

Gauvin répondit:
-Le problème c'est que nous n'avons pas assez d'habits de pirates et qu'il y a du sang sur le pont !!!!!!!!!!
Gauvin se retourna vers Forlong et lui dit
-Si nous tuons cet équipage nous aurons assez d'habits, et ensuite nous n'aurons plus qu'à éloignez un des deux bateaux et revenir sur celui à la nage qu'en pense-tu, si tu permet que je te tutoie, et en plus si nous prenons ce bateau nous en aurons deux et si quand les nôtres les auront battus s'ils les battent nous pourront faire embarquer les autres et les pourchassés

Forlong regarda serieusement d'abord Gauvin, puis Eleriol:
-Hmm, tuer ces hommes n'est pas une bonne idee, mais le sang sur le pont pose effectivement un probleme. D'apres ce que je vois, les pirates sont une dizaine environ, disipes sur le bateau. L'avantage si on s'empare du bateau, est que on pourra aggrandir le rayon de notre barriere de feu. Si nous reussissons, meme en mourrant, meme si les pirates s'emparent de la ville, ils seront pieges. Si je ne me trompe pas, Meneldir est en train de tendre une barricade de l'autre cote de la flotte. Les pirates seront obliges de se deplacer sur terre, et tot ou tard l'armee du Gondor les finira. Que les trois soldats se deguisent en piratres et restent sur le bateau, avec leurs armes pretes au combat. Nous trois cachons nous en haut des mats. Si ils s'apercevront de la supercherie, nous passerons a l'abordage.