Devant le Mal en personne.....pourtant un ami à sauver...

Milindë se tourna vers Hasharin en lui tendant son outre d'eau dans un sourire... Mais Hasharin pu voir le changement en elle, son visage souriant cachait une force invisible mais que l'on sentait qui émanait d'elle.

"Oui Hasharin vous avez loupé pas mal de chose, mais ne regrettez pas, il y aura malheureusement encore de nombreuses occasion de faire valoir votre art au combat... Et vous avez eu la chance de ne pas ressentir l'immense desepoir instilé par le Noir Ennemi... Quoiqu'il en soit, son compte est réglé tout comme celui de son sbire Amouth qui n'était autre que l'infâùe Bouche de Sauron fraichement ressurgi de l'oubli général... L'action que nous avons menée ici est un coup de maître dans l'organisation ennemi, mais ils se releveront et je pense que ce relèvement sera prompt, alors il nous faudra nous attendre à d'autres batailles plus dures que els autres, et nous devrons y exceller... Il est venu pour nous le temps de relancer la Guilde, la disparition de Silindë et ma mort ont quelque peu ébranlée celle-ci..."
"Continuons d'avancer les orcs et autres engeances sont encore proche, et plus vite nous serons sorti plus vite nous pourrons nous occuper de Balak."

Ainsi nous continuâmes la marche je portait Balak et Milindë tentée de le rappeler en vain, les tènèbres étaient encore trop profonde et la situation ne permettait pas de faire plus que de l'appeler.

Erco Skaline avençait péniblement, ses forces était tomb à néant, mais il devait tenir, pas mourir maintenant pensait-il, Si je dois mourir je veux voir la lumière du jour, du soleil pour uen dernière fois.

Erco frappait tout ce qui bougeait, sa vue était rouge et noir, il sentait l'odeur du sang, il était devenu une bête qui était chasser, ses sensation était nul, ses main pesaient des tones, mais il gardait toujours espoir que se cauchermar prenne fin.

Il tomba à genou, les mains à terre. Sa respiration était roque, rocailleuse, alletente. Il se releva avec peine. il tua un enemi.

La fin était proche pour lui ou pour les orques, il ne savait que dire, les deux était possible.

[Erco, relit les messages d'au-dessus, et tu verras qu'actuellement, aucun ennemi ne gêne notre progression. Dés lors, ton message manque de sens.]

Le groupe avançait à tâtons, décidant parfois au hasard s'il fallait prendre à gauche ou à droite lorsque venait un embranchement, faisant souvent demi-tour lorsqu'ils se rendaient compte qu'ils faisaient fasse-route et qu'un éboulement récent leur barrait le chemin.

A plusieurs moments, ce furent des toiles d'araignées qui formèrent un barrage, mais heureusement, à aucun moment ils ne rencontrèrent de créatures semblables à celles qu'ils avaient vu au début.
C'est tout juste s'ils entendirent parfois un son qui aurait pu être alaramant, mais rien ne venait.

Et enfin, alors que l'espoir les quittaient lorqu'ils prirent à gauche d'un embranchement dont le côté droit les avait mené vers des toiles, ils virent la lumière du jour.

"Compagnons, il faudra être prudents à présent. Car si derrière nous les orcs reviendront sûrement, il reste certainements des Haradrims devant nous. Descendons dicrètement jusqu'à hauteur du sol."

Ainsi, on voyait bien qu'il restait encore nombre de Suderons, même si la grande armée avait mystérieusement diminuée pendant la nuit.
Alors, lentement, ils commencèrent à descendre les rochers abrupts.
Ce serait un défi pour chacun que d'atteindre correctement le sol.

Là, le groupes entendit une voix :
-Par là, j'ai trouver un passage menant sûrement vers la sortie!!!

Morgoth était toujours ici, il pourrait les diriger et Alira savait où il était grâce à ses sens!

La bataille était enfin fini. Konrad était bien trop faible pour pousser le moindre cri de victoire.

Tout le groupe, ou du moins ce qu'il en restait, repris le chemin du retour, prenant les différents embranchements au petit bonheur la chance. Dans les bras du magicien, on trouvait le corps d'un homme qui somnolait. Du moins le semblait-il, car le magicien avai le visage inquiet, et la femme se tenant à ses côtés proférait une multitude de paroles a apparence magique, sans doute a l'adresse de l'homme "assoupi".

Tant bien que mal, Konrad se tenait au coté du magicien, en essayant de faire son boulot de soldat, défendant les hommes important. Malheureusement, son état était très second, et Konrad ne marchait pas, il se trainait...

Le chemin du retour fit apparaitre quelques frayeurs au sein du groupe, nottament le fait de retrouver le bon chemin parmi les récents éboulements et aussi l'apparition de quelques toiles d'araignées, sans compter les orcs qui devraient arriver très prochainement derrière eux.

L'espoir revint d'un coup quand Konrad et les autres aperçurent la lumière du jour. Cette lumière soudaine parut revigorer le groupe, malheureusement, les sombres paroles de l'intendant, concernant les Haradrims stationnant dehors, vinrent brouiller le mince espoir de victoire.

Quand tout a coup, un elfe vint annoncer une sortie plus sûre. Konrad regarda les autres et plus précisement le magicien et l'intendant, attendant une réponse. De toute façon, on n'avait plus grand chose à perdre...

Gebir se releva tant bien que mal aprés qu'un orc eut été assez stupide pour se jeter sur Gurthascar.

Un bel ourouk, cela fait longtemps que l'on n'en a plus vu en Gondor?


Gebir fit un parade qui arreta trois ennemis en un unique temps.

La lame siffla passant de haut en bas.

Le premier orc se retrouva avec un jambe trancher alors que l'épée montait à une vitesse folle pour décapiter le second être malsain.
Puis la lame redescendit en un mouvement qui parut long et puissant à la fois pour fendre le heaume capitonné en deux.

Un orc gémissait encore sur la pierre froide.Un coup de tibia fut la seule réponse.

Soudain, les autres débarquèrent de derrière :

Ils l'avait tué.

Meneldir tendit au chevalier sa lance avec une grimace indescriptible.

Qu'y a t il, professeur?

Je crois que j'ai l'épaule déboité, l'âge me rend plus fragile.Je pense que Mithrandir pourrait me la remettre mais il semble très occupé et c'est tour bien normal.

Vous survivrez, j'en suis sûr. Attendez je vais vous la remettre en place.Vous savez, bien que nous soyons de simples soldats, nous devons connaitre certains rudiments de l'anatomie pour voir si.......

.....enfin si un homme peut être sauvé ou non.

Bien sûr.Je comprend cela, j'ai été aussi un soldat.


Gebir se plaça derrière le vieillard et bloqua l'omoplate de sa main gauche alors que avec sa main droite, il ramena en vitesse l'épaule en un bruit sombre.

Ca va mieux.Merci.

Gebir ramassa en vitesse son épée qu'il rengain et ramassa ses poignards et son casque qu'un orc avait fait voler plus loin.

Les deux chevaliers de Brethil semblait quand à eux n'avoir que peu souffert.

Gebir et Meneldir prirent l'arrière garde alors que Meneldir résumait rapidement l'affrontement final.

Mais ils purent tous voir Morgoth trembler et avoir un spasme de terreur...
Il se retourna, les yeux écarquillés, et courus vers la salle où Amouth avait été tué, car une autre personne avait été tué quelques heures avant...
Morgoth courus vers le corps de Mélanie, et la serra fort dans ses bras...La tension était, puis un hurlement déchirant fendit le silence.
Morgoth se releva, le corps de Gewilean dans les bras, des larmes aux les yeux et sur les joues...les dents serrées.
-Je n'est que plus de regret de ne pas pouvoir l'avoir envoyer A MELKOOOOOOOOOOOR!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Ohhhhh VALAR POURQUOI LE MAL EST IL SI PRÉSENT SUR CETTE TERRE!!!!!!!!!!!!!
Les autres n'avait pas eu le temps d'accourir, Morgoth était déjà revenu, il passa devant Alira qui put entendre à l'intérieur de son esprit :
**Pardonne Moi, tu ne m'avait rien fait, j'ai était injuste avec toi...Pardonne moi**

-Venez par là, la sortie est sûrement là bas!!!

Je venais de réaliser tout ce qui c'était passé en si peu de temps... Morgoth avait été tué, et Amouth aussi... Les evenements s'étaient succédés si rapidement et la pression d'une eventuelle attaque d'Orcs nous avait conduit à partir en hate oubliant derrière nous celle qui se faisait appeler Mélanie.

Tout me revint en mémoire, sa course qui la mena face à Melkor, sa mort... Il semblait que Mélanie n'était pas son nom et j'avais crut comprendre qu'elle était la mère de Silindë.

Je me dirigeais alors vers lui, tout en portant Balak et le regardais dans les yeux, ma mine grave retranscrivait toute ma peine pour lui. La relative victoire avait occulté un fait important... Nombreux farouches guerriers étaient mort... On ne pouvait laiser leur corps ainsi à la merci des premières engeances venues.

"Silindë, je suis si désolé... Je comprends votre douleur j'ai aussi perdu ma mère, à Pélargir et..."

Ma gorge se noua et je ne put rien dire d'autre. Je m'étais arrêté dans ma marche et lorsqu'enfin je put reprendre la parole sans trop de difficultés je dis.

"Radamanthe, nous ne pouvons laisser les Gondoriens morts ici, il nous faut les ramener et ce au péril de notre vie... Nous sommes bien assez nombreux pour en porter un chacun..."

Milindë me regarda la mine grave. Bien que Silindë ne semblait pas l'avoir véritablement apprécié elle comprenait sa douleur... Il n'était pas le seul à souffrir... L'épreuve éprouvante avait fait renaître parmi tous de douloureux souvenirs et cela était gravé sur les visages de chacun. Le silence regnait de nouveau dans le tunnel...

"Radamanthe, il le faut, allons récupérer ces corps, en nous y mettant tous ensemble cela ne devrai pas nous prendre trop longtemps... je sais que cela constituera un handicap pour d'éventuels combats, mais nous devons ramener les corps aux familles et ne aps les laisser là a la merci de ces orcs charognards..."

Elle fit demi-tour et je fus le seul a appercevoir des larmes dans ses yeux... Je l'aimais, mais je me rendis compte que j'ignorais beaucoup d'elle, de sa vie et de sa famille... Elle ne m'en avais jamais parlée... Que cachait-elle derrière sa douce force, je me le demandais. Mais ce n'était guère le moment de rester là a penser... Aussi je posais Balak au sol, pour reposer quelque peu mon dos et pour signifier que je ne bougerais pas avant que Milindë soit revenu... certains lui emboitèrent d'ailleurs le pas.

Tandis qu'ils partaient récupérer rapidement les corps je tentais encore de ramener Balak a l'état conscient.

Ce n'est qu'une heure après que nous entendîmes des bruits de pas et que la troupe revint, portant les valeureux qui moururent au combat... La marche pouvait reprendre, même si elle serait plus ardue qu'auparavant et necessiterait des haltes plus fréquentes.

Morgoth regarda lui aussi Mithrandir dans les yeux et le mage put percevoir deux âmes, quand Morgoth lui parla par l'esprit il entendit une voix double....deux voix en vérité lui parlé :
**Je partage deux peine à la fois, deux douleur à la fois, mon frère n'est presque plus mes son âme est encore là...Je suis si mal!**[i]

Morgoth continua, le corps de Geliwean dans les bras, aucun ennemis en vue, passage libre, il revint :

-C'est par la bas, c'est la sortie, du moins c'est une sortie!!

Meneldir ramassa tant mal que bien le corps d'un pauvre soldat mort pour une cause qu'il ne pouvait point comprendre.
La mort prenait ses victimes au hasard et on ne pouvait dire à qui le tour allait arriver.

Certains avaient été totalement dévoré.C'était ce genre de spectacle que Meneldir trouvait répugnant et repoussant.

Il avait glissé sa hache et son bouclier dans son dos et aprés s'être désaltéré il rejoint les autres à l'entrée du tunnel et s'engagea en premier sur le pente en direction du camp haradhrim.

La peur ne semblait ne plus exister car il avait connu bien pire et les haradhrims dans la plaine semblaient dérisoire en comparaison aux araignordes et Amouth.


Il attendit Gebir et ses deux compagnons d'armes à la moitié de la pente.

La chute pouvait être fatale avec le poids que chacun devait supporter sur son dos.

Sire chevalier, que comptez vous faire?
Je sais que votre désir vous pousse à vous rendre à Dol Amroth mais n'y a t il pas des soldats qui puissent vous aider à Minas Tirith et dans les contrées du Gondor.

Vous ne pourrez pas parvenir à renverser cet homme seul.
Je crains que vous aurez besoin d'utiliser une ruse pour parvenir à vous saisir de celui ci et de l'amener devant le roy Mephisto.
Ma décision est prise. Je vous accompagnerez dans votre lutte.

L'ordre avait été donné de ramasser les morts pour les ramener auprès de leurs foyers. Cette nouvelle quête dictée par le magicien était noble, mais hardie. En effet, la plupart des hommes présents étaient très affaiblis, et une nouvelle charge sur leurs épaules ne feraient que renforcer cette faiblesse.
Konrad souffrait, mais, bien décidait à ramener un homme à sa famille, il se dirigea vers le champ de bataille, comme bien d'autres. Il trouva l'un de ses compagnons d'armes, allongé par terre, l'épée au poing. Vu les traits de son visage, il n'avait pas du souffrir. Konrad cru le reconnaitre, comme étant l'un de ses frères d'armes, qui était parti au combat tout comme lui.
Avec force et soupir, il souleva le corps inerte et le placa sur ses épaules, de manières a ne pas être gêné par les coins de son armure de soldat du Gondor.

Puis, se retournant, il repartit en direction du groupe, content de participer à une noble quête, mais sombrant dans la peur de tomber sur une embuscade ennemi. Si l'ennemi venait à frapper le groupe un peu plus loin, les hommes auront du mal à se défendre.
Advienne que pourras...

"Erco, nous n'allons pas faire mourrir d'homme pour en récupérer un seul... Nous allons tous les récupérer... Et je vous ferait remarquer que cela vaut la peine par respect pour les familles des morts. Mettez vous à la place des familles... Erco je sait que cela n'est pas sage... mais la sagesse n'apporte pas toutes les réponses, la sagesse lros de la Guerre de l'Anneau n'était pas de détruire l'Anneau tant cela représentait un risque que l'Ennemi le trouve. Faites ce que vous voulez... il n'en reste pas moins que je ne partirais aps sans les avoir récupéré... Et si quinconque est en danger à cause de moi j'irai moi-même le sauver, dussè-je mourir... La mort n'est pas à craindre n'oubliez jamais que c'est un don de l'Unique au dessus de tous."

Je me mit alors a m'occuper de Balak plus à fond, l'enjoignant à revenir à la lumière.

Le groupe peinait dans la descente, chargés de ces corps mutilésqu'ils n'avaient pas voulu abandonner, d'autant plus que c'était encore l'aube et que la visibilité n'était donc pas géniale. C'était finalement à la fois un avantage qu'un inconvénient, puisqu'ils étaient plus à l'abri des regards indiscrets.

"Hâtons-nous. Il y a encore assez d'Haradrims pour nous mettre en danger si nous sommes repérés avant de rejoindre le gros de notre armée. et si des orcs surgissent de ces tunnels derrière nous en braillant, nous serrons repérés et, avec des ennemis aussi bien devant que derrière, je ne donne pas cher de notre peau."

Enfin ils arrivaient au niveau du sol . Restait maintenant à passer à côté des sentinelles sans se faire repérer. Fort heureusement, le camp ayant bien diminué, il y avait bien plus d'espace de libre pour rejoindre le camp gondorien, derrière les premières collinnes de l'Ithilien.

[RPez ce que vous voulez, le retour jusqu'au camp ou un développement de la descente, etc...]

Hasharin rebroussa chemin, prit le cadavre d'un gondorien sans armure, l'homme avait les traits figés, son sang eclaboussait ses vetements et sa peau. On lui avait coupé une main. L'assassin lui banda la main pour eviter que le sang coule sur lui. L'Haradrimm commença à descendre la pente vertigineuse. les cailloux roulaient sous ses pieds. Il était en tête du groupe de retour. Un seul faux pas et ca serait fini de sa quête. Il arriva à un petit pallier, il deposa le corps et mangea un bout de viande séché. Les orcs ne se fesait pas entendre, mais en bas dans lavallée à une dizaine de metres en dessous se tenait le camp d'haradrimms. Ses anciens freres, qui vouaient a present une haine envers le Gondor.
Hasharin reprit le cadavre du gondorien, et continua la descente, Il manque plus d'une fois de tomber, à cause du poids de l'homme sur son dos. Il posa le cadavre et se retourna et chuchota à la personne le suivant, dans le noir il n'arrivait pas à la distinguer, peut etre Mithrandir ou Radamanthe.
-Je vais eliminer quelques sentinelles qui risqueraient de nous voir et donner l'alerte.

L'assasin dortit une fiole et enduisit la lame de son poignard, c'etait du Mortelame. AInsi les Haradrim qui decouvrirait les cadavres auront peurs vu l'etat dans el quel finissent les victimes de ce poison. Hasharin mit sa cape elfique et ainsi il peut se mouvoir en toute discretion, il passa à côté d'un cadavre de sentinelle, elle avait été attaqué par un animal et a en voir les traces, Hasharin comprit que c'etait un loup. Oeil-de-Nuit!!!!! il est vivant et avait commencé le travail.

Une sentinelle etait appuyé sur son arc, il scrutait la pénombre derriere lui à quelque metres il yavait des tentes du déserts. L'assassin s'approcha doucement, le poignard sous la cape elfique. Arrivé derriere l'homme il se dressa le saisit et l'empecha de crier avec sa main pendant qu'il enfoncait son poignard dans l'abdomen. L'homme s'effondra dans ses bras, l'assassin le tira dans l'ommbre derriere la tente, du sang sortait de la bouche du nez et des autres orifices du corps. Hasharin sortit un sachet en tissu contenant de la Cyanure. Il s'aprocha de l'entre de la tente et mis le sachet de telle facon que lorsque la porte s'ouvre il tombe et tue la personne. Il recommenca la manoeuvre sur une autre tente.

Il s'approchait d'un nouveau garde, une branche craqua son le pied de l'assassin, Me***! Le garde fit volte face mais ne vit rien, Hahsarin toujours sous sa cape, le garde pique vers l'avant s'avancait. L'assassin se decala d'un pas , et la sentinelle passa à un demi-metre de lui, Une fois qu'elle lui tournait le dos, Il sauta et planta son arme dans le cou. Elle s'effondra, L'Haradrim la tira dans un buisson.

Il saisit une derniere fiole, de l'Entolome zébré, une poudre, S'approcha du feu et la versa dans la soupe qui restait au chaud pour les hommes, En la buvant ils auraient des troubles neurologiques et certains deviendraient fous et d'autres en mourraient.
Le métier d'assassin était vraiment plein de rebondissement et de suspens. Un métier parfait. Il retourna aupres des autres hommes du grouppe et apparut devant eux miraculeusement grace à la cape, certain degainerent leurs armes d'autres non. Oeil-de-Nuit était là, il patientait, les sens aux aguets. L'assassin le serra fort dans ses bras et dit ensuite à l'adresse des hommes presents:
-J'ai éliminé 2 sentinelles, mon loup une, et j'ai empoisoné leurs aliments et piégé deux tentes. Demain la moitié du camps sera mort ou du moins empoisonné et pas capable de nous suivre.

//OUhou ! Trouvage de pc et d'un peu de temps ^^//

Alira resta figée un instant à la découverte de la mort de Mélanie (ou peu importe son nom), ajoutant à cela les paroles de Silindë... Elle osa à peine l'approcher et préféra descendre en avant, cachant la larme qui coulait doucement sur sa joue. Remettant son capuchon elle suivit Hasharin et dans l'ombre trancha quelques gorge dans un silence mortel.

L'elfe noire attendit le groupe en bas, l'ombre de son capuchon cachant ses traits et le sillon humide sur son visage.

//Court je sais mais c'est juste histoire de suivre.
Bonne année à tous ^^//

Le groupe atteignit rapidemment le campement de l'armée, qui n'avait pas bougé depuis la veille et le moment où ils s'étaient dirigés vers le repaire d'Amouth.

Radamanthe hocha la tête quand Hasharin lui rendu compte de ses actions, qui seraient très certainement très utiles.

"Parfait, vous avez bien fait. Je pense que avons maintenant terminé avec cela. Nous allons organiser des convois pour transporter les blessés et les morts du groupe qui pénétré dans l'antre vers Minas Tirith. Vous pourrez repartir, aussi."

Il s'adressa alors à l'armée, et au capitaine quirocas.

"Néanmoins, ces troupes-ci resteront pour achever les Haradrims quand les pouisons auront fait leur effet. Nous ne pouvons nous permettre de les laisser camper en territoirre Gondorien."

Radamanthe, lui, hésitait. Son devoir était de e pas laisser l'armée seule, mais il fallait le plus vite possible aller vers la Cité pour prendre des mesures.

[Deux possibilités : 1. Rentrer à MT 2. Rester et cobmattre encore une fois avant de rentrer. (ou bien sûr dévellopper le RP du retour, des soins, etc..)]

Le groupe s'arrêta à l'approche du camp Haradrim. Cela permi à Konrad de poser le soldat qu'il portait depuis un bon moment à travers les grottes obscures de Cirith-Ungol. Il s'assit, poussant un soupir de soulagement, comme bien d'autres d'ailleurs.

L'Intendant était en train de discuter avec un homme d'apparence sombre, sans doute un mercenaire ou un assassin.
Puis l'Intendant se retourna vers l'Assemblée, dictant les choix qui s'offraient au groupe, nottament partir en direction de Minas Tirith et rester pour détruire toute trace du campement ennemi, qui avait avait apparamment était amoindri et drogué à l'aide de poisons.

Pour Konrad, la question ne se posait pas. Bien que très affaibli, il ferait parti du groupe d'assaut qui anéantirait le camp ennemi.
Il but alors une gorgée d'eau, tout en parlant avec les soldats qui tout comme lui, avaient pour la première fois paticipé à une aventure très éprouvante, bien qu'ils en reviendraient tous emplis d'expérience du courage et du combat.

Après cette courte pause, Konrad ramena son soldat mort près de l'endroit où tout les autres étaient posés.

Puis, d'un pas tranquille, il se dirigea vers le groupe de soldats qui attendait les ordres...

(hrp: Dsl, cela me semble un peu court et mon rp est bof. Et aussi bonne année! /hrp)

"Radamanthe, je serais bien resté me battre, mais nous devons être prompt pour certains, je prendrait la tête du convoie ramenant morts et blessés, mais avant de partir nous devons tenter de stabiliser l'état de certains, sans quoi nous ne pourrions les transporter... N'attaquez pas tout de suite, il faut avant que nous soyons en mesure de partir et que l'on ne soit pas déranger par une bataille trop proche pour s'occuper correctement des blessés... Il y a ici un tas de débris en tout genre, Gondoriens, faites en sortes de fabriquer de quoi transporter les morts... Pour ma part je vais informer le Roy de ce qui c'est passé ici, si ce que je pense est correct lorsque ma lettre arrivera l'ambassadeur Sombre-Chêne sera là..."

Je m'écartais un peu et griffonait rapidement sur un morceau de parchemin. Thorongil s'approcha de moi... Après l'avoir carressé et attaché le parchemin à la patte, il partit à tire d'ailes...

Je retournais alors aux bléssés... Milindë s'activait déjà, la plupart des blessés n'étaient que leger, les autres ayant vite succomber aux blessures graves dans la Sombre Antre... sans doute la peur et l'obscurité avaient-elles aggravés l'état de certains qui étaient alors morts...Milindë me regarda l'air grave... Nous ramenerions en Gondor plus de morts que de blessés... Nous nous occupions donc de ceux qui necessitaient les soins les plus prompts sous peine de mourrir... Nous faisions bouillir de l'eau à tour de bras et macerer différentes plantes dont la fameuse feuille des Rois... Il était néanmoins dommage que le Roy ne soit pas là, car selon la tradition ses mains sont celles d'un guérisseur...

Après un temps relativement long, les blessés les plus graves avaient été stabilisés, nous allions donc nous occuper des blessés plus légers...

Hasharin était assis sur un rocher, et il vit ,dans le crepuscule, Umbre arriver en planant dans le vent. Le faucon vint se posa devant son ami, aux côtés du loup. Un message a la patte. L'assassin le decrocha et le parcourut des yeux.

Citation :

Maitre Hasharin, une commande spécial, urgente et monnaiante vous attend dans l'antre. Dépechez vous de revenir.

l'antre du Désert

Alors il décida de quitter le camp l'intendant et le magicien. Il nota sur un bout de parchemin à l'adresse de Mithrandir.

Citation :

Je vous quitte cher ami, j'ai du travail dans la cité.

Adieu

Hasharin

L'Haradrim donna le message à un soldat du Gondor present pour qu'il le donne à Mithrandir dans 3heures. Il le paya 5£ pour passer le message.

L'assassin enfourcha son cheval, et quitta discretement le camp accompagné de ses animaux, personne ne remarqua son départ. Au bout d'une demi-heure il était sortit des montagnes du Mordor et il arrivait au carrefour à la statue du roi. Il continua à travers l'Ithilien, à ce moment la il se permit une pause, et grace au soleil il calcula que Mithrandir venait de recevoir le message. Il mangea un morceau de viande séché, un fruit ramassé et rempli sa gourde dans le ruisseau. Hanor, son destrier broutait, Oeil-de-Nuit se léchait au soleil, et Umbre surveillait se petit monde d'audessus. Se sentant en sureté Hasharin se permit une sieste.

Apres une bonne heure de sommeil reparateur, il repartit en direction de Minas Tirith. Traversant les forets luxuriantes d'Ithilien, il parvint une fois à capter le mouvement d'un ranger qui montait la garde. Le Gondor et son armée n'etait pas pret de tomber, hormis si le complot venait de l'interieur.

Il s'arretait pendant la nuit, il lui restait une dizaine de lieu avant d'atteindre Osgiliath, puis encore cinq pour atteindre la Capitale. Il mangea de la viande cuite, un lapin attrapé par Oeil-de-nuit et Umbre, ses amis le surprendrait toujours, une rivalité c'etait installé entre eux. L'assassin leur donna une part à chacun égale a la sienne. Le lapin etait succulent, cela faisait longtemps que Hasharin n'avait pas mangé de viande cuite. Puis dormit d'un sommeil serrain, les bruits de la nature le berçant. A l'aube les quatres amis, l'homme, le loup, le faucon et le cheval se remirent en route et atteignirent Osgiliath vers midi. Il traverserent l'Anduin, ici c'etait déroulé la premiere bataille de l'assassin, il avait aidé à couler plusieurs bateaux. Ici, ils avaient commander des hommes pour defendre le Gondor.

Il traversa enfin les champs de Pelennor, Il n'ya pas tres longtemps ici, en revenant avec Forlong, il avait combattu les Suderons, ses freres... D'ailleur où se trouvait en ce moment Forlong... Son ami lui manquait, compagnon d'arme et frere de sang, ils avaient maintes fois combattus ensemble, et à chaque fois remporté la victoire.

Enfin il pénétra dans Minas Tirith ,vers deux heures; Il monta chez lui et y laissa son cheval, et la plupart de ses armes. Et descendit dans la boutique où son apprenti l'attendait....

Sur une pierre improvisée table de camp, Radamanthe étala un morceau de parchemin. C'était un plan vierge, mais l'Intendant griffonna quelques repères matériels dont il estimait la position à l'aide d'une sorte de combat. Des petits rectangle indiquait ensuite les déplacements que devraient effectuer ses troupes.

Après ces quelques instants de réflection, il revint vers le Magicien, qui s'occupait des blessés. Lui-même n'était pas vraiment fait pour prodiguer des soins, surtout quand on savait ce qu'il exerçait avant de devenir un des plus influents du royaume.

"Très bien, je vois que vous avez fait le nécessaire pour les cas les plus préoccupants. Des charettes à fond plats pourront être tirées par les chevaux sans cavaliers, n'allez simplement pas trop vite, c'est d'une confection rudimentaire. Nous allons attaquer dans très peu de temps, hâtez-vous..."

Il jeta un regard bref vers le camp ennemi qu'il distinguait au loin. Encore aucun mouvement de panique pour le moment, mais cela ne saurait tarder. et à ce moment, Gondor serait prêt et ils auraient encore plus de raisons de paniquer.

"Je commanderai le début de l'attaque, et s'il n'y a pas de problèmes majeurs, je relèguerai la responsabilité au capitaine et reveindrai vers la Cité. Ainsi, je n'aurai sans doute guère de retard sur vous..."

Il salua Mithrandir et s'en alla se planter sur une pierre plus élevée que les autres, afin de s'adresser à l'armée qu'il dominait ainsi.

"Soldats, tenez vous prêts... Ce sera un combat rapide et sans merci. Ils sont acculés à la montagne, empoissonnés, et ils ne tarderont pas à être encerclés. Messieurs, il faudra les éliminner promptement et efficacement. Leur maître a fait assez de dégat, maintenant il est temps que notre piège à nous se referme sur eux."

Si tout se passait bien, ce serait un combat facile, parait pour une entrée en matière pour la plus grande partie de l'armée, des néophytes.

Morgoth posa le corps de sa mère sur un rocher le plus plat possible, un spasme de sanglot le secoua, puis il dit assez fort pour que Mithrandir, Alira et Radamanthe qui était là puissent entendre :

-Et aprés sa les Valar sont bon, les valar sont puissant, les valar nous protège....mais où avait vous vu tout cela, tout les elfes, les hommes, les nains, les petites-gens et j'en passe qui sont mort à cause du mal, tout les Elfe capturé et torturé par "LUI"...Tout cela si les Valar étaient assez puissant et assez bon ils l'auraient empéché...Ils ne nous regardent plus, ils ne se soucient plus de nous... De Valinor on ne peut voir Endor...Et ils seraient venu pour détruire eux même Melkor si ils avaient su...
Mais ils ne savent pas, ils n'entendent pas, ils ne veulent entendre!!

Morgoth fini sa phrase par un gémissement d'une tristesse infinie en mettant sa tête contre le ventre du corps de Geliwean, en pleurant comme il n'avait jamais pleuré, car en lui deux personne pleurent, deux personnes souffrent, deux personnes haïssent...

HRP// Tient je mélodramatise en se moment...sa fait un peu de bien lol//HRP

Alira était restée debout un peu à l'écart, observant à loisir le visage de chacun. Certains étaient inquiets de la batailles qui allait suivre, d'autres pleuraient la perte d'un proche et la plupart restaient là, attendant la suite le visage de marbre. Et tout ça à présent dans un silence que seul les gémissement des blessés venaient brisés.

D'une voix douce et plaintive elle se mit à chanter à la suite des paroles de Silindë.

_Au-dessus des nuages dans le crépuscule
le faucon toujours seul vole
Il doit sûrement être triste
Tous les bruits cessent sous l'effet du vent
Se tenant bien haut dans le ciel
il ne peut reposer ses ailes

Comment exprimer ce que ressent mon esprit
Il est comme le faucon
Comment exprimer ce que je ressens
ma tristesse volant dans le ciel

La pluie doucement tombe sur la terre
Se cachant toujours là derrière la roche, une secrète floraison
Cette petite fleur, est sûrement amère
Toutes les couleurs se fanent sous la pluie
Qui ne cessera jamais de les apprécier
ses faibles pétales roses ?

Comment exprimer ce que ressent mon esprit
mon coeur, est comme cette fleur
Comment exprimer ce que je ressens
l'amertume qui balance sous la pluie

Sur ce chemin désert
toi qui marche à mes côtés
tu dois sûrement être seul
Les insectes gazouillent dans l'herbe
Mais nous qui marchons ensemble
N'avons pas dit un mot

Comment exprimer ce que ressent mon esprit
Mon esprit qui tout seul marche
Comment exprimer ce que je ressens
Ma solitude qui seule voyage.

Son regard sombre glissa vers l'horizon, elle suivrait Mithrandir, elle était fatiguée, elle avait besoin d'oublier.

//Texte et chanson emrpunté aux "Contes de Terremer" du jeune Myazaki (doute sur l'orthographe) Teru no uta pour ceux qui veulent la chanson avec les paroles en vo http://www.radioblogclub.fr/open/73640/teru_no_uta/Aoi%20Teshima%20-%20Teru%20No%20Uta//

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