Devant le Mal en personne.....pourtant un ami à sauver...

Un de plus.

Rien ne l'arrêtai. Ni lui, ni son frère... Il étaient des dieux, des démons...

Un de moins...

La fureur dans les yeux d'Eaque effraya même son frère. Il ne l'avait jamais vu comme cela...

Un de moins...

Eaque joua avec son épée. Il décapita encore un autre Orque... Ce sentiment de puissance quand il tuait... Si agréable...

Mais seulement des Orques...

Alors qu'il brandissait son sabre, Milindë leva vivement la main, des fissures de lumière apparurent sur le sabre et il explosa. Milindë arrêta les éclats de métal en suspension et ceux-ci tombère au sol accompagnés par la garde de l'épée qu'Amouth avait laché... Tout les restes de l'épée tombèrent en tintant.

"Cela suffit à présent."

Fit-elle en s'approchant lentement de son ennemi qui reculait en titubant tant l'attaque avait été violente.

"Il est temps de débarasser l'immondice que tu es de ces Terres..."

Amouth voulu de l'empêcher d'avancer en déchainant de nouveau un froid vent souterrai, mais elle le plaqua d'un geste contre le mur...

"Ton maître a été défait par notre union, pensais-tu vraiment pouvoir y echapper toi aussi ?"

Il sortit discretement un poignard de sa cape et se prépara à la poignardé en traitre... Mais alors qu'il elevait son arme pour assener le coup mortel, un objet blanc traversa passa rapidement entre les personnes qui se tenaient face à Amouth. Cet objet s'arreta brutalement en frappant Amouth au visage de plein fouet... C'était un sceptre blanc, celui qui me servait de bâton... Amouth surpris avait laché son arme et celle-ci trainée au sol... J'elevais alors à mon tour la main, mais pas pour le plaquer au sol, pour lui porter un coup puissant... Le poignard au sol fondit littéralement car un brasier blanc venait de faire son apparition autour d'Amouth... Milindë se tenait dans les flammes et on eut l'impression qu'elle était flamme car sa cape blanche se fondait avec le feu...
Elle recula légèrement toujours la main levée et certaines flammes l'accompagnèrent.

Amouth savait ce qui se produisait, il était trop affaibli pour lutter, sans arme, ou presque et les chants recommençaient dans sa tête, profonde litanie lui rappelant la souffrance et la mort...

Milindë chanta et sa voie était claire et froide comme la rivière un soir d'hiver. Elle piqua profondemment Amouth telle une malediction et celui-ci aurait reculé s'il l'avait pu, mais il était maintenant coincé contre le mur.

Alors je m'élançais saisissant au passage mon bâton et lançais l'assaut final.

"Avec moi ! Na i melain !"

Les flammes disparurent elles consummaient à présent l'esprit d'Amouth, et n'étaient plus que des illusions.
Il dégaina tant bien que mal sa dernière arme, une épée dentelée...
Il parait mes attaques et moi les siennes et Milindë nous rejoint...

"Dégainez vos épées et venez tuer ce chien !"

Il avait de plus en plus de difficultés à résiter à l'assaut à la fois physique et mentale et bientôt il s'efondrerait...

//Postez vos derniers messages la fin est proche//

Mais Morgoth passa devant tout le monde et dit sur un ton sec et fort :
-NON!!!

Un silence se fit quelques instant, puis il fit :
-Il devra être juger autrement, entravons sa puissances, retirons lui ses capacité magiques...et rammenons le...ET....je demanderai avec Milindë et Mithrandir à l'envoyer...Au-Delà!!

**Tu a de la chance petit être...tu a de la chance!!**

L'elfe noir regardait des ses yeux emeraude toute l'assemblée, il rajouta :
-Que celui qui soit contre me le fasse savoir...même si cela ne changera pas grand chose, et si il insiste...

Tout était clair, Silindë voulait un jugement en bonne et due forme...devant une loi autre que celle des hommes, des elfes ou des peuples libre...Et ceux qui seraient contre son avis, devrait passer par son courroux!

Alira regarda Silindë abassourdie et s'avança pour parler, ses lames dans ses mains en gardant Amouth dans son champs de vision elle fit en sorte de regarder l'elfe noire dans les yeux (obligée de lever la tête pour cela).

_Il n'est pas question de le laisser vivre, jugé ou pas dans les deux cas il mourra ; et il vaut mieux que ce soit maintenant sinon c'est lui laisser une chance de s'en sortir vivant et capable de recommencer et je le ferais payer à celui qui lui a laissé cette chance. Tuons le maintenant, et ainsi le mal sera éradiqué.

Elle ne le laisserait pas l'emmener vivant, elle le tuerait de ses propres mains s'il le faut mais il mourra. Et ce ne serait pas Silindë ou qui que ce soit d'autre qui l'en empêcherait...

"Silindë, Alira a raison, c'est bien trop risqué, nous devons certes avoir compassion et pitié pour cet être corrompus, mais les Valar savent ce que cela a donner avec d'autres et que tous furent des traîtres... J'ai reçu des instructions claires des Valar, je ne dois pas epargner les traître suceptibles de s'échapper... C'est la justice actuelle qu'il m'ont demandé d'appliquer, ce n'est pas une justcie humaine ni elfique, c'est la requête des Valars... Je colmprends que la sagesse serait de l'épargner et de le livrer aux Valar, mais le risque est trop important et leurs instructions aussi claires que de l'eau de roche."

Milindë regarda Silindë avec un sourire avant de continuer...

"Vous êtes conscient qu'un ordre des Valar ne se discute pas...Leur justice a été ordonnée... et tout Elfe puissant que vous êtes Silindë, votre courroux ni changeras rien... Les Valar se chargent de lui en nous demandant de regler le sort des chefs susceptibles de rassembler et de lever les forces sombres... La sagesse nous demanderait de le livrer au Valar, mais cette sagesse est dictée par le respect de leur loi et ordres, celui-ci a été clairement prononcé, Amouth doit mourir."

Elle recommença de plus belle à l'attaquer et la pâle lueur d'espoir que l'ennemi avait entrevu disparu laissant place au desespoir et... à la peur... Pour la première fois de sa vie il avait peur, reellement peur, ses maîtres l'avaient toujours protégés de la mort, mais ce temps était révolu.

Meneldir n'avait que peu tenté dans la périlleuse mission de mettre à bas Amouth.
Il le considérait avec crainte et dégout mélangé car il avait été un homme et pas un être du mal.
Comment pouvait il répandre de tels horreurs sur cette terre?
Comment avait il survécu avec une demi vie car son âme avait du être détruite lors de la mort de son ancien maitre.

Le vieux sage étendait dans ses oreilles la voix mielleuse de cet homme.
Mais il ne se laissait guère distraire par ces illusions.

Soudain, il se passa tant de choses. Milinde semblait avoir le dessus mais autre chose avait réagi.

Mithrandir avait gagné en puissance.Il avait autre chose quelque chose de différent, une aura glaciale semblait émaner de lui.

Il était terrifiant mais Meneldir était proche de la confiance.Il espérait même survivre ................ peut-être.

Soudain, Amouth faillit, la fin arrivait et avec elle l'espoir de la vie.

Meneldir se précipita alors, le bouclier levé, la hache prête.


Pour Gondor.Pour les terres du milieu et pour Arda.

Meneldir heurta avec son bouclier Amouth.

Celui ci attrapa le bouclier et l'arracha jetant le vieil homme par terre en un craquement.Mais le mal, ou plutôt le bien, était fait car dans la jambe d'Amouth, on voyait une large entaille faite par la hache du professeur.

Silindë arreta le derniers coup de l'elfe et dit d'un ton sec et mais malicieux :
-NE Tavise pas de le toucher!!!!!!!!

Son regard était plein de méchanceter et il dit d'une voix forte :
-JE N'AI QUE FAIRE DE VOTRE....MISSION PAR LES VALAR!!!!! Je vais faire SE QUE je crois être bon!!! Et vous ne m'en empècherai PAS! Ou alors vous devrez me PASSER SUR LE CORPS!!!!!!!!!!!!!!!

Il sortit son épée, qui rougoyeait de plus belle, quelque chose semblait en couler, comme du sang qui glisser de l'épée sur le sol.
Se n'est même pas la peine d'essayer votre....magie Mage de Minas-Tirith!!!!! Et votre épée ne sera pas plus utile d'ailleur!!
Je n'hésiterai pas à vous abattre si il le faut!!!

Il parla alors à la créature apeuré derriere lui :
-Cours Bouche de Sauron, sort, part!!!!! Vite...je te retrouverai rapidement, et t'emenerai là ou il faut!!!!!

Milindë regarda Morgoth avec un air étonné mais quelque peu goguenard air que jamais quelqu'un ne l'avait vu arboré...

"Vous n'avez que faire de notre mission, je n'ai que faire de votre avis...Et Silindë je m'avise de le toucher si les Valar le permettent...Ne soyez pas trop arrogant, l'arrogance de Feanor signa sa fin, ne faite pas de même... celui que vous comptez sauver sera celui qui vous poignardera."

Milindë d'un geste envoya valser Morgoth

"Na i melain Daro !"

Ma voix se fit profonde et grave comme le tonnerre dans les cieux et on aurait cru que quelqu'un d'autre parlait par ma bouche...

"La Magie de Minas Tirith... Silence Silindë, ne parle pas de ce que tu ignores, oserais tu remettre en cause les ordres de Valinor ? Te passer sur le corps... Cela ne sera pas difficile ! Rappel toi les maledictions de Mandos, voudrais tu que toi et tes semblables soient maudit par ta folie ?"

Puis je revint à moi comme étonné...

"Silindë écoutez, le bon sens est d'obeir au Valar, quand à ma magie ce n'est pas la Magie de Minas Tirith, vous semblez ignorant pour un Elf de votre rang, ignorez vous par où je suis passé ? Ignorez vous la force de l'esprit quand il est guidé par Manwë le grand ?"

Je levais la main, murmurant "désolé, mon ami", et Silindë déjà affaibli par sa possession par Morgoth s'éffondra assomé par quelque sortilèges inspiré de bien plus haut...
Je fit volte face vers Amouth qui tentait de s'enfuir et là aussi le coup fut rapide, il fit un vol plané pour atterir contre la paroi opposé, de nouveau il était encerclé.

Evidemment, durant les quelques instants que dura cet affrontement, Amouth, libéré des attaques incessantes qui l'affaiblissaient tant, semblait avoir retrouvé de sa superbe, même s'il s'agissait d'un mot peu adéquat pour parler d'un être aussi abject.
Même le coup du professeur ne lui semblait être rien. Certes, cette douleur tiraillante le génerait pour marcher, mais à moins de les vaincre tous, il ne se déplacerait plus beaucoup de toute façon.

Il se releva péniblement et esquissa un sourire mauvais de sa bouche inquiétante.

"Voyons, continuez, railla t-il.Je finirai par ne même plus à avoir à vous affronter...

Il ricana, mais son rire sonnait faux. Il n'avait pu réssiter à Mithrandir.
Pourtant, il camoufla une quinte de toux rachitique, et il semblait prêt à les affronter. Prêt à mourrir ?

Un peu plus, le groupe mené par Radamante, combattant le orcs qui arrivaient par petites bandes, faiblissait. Il semblait impératif qu'un moyen d'éliminer Amouth soit vite trouvé, afin qu'ils puissent désespérément, sinon ils seraient tous submergés.

Gebir avait été submergé tout à coup sans qu'il s'en rende compte.

Combattant deux ennemi, un troisième avait fondis sur lui et l'avait littéralement jeté sur le sol.
L'orc une épée courbe à la main avait transpercé en dessus de l'épaule l'armure.
Tout était il fini?

Gebir tenta d'attraper Gurthascar.A tâtons, il cherchait alors que l'orc prenait un malin plaisir à ruer la lame dans la plaie.

Trop loin, sa main n'arrivait pas à se saisir de la garde et l'orc venait de sortir un long poignard pour décapiter le chevalier.
Lui aussi avait échoué.

Des cris retentirent et un groupe de gondoréens chargèrent à l'improviste.

Le seigneur intendant avait réussi à rameuter du monde.Un moment de répit mais aucun salut possible.

Gebir jeta de côté un regard tout en tentant d'arracher de une de ses bottes ses poignards.

Soudain, il vit une stalactite et l'arracha mais une douleur lui déchirait le poitrail.
L'orc avait enfoncé son poignard dans le corps de celui ci mais il n'eut pas l'effet escompté.
L'armure avait empêché la lame de traverser mais pas de s'enfoncer.

Le stalactite se planta violemment dans la jugulaire de l'immondicité.

Gebir attendit un moment sur le sol reprenant son souffle.
Le combat avait poussé un peu plus loin dans le tunnel.

Il se releva, ramassa Gurthascar de son bras valide et se renfonça dans le combat en silence.

Il leur fallait du temps.Il ne montrerai nulle pitié.

Gondor

La bataille semblait sur ça fin...

Quoi qu'il avait l'impression que ceux qui s'occupait d'Amouth ne faisait rien de très important, n'arrivant pas, à plus de quatre contre un, à le terrasser...

Lui, il tua un orque de plus. Celui-ci, il lui planta un couteau dans l'abdomen, et le remonta jusqu'à la gorge.

Il s'arrêta une seconde, nettoyant son poignard sur un mouchoir.

Un orque voulut en profiter. Erreur, l'ange du scribe intervint, et l'orque fut promptement exécuter par le mercenaire...

Il formait un beau duo, au goût d'Eaque...

Tout tourné autour de Konrad. La fatigue et la somnolence le mettait en une sorte de transe. Il se voyait se battre dans des mares de sang et de cadavres mutilés, plus hideux les uns que les autres.

Depuis un moment, Konrad avait perdu toute notion du temps. Son corps était erreinté, son esprit, affaibli. Il ne sentait plus son bras droit, porteur d'un reste de bouclier gondorien. Pourtant, ce bras répondait encore à l'appel pour parer les coups de l'ennemi.

Dans les quelques moments ou Konrad retrouvait ses esprits, il regardait autour de lui, apercevant toujours dans le même coin tout les hommes importants de la cité regroupé autour d'un ennemi bien plus terrifiant qu'un simple orc, et pourtant, malgré leur nombre, les hommes du Bien ne semblaient pas prendre l'avantage sur cette créature.
Un esprit maléfique rodait encore et toujours dans la sombre pièce, mais un autre, froid et dur comme la glace, semblait l'empêcher d'envahir les esprits des soldats. Bien que cet esprit allié le soulageait, Konrad ne pouvait empécher de réprimer quelques frissons, tant la force pure qui émanait de cet esprit était puissante.

L'assaut des orcs commencait a tarrir, ils se faisaient moins nombreux. L'espoir revint en force, mais s'était sans compté que les troupes du Gondor présentes avait dangereusement diminué.
La fin était proche, en bien ou en mal. Konrad était qu'en même content de vivre cette aventure, peut-être sa dernière, aux côtés de ses seuls amis, les jumeaux scribe et mercenaire qui se débrouillaient plutôt bien, formant un duo frénétique. Pour l'instant, Konrad avait autre chose a faire que de penser à la réussite de ses amis.
Ressérant sa prise sur son manche, il se remit a frapper....

la situation fit ouvertement sourire le mercenaire. Ses compagnons étaient devant un être d'une grande noirceur, l'un des plus grands dangers pour les Terres du Milieu, et il se demandaient s'il fallait le faire prisonnier ou le tuer sur place. Le résultat fut sans appel, le monstre a réussit à reprendre son souffle.

je suis trop bête...j'aurais du continuer mon assaut...

La douleur commençait à s'emparer de lui. Il se savait fort, grâce à l'Uniquat, mais préssentait de terribles effets secondaires une fois cet état de grâce terminé. Alors la souffrance devint son moteur, et il redoubla d'efforts pour terrasser l'ignoble personnage. Renaissance arpentait l'air à la recherche de sa proie, mais malgré ses blessures physiques ou mentales, le diable d'homme parvenait toujours à le parer.

Ton sang va couvrir ces murs dans peu de temps, Ammouth. Et j'espère que tu vivras suffisamment longtemps pour contempler ce que je vais te faire...

Et après ces quelques parole, Balak se replongea dans l'Uniquat, où les lois de la matière n'avait presque plus cours, et son corps redevint un instrument de mort.

Les mains du démon bougeaient à une vitesse qui avait quelque chose de surréaliste. S'il n'était pas tellement affaibli, et en combat singulier, Amouth aurait fait un adversaire formidable, car sous sa frêle carcasse, il savait user d'artifices pour tourner les affrontemens à son avantage, envers et contre tout.

Mais aujourd'hi, c'était trop tard, c'était trop dur, c'était fini. Alors qu'il venait de parer particulièrement violemment une attaque forte de Balak, son sabre se brisa. Pas en deux comme on aurait pu s'y attendre mais en des dizaines d'éclats.
Amouth tomba à genoux, le visage en sang.
Il fit un geste des mains et les bris de métal s'envolèrent pour tournoyer autour de lui, ultime protection.

Il leva les yeux vers le plafond et cria d'une voix implorante :

"De l'aide ..."

Mais aucune aide ne venait. Les orcs étaient contenus. Les Haradrims ne viendraient pas, certains étaient même partits, vers Dur'Zork.

Ses yeux se révulsèrent et il sembla entrer en transe. Les moceaux de métal qui le protégeaient se mirent à trounoyer bien plus vite.

Pourtant, un coup bien placé, et viendrait la fin.

Morgoth se releva de sa torpeur, son affaiblissement était encore présent de moindre façon, mais toujours là.
Il fit revenir en main son arme à distance, son visage venait encore d'être marqué mais par un amis cette fois ci, il hurla :

-ALORS SI LES VALAR LE VEULENT!!!!!!!!!!!!!!!

Et la il chargea Amouth et lui trancha net le buste en deux, les morceaux de métal de l'épée tournoyant ricochaient sur son armure, trop solide pour eux.
Les deux bras tombèrent en même temps et le haut du buste glissa diagonalement du bas de celui ci, le sang s'évidant au sol en flots, noircies!

Une onde de choc partit de l'endroit où était La bouche de Sauron, faisant battre le coeur encore plus vite de peur d'un dernier maléfice...mais il n'en était rien... l'âme de lu monstre irai là où vont tous les hommes, les nains et les autres races non elfique...Les cavernes de Mandos, puis envoyer dans le vide éternel...

Les orques furent pris de paniques et fuirent en pagaille des tunnel...un grondement se fit entendre en dehors...

Morgoth regarda toute l'assemblée, puis cracha par terre!
-Vous l'avez laisser s'enfuir sans le savoir...Il ira la où l'on peut le vouloir pour un homme...à Iluvatar...Je voulait le renvoyer à Melkor par les porte des cercles du Monde, mais vous êtes des imbéciles, vous ne savez pas réfléchir, petit elfes, petit humains...

Il regarda Alira, avec un regard sans aucune émotion, puis commenca à chercher la sortie des tunnels, les effondrement avait bouché certains passages... Il fallait en chercher d'autres.

"Silindë ne crachez pas tant de venin par les mots, ne pas savoir réfléchir...Et vous ? Ne jugez pas les autres car eux ne vous jugent pas. Je comprends ce que vous dites, je n'ai appliqué que les ordres. Considérez moi comme un faible mortel si vous le souhaitez, mais c'est être ignorant... Sur ce maintenant que cette histoire et finie, je m'en vais retourner chez moi a moins que l'on ai besoin de moi, je m'en vais retourner où des amis ne jugent pas outre mesure faisant preuve d'une arrogance sans limite..."

Je tournais les talons et Milindë et moi-même avaçâmes, puis je me retournais.

"Dois-je vous rappelez Silindë que sans la venue de tout ce groupe vous n'auriez pas été sauvé ? Un peu d'humilité et de reconnaissance serez la moindre des chose."

Puis nous continuâmes dans le tunnel a présent silencieux

Mais les blessures mortelles de Amouth ne dévèrsèrent pas uniquement qu'un flot de sang.
S'élevèrent des flammes, un feu noir qui consumma le corps de l'ancien messager de Sauron.
Et de ce feu de ténèbre nacquirent des gerbes de flammes rouges, qui brûlaient telles une véritables fournaises. Elle poussèrent un dernier hurlement terrible et envahirent la pièce obligeant tous à reculer pour ne pas être transformé en torche. Et quand le corps de l'ennemi eut été totalement transformé en cendres, elles disparurent.


Radamanthe n'avait guère eut l'occasion d'assister à l'entrevue entre Silindë et les autres, mais il lui semblait clair qu'il avait bien des choses à demander au Mage quand la chose serait finie.


"Prenons garde, Mithrandir. Il doit certainement rester des Haradrims dans le campement de Morgul, alors avançons prudemment. Arrêtons-nous lorsque nous atteindrons l'entrée de ces maudites grottes."

Balak avait encore peine à le croire. Leur ennemi venait d'être vaincu. L'une des plus anciennes entités maléfique des Terres du Milieu venait de partir en fumée mais ses compagnons ne semblaient pas en être si impressionnés. Balak se sentit grand à cet instant. Une voix au creux de son esprit lui prédit alors dans la langue étrange de l'Uniquat un avenir glorieux : des hommes et des femmes chantant son nom, une armée à ses ordres, arborant fièrement un étendard noir pourvu d'une tête de loup blanc. Ce sentiment le grisa quelques instants, avant que la réalité ne reprenne ses droits. Le voile s'était reformé et la limite entre le corps et l'esprit fut reforgé. Il était désormais l'heure de payer le prix de la puissance...

Que m'arrive-t-il ? mon corps...il ne peut...plus bouger!

Balak voulu crier, mais au moment où un son allait s'extirper de sa gorge, c'est une giclée rouge qui s'en échappa.

Aid...aidez...moi...

Il s'écoulait du nez et de la bouche du mercenaire un filet de sang, et ce dernier finis par chuter au sol. La douleur était monstrueuse, aberrante, si puissante qu'il n'y avait de mots pour la décrire. Balak ressentait une souffrance si intense, si violente que la mort eut été une délivrance. Mais elle ne venait pas... La faucheuse était une bien belle maîtresse pour le supplicié, mais elle savait se faire attendre. Alors il continuait de se tordre en tous sens, hurlant inaudiblement, crachant encore et encore des gerbes immondes de glaires et de sang. Et avant de perdre conscience, Balak vit une lumière si blanche, si pure qu'elle l'attirait inexorablement. Mais un visage se dessina dans la lumière et dit d'une voix cristalline :

Pas encore, fils de Wagoc, pas encore...tu as des choses à accomplir, de grandes choses...au nom de ceux qui t'ont aimé, qui t'aiment aujourd'hui, et de ceux qui t'aimeront un jour, Bas-toi! Pour ta vie. Pour ton honneur. Pour moi...

Puis plus rien. Le néant repris ses droits et Balak sombra dans un profond coma.

C'était fini.

Eaque n'en croyait pas ses yeux. Un corps se consumer tout seul...

Il suivit l'Intendant, veillant a ce que son frère l'accompagne...

La terre bougea... On se croyait presque dans les anciens récits...

A dire vrai, ce qui venait de se passer l'était un peu... Même beaucoup...

Voyant la crise dont Balak était secoué je me précipitais vers lui, Milindë sur les talons, j'empechais notre ami de s'éffondrer violemment sur le sol et Milindë prit sa main tout en posnat l'autre sur sa tête.

"Balak, ne laissez pas les ténèbres prendre possession de votre esprit, nous venons de les vaincre, revenez à la lumière... Balak... Balak, écoutez ma voix...Votre entrainement... l'entrainement de votre don n'est pas achevé...Lorsque ce sera le cas, vous ne souffrirez plus de cette façon."

Elle continua de l'appeler, mais il était dangereux de rester sur place, je décidais donc de porter le mercenaire pour que tous continuent à avancer.
Milindë saisit son outre et en versa le contenant dans le gosier de Balak.

"Il est dans le coma..., on ne pourra l'en faire sortir tout de suite... Il faut avancer et l'empêcher de sombrer plus."
"Couvre le de ma cape."

Milindë enleva la cape de mes épaules et la disposa sur le mercenaire que je portais toujours.

Je souris alors au brave guerrier qui s'était proposé à m'aider et le remerciais.

"Vous avez affronté un mal ancestrale, et vous êtes un brave combattant, tout comme tous ces valeureux soldats, le Gondor peut-être fier de vous avoir... Mais ne vous inquietez pas pour moi, Milindë saura me protéger sans difficulté... cependant si vous voulez restez ici à mes côté je ne vous en voudrait pas car c'est une noble attitude..."

Durant cette conversation Milindë n'avait cessée de murmurer en Elfique des injonctions pour que Balak sorte du coma.

//Nom d'une cacahuète, je préfère pas compter les pages que j'ai manquée --'//

Alira semblait peu à peu reprendre conscience, elle savait parfaitement tout ce qui s'était passé mais elle avait à chaque instant eu l'impression d'avoir été habité par autre chose...
Leur ennemi était mort, Silindë leur en voulait et semblait avoir décidé de lui faire la tête, tanpis pour lui si c'était ce qu'il désirait. Elle rejoignit Milindë et Mithrandir sans un regard vers l'elfe noir, leur but premier à présent était de sortir de cet endroit maudit.

_Une protection ne sera jamais suffisante Mithrandir, sortons d'ici à présent, nous suivrons le chemin où l'air est le plus respirable. J'épouserais un elfe si cela me permettrait de sortir d'ici.

//Nedeleg laouen !!!//

Hasharin degagea une pierre et émergea de l'éboulement, une pierre l'avait assomé lors de cet eboulement, il avait tout raté, des corps jonchaient le sol, un cadavre brulait, Morgoth semblait vivant, d'autre étaient morts et d'autres encores vivants tels que Alira. Tout dans sa t^te était confus. Où était Oeil-deNuit et Umbre, ils avaient disparus.... Hasharin s'approcha de l'elfe noiret lui demanda d'une voix mal assuré en se frottant le crane, du sang séché se melait ses cheveux.
"- Je crois que j'ai loupé quelque chose! pourrais-tu me resumer ce qui c'est passé, il y a eut un éboulement je me suis évanouie et je viens de reprendre connaissance. AUrait tu de l'eau, ma gourde c'est brisé durant la chute de pierre. Mithrandir tu es la aussi, Oula j'ai vraiment recu un coups sur la tête."
L'assassin verifia ses armes et équpements, tout etait la, il avait encore son sabre et son poignard c'etait le plus important, la corde de son arc c'etait coupé.

//Oui le retour, desolé je n'avais pas posté mais je n'avait rien suivit à l'histoire//