Devant le Mal en personne.....pourtant un ami à sauver...

Melkor était subjugué par l'audace culotée de l'elfe noire qui venait de lui planter Chrystamas dans le dos, il était à genoux dépassant encore le haut du torse des miasmes noirs, le marteau à la main, il était face à l'être de lumière :

-Elwë Celebrindal, tu ne peut rien contre moi!!! Ton frêre est perdu...je suis libéré et bientôt prendrai le pouvoir sur Arda...

Mais une voix parla par sa bouche et sur le moment personnes ne compris pourquoi Melkor se contredirait tout seul :

-Ah tu crois ca, mais tu te trompe...car je vais te neutraliser pour récupéré se corps!!! Assez longtemps tu m'a porter pour que je puisse emporté ton âme!!!

Melkor ouvrit des yeux noir pleins de surprise mais les relacha en se relevant l'épée toujours plantée dans le dos et avec un sourire sadique il dit :

-Ah bon, mais je sens déjà pourtant que tu faiblis petite épée!!! Tu n'est rien comparés à moi!!

-Mais....je...non...Aidez moi.....

Là, l'être de lumière Hurla :

-Mithrandir!!!! Maintenant la pierre lancer la de toute vos forces contre Melkor!!!

Il fonca alors contre le corps de Morgoth libérant une lumière fulgurante, l'épée rougeoya encore plus elle même libérant de la lumière rouge...ne manquait plus qu'une seul chose....et Mithrandir le fit, la pierre partit à toute vitesse contre Melkor et se brisa en milles éclats brillant dans la lumière reflétant celle ci, rouge et blanche.
L'ombre commenca à tourbillonner, et Melkor hurla de toutes ses forces faisant trembler toute la terre du milieu de se Hurlement apocalyptique :

-NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON!!!

L'ombre tournoya de plus en plus vite créant une aspiration vers Melkor que l'on voyait disparaitre entre trois êtres de lumière, un rouge, un blanc et un bleuté...
Cette aspiration provoqua des secousse faisant s'éffondré certains tunnel, bloquant certaines personnes, le Hurlement continua pendant des secondes interminable, tout le monde se protegea contre les débrit de sable, de pierre volentant en tourbillon autours de Melkor, comme une tornade de déstruction...
Alira qui était plus proche fut projeté au sol sous peine de se faire aspirer, le corps de Mélanie fut emporté dans la tornade, ainsi que le corps de certains soldats mort aussi, mais Mélanie fut ratrappé par l'être bleuté, les petits morceaux de la pierre d'âme de Morgoth eux s'élevèrent et tournoyèrent dans le sens inverse de la Tornade, ils étaient toujours brillant de lumière, se rapprochant lentement de la tornade.
Melkor lui tentait d'enlever l'épée de son dos, elle transpèrcait le corps de part en part ressorant du torse, mais même en se concentrant se fut un echec.
Puis se fut le noir pour tout le monde quand les pierres touchèrent la tornade...tout retomba, un silence de mort...

Juste trois spectres de couleur...se regardants...............
Un vrai silence, comme un repos aprés un grand vacarme.
Tout le monde entendit une voix douce et recofortante à l'interieur de leur ésprit :
-C'est fini...le mal n'est plus avec nous...tu peut te lever, repartir chez toi, revoir ta famille, revoir tes amis...dormir...te reposer...ne plus y penser...

Puis tout le monde ouvra les yeux, pour voir cette caverne, sombre avec juste une lame rouge au sol planté dans quelque chose.

Des soldats rallumèrent des torches :
-Tout le monde va bien???

Alira se reveilla aussi, à côter du corps de Morgoth sur le ventre l'épée planter dans le dos ressortir et tomber au sol, l'armure se reforma comme régénérante.
La lame continait à rougoyer au sol.
Du sang noir coula des jointure de l'armure...

Amouth était dans l'ombre, car il ne voulait pas interférer avec les pouvoirs du maître. Après tout, il était à pour ça, déployer sa puissance et son charisme, la peur qu'il causait, tout cela pour lui, pour servir ses propres intentions.

Mais il voyait là ses plans se noyer dans l'abyme profond de l'échec. Balthazar, maudit Balthazar. Cela il ne l'avait pas dit, il n'avait pas parlé d'un tel pouvoir. Peut-être ne le savait-il pas... Amouth était tout de même capable de pénétrer au plus profond de l'esprit de son serviteur le plus zélé .

Alors il tendit son pouvoir et tous les artifices sombres qu'il pouvait imaginer, mais il sentit qu'il faiblissait. Il avait réussi à maintenir Melkor en parrallèle sur cette terre, il n'arrivait pas à le garder.
Il sentit sa force filer en même temps que l'Ombre et bientôt il poussa un cri à la fois de rage et de douleur et abandonna, en même temps que son manteau de volutes d'ombre disparaissait.

"Non..."

Tout était consumé, il restait seul avec ceux qui avaient fait échouer le plan pour lequel il avait gaspillé toute une armée.

"Vous allez payer pour cela..."

Et l'ancien messager dévoila son visage mutilé par le temps et il semblait puissant.
Il avait un sabre mais c'était de son énergie qu'il fallait se méfier.

L'acier seul ne pourrait le vaincre, et lui, personne n'était particulièrement lié à lui.

Les paroles de mort et d'anéantissement sussurées par l'ombre, Balak ne les avaient pas entendus. Il se trouvait comme pétrifié par le mal en présence, et dès la première apparition de Melkor, tous ses membres s'étaient immobilisés, le transformant en une statue de chair impuissante. l'apparition de l'être n'avait rien changé, si ce n'est qu'une violente douleur l'avait saisi. Il eut à ce moment une étrange pulsion : l'entité illuminé était sans nul doute leur sauveur, et bien Balak ne comprenaient rien à tous ce qui se passait devant ces yeux, il aurait du bénir son intervention. mais au lieu de cela, une impression de dégoût et de haine profonde l'envahissait. Il aurait donné amis, frères d'armes, et tout ce que les Terres du milieu comptait de vivant pour pouvoir l'anihiler. C'était comme si les sentiments de fureur du maître des lieux l'influençait. Cette pensée écoeura le mercenaire.

Pourquoi...n'en ais-je pas finis avec le mal! Je suis revenu! je ne suis plus comme eux! je ne suis plus une Ombre du Destin!

Mais ses pensées de colère ne le quittaient pas, et lorsque ses compagnons combattirent le Seigneur des ténèbres, elle atteignaient leur paroxysme. Le tatouage vibrait de plus en plus, et une étrange fumée noirâtre s'en échappait. Puis vint l'instant final, celui où le mage de Minas Tirith lança l'artefact sur le prophète des ténèbres, le renvoyant par delà les plans abyssaux. Le cri, surtout, projeta la tête du mercenaire en arrière, et un sentiment de rage inimaginable l'envahit. Il voulait tous les tuer, ces êtres inférieurs, qui osaient s'opposés à sa puissance...pendant un court instant, il ne fit qu'un avec l'esprit de l'abomination, jusqu'à son départ. Puis le vide absolu. Plus aucune haine, plus de ressentiment, plus qu'un néant abyssal au creux de son esprit. Puis, lentement, les effluves des sentiments lui revinrent. Il réalisa qu'il avait failli, lui, l'un des plus grands guerriers de la cité Blanche. il s'était laissé dominé par le Mal...et il ne pouvait supporter cette idée.

Faible...je suis...si faible...j'enrage! je suis pourtant...j'ai failli.

Puis il se sentit frapper, comme si on lui assènait un monstrueux coup de marteau dans la nuque. L'idée même le percuta si violemment qu'il oublia tout le reste : Morgoth, Amouth, ses compagnons, absolument tout.

Je ne me suis jamais repenti...

Il chercha le regard de Mithrandir, et dans ses yeux l'on pouvait lire une infinie tristesse, plus grande encore que lors de son retour à Minas, après avoir découvert la trahion de Khalid. cette fois, le traître était son propre esprit, sa propre âme. Alors qu'il croyait avoir renoncé au mal, ce mal était en lui, et ce depuis toujours. Cette évidence le boulversa. Puis lentement, le chagrin se changea en haine, et la haine devint fureur.

!!!POURQUOI?????

La force de se cri était à peine humain, et les murs de la cavernes semblèrent trembler un bref instant. Le tatouage avait disparu. C'est à ce moment que Balak vit le premier sbire de melkor, prêt à les charger pour les punir de leur forfait. Sans en prendre conscience, Balak prit ce déchu comme responsable de tous ses malheurs. Il était la cause de sa condition. Il devait...

Il devait le tuer. Même si c'était la dernière chose bien qu'il ferait de sa vie. Il devait le tuer.

Alors Balak plongea dans l'Instant. Plus loin encore qu'il n'avait jamais été, là où conscience et raison se dissocie, et où l'esprit n'est plus, là où seul le corps dicte sa loi. De et endroit, le mercenaire n'était pas sûr de revenir indemne. Les profondeurs de notre humanité sont parfois bien plus dangereuses que les soucis du monde réél. Mais Balak n'en avait cure, sa volonté de vaincre serait comme un phare dans les ténèbres de son âme. Et ce phare l'éclaira d'une lumière rouge. Rouge Sang.

Et s'il ne devait y avoir qu'une personne pour comprendre le combat intérieur de Balak, il y aurait Amouth le sombre. Et seul face à tous, il comptait bien en profiter.
Ses yeux s'écarquillèrent alors qu'il fixait le mercenaire et esquissa quelques gestes des mains, car il avait appris la grande sorcellerie de Sauron lui-même, et il s'imissa dans son esprit.

Et une ombre éclipsa la phare rouge de l'espoir de Balak, et il y avait deux yeux, mais ce n'était pas le plus terrible. De sa Bouche qui était son nom, sortait une voix terrible, et cette voix résonnait ainsi :

"J'ai lu dans ton coeur, et il m'appartient..."

C'était comme si le temps s'arrêtait, envoûté par cette voix déraillée qui par un sombre artifice obnubilait l'esprit au point de faire oublier le reste. Car Amouth serait un formidable adversaire, qui utiliserait d'autres armes que les épées et les sabres.

"J'ai vu tes rêves, Balak, et j'ai vu tes craintes. Tout ce que tu désires est possible, mais tout ce que tu redoutes l'est aussi..."

Le monde entier qui retint son souffle et le regard d'Amouth qui se fait plus perçant, en réalité autant qu'en esprit.

"Mais sait-tu ce que tu crains et ce que tu désires ? Tu t'apprêtes à essayer de me tuer, mais le veux-tu vraiment ? Tu ne connais pas la pitié ni la compassion. Tu es...comme moi..."

Tout autour, les derniers chauves restant combattaient, motivés par la fureur de leur maître mais l'esprit tellement emrumé qu'ils ne comprenaient rien à la raison pour laquelle était en colère.
Avec de grands moulinets et des mouvements vifs et rapides, ils voulaient tuer.
Et ils n'attauqeraient pas l'adversaire du maître, car l'adversaire de leur maître mourrait toujours, et il faudrait être plsuieurs pour le battre.

Le duel du monde physique devait attendre, car c'est au creux de l'esprit que ce tenait la plus féroce bataille qu'ai jamais livré le mercenaire. Ces yeux étaient si sombre et profond, et cette voix si obsédante, que Balak sentit sa raison fuir tout autant que son courage. Il peinait à résisté à l'emprise de ce mal, et ses forces s'évanouissaient en même temps que sa volonté. Il cessa sa plongée dans l'Instant, chutant contre ce qui lui parut être une surface solide. mais lorsqu'il reprit conscience, les yeux étaient toujours là, l'écrasant d'une pression immense. Il était dans cette salle Noire, où l'elfe qui avait combattu Balthazar à ses côtés l'avait déjà entraîné. C'était le sanctuaire de son âme, et à cette endroit, une grande déchirure se fit, laissant dans un mur invisible une fissure d'énergie négative qui grandissait sans cesse. Balak se crut alors perdu.

Puis, deux éclats blancs jaillirent d'on ne sait où, pour prendre forme devant lui. L'écrasement cessa et les yeux disparurent, mais la fissure elle, était toujours là et ,gourmande, elle le dévorait de l'intérieur. les deux lumières formèrent alors des visages, l'un était celui d'un homme avec une légère barbe, et ses traits étaients légeremment similaires à ceux du mercenaire. L'autre était une face féminine, d'une grande beauté. Tous deux regardaient Balak avec compassion.

Qu...qui êtes-vous ? Vous..;vous m'avez sauvé de...lui ?

L'homme se mis alors à parler.

"Non, mon fils, nous n'avons que retarder l'inévitable. Tu es le seul à pouvoir le bannir définitivement de ton esprit."

Puis se fut la grande dame qui s'adressa à lui.

"Que tu es beau, mon fils... comme je regrette de ne pas t'avoir eu à mes côtés durant ta triste vie."

Balak n'osait croire à l'évidence.

Père ? Mère ? C'est vous ? Mais...pourquoi ici ? Pourquoi mainteant ?

Parcque tu as besoin de nous, mon fils, et que nous avons donner nos vies pour pouvoir te suivre tout au long de ton existence.

C'est une longue histoire, mon petit. Ton père fut membre des Ombres du Destin, sache le. Mais un beau jour, il refusa d'obéir à Arkanos, fils d'Arkos, et fut pourchassé pour trahison. Je l'ai rencontré dans sa fuite et nous sommes aimés. Bien qu'humaine, je vivais dans la forêt, hébergée par une elfe marginale, dont je ne puis dire le nom.

Et de notre amour est naît le garnement que tu es, mon garçon, mes nous savions que tôt ou tard, les Ombres nous trouveraient. Ils sont bien plus habiles que tu ne le crois.

Alors nous avons demandé à la veille elfe de cacher nos âmes au sein de la Double-lame de ton Père. Chaque lame acceuillit l'un de nous, et la lame devait t'être remise pour que chaque nous puissions être à tes côtés.

Mais tout ne se passa pas aussi bien que nous l'avions prévu. La dame du grand peuple qui devait s'occuper de toi fut découvert par ces monstres, et dut te confier à l'un de ses amis. Ce dernier te mis alors dans un orphelinat du Gondor, loin de ces guerriers assoiffés de sang. Mais nous les avions une fois de plus sous-estimés...

L'elfe remis la Double-lame au forgeron de Minas Trith, qui la donna à son sucesseur. On lui donna l'odre de remettre cette épée au premier homme qui commandera une Double-lame en mithril. Ca faisait parti des plans de la vieille, qui était un peu prophétesse. Mais elle n'a pas su voir ton enlèvement, et tu fus éduqué par le mal en personne.

Tu sais de qui nous parlons, n'estce pas ? Croc-Noir, le gardien du serment des Ombres. Et bien sache, mon fils, que cet être abject est...

Il y eut un silence qui sembla durer une éternité, avant que le visage de l'homme ne reprenne son récit.

...Ton Grand-père.

La nouvelle boulversa le mercenaire, et une telle révélation ébranla sa volonté.

Mais alors... Tu es...

Son fils, oui. Et je n'en suis pas fière, crois-moi. Mais tu devais connaître la vérité, tu devais savoir que ta grande force te venais de cet homme... mais avant tout de moi. je suis Wagoc le Déchu, le plus grand combattant des Ombres, et tu mon héritier. Montre-toi digne de moi, fils!

Soudainement, le visage de la femme se troubla, et du sang parut s'écouler de sa bouche.

Je n'arrive...pas à le contenir...plus longtemps... Va, mon fils, va de l'avant, et écoute les consils de ton père...Adieu...mon petit.

Puis elle disparut, absorbé par la faille qui grandissait encore et encore.

Tu dois te dépêcher, Balak. je vais te montrer l'ultime technique de notre lignée, celle que j'ai eu tant de mal à maîtriser, et qui sera la seule arme efficace contre Croc-Noir. Quand à ton adversaire acuel, il est très fort, peut-être trop pour toi. Ce que tu vas apprendre ne pourras sans doute pas te servir pour ce combat, mais si améliores ce don, tu deviendras fort.

Que...que dois-je faire ?

Il y a un escalier, là bas. Il t'emmenera dans les profondeurs de l'âme humaine, et tu arriveras au final devant un voile. Tu dois déchirer ce voile de toute tes forces. Une fois ceci fait, tu seras de retour dans le vrai monde, épuisé mais changé. Pars vite, je commence à faiblir!

Et lorsque Balak se retourna, il y avait effectivemment un escalier derrière lui, qui s'enfonçait dans un abîme inconnu.

Va mon fils. Va et montre-toi digne de mon nom. Tu es Balak, fils de Wagoc, et tu deviendras sans doute l'un des plus grands guerriers que cette terre est portée. Allez!

Balak obéit, et se précipita vers les profondeurs de son être. Il se retourna une dernière fois, le temps de voir le visage de son père se faire également broyé par la faille.
Dévalant les marches qui lui semblèrent infinies, il parvint enfin devant le voile. Mais à chaque pas, il se sentait happé par la brèche, bouche immonde prête à l'engloutir vers le néant. Chacun de ses gestes étaient une épreuve, et il luttait de toute ses forces contre cette abjecte gangrène spirituelle. Elle parvint alors à ses pieds, et lentement, le recouvrait de noirceur. Avant d'être entièrement absorbés par le mal, alors que son âme semblait perdue, il eut le temps dans un ultime effort de frapper avec violence le "Voile". Puis plus rien.
Les hommes qui combattaient au côté du mercenaire s'interrogèrent quelques instants, car lui et Amouth se dévisageaient depuis plusieurs secondes. Ils s'inquiétaient surtout de la mine courbée du mercenaire, qui semblait flancher devant l'entité maléfique. Mais alors que les servants du Seigneur Noir chargèrent les enfants de la Cité Blanche, Balak le Mercenaire, fils de Wagoc le déchu, se releva lentement.

Puis il ouvrit les yeux, et se mis à sourire...

Erco venait d'abattre la dernière araignorque, la denriere créature présente d'ailleur...sauf Amouth qui se tenait à quelques mêtres de Balak, et à qulque centimètre de Alira...
Il ne se souciait pas de l'elfe noire, mais...il avait peut être tord.

Silindë gisait toujours...il avait juste un halo blanc autours de lui...celui ci diminuait lentement....

Alira avait une respiration difficile et une envie de vomir sans pareille. Elle resta appuyée sur ses mains un moment, sans se préoccuper de ce qui l'entourait, attendant que ces nausées passent et que sa tête arrête de tourner tout en fixant le sol noir et sale. Elle sentait le corps de Morgoth, ou de Silindë elle ne savait plus, près d'elle et l'épée... cette épée qui semblait à nouveau l'appeller.

Relevant les yeux, son regard se posa sur chaque chose qui l'entourait ; certains se battaient, d'autres restaient figés comme des statues complètement abrutis. Ses yeux de nuit finirent par se poser sur Balak et l'homme en face de lui ; le premier souriait d'un air assez démentiel, elle avait toujours trouvée les hommes assez particuliers sur le plan démence mais celui çi dépassait de beaucoup tous ceux qu'elle avait eu le loisir de rencontrer.

Un des chauves finit par la remarquer, proie facile en apparence, une femme à terre...peut-être n'aurait-il pas à la tuer tout de suite pour en, profiter un peu... Sentant un regard posé sur elle et une ombre se dessiner au dessus d'elle l'elfe noire tourna le visage en haussant un sourcil. Peut-être était-ce l'habitude de ce genre de regard lubrique et pervers qui semblait prendre un étrange plaisir à redessiner ses courbes de leurs yeux que son attitude nonchalente repris le dessus. Se désinteressant de l'espace de cadavre à côté d'elle et du combat immobile de Balak et de son adversaire elle se releva souplement ; fixant son propre adversaire qui hésita un instant soudain face à face avec une femme armée et légèrement de mauvaise humeur.
Ce fut la dernière chose qu'il vit avant de rejoindre la poussière, et plus rien à part une colère froide semblait animer la voleuse dans sa danse funèbre. Elle ne savait même pas la raison de son énervement ou plutot son inconscient seul le savait réellement.

Son regard croisa un instant celui de Milindë ; une partie d'elle aurait voulu la serrer dans ses bras pour exprimer sa joie de la revoir vivante mais elle fut étoufée par autre chose et se retourna, guidée par un mouvement qu'elle ne controlait pas ; voyant que plus près qu'elle ne le pensait se tenait l'homme qui restait dans l'ombre et face à Balak...

//Et merde, je pensais qu'il y avaiot pas eu de posts, pourquoi ma boite mail a pas reçu le message... j'enrage Autre chose, je vois que mon perso a fait des trucs, merci a ceux qui ont prit l'initiative bienq ue j'aurais souhaiter poster de moi-même...//

"Alors Amouth, on a changé de maître, l'état de servitude vous plait tant que ça ? Vous preferez être le porte-parole que le dirigeant... avez vous peur de souffrir ?"

Fis-je le dédain dans la voie face à ce personnage ignoble...

"Laissez Balak en paix ! Où il vous en coûteras !"

Fit-Milindë tandis que j'executais un puissant mouvement de bâton en sa direction... Cet ignoble adversaire alla heurter violemment la paroi en face...

"Même avec magie vous n'êtes pas assez puissant pour nous vaincre, votre puissance réside dans votre voix pernisieuse... Vos paroles s'insinuent dans les esprits comme du poison... Mais à ce poison j'oppose la voie clair, mais non moins puissante, vous avez appris la magie auprès de Sauron, Maïa corrompus, je l'ai appris de deux Istari dont un de retour à Valinor, lui n'est pas corrompu, sa puissance est intacte.
Balak ne vous laissez pas influencer par cette voie, elle se pense puissante mais vous pouvez lui resister, son maître est défait, et comme un chien il cherche un échappatoire... Il est puissant certes, mais nous venons de vaincre plus puissant grâce à Alira, Silindë et Mélanie... Ammouth, venez en à l'évidence, votre maître est défait, les Valar n'ont pas entièrement abandonné les Terres du Milieu, le règne des Orcs arrive à sa fin, dans un dernier tremblement se jouera le sort de tous... Vous pouvez encore vous sauver en vous alliant à nous... Après un temps vos fautes vous serons pardonnée... Mais j'ai peu d'espoir que vous acceptiez, dans ce cas ce sera un combat à mort que nous vous livrerons"

Amouth accusa le coup, rageur. Maudite elfe, il aurait du faire plus attention, ses adversaires n'étaient pas si ordinaires que ça. Enfin, assez différents pour lui donner quelques difficultés...
Il pesta; il n'aurait pas du se concentrer sur ses tromperies et son affrontement psychiques afin de faire plus attention à ce que ces misérables faisaient.

"Maudits, alors mes serviteurs n'ont pas été assez puissants pour vous empêcher de m'affronter en surnombre déloyal ? Peut-être soufrirai-je plus mais ma victoire ne sera que plus éclatante... Je vous écraserai comme on achève un mourrant."

Comme pour témoigner de ces paroles, il effectua un simple mouvement du bras, et un soldat agonisant porta alors la main à sa gorge, comme s'il ne savait plus respirer, avant de retomber, doucement comme endormi, mais les yeux ouverts et immobiles.

"Pensez-vous vraiment m'avoir ôté tout espoir ? Non, c'est moi dont le rôle est d'éliminer l'espérance... Pensez-vous me vaincre aussi facilement que vous avez renvoyé l'esprit du Seigneur des Ténèbres. Il n'était qu'une image, moi, disparu de vos histoires depuis trois siècles, je suis bien là, prêt à vous faire payer."

Il avait laissé quelque peu Balak de côté, et se balançait, aux aguets, en faisant face à ses adversaires.

"Toutes les cartes ne sont pas abattues. Eh bien tant pis, nous ferons sans, cela aurait des désavantages après tout... A l'heure qu'il est, les elfes dans les bois doivent être déchirés, et les anciennes puissances auront déjà répondu au sourd appel de Melkor le Grand... Si à vous de déposer les armes et de vous joindre à moi si vous voulez vivre... N'est-ce pas le plus important, vivre, et avoir le pouvoir ? N'est-ce pas ce qu'on recherche tous, même ceux trop faibles pour se l'avouer ?"

Il esquissa un souire mauvais de sa bouche trop large, qui avait déjà déversé tant de mauvaises paroles.
Et il était prêt à continuer...

Alira haussa un sourcil méprisant alors qu'un sourire étirait le coin de ses lèvres.

-Misérable chien. Crois tu vraiment qu'on aura besoin de toi ou de ton maître déchu pour vivre ? Même désespérée je ne vous appellerais pas pour en finir avec ma vie. Tu es le seul à désirer ta survie et le pouvoir, que crois-tu réellement savoir de nous, peut-être as-tu vu ce que nous désirions au fond de notre coeur, mais nous comparé à toi nous sommes prèt à laisser de côté notre désir le plus cher pour celui des autres. Ce que tu ne comprendras jamais. Même si des peuples ont répondus à l'appel de ton maître, qui les dirigera quand ils seront là à attendre ? J'imagine leur expression en te voyant alors qu'ils attendent le Grand Morgoth ; qu'ils seront déçus et je les comprendrais bien. L'ombre de ton maître disparue à cause d'un simple coup d'épée porté par une femme et toi tu veux qu'ils t'obéissent... Tu pourras t'estimer heureux s'ils ne viennent pas.

Son regard de nuit fixait Amouth avec arrogance et mépris, ce sourire carnassier qui se dessinait quand une envie de sang la prenait. Pourtant au fond d'elle même un doute persistait sur cette colère...

"Alira vous vous trompez, ce personnage sinistre n'est pas le Roi Sorcier, mais il ignore certes beaucoup de nos convinctions, à moins que vous parliez de son ignoble maître bien entendu."

Puis je me tournais vers lui.

Mourir ? Vous n'avez pas idée de ce que sait, je ne craint plus la mort, j'ai passé par de nombreux périls pour trembler devant les pernisieuses insinuation d'une crétaure décharnée, corrompues, pourries... Vous pouvez tous nous tuer, je m'en contre-fiche, si cela vous enchante, mais les Valar n'ont pas abandonné Arda, pas autant que vous et vos serviteurs le pensez... Vous pouvez tenter de nous intimider, mais vous n'êtes à mes yeux plus rien... Amouth, quel pouvoir reste-t-il quand il ne reste que la bouche et que celle-ci devient muette ? Vous devriez bien voir que votre cause est perdu, de nombreuses année auparavant Sauron fut vaincu et ce alors que la cause était desespérée, alors pourquoi n'arrierions nous pas à vous vaincre alors que là la cause est loin d'être perdu ?"

Je regardais le solat au sol et Milindë suivant mon regard continua

"Vous pensez lui avoir infligé un chatiment en le tuant ? Mais ce n'est pas le cas... Mais pour vous, ce ne sera pas le paisible sommeil de la mort que vous connaitrait, mais les tourmentes de l'inexistance pour expier vos fautes... Quel masque allez vous maintenant endosser pour tenter de nous terrifier ? A bas infâme lâche !"

Fit-elle, un grondement de tonnerre se fit entendre et Milindë sembla grandir revelant la flamme ardente qu'elle contenait, elle n'était plus semblable à la Milindë au visage doux, elle était à présent une puissante femme à la beauté traitresse, beauté terrifiante, souvenir d'un ancien temps. Alors je décidaits également de reveler cette lumière intérieur... Je rejetais ma cape des Sombres Etoiles et laissait libre cours au flamboiment... Je sortis alors la pierre au puissant éclat blafard et la plaçait sur mon bâton...

"La lumière ne vous effrai pas, car une bouche n'a d'yeux que ceux de son maître. Ne cropyez pas que je ne fait que me répandre en belle paroles, bien que cela serait necessaire pour laver l'impureté des votres.
Amis laissez la force des Valar vous penetrer, faisons disparaitre ce traître, cette infame corruption de ce qui fut autrefois beau, à mort."

La Chantelame tinta lorsque je la sortit de nouveau du fourreau et ce son associé à la lumière revigora nos amis, nous étions tous uni devant une ultime action, nous devions mettre à mort ct individu, j'avais abandonné l'idée de ne pas le mettre à mort, non pas parce qu'il le méritait, car je n'avais pas à dispenser la mort en jugement, mais parce qu'il le fallait pour l'empêcher de nuire.

Eaque et Eaquem revinrent dans la salle principale...

Il l'avait finalement eut. Cela avait demandé du travaille, mais ils avaient réussit.

A droite Eaquem l'avait rencontré alors qu'il fuyait. A gauche, Eaque avait dut tourner dans un embranchement vers le coté de son frère entendant son appel.

Il s'était jeté au sol, avait glissé sur deux mètre, et ses jambe avaient fait un croque en jambe a son ennemi.

Il était tombé, et Eaquem l'avait attrapé, l'égorgeant avec sa dague...

Il y avait du monde dans la salle... Plus que tout à l'heure. Ils se tenaient sur leur garde, prêt à aller aider l'intendant...

Ce que disait Alira était pourtant vrai... Amouth se plaçait dès lors dans une situation délicate. Pourtant, il adressa son plus beau sourire à Alira, son rictus le plus malsain, avant d'éclater d'un rire encore plus sinistre que l'était l'expression de sa bouche.

"Ooh mais non... Le Seigneur Noir, leur maître est vaincu, et alors ? J'ai réussi à le ramener une fois, et ils me craindront pour cela. Et nous chercherons d'autres moyens, avec eux... Et leur furie à l'encontre des peuples qui ont à nouveau banni Melkor le Grand ne sera que plus grande. Mon Seingeur a rempli son rôle... Les peuples sombres se soulèvent, et toutes les cartes sont entre nos mains..."

Amouth regarda avec amusement les derniers soldats, mercenaires ou peu importe qui éliminaient ses derniers serviteurs, qui en fin de compte s'étaient montré fort décevants.
Il se tourna vers le Magicien qui crânait de par son voyage dans les Terres Eternelles.

"Oh, je vois que notre jeune ami a appris bien des choses chez ses grands amis... Peut-être connaît-il même mon identité, le nom sous lequel j'apparaît dans les légendes ? Mais s'il a appris tant de choses là-bas, je pense qu'il est temps de l'y renvoyer...
Mais vous parlez, vous parlez, et c'est tout... Auriez-vous peur de moi. Peur de ce que je sais et que vous ignoriez ? Il est tant que cela change !"

Il claqua la langue avec un air satisfait, et il désigna sa première victime, qui avait osé lui parler d'un ton de défi.
Il pointa un doigt vers Alira, et soudain une flèche sans empennage, entièrement noire, filait vers elle...

Mais au même moment Chrystamas vibra et libèra une intense lumière rouge éparpillant la fleche en milles éclats brillants et une vois se fit entendre, une voix aigues, une voix semblait être mauvaise mais pourtant Alira elle l'entendit comme réconfortante...et attirante :

-Tu ne touche pas à mon hôte!!! Je vais te pèrcer de part en part petit être malfaisant, je suis une enfants de ton maître mais pourtant je vais aider à te débarasser de cette vilaine peau vivaaaaante!

On pouvait voir une forme rouge flotter devant Alira puis disparaitre dans l'épée qui rougoyait de pouvoir se vanger....

Silindë au sol gemit, l'aura de lumière se dissipait peu à peu!

Avant que l'étrange evenement n'advienne avec l'épée j'avais entendus les paroles d' Amouth...

"Toutes les cartes, entre vos mains ? Êtes vous sur que vous disposez du même jeu que nous, vraisemblablement non... Qu'ils se soulèvent ces peuples ennemis, il connaîtront la fureur de Valinor et le courroux des peuples libres, mais vous parlez comme si vous alliez survivre, qui vous dit que ce sera le cas ?"

Puis il se mit à parler de moi...tandis que Milindë reprit le silence regardant Silindë au sol fixement...

"Est-il utile que vous vous parliez à vous même ? Je ne suis certainement pas votre jeune ami... J'ai en effet appris des choses, dont votre identité veritable, et celle-ci me répugne encore plus que votre apparence affligeante..."

Il parla alors de me renvoyer d'où je revenais et j'éclatais alors d'un rire clair et froid tel la lègère brise d'un pâle matin d'hiver... Ce rire eut l'effet d'un courant d'air qui reveille...

"Renvoyez moi là-bas si ça vous chante, je n'en ai cure, vous semblez ne pas tenir compte d'une chose dont nous n'arretons pas de parler... Les hommes craignent la mort, mais une bonne partie d'entre eux ne craignenet pas de mourrir pour défendre leur idéaux... Nous ne sommes pas des lâches qui nous tapissons dans l'ombre durant 300 ans avant de trouver un vent plus favorable pour remontrer le bout de son nez... VBous semblez pensez que je ne fait que parler... Mais vous ? Ne faites vous pas de la sorte ? Ne voyez vous aps que viotre voie et son influence n'a pas de prise sur moi ? Vous parlez autant que moi sans agir... La crainte... vous pensez que je vous craint ? Et que dire de vous alors... Je ne craint pas la bouche désincarnée et décharnée, ancien vestige d'un corps... Un corps sans membre ne peut agir, votre précédent maître était le regard... et son armée, ses bras... Que reste-t-il ? Une bouche et des fragments de bras... Tant bien même la bouche dirigerait-elle les bras qu'elle ne verrait pas où la diriger...."

Puis le trait noir parti en direction d'Alira, avant même que nous aillions esquissé le moindre geste l'épée réagit...

"Amouth, voyez, une épée vous contrecarre... et cette épée a appartenu à votre maître... Vous êtes impuissant... Vous ne pourrez tous nous tuer, cette épée vous empechera de tuer Alira... Ne vous repandez pas en vaiens paroles et ne venez pas me dire que je ne fait que parler quand vous faites de même... Mais rappelez vous du Morannon... rappelez vous de la déchéance de votre état durant pret de 300 ans..."

Puis sans un mot, un feu blanc enflamma sa cape, un feu purificateur...tandis que son esprit était envahi de vision de la défaite de son premier maître, et de lui-même, avant sa servitude à ses côtés et après la défaite... et tandis qu'il voyait cela à travers les brumes de son esprit, une voie grave et forte entonnait une l'ode à Valimar dans sa tête et le feu blanchâtre gagnait du terrain, commencant à bruler la chair de ses jambes.

Amouth réussit assez bien à cacher sa surprise lorsque l'épée élimina le maléfice trompeur qu'il avait invoqué ainsi. Car c'est n'était rien que quelque sombre manipulation sans grande conviction, et il savait l'épée puissante. Mais alors le vieux marchand aurait pu le signaler. C'était une lacune intolérable.

Mais l'attaque du Magicien, cela il ne pouvait le prévoir et il fut grandement surpris. Il sentit son crâne être envahi par des visions du passé. La Porte Noire... L'Oeil, l'oeil qui vacille ! Sauron, Sauron !
Avait-il prononcé tout haut ces mots ? Il ne pouvait le dire, il avait comme perdu connaissance, il sentait un trou noir dans son esprit. Mais il n'eut pas longtemps l'occasion de se poser la question lorsqu'il revint à lui.
Le Feu ! Pas le feu qu'il pouvait faire disparaître, le Feu qui lui faisait mal...

Alors il écarquilla les yeux, et il se concentra pour échapper à la douleur, pour pouvoir se dégager de son emprise. Et la douleur revenait dans son esprit, et il devait se battre encore...
Mais il invoqua son manteau d'ombre dans lequel Morgoth l'avait trouvé enveloppé pour la première fois. Et les volutes de Ténèbre semblèrent combattre Le Feu, et le Feu consumait le manteau noir.
Alors finalement le feu devint noir, et ces flammes sombres ne dégageaient aucune chaleur, elles l'absorbaient.

Amouth, qui n'était plus enveloppé d'ombre mais de sombres flammes dit en riant, mais son rire était saccadé, il cherchait son souffle :

"Vous ne me vainquerez pas ainsi... Vous ne me vaincquerai pas, vous ne le pouvez..."

Et il faisait vraiment froid, maintenant, c'était l'oeuvre de ces artifices sombres. Alors, sachant que cela troublait ses adversaires, il attaqua.
Ou plutôt ils attaquèrent.

Amouth n'était plus seul car des volutes de fumée se formaient des hautes silhouettes armée d'épée de flammes, les murs s'aminaient et vomissaient des guerriers de roche. Ils se précipitaient sur les soldats qui succombaient de peur, et ils se rassemblaient à plusieurs autour ce ceux qui avaient défié Amouth. Ils semblaient grands et invincibles et inspiraient la peur. Alira, Balak, Mithrandir et tous les autres étaient cernés par ces êtres sortits du néants, et même l'acier des épées des soldats morts semblaient s'animer pour leur couper tout espoir.

Tous les éléments échapaient aux lois de la nature aussi facilement que les rêves dictés par l'imagination, et qui ne sont heureusement pas réels.

Amouth jubilait. Ses artifices les emporteraient dans le néant.

Meneldir n'en revenait pas.Tout allait il finir ainsi?
Tout les efforts massacrés pour un échec.
Comment le Gondor aurait la nouvelle de toutes ses aventures?

Meneldir vint tout à coup se rendre compte que des visages restaient neutres, sans peur aucune.

Milinde, Mithrandir, Alira et Mélanie,...

Et les autres, ceux qui n'avaient pas encore fini leurs vies, ceux pour qui il fallait se battre.

C'est ainsi que nombreux héros des Edain du 1er âge avaient défié la puissance du grand Morgoth que Silinde avait renvoyé dans les abimes.


Meneldir sourit alors, d'un sourire pur.
Que pouvait il lui arriver? Il revoyait sa vie, son savoir, ses expériences, ses combats.

Il se revoyait face à Balthazar.
Face à sa peur même.


Meneldir saisit fermement sa hache et ramassa sur le sol un grand bouclier noir frappé de nulle marque ou rune.

Nous combattrons tous uni contre vous Amouth, chef de l'ombre, spectre de la mort.
Vous ne pouvez éternellement nous faire reculer avec vos artifices.

Il y a longtemps que vous vous servez de votre talent pour corrompre et tromper les cœurs les plus purs.

Il y a ici plus de valeur que vous semblez l'estimer.

Le pouvoir de l'amour, de l'amitié, du courage fera échouer vos plans partout où vous tenterez de vous imposer.

Rappelez vous que le néant et le tout se confonde, que à chaque force est opposé une force de même puissance.

Tout vient à savoir si cette force est ici aujourd'hui.

Meneldir s'élança vers deux guerriers de roche et en quelques coups habiles et un feinte brusquerie, il vint à les réduire en poussiére.

Ombre et poussière, vous connaissez tout ceci.

Aurë, entuluva.

Quand erco vit ces chose sortir des murs de la grotte, il se sentit la peur monté en lui.

"NOn, j'ai survécu jusque ici, j'ai tué des chose ignoble, j'ai été blessé mais j'ai toujours survécu, et je ne compte pas me laissé tuer par des chose sortant des murs. Sa serait trop bête"

Erco réfléchissait plus vite qu'il pouvait, ces choses ne devait pas être tuer par n'importe quoi, donc il faudrait se protégé et non pas attaquer.

-Mage, peut-on tuer ces choses avec des armes ordinaire cria Erco à l'adresse Mithrandir.

Je regardais avec attention ce qu'il se passait... Les formes sortaient des murs et se mouvaient vers nous, soldats de roche et d'ombres... Quelques choses clochait, pourquoi n'attaquaient-ils pas ? Leu but n'était-il que d'effrayer ? Je réfléchissait à toute allure alors qu'Alouth jubilait...

"Ne vous réjouissez pas si vite Amouth"

Dis-je enfin...

"Pensez vous rééllement que les hommes sont si stupides ? Vous vous trompez Amouth... Erco, quand à votre demande je ne peux vous donner de réponse car c'est à vous de la trouver si ce que je pense s'avère être vrai, je vous donnerais cependant des indices, sachez néanmoins que les armes ne vous seront d'aucune utilité ici, je ne peux vous reveler la solution car j'ai dans l'idée que si je vous la donnais cela ne marcherait pas... pensez à Annatar quand il se présenta au Elfes sous sa forme agicheuse et rappelez vous que les apparences sont parfois trompeuses quand on s'y fit trop... Je ne peux guère vous en dire plus..."

Milindë me regarda puis regarda les ombres et éclata d'un rire cristallin qui sonna comme la pluie sur les rives de la Grande Mer... Je la regardais tandis que je réfléchissait à ce que j'avais trouvé...

"Morchaint avo-na..."

Fis-je en levant la main devant les formes sombres, il n'y eu que moi et Milindë à voir du changement, car comme je le pensais une personne devait réfléchir par elle-même pour se débarasser de ces choses, celles-ci se détournèrent de nous et Milindë, nous ouvrant la voie...

"Amouth, vous sous-estimez la force de l'esprit des hommes..."

Et tandis que je prononçais ces mots Milindë et moi-même entonnâmes un chant à Varda dans la tête d'Amouth qui eu de nouveau des visions, celle de la chute de Morgoth ou les Valar révélés en majesté dans la puissante lumière blanche terrassaient et la souffrance devait se faire sentir... Puis cette vision remplaca une plsu récente de la chute du Mal, celle de Morgoth dans l'enveloppe corporelle de Silindë, puis celle d'autres tels que Balthazar... Et une autre prit place dans son esprit celle de sa mort à lui, dans cette caverne terassé par une force mystérieuse... dans cette vision il vit une lumière blanche d'une pureté sans limite ideentique à celle de la vision de la chute de Morgoth et parmi la lumière il y avait de grandes et majestueuses formes pointant un doigt accusateur sur lui, alors Tulkas dégainait une épée et tranchait les pieds et les mains d'Amouth comme ce fut le cas pour Morgoth.

Tandis qu'il voyait tout cela dans son esprit lui-même envhai d'une mélopé elfique intense qui ne perdait pas en force et en intensité mais en gagnait, son feu sombre redevint lumineux et blanc et par la force conjugué de Milindë, Elfe parmi les premiers nés, et de moi-même le feu redoubla d'intensité et ne se contenta pas de lecher la jambe d'Amouth, mais bien au contraire d'engloutir celle-ci... Le feu purificateur remplissait son oeuvre...

Les autres, qui n'avaient pas encore compris la nature véritable de leur assaillant se resserer tandis que les formes elles se rapprochaient... J'eu alors l'idée de les aider encore plus et je jettais un cailloux qui passa autravers du soldat de rocher le plus proche...

L'aura de lumière autour de Silindë se flétrissait de plus en plus, mais rien n'atteignait le corps...
Puis Alira put entendre une voix, la même que la première fois :

**Sauve le vite....il ne tiendra plus longtemps....je suis seul pour le faire tenir, l'épée n'est plus là! Tu l'aime....prouve le!! prouve lui!!!!**

Le corps eu un spasme et de la lumière sortit de sa bouche et ses yeux, celle ci prit la forme de Silindë quelques seconde tendant un bras vers Alira....puis disparue....le halo lumineux etait trés faible...

Imagination.

Eaque courut vers l'avant, et passa au travers d'un des êtres. Il roula sur le sol et se rattrapa de sa main blessée.

C'était très froid comme sensation.

Il était maintenant pres de la sorti. L'ennemi était de l'autre coté de la pièce. C'était le moment de partir.

Et il le fit...

Il marcha durant une ou deux minutes. Il irait faire un rapport de tout ce qu'il avait vu à Minas tirith. C'était son devoir en tant que scribe.

Soudain un main sur son épaule. Il attrapa le poignet, et d'un mouvement commença un cou pour casser le bras de son agresseur.

Mais Eaquem ne tint pas à se laisser faire. Il contra le coup de son frère.

"On va pas partir comme cela. Ce serait lâche. Tu accepterai de fuir?

-On nous a éduquer comme des chevaliers de Dol Amroth. Mais nous ne le sommes pas. Je suis scribe, et mon devoir est de faire des compte rendu. Je vais en faire un à Minas Tirith, répondit le scribe.

-Tu n'a jamais rêver qu'on pouvait être mieux qu'un fils de marchand? Jamais imaginer que l'on s'élèverai dans la société? C'est le moment. Si on leur est tout a fait fidèle, il nous récompenseront, lui assura son frère.

-Mais on pourrait tout aussi bien être mort,

-Tu a confiance en moi?

-Je...

-Tu a confiance en moi? répéta le mercenaire.

-Oui.

-Alors on y retourne."

Ils coururent. Au passage, un araignée fut tué des mains du mercenaire. Le Scribe en assomma une avec son bâton. Elles fuyaient le froid de la salle...

Ils s'arrêtèrent à l'entré de la salle et observèrent...

Edit Rada' : Mithrandir a donné un grand indice pour ce qui est de solver ce problème.