Préparatif pour le Nord

"Déchargez doucement... Un peu de délicatesse..."

Le Commodore de Minas Tirith était en train de surveiller le déchargement. Les navires qui avaient servit a l'assaut profiterai de tous ce matériel supplémentaire. D'autre personne était la pour l'aider. Le chevalier Gebir, l'homme du Nord et d'autre...

Un gros navire déchargea des munitions pour les trébuchets et balistes de la flotte...

Tout devait être prêt pour le lendemain...

Pour le Nord...

Hasharin n'avait pas suivi les autres dans le palais. N'aimant pas ce montrer il décida de retourner au port et de laisser la politiques aux Hommes de papiers, lui était un homme de sang.... Il vit quel es marins commençaient à décharger les munitions supplémentaires pour les bateaux qui partiraient ensembles dans le nord. Il alla voir le Commodore de Minas Tirith et arriva derriere lui et le tira un peu à l'écart des marins derrieres deux caisses de bois.

-Désolé, Commodore. Mais je tiens à mon intimité.... Je voulais savoir quand nous repartions pour le Nord?

- Quelles manières de parler à un representant de la force maritime de la Cité Blanche... Mais bon, nosu partons demain et je ne tient pas à me trouver sur le même bateau que vous et votre bestiole...

- Ce n'est pas une bestiole, c'est le meilleur compagnon de route que je puisse rever... Il sait tres bien protéger mes marchandises....

- Désolé je ne voulais pas vous offenser.

Puis l'homme repartit, il marmona dans sa barbe:
- Stupide Marchand, il n'a rien à faire ici...

Il gueula encore des ordres aux marins qui déchargeaint le navire pour indiquer l'emplacement ou les bateaux sur lesquelles ces munitions devaient finir.


Ainsi, ils partaient demain.... L'assassin disparut, et il se balada dans les rue deserte de la cité du Cygne, autrefois si joyeuse. Ce n'était que la deuxieme fois qu'il venait, et à chaque fois c'etait pour la guerre... Cette citée où sa mère était née...

Gebir avait abandonné l'idée de se rendre au sénat.

Déjà , les cris fusaient et les grands seigneurs tentaient de faire entendre leurs voix.

Pourtant, dans la cité, on nettoyait déjà les traces de sang et on préparait des navires pour une expédition au nord.

Les ordres avaient été donnés mais pas par un seigneur, un chef, un commodore mais par un simple soldat.

Le chevalier Gebir criait de tout côté. Il voulait connaitre l'état des bâtiments et déjà on notait sur un grand carnet l'état, le nombre de places mais aussi le nombre de marins. Les pièces d'armement avaient été rajoutés à certains navires et partout des charpentiers renforçait les coques et installaient les balistes.

Une heure plus tard, on pouvait répertorier neuf navires de Dol Amroth qui pourrait prendre la mer le lendemain pour un long voyage et des ennuis.
Bien sûr, il n'y avait pas neuf vaisseaux de guerre mais seulement cinq vaisseaux de guerre et quatre qu'on utiliserait pour le ravitaillement et le transport des munitions et chevaux.
Car Gebir ne désirait pas seulement voguer sur les mers à la recherche d'un éventuel ennemi.

Il partirait vers l'arnor à la tête d'une colonne de cent chevaliers de Dol Amroth.
Le recrutement avait déjà lieu et beaucoup se pressait.

Soudain, les Earkano se rassemblèrent autour de Gebir.
L'un deux s'avança et prit la parole :

"Pouvons nous vous demander chevalier en quel nom vous réquisitionnez les navires de guerre comme si ils vous appartenaient."


Gebir se retourna vers les "maitres des mers", le regard plein de braises.

"Au nom de qui, je prend le commandement de ce port. Au nom du Roi du Gondor. Il a demandé la conscription de tout les navires pour une expédition au nord. De plus, je crois que si vous devez attendre vos ordres du sénat, il y a longtemps que cette cité serait détruite.
Maintenant, seuls cinq navires de la flotte viendra avec les navires du Gondor. Les quatre autres sont des vaisseaux de transport et ne vous concernent en rien."

"Et le Dringalph n'est il pas un navire de Dol Amroth?"

"Certainement pas, j'en suis le propriétaire et je suis le seul à décider où il va."

Les Earkano se résignèrent.
Gebir cria encore quelques ordres. Les rations de survie avaient été comptabilisés et on avait fait monter dans le Dringalph de précieux tonneaux de bière pour le moral des troupes.


"Trouvez le plus puissant cheval des écuries du Prince.
Puis faites le amener sur le Simol."

Gebir remonta vers le haut de la cité et répondit à Tior qui lui avait posé une question il y a de cela deux heures.

"Bien sûr que je part pour le nord, je suis un chevalier, pas un lâche j'espère trouver dans le nord quelqu'un qui m'éprouvera vraiment.
Excusez mon indiscrétion mais il m'a semblez que vous pariez de la guilde tout à l'heure.
Serait ce en rapport avec le mage de Minas Tirith?
Car voyez vous mon ami Meneldir et moi même le connaissons très bien et il nous arrive d'appeler notre compagnie d'amis "la guilde"."

"Pourquoi se rendre au Sénat..."

C'était la question que Tior se posait depuis qu'il avait entendu parler de cela. Les discours ou les prises de décisions n'étaient pas de son ressort... Tout ce qui lui importait était de reprendre la mer au plus vite pour retrouver son Royaume.

Aussi avait-il quitté le palais pour redescendre vers les quais. En route, il avait croisé Gebir, qui lui posa une question sur la Guilde. Et Tior de répondre:

"Oui, en effet, cela a un rapport avec le Mage de Minas Tirith, Mithrandir. Car il m'a accepté dans cette confrérie, moi et mon Capitaine, Halbarad Dunàdan. Et je suis heureux de trouver en ce lieu des serviteurs de cette Compagnie."

Au port se trouvait Hasharin qui discutait avec le commodore, et les Earkano, les Maîtres des Mers, qui parlementaient entre eux, mécontents des paroles de Gebir. Ainsi il était le propriétaire de ce grand navire qu'on nommait le Dringalph... Tior commença à éprouver un grand respect pour cet Homme.

Les marins et les charpentiers continuaient leurs travaux, et Tior se mit en devoir d'aider certains d'entre eux pour le déchargement. Le Dunàdan vit que plusieurs navires de guerre et de marchandises avaient rejoint la flotte.

On en aurait bien besoin...

Quand la plupart de l'équipement fut déchargé, Tior, qui préférait rester ici plutôt que d'aller suivre les discussions à l'intérieur de la cité, s'assit sur le muret qui séparait les promontoires de l'eau, et tirant son épée du fourreau, la contempla, pensant aux travaux qu'elle aurait à faire dans le Nord.

Puis, tournant son regard vers la ville, il vit arriver des murs de Dol amroth une petite silouhette, suivie d'une traînée de fumée. Et pour cause, le guerrier chevauchait une puissante monture.

Le Dunàdan vit que le cavalier avait stoppé sa progression: il s'entretenait avec Gebir, puis, quelques instants plus tard, reprenant sa chevauchée en direction du port, il arriva à l'endroit où se tenait Tior, se présentant. L'homme d'Arnor fit de même:

"Bien le bonjour, Chevalier! dit-il. Je me nomme pour ma part Tior Celebdîn, et je suis le messager du Capitaine des Rôdeurs d'Arnor, Halbarad Dunàdan. Il m'a envoyé il y a de cela quelque semaines, pour une affaire urgente avec le Mage de Minas Tirith... Et, quand on prend la route et qu'on ne regarde pas où on met les pieds, on ne sait pas où cela peut nous mener, dit-on: me voilà au Sud, bien loin de mon pays, vogant avec la flotte de Gondor."

Il se tut un instant pour observer la trentaine de navires qui flottaient là.

"Mais la guerre provoque de drôles de choses. Et je ne suis pas le seul à être dépaysé..."

Il pensait bien sûr à Hasharin, qui appréciait encore moins que lui les voyages par la mer.

Tior fit de même: il but un peu d'eau contenue dans une vieille gourde de voyage, et, après s'être violemment étouffé, reprit la conversation avec Erco Skaline:

"Il est vrai que je préfère mes propres pieds ou les sabots d'un cheval à la coque d'un bateau. Mais les routes sont peu sûres, et le voyage de retour vers l'Arnor m'aurait pris un temps considérable... pour peu que je soit revenu vivant."

Le Dunàdan rangea sa gourde en peau de bête dans les plis de son manteau.

"Or, la célérité est requise, et la voie maritime est plus sûre, bien que plus effrayante à mon goût."

Cette discussion lui rappela alors qu'il ne s'était pas soucié de son cheval depuis le débarquement. en effet, la monture de Tior avait été conduite sur le pont du navire amiral lors du départ de Pelargir. Tior voulut alors aller la chercher dans le navire d'Eaque, mais, jetant un regard circulaire alentours, il s'aperçut que le cheval avait été amené sur la terre ferme par les marins, et qu'il était attaché aux côtés de la monture d'Hasharin.

Hasharin passa la nuit dans une maison abandonné sur un lit confortable et parvint même à trouver un peu de nourriture. Il prit toute la nourriture qu'il pouvait pour lui, pour ne pas à avoir à manger ce que le cuistot du bateau proposait.

Ainsi au petit matin, alors que la rosée tombait encore, il se dirigea vers les bateaux, et monta sur celui d'Eaque, il y mena sa monture et deposa son matériel dans sa cabine. Son loup l'accompagnait partout...

Déja les marins s'affairaient, les 29 bateaux étaient prêts au départ pour le Nord et la Guerre.... Tout le monde était monté sur les bateaux, toutes les munitions et provisions amenées. On attendait tous le Seigneur Eaque et Tior le messager sur le bateau principale...

Hasharin escalada le mat principal et se positionna la haut, il scrutait la rue qui descendait du palais, dans l'espoir de voir vite arriver Eaque. Il voulait arriver rapidement en Arnor pour retrouver Forlong.



//J'ai un peu accéléré pour que l'on puisse arriver au Nord rapidement... Eaque tu postes ici et en même temps au voyage sil te plait.//

Erco Skaline n avait pas beaucoups dormit cette nuit, on doigt coupé, enfin ce qu il en restait l avait empéché de dormir, mais enfin c etait la vie, il monta sur le bateau d eaque, amena son cheval dans la cal puis il remonta sur le pont, et se s assit sur un tonneau trainant sur le pont, un nouveau voyage s annonçait, de nouveaux morts, de la tristesse, mais tout cela Erco y était habitué pour avoir particpier à de nombreuse bataille, lui même se demandait si un jour il mourera, car au font de lui il avait l imprétion de chercher la mort.

Il demanda à un marin ou il pouvait dormir, ce dernier lui montra une cabin. Erco y alla et déposa ses maigre affaire, son renard l avais suivit mais pas son aigle qui était resté sur le pont, puis il remonta sur le pont et s assit sur à la proue regardant le ciel.

Hrp dsl de ne pas avoir mit les apostrophe mais mon ordi refuse de les mettre. hrp

Quand Tior vit Hasharin s'avancer et mener sa monture par la bride jusqu'au navire d'Eaque, ainsi qu' Erco Skaline qui faisait de même, il alla lui-aussi chercher son cheval, et, le détachant de la barrière, l'accompagna jusqu'au bateau.

Puis, le laissant sur le pont, il rejoingnit sa cabine, où il reposa ses effets enlevés quelques heures plus tôt.

Enfin, Tior Celebdîn sortit sur le pont et, faisant les cent pas sous le mat où se tenait Hasharin, il regarda dans la même direction que son confrère de la Guilde, se demandant quand le seigneur Eaque, neveu de Berund, et Galathor, le gouverneur de Minas Tirith, auraient fini leur interminable discussion.

Le messager d'Arnor était prêt et déterminé à repartir. Tout comme Hasharin, il espérait que le frère d'Eaquem ne tarde pas trop à venir, pour commencer à voguer vers le Nord, et prouver sa valeur par la victoire...

...ou la mort.

HRP// Gebir et Galathor s'occupe du Sénat rapidement... Tior peut y aller s'il le désire... Des qu'ils auront fini, lancez le départ, je risque de pas pouvoir poster de la semaine, on verra...//HRP

Le matin était avancé et le soleil brillait dans le ciel bleu de Dol Amroth, quand Tior et Hasharin virent venir de la Cité un homme à la démarche rapide et au pas sûr.

Quand celui-ci se fut approché d'une manière conséquente de la côte, où le fort vent du Sud faisait s'abbattre sur les digues de grandes vagues, déferlant dans un éclaboussement étourdissant, le messager d'Halbarad le reconnut, lui, celui qui avait dirigé toute leur aventure depuis le départ de la Tour de Mithrandir...

...Eaque venait donc en leur direction, et, franchissant la passerelle et montant sur le Simol, vint aux côtés de Tior, lui proposant de se rendre au Sénat, où attendait le noble Galathor, et où était convié également Gebir. Car, avait-il-dit, le sujet de l'Arnor serait sans doute abordé, et de plus amples précisions d'un des habitants de ce Royaume pourrait éclairer la situation et favoriser leur cause.

Aussi Tior, bien que sans grand engoument, courut vers le Sénat de Dol Amroth, sentant qu'il était de son devoir, en temps que seul Dunàdan, de représenter l'Arnor dans cette assemblée.

Il quitta le pont du navire d'Eaque, et laissa le neveu de Berund. Ce dernier n'avait pas remarqué la présence d'Hasharin au dessus de sa tête.