Quête : Le Donjon de Carn Dum

Meme le capitaine Forlong fut choque par la mort soudaine et violente de Eaquem. Il etait guerrier, et n'avait pas peur de la mort, cependant cette mort venant sans aucun avertissement et aussi soudainment n'etait pas quelque chose qu'il voyait tous les jours.
Le visage legerement pale il s'approcha du corps du mercenaire mort, et dit tout bas:

-Je ne te connaissais pas...mais la mort d'un compagnon d'armes est toujours triste. Que les Valars veillent sur ton ame.

Il ferma les yeux du mort, et coupa une petite meche de ses longs cheveux blancs en signe de deuil. Cependant il se retourna bientot et suivit ses compagnons. Une mission les attendait.

Lorsque les voyageurs entrerent dans le couloir de gauche, et se retrouverent devant un tas de pierres, Forlong ecouta attentivement les paroles d'un grand homme aux cheveux sombres. Il avait l'allure d'un dunadan; muscle mais assez maigre. Il entendit que les soldats l'appellaient le capitaine Halbarad. Il s'approcha de lui et dit:

-Je pense que bouger ce tas de pierres n'est pas la meilleure idee...ca prendrait enormement de temps, et on ne connait pas la longueur de ce barrage et ce qui se cache derriere. Je pense qu'on devrait plutot risquer le tunnel de droite.
Au fait, je me presente, je me nomme Forlong Neldoreth, capitaine de l'Arnor.

Il tendit sa main dans la direction d'Halbarad.

Nous semblions assez d'accord... De plus la porte semblait fort solide... Mais à chaque porte correspondait une clé. Nous nous dirigeame vers le premier couloir. Arrivé à la bifurcation nous continuame tout droit vers le couloir droit.
Il semblait qu'une sorte de brume l'envahissait... L'air était lourd et humide, il y avait des volutes blanches. A mon horreur, un visage apparut... Cette chose s'approcha de moi et s'évanouit à mon contact...

- C'est innofensif... Mais cela empeche la visibilité... Un candidat éclaireur ? Je ne crois pas qu'il y aie de flêche ou autre... C'est trop doux pour Angmar..

Halbarad dunàdan serra fermement la main que lui tendait Forlong Neldoreth, et sourit à l'officier d'Arnor.

"Ravi de vous connaître, Capitaine de l'Arnor! Je suis Halbarad Dunàdan, capitaine des Rangers."

Malheureusement, les présentations n'étaient peut-être pas à leur place en ce lieu. la mission attendait, et les deux Capitaines devraient faire plus ample connaissance plus tard.

Forlong avait raison, il fallait retourner sur ses pas et emprunter le tunnel de droite. La brume était omniprésente, ainsi qu'une impression de malice. Une vision terrifiante s'offrit au groupe: un visage blâfard et spectral dans le brouillard.

Il disparut cependant. Et quand le Roi demanda s'il y avait un quelconque volontaire, Halbarad se proposa. Il partit doucement dans la brume, tatonnant contre les parois froides des murs. Le pied du Capitaine trébucha contre un pavé dépassant le niveau du sol... Vlan! Il s'étala de tout son long.

"Le sol est inégal, prenez garde! Je vais aller 'voir' si ce couloir continue et où il mène."

Halbarad se releva promptement et s'apprêta à reprendre son avancée.

Aënor aperçut à peine l'ombre qui effraya Aldarion, il entendit les paroles du Seigneur et s'élança sans demander l'avis du groupe, il prit une torche et commença à marcher vers le couloir sombre. Plus il s'avançait plus il sentait que le maléfice perpétuait ici.

-Je sens, je sens une odeur nauséabonde, plus je m'y approche plus je...

Aënor arrêta de parler pour plus inspecter les lieux. Il ressentit les rats courir dans les murs, puis il entendit une parole, il était tellement loin que il pouvait très bien confondre les paroles de son groupe que un ennemi. Quand...

Aenor buta contre un coffre à l'entrée du couloir, il n'avait pas eu le temps d'avancer beaucoup. Halbarad qui se releva tout près et tenta de l'ouvrir. Il contenait une petite clé. Le couloir continuait... peut être y avait t'il d'autres coffres... contenant des armes ?
Je criai pour savoir la situation... Mais mon cri était étouffé par les nuées... C'était aux deux hommes de choisir de poursuivre ou de revenir sagement près de leurs compagnons.

Lorsqu'Halbarad se fut relevé, Aënor se trouvait à ses côtés, et le chasseur d'esprit et le Capitaine butèrent bientôt contre un petit coffre. Halbarad prit la clef de petite taille contenue à l'intérieur, et la glissa dans ses habits.

Le Rôdeur crut entendre un léger cri étouffé par la brume.

*Rien de bien grave, pensa-t-il, ce doivent être ces apparitions sinistres qui bruissent de la sorte...*

Il ignorait que le cri provenait de la bouche de son Roi. Sans doute alors serait-il revenu sur ses pas, mais là, il s'adressa à Aënor:

"Allons voir un peu plus avant! le reste doit suivre, je pense. Partons en éclaireur."

Sans savoir si le chasseur d'esprit avait entendu sa phrase et s'il le suivait, Halbarad continua derechef.
Un second coffre fut légèrement bousculé lorsque le Capitaine le heurta du pied. Il essaya de l'ouvrir... rien n'y fit...

*Peut-être que la clé nous serait de quelque utilité...*

Aënor se releva lourdement puis vit le Capitaine Halbarad devant lui. Il le regarda puis analysa un peu l'endroit, sombre avec des nuées noirs se balançant un peu partout. Il entendit les paroles de Halbarad mais n'eut pas le temps de faire un hochement de tête qu'il était déjà partit, Aënor le suivit de prêt en inspectant bien tout les murs.

*Qu'est ce que pouvait bien être les voies que j'ai entendu! *

Aënor après cette pensée soudaine, retint Halbarad par l'épaule, pour le stopper, il devait lui confier ses questions.

-Capitaine tout à l'heure quand je me suis relevé, j'ai entendu des voix, qu'est-ce que c'était ?

Aënor Nîmar arriva aux côtés d'Halbarad, qui était agenouillé près de ce nouveau coffre.

Et quand le chasseur d'esprit lui demanda ce que pouvaient bien être les voix assourdies qu'il avait entendu, le Capitaine se contenta de répondre:

"Rien de bien alarmant, je pense. J'ai cru voir aussi des visages dans la brume, mais ce ne sont que des spectres innofenssifs. Et la peur fait parfois entendre de curieuses choses..."

Il ignorait que ces cris étaient venus de la bouche d'Aldarion, et peut-être alors seraient-ils revenus en arrière.

"Aënor, aidez-moi à chercher la serrure, je vais essayer d'introduire lea clef que nous venons de trouver."

Alors, tâtonnant, Aënor indiqua à Halbarad l'endroit précis où elle se trouvait. Le Capitaine sortit la peite clef de métal froid de sous ses habits, et s'apprêta à essayer de l'introduire dans la serrure...

( Halbarad tu prend beaucoup trop d'initiatives... Le coffre n'était pas prévu.. )

Quand Halbarad introduit la clef qui ne semblait pas convenir un grand bruit retentit. Les deux hommes reculèrent. ( c'était pas prévu donc je la joue aux dés. Sur 4+ vous reculez vers nous, en dessous vers le bout du couloir. Halbarad 2, Aenor 5) Halbarad recula d'un bond, il eut juste le temps de voir Aenor reculer dans l'autre sens. Le chasseur d'esprit sentit soudain le sol se dérobé sous ses pieds... Une grille d'aération rouillée qui cèda... Dans un grand cri il chuta quelques mètre plus bas...
Un cachot, une grille non-rouillée avec une serrure. Des murs de pierre solides. Il devrait attendre qu'on vienne le libérer... ( A. est dans un cachot innacesible à l'étage en dessous)

Halbarad se trouvait face à un grand trou. Aenor était trop bas que pour être sorti du trou, de plus il y avait un conduit oblique empêchant que l'on jette une corde.. Il fallait retourner près de ses compagnons et espéré trouvé un moyen de liberer l'infortuné Aenor.

[Désolé pour le coffre, je ferai attention daurénavant]

Halbarad recula, mais à son grand désespoir, un grand cliquetis se fit entendre, quand Aênor chuta au fond d'un cachot. Halbarad appela:

"Aënor, où êtes-vous? Etes-vous blessé?"

Aucun son ne se fit entendre. Alarmé, le Capitaine se retourna et tenta de rejoindre le groupe. Après maints heurts et tâtonnement, le capitaine vit la brume se dissiper légèrement et apparaître le visage rassurant de Saemon.

"Sire, dit Halbarad à Aldarion, le chasseur d'esprit est tombé dans quelque trou! Il faut l'en sortir! Venez tous par ici."

Halbarad s'apprêta à entrer de nouveau dans la mare de brume.

Aënor sentit le sol se dérober sous ses pieds quand tout d'un coup, il trébucha et se fit engloutir par un trou, il fut assommé...

Quelques minutes plus tard Aënor se réveilla avec un puissant mal de crane. Il inspecta les lieux, il se trouvait dans une pièce isolée, un genre de prison. Mais comment avait t'il pu se retrouver là alors que un peu plus tôt il se trouvait derrière Halbarad... Il ne se souvenait de rien. Alors au lieu de s'inquiéter, il s'assit et inspecta la pièce. D'après ce qu'il voyait, et il pouvait mal l'interpréter, c'était une pièce rectangulaire, assez petite. Le plafond était bas par rapport à l'étage supérieur. Il y avait une porte devant lui, une porte métallique grillé comme un cachot, fermé à clé. Il analysa la grille, c'est comme si elle était neuve. Il n'entendait aucun bruit à travers. Puis quand il examina le sol, il sentit quelque choses d'étrange...

Des os... des os étaient étalés dans toute la pièce.. Enfin, il pourrait au moins joué aux ocelets... (promis on ne sera pas long )

Saemon reprima une moue de dégout. Il se tourna vers moi.

- Sombre sont les cachots de Carn Dum, et étroits les conduits d'aération... C'est un hasard si il a su entrer... nous ne l'en sortirons pas, pas par là...

Il fallait trouver une autre solution. Je songeai qu'il était sans doute plus en sécurité que nous même. Je vis alors la petite clé dans la main d'Halbarad.Je la lui prit et la tendit à Saemon...

- Cette clé vous dit elle quelque chose ?
- Sans doute la clé de la porte de tantot...Elle a la même physionomie que la serrure...

Il se dirigea vers la porte, après avoir chipoté à la serrure, il introduisit la clef, la porte coulissa... Un escalier descendait vers le sous-sol.



Le premier etage du donjon semblait passé. Nous arrivames dans une pièce circulaire. Un couloir partait vers la droite ( ~>). Au bout il semblait y avoir une grille et un couloir perpendiculaire. Le long du couloir se trouvaient quatre couloirs perpendiculaires.
En face du troisième couloir, qui dégageait une odeur de fauve, se trouvait une lourde porte, fermée aussi.

Tous descendirent dans le sous-sol, et tous se trouvèrent dans une salle aux murs circulaires, à l'exeption, bien sûr, d'Aënor, seul parmi les ossement immondes dans un espace réduit. Nul n'aurait aimé être à sa place, il fallait l'en sortir par tous les moyens.

Halbarad jeta un coup d'oeil dans la partie de gauche de la salle. Il ne vit rien d'autre que de sombres murs aux pierres inégales, mais à cette lumière rien n'était moins sûr, et peut-être pouvait-il se tromper. Toujours est-il quen tournant son regard vers la droite, le Capitaine vit un corridor percer la large paroi des murs. Le groupe alla dans cette direction.

La brume n'était plus vraiment présente, si bien que le rythme des pas s'accéléra. Mais les compagnons s'arrêtèrent net: une grille apparut soudain, leur barrant le chemin.

Mais il y avaient d'autres moyens de progresser: quatre tunnels perpendiculaires à celui-ci, et une porte du côté opposé. Halbarad Dunàdan saisit la poignée...

"Fermée, dit-il. Il faut soit pénétrer dans un des quatre couloirs, soit tenter de crocheter la serrure. Saemon, voulez-vous essayer?"

Aënor reconnut aussitôt les ossements, il se demanda comment on t'il bien put se retrouver dans cette état, et si une bête affreuse se cachait quelques part. Et si s'était des rats. Puis Aënor repensa au groupe, Aldarion, Halbarad, Saemon et Forlong il se dit qu'il ne devait pas abandonner et résister le plus possible, pour eux. Ils finiraient bien par le retrouver un jour, en tout cas il l'espérait.

*Qu'il viennent vite, je crois que je ne vais pas tenir longtemps avant de devenir complètement fou*

Aënor se rappelait alors pour oublier l'atmosphère glauque de la pièce les étendus herbeuses d'Arnor, comme l'était autrefois, belle, douce, grande. Ceci le fit oublier le donjon pendant quelques minutes. Puis il se releva sortit la lame de Saemon et commença à marteler de coups la serrure.

*Ouvre toi ! Ouvre toi !*

Mais d'un coups il se rappela qui il était, Aënor, Dunedain, Chasseur d'esprits au service de Tal-Aldarion il ne devait pas faillir, alors il s'assit en tailleur puis se concentra intensément sur le verrou de la porte, il se concentra de tout son être, il ressentait tout ce qui avait autour de lui, au moins il pourra prévoir une embuscade... Que pouvait t'il se passer de pire?

*Le vide en soi, le vide en soi. Ressentir les voluptés de la vie, ressentir les voluptés de la vie.*

[Jvous attend avec impatience, ne traîner pas trop ]

Saemon répondit par la négative.. Il fallait passer par un couloir..
Soudain sortant du fond du couloir principal des coups retentirents... comme ceux d'une lame tapée contre des barreaux...

Tous firent silence, y compris Halbarad Dunàdan, lorsque des coups commencèrent à retentir et à resonner dans les souterrains, parvenant aux oreilles des cinq Hommes présents. Cela ressemblait à un bruit métallique, mais le Capitaine en ignorait la nature... Il finit par briser le silence qui s'était installé dans le groupe:

"Serait-ce un danger? Ou plutôt Aënor qui tente se sortir de son trou? comment le savoir... il n'y a pas d'alternative: il faut aller voir nous-mêmes... à nos risques et périls."

D'après la direction d'où venaient les coups, il s'agissait d'un des couloirs qui faisaient face aux cinq guerriers; le principal, sans doute...

"Ces bruits viennent de ce tunnel, reprit Halbarad. Doit-on tenter d'y aller?"

Le Capitaine fit quelques pas et entra de quelques petits mètres dans le corridor, tentant de percer l'obscurité de son regard perçant...

Forlong attendait avec Saemon et le roi Aldarion pendant que Halbarad et Aenor etaient partis en eclaireurs. Le cri du roi fut avale par le brouillard.
Les minutes passaient lentement...Forlong essayait de ne pas penser a la fleche qui perca le torse d'Eaquem. Quels pieges attendaient Aenor et Halbarad dans les profondeurs de cet endroit sinistre?

Soudain, il entendit le cri d'Halbarad. Il lanca un juron. Aenor etait dans un piege.

Ils ne pouvaient rien faire pour lui pour le moment. Forlong dcria quelques mots d'encouragement vers Aenor, puis se dirigea vers ses compagnons.
Ils avaient raison, il fallait trouver un autre moyen.

Ils entendirent un bruit caracteristique provenant du quatrieme tunnel. L'acier frappant contre de l'acier. Des orcs? Des gobelins? Ou Aenor? Un seul moyen de savoir...

Forlong s'avanca dans le quatrieme couloir, marchant lentement dans le noir presque total. Dommage qu'il n'avait pas de torche...une idee lui vint soudain a l'esprit; il sortit de son fourreau son epee antique forgee au Arnor, Lunerill, la Flamme Bleue.
La lame brillait d'une lueur forte, eclairant le chemin devant le capitaine; elle brillait toujours lorsque des orcs ou la magie noire etaient dans les alentours. Et quel endroit plus rempli de magie noire que le donjon de Carn Dum?

Guide a present de la lumiere de sa lame, rassure par le toucher froid du pommeau de son epee dans la main, Forlong continua son chemin d'un pas rapide.

Son regard se glissait sur les murs et le sol du donjon, en cherchant des signes, portes, ou pieges eventuels. La perspective de mourrir transperce par un piege de mille ans ne lui etait pas agreable.

Cette expedition etrange lui rappellait sa jeunesse, lorsqu'il rodait a travers l'Arnor, et entrait dans les caves et veilles tombes. C'est la qu'il trouva son epee d'ailleurs.

Son regard se tourna vers des barreaux se trouvant sur les cotes du couloir. Des vieux cachots apparemment, les barreaux etaient rouilles, certains completement detruits par le temps. Des os et des morceaux de metal rouilles gisaient dans ces pieces abandonnees. Qui sait combien de prisonniers furent tortures et tues dans ces chambres aux temps de la Grande Guerre entre l'Arnor et l'Angmar?

Soudain, au bout du couloir, il vit un visage derriere les barreaux. Il sauta en arriere en levant sa lame. Mais il se calma bientot et sourit. Il reconnut Aenor.

Il dit dans sa direction, essayant de ne pas trop faire trop de bruit:

-Aenor! Nous sommes la!

Il s'approcha des barreaux, et essaya de trouver un moyen de les ouvrir. Aucune serrure facile a ouvrir sans cle, aucun barreau affaibli par les puissantes dents du temps...

Il assena un coup puissant avec Lunerill dans les barreaux. La lame brillante laissa une longue trace sur l'acier rouille de la porte, mais n'avait aucun autre effet.

Forlong soupira, et se tourna vers ses compagnons:

-Quelqu'un a une idee pour le sortir de la?

Aënor toujours concentré sentit l'arrivée de Forlong, alors il se leva, puis vit le Capitaine arrivé et asséné un grand coup d'épée sur le verrou mais n'eut aucun effet dessus. Alors Aënor se leva et attendit que le groupe arrive

-Seigneur Aldarion je pense pouvoir arrivé à la détruire mentalement mais il me faudra votre aide à tous êtes-vous d'accord?

A travers les barreaux Aënor serra la main à Forlong :

-Content de vous revoir mon ami !

Il lui fit un sourire puis reprit sa posture de combat.

Je m'approchai et inspectait les barreau... Du matériel solide sans aucun doute...

- A toute serrure correspond une clef... Je pense que nous devrions la chercher... Si vous disposer de pouvoir mentaux, garder les pour plus tard.Berethir restez près de lui qu'il ne reste pas seul.

L'homme acquiésa, il avait une profonde connaisance des valeurs.

- Dirigeons nous vers les autres couloirs. Chacun un couloir... Saemon le premier, moi le second, Forlong le troisième et Halbarad le premier de l'autre coté...

Le groupe se sépara. J'avais le couloir qui dégageait le plus... A ma surprise, la porte était fracassée, de profondes griffes avaient fait cèder la porte...

- Saemon...

J'entendis en meme temps les autres qui criaient que leur couloirs était fermés... Saemon me rejoignit, suivi des autres.

- Je crois que nous ne sommes plus seuls...

D'un coup de pied Saemon ouvrit la porte à la volée... En face de nous quatre loups rachitiques... Affamés et dangereux.. Les corps de louveteaux était déchiqueté, égoisme des parents.
Je sorti ma lame et Sameon son Eket.

Aënor comprit la décision du Roi et ne si opposa pas. Les voyant partir il commença à faire la conversation avec Berethir, il ne parlais pas beaucoup mais avait quand même put lui arracher son prénom et son grade.

Puis Aënor s'arrêta de parler quand il entendit le groupe allaient vers le couloir de Tal-Aldarion puis commença à s'inquiéter quand il entendit des aboiements féroces.

-Mais que se passe t-il??? Berethir essayait de me sortir de là !! Il faut a tout prit que je l'ai prévienne du danger, Berethir partait les alerter des aboiements.

Sur ordre, Berethir partit laissant Aënor tout seul

Halbarad fut heureux que le chasseur d'esprits se porte bien, ne soit pas blessé ou même mort. C'était déjà ça...

Les ordres du Roi étaient clairs: chaque homme devait emprunter un couloir, sauf Berethir qui devait tenir compagnie à Aënor. Halbarad Dunàdan éxécuta alors la demande d'Aldarion et alla droit vers le premier couloir de l'autre côté.

Quand il commença à y pénétrer à la recherche d'une clef susceptible d'ouvrir la "prison" d'Aênor Nîmar. Mais une faible phrase vint aux oreilles du capitaine

Je crois que nous ne sommes plus seuls...

En effet, un petit groupe de loups gris, presque noirs, hurlant comme la mort, se tenait devant Saemon et Tar-Aldarion. Affamés, ils avaient enfin trouvé des proies goûteuses.

Halbarad sortit du couloir et dégaina Esgalrïn. L'effet sur les loups ne se fit pas attendre: ceux-ci reculèrent d'un pas. Mais l'effet de surprise ne durait que trop peu de temps... ils revinrent à la charge.

"Sus à ces loups! cria le rôdeur."

// Quelqu'un a t'il des news d'Eorlund et de Galathor ? //

Je combattis rapidement, les loups était affamés, aggresif et imprudents. J'avais une seconde dague qui me permettait d'attaquer tout en contrant les coups de griffes dangereux.
Saemon rivalisait d'agilité avec un vieux loup, ses coups étaient rapide et la bête se fatiguait rapidement. Les autres combattaient aussi sans trop de problêmes.
D'un coup profond dans le poitrail j'achevais mon adversaire... Mes compagnons achevaient également leur adversaire.

Je trouvai ce qui ressemblait à une petite tannière puante. A droite se trouvait un petit couloir qui se dirigeait vers le dernier couloir en partant des escaliers... Il semblait se diriger vers les cachots.
Je l'empruntait suivit de Saemon qui en avait aussi fini.. Un coffre.
Saemon l'ouvrit.Il trouva une clé étrange et peu travaillée.

- Un passe partout...

Le rodeur ouvrit la porte qui nous ramena vers le couloir principal. Sans attendre les autres j'ouvris le cachot d'Aenor.

- Tu es libre..

[Je l'ai vu connecté staprem je crois, je dit bien je crois, je parle de Galathor ^^]

Aënor attendit que le groupe reviennent, espérais t'il tous sains et sauf et avec la clé de ce fichu cachot. Quand il entendit des bruits de pas, Aënor se mit en posture de combat mais quand il entendit la voix d'Halbarad il comprit alors que tout allait bien. Effectivement ils étaient tous indemne et avait la fameuse clé qui permet de sortir de ce cachot puant.

-Merci beaucoup je croyais que j'allais moisir ici.

Aënor rangea son épée et commença à inspecter l'extérieur du cachot. C'était assez glauque. Les murs étaient rouge sang, surement que le sang qui a dû se répandre sur les murs ont enlever la couleur originel. Il n'y avait pas grand chose ici, à part d'autres cellules aussi minuscules les unes que les autres. Alors Aënor alla de l'avant et s'arrêta brusquement... Il ne savait pas où allé.

-Très bien...Euh maintenant où allons nous ??

Aënor ne savait pas du tout où aller, surtout qu'il n'avait pas arpenter le niveau du donjon à cause de son emprisonnement prématuré, mais ses compagnons oui, alors il recula et se laissa guider par le reste du groupe.

-Je préfère vous laissez le choix du chemin, vus que vous l'avez déjà exploré en partie.

[Eorlund devient inactif ces temps-ci, on dirait...]

Un combat entre homme et animal se déroula dans le donjon de Carn Dûm, mais les crocs des loups cédèrent bien vite face aux lames effilées des guerriers... La main d'Halbarad était à présent ornée d'une petite coulée rouge, marque d'une morsure d'un grand loup, mais ce n'était que pacotille... quelques ronces auraient eut la même effet. Cependant, en réponse à cette attaque, Esgalrïn s'était faufilée entre les machoires ouvertes de la bête, et sa tête fendue en deux tomba au sol, ainsi que tout le corps du loup.

Bientôt, tous furent occis, et Halbarad aurait poursuisvi sa course solitaire vers le couloir qui lui avait été assigné, si Saemon n'avait pas trouvé le moyen de libérer Aënor: une clef archaïque, un déclic de la serrure... ce fut fait, la porte s'ouvrit, le chasseur était libre.

"J'aime mieux vous voir de ce côté-ci, mon ami! déclara le Capitaine en accourant sur les lieux."

Beaucoup de possibilités s'offraient maintenant aux membres du groupe, mais au moins seraient-ils tous ensemble, du moins c'est ce que pensait Halbarad Dunàdan. Un mauvais choix pouvait avoir de funestes conséquences, et le Capitaine fixait tour à tour les divers tunnels qui partaient en toutes directions.

"Compagnons! Nous avons un choix à faire..."

[HRP] Excusez mon absence, des examens et surtout, je n'avais pas vu le post ( boulet )[/HRP]

Le jour se levait et Eorlund aussi. Sur sa poitrine, la chevelure blonde de la servante du palais s'agitait au rythme de sa respiration. La rumeur des rues parvenait jusqu'a sa fenetre. Le jour devait être deja bien avancé, l'homme se leva. Eorlund fit sa toilette et nettoya la cicactrice qu'il portait au bras et qui maintenait était redevenu valide, une bonne chose.

Il descendit dans les rues et Ono, son assistant à l'ambassade vint vers lui essouflé.
-Maitre, on vous cherchait, l'expedition du roi est deja partie, il y a deux heures... vous l'avez manqué! Aussi, ais-je fait préparé vôtre monture et vôtre équipement de voyage.
-Par tous les... bien tu as bien fait mon ami, je pars de ce pas, tu as encore une fois prouvé ta compétence!!

Sur ces mots, l'ambassaderu du rohan courrut aux écuries où Sirna et son équopement leger l'attendaient. Son bouclier, son épée, sa dague composaient ses uniques armes. Par dessus sa tunique noire, il enfilla une cote de cuir noire rivetée. Ono avait dans son sac de voyage, placé des vivres, de l'eau et sa pipe. Eorlund rajusta sa cape de voyage sur ses épaules, dressa la capuche sur sa tête, se mit en selle et partit au galop en direction d'Angmar.

Apres un long voyage et une nuit de repos, Eorlund arriva en vue de Carn Dum, la vue du donjon lui glassa le sang. Les ruelles de la ville étaient sinistres et deserte. En arrivant aux pieds de la tour, il fut arreté par des gardes. Il se présenta et pu rejoindre le petit campement où une dizaine d'hommes montaient la garde. Dans un coin, sous un drap gris, gisait le corps d'Eaquem. Eorlund observa quelques instants la forme grise en se disant que le danger était bien plus que présent. Un des gardes lui indiqua qu'il fallait entrer par la porte de gauche mais qu'aprés, il ne savait qu'elle direction prendre. Le roi et ses compagnons étaient entrés il y avait deja 3 heures.

Eorlund prit son necessaire et penetra dans le donjon par la porte de gauche, il suivit un couloir sonbre avant de tourner instinctivement sur sa droite. Il avancait prudemment et trouva une porte ouverte qui donnait sur un escalier, en bas, il entendait unbruit de lutte, il sortit son épée et descendit les marches lentement. En bas, il trouva à sa surprise ses compagnons.

-Sire, pardonnez mon retard, l'hospitalité de vôtre palais et le... devouement de vôtre personnel m'ont quelque peu retardé... J'ai chevauché et me voici. Je susi heureux de vous retrouver en compagnie de mes vieux amis Forlong et Halbarad.