Quel Mort absurde pour lui puissant parmi les puissants...

On laissa passer Hasharin jusqu'aux hauteurs de la cité, il laissa Hanor, son destier devant la maison de Guérison et au moment de rentrer l'un des medecins refusa l'acces aux animeaux du maître assassin pour des questions d'hygiène. Ainsi Umbr eet Oeil-de-Nuit restèrent devant.
Le Hîr-Dae demanda à voir un elfe noir et le medecin le conduisit dans une pièce où était allongé un elfe et il y en avait 4 ou 5 avec lui ainsi qu'un homme du batiment. Hasharin s'approcha en ignorant tout les elfes hormis Alira qui se trouva la à qui il fit une reverence et dit:
- Vous ètes de retour, que les dieux soit loués Alira. Vous m'avez manqué. J'ai eu vent que tu étais de retour avec Morgoth, j'ai tout de suite accouru. Que vous est-t-il arrivé? Pourquoi est il gelé ainsi?Racontez moi Dame Alira

Morgoth paraissait mort; son visage encore plus pale que d'habitude, ses membres congelés.... Hasharin se trouvait attristé, pour le montrer il abaissa son capuchon et murmura une prière à son égard.

//Aaaaah vive l'internat qui vous prive d'internet//

Alira se releva, chancelante, et remercia d'un regard les quatre elfes et Unirann avant de se tourner vers Hasharin qui venait d'arriver.
Pour la première fois depuis son arrivée aux maisons de guérison elle prit la parole d'une voix brisée.

"_Je suis arrivée avant lui à la cité, nous devions nous retrouvé ici que dans un mois. J'ai aidé Amandil contre une bande de malfrat qui sévissait dans la cité et étant blessé je suis monté ici et...

L'elfe ne put terminer sa phrase, un sanglot lui prit la parole alors qu'elle s'approchait du corps froid de son aimé, plaçant avec douceur une main chaude sur sa joue elle sentit et cru voir la neige, le froid, le désespoir, un appel sans réponse et puis ce vide inconscient.
Dans un murmure en elfique sa voix douce et suppliante pria l'esprit de Silindë de revenir à elle, de ne pas la laisser là seule alors que des larmes glissaient sur sa joue, laissant un tracé brillant sur son visage couvert de sang.
Le guérisseur qui l'avait conduit ici lui apporta timidement un bout de tissu propre et humide, elle s'essuya d'un geste lent donnant à l'étoffe une couleur écarlate et retrouvant en partie la blancheur de sa peau.
Seuls ses yeux de nuit s'assombrissaient alors que sa voix douce repris en un chant en elfique :

Serre toi encore contre ma poitrine,
Puis touche le ciel aux côtés des anges,
Reviens ensuite parmi nous,
Ou tu prendrais sans doute Sa couronne.
Dors, plus rien ne te touche maintenant,
Mes yeux pleurent mes espoirs,
Le souvenir de ton sourire,
Ton être tout entier.
Où que tu sois, ne m'oublie pas,
Ici ta voix raisonnera encore et toujours,
C'est un nouveau monde qui s'ouvre à toi...
Mais c'est un monde ou je ne suis pas.

(pour ceux qui veulent entendre http://www.deezer.com/track/162635 )

Elle déposa un baiser sur les lèvres glacées de celui qu'elle aimait...

Unirann ne savait quoi faire, toutes ses personnes connaissaient le gelée, mais lui ne connaissait personne ici. Il resta effacé prêt des elfes du Nord, les bras croisé sur le torse, montrant autant d'émotion qu'une pierre. La femme médecin le regardait toujours au bout de la pièce, et elle ne faisait plus aucun effort pour le cacher, elle lui sourit, il lui répondit par un discret hochement de tête, son sourire s'agrandit. La femme qui était entrée récemment se mi à chanter en une langue elfique, dont il ne compris aucun mots. A la fin de ce chant elle embrassa le gelée sur les lèvres. Le mercenaire en déduit qu'ils étaient tout deux très proches, plus qu'il l'imaginait. Il regarda encore une fois ce Morgoth.
Une femme la gorge tranché... Souffrance... Ses vêtements déchirés... Honte... Des larmes ayant creusé des sillon dans la poussière... Écroulement d'une vie...
Il se retrouva prêt d'Alira, quand s'était-il dirigé vers elle? Il posa sa main sur son épaule, rapprocha sa tête d'elle, et lui dit d'une voix peu assuré, mais qu'elle serait la seule à entendre:

-Je sais ce que vous enduré... Je ne peux que vous offrir mes services. S'il y a encore une espoir, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour vous aider. Tout! Je le vous promet.

Des larmes étaient aux bords de ses yeux. Ayant écarté sa tête de la femme, il feignit le bâillement en regardant par la fenêtre, et se frotta les yeux. La femme médecin montré une pointe de jalousie, elle avait les poings sur les hanches et regarda dédaigneusement Alira.

Un elfe entra dans la grande pièce, il semblait regarder leur groupe, encore quelqu'un qui connait ses personnes, il commençait à se sentir de plus en plus seul. Un des elfe du nord s'approcha de lui, mais ils étaient un eu trop loin pour que Unirann les entendent. Finalement ils s'approchèrent du gelé. Il questionna ensuite les elfes du nord mais ils ne répondirent pas. « Qui est-il? » Mais en faite il ne le connait pas, il connait peut-être personne ici. Il s'approcha ensuite de lui, le regardant dans les yeux, il semblait les admirer, bizarre, normalement que les femmes font attention à ses yeux... Mais pourquoi l'interrogea t-il, lui:

-Il se passe qu'un de ses elfe Moriquendi, il dit se mot bizarrement, ai reçu la malédiction d'une bestiole de leur Nord du Nord, que nous appelons plus couramment par ici dragon. Cette malédiction fait refroidir son corps sans que rien ne le réchauffe. Je ne vois pas pourquoi m'interroger sur la durée de notre séjour ici, vous apporterez quelque chose. Mais si vous souhaitez savoir... Moi je suis là depuis ce matin, les trois elfes habillé chaudement et le gel... Morgoth sont là depuis une semaine à ce que j'ai compris, et ces autres personnes son là depuis peu. J'espère avoir bien répondu à vos question.
Au faite je m'appelle Unirann.

Pendant tout le discoure il resta impassible ayant dit toutes ces paroles d'un ton égal. Il regarda dans la direction de la femme médecin, elle n'était plus là. Après avoir embrassé la pièce des yeux il la retrouva plus loin soignant un malade. Il espéré qu'elle ne le voit pas partir quand l'heure sera venu, et qu'elle ne se souvient plus de lui après. Or ses espoir était vint.

Hasharin eut la gorge serré en voyant Alira ainsi, il tenta de la reconforter mais rien n'a faire, son amour était gelé et rien n'importait d'autre. Hasharin se fit discret et jugeant sa présence peut utile, il salua les elfes ainsi que l'homme présent ici. Il posa sa main sur l'épaule de la voleuse elfe, amie depuis quelques mois maintenant et lui dit:
- Je suis désolé, mais ne perds pas espoire, Alira, il reviendra à lui dès que Mithradir ou sa femme seront là. Et en se tournant vers Morgoth il dit, Resiste Maître, resite Morgoth.

Hasharin n'aimait pas la Maison de Guérison, un lieu où bien des gens finissent leurs vies qans qu'on puisse rien y faire, le maître assassin sortit récupéra ses animeaux, et enfourcha son cheval puis parti, il salua les garde de la cour de la Fontaine et de la Citadelle poster devant l'arbre, et descendit... Il s'assit, au niveau inférieur sur les remparts les pieds dans le vide, réfléchissant à Morgoth. Mithrandir devait être loin, peut etre trop loin pour le sauver... Cela désolait le maître assassin. Regardant le soleil, il vit qu'il était presque une heure, il se leva et partit acheter à manger sur le marché... et rentra à Dîm-Bar, avec sa capuche relevé et son regard son sombre, accompagné de Umbre et oeil-de-Nuit, les passants s'écartait, un garde voulu s'interposé mais l'assassin le foudroya du regard et l'homme perdit vite l'envie de lui demander son identité...

Tout le monde rentra chez lui, le coeur gros par le déséspoir total de faire revenir leur ami, et pour certain de sauver cet inconnu qui avait l'air aimé.

Seule Alira et les trois elfes rèstèrent.
La femme Elfe était partie avec Mithrandir pour discuter sur l'arriver du bataillon elfique au Nord.

Alira s'endormi rapidement, révant de la mort de son amant, de l'espoir qu'il revienne parmis eux, pour elle...

Mais dans la nuit, une ombre se leva, une épée ecarlate sortit du foureau avec un bruit de rire maléfique dans le tintement du metal, et les trois elfes furent assassinés.
Le Meutrier les empala au mur de la chambre a l'aide de lance d'apparat décorés de fleurs et d'un serpent.

Les Murs était rouge de sang, et ce dernier coulait jusqu'à la porte de la chambre.
Quand Alira s'éveilla, elle vit que Silindë n'était plus sur son lit, son coeur sauta un battement, presque de joie à l'idée qu'il soit remis, mais l'avenir allait lui prouver le contraire, car quand elle vit les trois elfes noirs fixés au mur et la sang partout elle fut horrifier, elle alla tout de suite à la fenètre prendre un bol d'air et là elle vit un noir cavalier laissant de la glace derrière lui chevaucher les champs du Pellenor en direction de Minas-Morgùl...
Elle baissa le visage, embué de larme ses yeux tombèrent sur le fameux pendantif que Silindë lui avait offert...il ne brillait plus...il était même terne...

Sa main se porta à sa bouche, l'odeur de mort présente dans la pièce lui donnait la nausée mais le pire était le désespoir qui lui nouait la gorge et l'estomac.

Son pendentif glissa de son cou, se brisant en mille éclat gris sur le sol rougis par le sang de ses frères, les sifflements du serpent qui se lovait sur les corps suspendus lui brouillaient les tympans devenant le seul son qu'elle entendait. Un frémissement lui traversa l'échine comme si une partie d'elle même s'en allait pour ne plus jamais revenir. Tombant à genoux, ses bras l'entourèrent en un espoir vain de se réchauffer.

Ses yeux se voilèrent alors que des perles brillantes se mirent à couler sur ses joues en un torrent infini, ses beaux yeux de nuits se ternissaient perdant l'étoile qui autrefois avait fais tourner bien des têtes même si une seule avait put changer son cœur.



Leur premier échange de regard alors qu'elle était en plein combat contre ce géant vert et lui revenant déjà blessé : la surprise de retrouver l'un de son peuple.

Morgomiel : ce nom qu'il lui avait donné peu après leur rencontre, sombre étoile... malheureusement son éclat s'assombrissait de plus en plus.



Ses cheveux noirs tombèrent devant son visage quand elle baissa la tête, ses yeux se fermant presque.



Une porte qui s'ouvre et leur regard qui se croisent à nouveau, un silence gêné suivit d'un appel venant d'ailleurs brisant cet instant.
Sa disparition puis le combat. Une épée rougeoyante...la mort d'une amie...premier baiser...



Des nuages noirs commencèrent à recouvrir la cité cachant les étoiles et la lune qui éclairaient paisiblement. Les quelques regards encore éveillés levèrent les yeux vers cet étrange phénomène.



Le départ à la recherche des leurs et puis tout se brouilla.



Une pluie fine tomba sur la cité blanche et un corps glissa par terre avec douceur, la lumière qui semblait autrefois habiter la moriquendi s'envola vers le ciel. Le serpent disparu dans un nuage de fumée. La pénombre empli totalement la pièce.

La petite voleuse qui dansait autrefois dans les rues avait fait ses derniers pas ici. Plus de danses, plus de vols, plus de rires malicieux, plus de courses poursuites avec les gardes, plus de désirs, plus de couteaux volants vers une gorge tendue. Plus rien.
Quand les nuages disparaitront peut-être que le prochain regard qui se portera sur la nuit apercevra une nouvelle étoile dans le ciel...

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Unirann était parti de la maison de guérison, sans prendre compte des protestations de la femme médecin, qui le suivit jusqu'à une auberge connut pour ses troubles. Il n'y passa pas très longtemps, attendant que la femme sorte de la rue. Il alla à une autre auberge où il avait réservé une chambre, comme il s'en doutait sa chambre avait était mis s'en dessus dessous, et son cheval avait été volé. Bien sûr l'aubergiste ne savait rien. A par ça il passa une nuit paisible. Le lendemain il se dirigea vers la maison de guérison.
Tout le monde s'affolait dans tous les sens. Il entendit des flots de paroles; parlant d'hommes accrochait au mur, d'une marre de sang, d'une femme morte de chagrin, d'homme disparut. Il pensait en son fort intérieur aux personnes qu'il avait laissé la veille, et plus il s'approchait de la chambre et plus ses craintes s'affirmaient.

-Il y a eu des meurtres ici, personne n'a le droit de pénétrer dans cette pièce.Lui dit un homme.

Unirann le regarda le regard froid, l'homme était plus grand que lui d'une tête et aussi large d'épaules que lui, il était habillé de l'armure des gardes de la citée. Mais il ne se souciait pas de qui il pouvait être, même si il avait été le roi en personne il l'aurait bousculé pour entrer. Or il n'eut le temps de rien faire, la femme médecin arriva et lui dit:

-C'est bon il peut passé.

-Vous êtes sûr?

-Si je vous le dit.

L'homme imita son regard froid, enfin essaya, et le laissa passer. Le mercenaire entra dans la salle. Jamais , il n'avait vu spectacle si atroce, dans tout sa carrière. Les hommes s'afférèrent à décrocher trois elfes du nord, qui étaient sur un mur recouvert de sang. Il se regarda tout autour, pas de trace de la quatrième elfe, mais il découvrit que le gelé n'était plus là, et que Alira était déposé sur un lit... Morte, sans marque visible. Après cette découverte macabre il réussit à garder son calme, enfin il le croyait jusqu'à ce qu'il sente la main de la femme médecin lui caressant le bras pour le réconforter. Il lui sourit malgré lui. Tout ça lui rappelé encore son passé, et ces images qu'il essaye de refouler depuis des années reviennent à la surface , toujours aussi atroce. Il sentit un peu de culpabilité, pourquoi n'était-il pas resté ici la nuit dernière? Il aurait pu empêcher se massacre? Non, il n'aurait pas pu et il le savait très bien, mais impossible de l'admettre. Il resta la debout au milieu de la pièce attendant. Au bout d'un moment il dit à la femme médecin:

-Il faudrait peut-être avertir ceux qui étaient la hier.

-Nous en avons déjà prévenu un, celui qui était venu accompagné de Dame Alira.

Il ne bougea pas, attendant les autres, pour commencer à enquêter sur ces meurtres.

Le sergent Kassan aida ses hommes a décrocher les corps ensanglantés, puis recouvrit leurs visages d'un linceul blanc. Mort atroce pour ces elfes, mort mystérieuse pour la jeune femme, ajoutez à tout cela la disparition du Morenqui, une affaire à s'en arracher les cheveux.

Les yeux sombres du soldat passèrent sur cet homme qui venait de se présenter et commençait à émettre des commentaires. Le Sergent n'était peut être pas le plus intelligent de tous, ni le plus vif d'esprit, mais il savait encore comment faire son métier. Il détailla de pieds en cap, cet inopportun puis s'approcha. Sa queue de cheval noir tombant sur sa nuque recouverte de l'armure de la cité, son visage marqué par un entrainement difficile ainsi qu'une balafre au niveau des sourcils, il l'interpella d'une voix épaisse en mesure avec sa carrure de lutteur.

- Qui êtes vous? Crenon de non qu'est ce que vous fichez ici! Bordel Quidam! quand je dis de laisser passer personne c'est personne! T'veux une retenue sur ta solde!

Il reporta de nouveau son attention sur le mercenaire.

- J'attends! Qui êtes vous? Connaissiez vous ces elfes? Allez on s'magne le train et on passe à table et en vitesse. J'ai pas toute la journée

Unirann regarda le soldat qui l'interpellait, il devina son haut rang à la façon qu'il parlait, et à ses décorations sur son armure. Pourquoi être aussi énervé par une simple personne accompagné par une médecin? Quand l'homme deporta son attention vers le garde la femme qui était maintenant accroché à son bras lui dit à voix basse:

-C'est le Sergent Kassan, c'est lui qui s'occupe de cette enquête.

Il hocha la tête en signe de compréhension. De nouveau l'homme lui gueula dessus. L'épée de Unirann était bien placé dans son dos, poignet côté gauche, ses doigts le démangé. Mais il devait se saisir, il n'a pas à tuer des gens faisant un boulot ''légal''. Même s'ils lui lui parlent sur ce ton. Le mercenaire le regarda droit dans les yeux, le sergent soutint son regards. Unirann lui dit de son ton le plus égal:

-Unirann, mercenaire. Si je connais ses elfes? Pas le moins du monde, je sais juste qu'ils viennent du nord, sauf pour cette Dame Alira, il la montra du menton. Enfin je crois. Mais je lui ai fait une promesse, et je la tiendrait.
Il reste une Moriquendi qui pourrait vous éclairer sur les zones d'ombres de cette enquête, mais je ne sais pas où nous pouvons la trouver.

-La tour de Mithrandir.

Deux regards se posèrent sur la femme, elle se sentit mal, mais continua avec un petit gène dans sa voix:

-Elle a suivit le secrétaire de Mithrandir, elle ne peut être qu'à la tour... Je crois.

Le Garde hocha la tête, en signe de compréhension et de remerciement envers la guérisseuse. Elle, au moins, savait se montrer coopérative, pas comme ce… ce… fouteur de merde qui venait pourrir son enquête à peine entamée. Bougonnant que les elfes n’étaient que de passables emmerdeurs qui n’avaient rien à foutre dans l’coin, il fit signe à ses hommes d’emporter les corps. Les soigneurs devraient se charger de trouver la cause de la mort de cette Alira. Il se pencha vers le sol et ramassa quelques éclats d’un pendentif brisé, pensif et silencieux. Le mercenaire s’impatientait bien, mais il s’en foutait comme de sa première chemise.

-Bon résumons. Dame, quelles sont les personnes qui ont rendu visite à ce…. –il chercha en vain le nom de l’elfe dans sa mémoire bien trop remplie pour qu’il s’embarrasse de ce genre de détail- du… de… du disparu

La jeune femme précisa les noms de chacune des personnes qu’elle connaissait et qui s’étaient présentés : Alira (enfin au point ou elle en était celle là), le secrétaire de Mithrandir Amandil (mouai… un magicien… magnifique ça promettait), Calion Palandir (encore un elfe !), et la dame Moriquendi qui avait suivi Amandil, un homme sombre et mystérieux, sans oublier bien sur le mercenaire ici présent répondant au nom de…

-houai d’ailleurs s’quoi votre p’tit nom à vous.

Le sergent Kassan avait coupé la jeune femme, mais il s’en foutait, il n’était pas non plus réputé pour sa grande politesse, surtout avec les elfes mais est il besoin de le préciser ?

-Unniran

-Unniran tout court ? ou le môssieur a aussi un nom ? Bon pas d’importance. Vous vous me suivez. Nous allons à la tour de Mithrandir. QUIDAAAAAAAMMM, bouge ta viande et ramène tes fesses ici !

Le soldat en question arriva rapidement au garde à vous, la main tremblotante sur sa lance. Il faut dire que le sergent avait tout d’un colosse furibond, et qu’il n’était jamais sage de provoquer ses colères.

- Tu vas m’trouver un elfe dénommé Calion Palandir. Pas du coin s’type, alors cherche dans les auberges, les tavernes, fait s’que tu veux mais ramène ses oreilles pointues à la caserne. Et au pas d’course. Prend 2 hommes avec toi, mais j’te préviens, j’veux qu’il soit la bas à mon r’tour ! A vi et essaye de m’dégotter c’est qui le gars en noir. Demande à la dame de te faire sa description.Toi, Unniran de nulle part, tu viens.

Poursuivit par le cliquetis métallique de son armure, il sortit de la maison de la guérison d’un pas franc et rapide, le mercenaire derrière lui. Le chemin ne serais pas très long jusqu'à leur destination mais Kassan ne voulait pas perdre de seconde. Plus le temps passait plus il serait difficile de trouver les auteurs de cette boucherie gratuite. Attaquant dare dare, il ordonna au mercenaire de lui raconter ce qu’il avait vu, ce qui s’était dit, hier, en évitant d’omettre des détails importants s’il tenait à sa tête.


//HRP: je pense qu'il serait bien d'ouvrir un autre sujet avec un lien sur celui ci dans le premier message afin que la transition se fasse correctement. Je vous propose de l'ouvrir directement dans la Tour de Mithrandir//

https://jeuderoles.forumactif.com/la-tour-de-mithrandir-f43/la-tour-de-mithrandir-visites-et-discussions-t1976-510.htm#49793

La suite.