Clémence Erudit
Nombre de messages : 5
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 25 ans -:
| Ven 19 Déc 2008 - 10:05 | | L'hiver était là. Il pleuvait, il faisait froid, les maisons bourgeoise affichaient une grande et belle cheminée d'où sortait un grand panache de fumée. D'ailleur Clémence habitait ce quartier; Mais pas dans une riche demeure, non, dans une petite maison avec une petite cheminée un peu replète.
Clémence se réveilla donc dans son lit. Il était grands et les couvertures de laines s'emtassaient sur la maigre couverture initiale de la jeune femme. Sa chambre était toute petite,le plancher était grinçant. Une grande fenetre donnait dehors. Sur sa table de chevet était posée une bougie ainsi que trop livres gros comme des pavés. Clémence s'éttira bailla un bon coup, cligna des yeux regarda la table de chevet d'un air dédaigneu
-Eh bien, les livres était petits...
Puis elle se leva l'air endormie et descendit les escaliers de bois pour se rendre dans sa petite cuisine et salle à manger. Elle ouvrit un tiroir et sortie une cuillère de fer puis elle se pencha vers la commode ébréchée et sortie un bol d'un blanc qui semblait un peu gris et le posa sur la table. Elle n'était pas pauvre en temps qu'érudit de la Citée Blanche mais n'aimée pas franchement le luxe,elle vivait donc modestement. Elle alla alors vers une autres petite commode encors plus replette que l'autre, l'ouvrit et regarda dedans en levant un sourcil en disant:
-Bon ce n'ai pas la foule...Il faut que je sorte acheter à manger.color]
Elle attrapa alors un bocal de verre où elle avait mis de l'eau dedans hier. Elle la secoua et regarda l'eau un peu trouble, elle soupira et pensa:
[color=darkblue]*Rhalala moi qui pensait pouvoir rester chez moi un chaud.
Elle rangea donc ses affaire et monta s'habiller: Elle mit sa robe marron de toile élimée, un châle de laine assortis élimé lui aussi puis elle attrapa des chaussette de laine blanches et des sandales bon marché marron. Elle se fit deux longues tresses et se regarda dans son miroir brisé. Même aussi sobrement vêtue elle était toujours aussi belle et élégante. Elle se promis alors:
*Dès que j'ai un peu d'argent j'irais m'achetait de nouveaux vêtements.
Elle redescendit les escaliers à grande vitesse et regarda avec stupeure le feu dans sa maigre cheminée qui semblait sur le point de rendre l'âme. Elle soupira et se mit en quête de son panier en osier. Elle le vit sous la table...
*Charmant...*Pensa la jeune femme.
Elle l'attrapa et mit un torchon dedans de fçon à pouvoir couvrir les aliments sous la pluie. Elle prit aussi un petit livre de 749 pages pour patienter au cas où... Elle prit sa clef et ouvrit la porte elle regarda dehors l'air horrifiée,il pleuvait vraiment bien... Elle sortie donc et referma derrière elle,elle marchait d'un pas vif dans les rues où même par ce temps des gens sortaient faire les achats. N'étant ni musclée ni imposante Clémence se faisait presque marcher dessus. Les gens étaient préssés par le temps et les grands soldats ou gros tavernier avait plus de facilitée à passé qu'une jeune femme tel que Clémence. Au bout d'un moment poussée dans tous les sens elle s'arrêta sous un porche et s'assit sur une pierre. Elle était fatiguée déja que sa vie n'était pas facile, la nature l'avait aussi faite bien que très belle très fine. Elle resta donc assise à regarder l'air énervée les gens passaient. Elle sursauta quand elle sentie une main tapotait son épaule ,elle se retourna et vit Colin et Robin qui dirent en même temps:
-Un problème Clémie? -Non juste j'aimerais passer. -Ohoh avec la pluie qu'il fait tous rentres chez eux et entre bourgeois en calèches et gros ivrognes ne marchant pas droit c'est mal partit. -Merci du soutient... Au fait que faites vous ici vous deux? -Nous vendons nos... -Friandises. -C'est cela.Répliquèrent les jumeaux l'air butés -Vous êtes prévisiblesSiffla Clémence -Pft nous qui pensions t'aider et bien AUREVOIRCrièrent les jumaux en partant.
Clémence se releva et se refondit dans la foule toujours aussi écrasée par les autres. Elle n'avançait pas,elle reculait... Les autres la poussée et elle reculait. Elle s'appuya contre un mur de maison et soupira, les rues qui menaient au marché étaient peut etre les plus pénibles de la Cité Blanche alors les jours de pluie les gens voulait vite rentrés chez eux et ne bavardaient pas gaiment comme d'habitude... Elle sentie alors avec main se refermée sur son poignet, sans voir qui l'avait empoigné de la sorte elle se laissa entrainée jusqu'au moment où elle arriva en dehors de la foule près du marché,contente d'en être enfin sortie , elle se tourna vers la personne qui l'avait sans aucun doute vue à moitiée en larme écrasée par tous et lui dit:
-Merci. |
|
Nârwel Rusk-Iâr Agent de l'Arbre Blanc
Nombre de messages : 606 Age : 35
~ GRIMOIRE ~ -: Homme de Gondor -: 57 ans Grisonnant -:
| Dim 21 Déc 2008 - 12:03 | | "Mais de rien." répondit une vielle voix d'Homme.
Un grand vieillard se tenait devant Clémence. Appuyé sur une simple canne de hêtre cerclé d'argent, la pointe d'une barbe blanche dépassait du capuchon de l'inconnu. Ce dernier ne tarda pas à le repousser en arrière. Il avait le visage propre et un sers-tête d'argent lui aussi retenait ses longs cheveux blanc. Le regard perçant et curieux, ses lèvres pincées, ses rides taillées par la faible lueur d'une bougie, des sourcils broussailleux et sa barbe finement ouvragée laissait deviner que le vieil Homme résidait dans le Haut de la cité.
Il tenait une miche de pain et une bouteille de vin dans sa main gauche, qui s'empara aussi de sa canne. L'Homme tendit sa main libre vers Clémence qui le regardait.
"Je me nomme Erestor, fils de Forost. Je suis Historien." |
|
Clémence Erudit
Nombre de messages : 5
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 25 ans -:
| Lun 22 Déc 2008 - 14:54 | | Clémence fixa longuement le vieillard du regard et compris qu'il ne pouvait être que noble.
*Surement du haut de la Cité*Pensa Clémence.
Elle lui sourit et lui répondit:
-Et je suis Clémence, érudit aux dernières nouvelles...Enchantée.Ajouta Clémence.
-C'est très gentil à vous de m'avoir sortie de là...Vraiment...Je ne suis pas vraiment douée pour pousser les gens comme certain le font si bien. |
|