Finrodel, le vagabond

Nom : Finrodel Rënia (Aussi appeler ''Le Brũn'')
Race: Elfe Moriquendi
Sexe: Masculin
Âge : 7849 ans
Alignement: Lumière
Rôle : Ambassadeur

Description physique :
Finrodel était, selon les dires de sa mère, fort semblable à son père. Il possédait une belle chevelure blonde qu’il s’efforçait de garder courte lorsqu’il voyageait, ainsi que des yeux bleus sombre comme la mer. Comme tout Quendi, il avait un visage imprégné de pureté qui transcendait la beauté de la première race, mais qui paraissait étrangement vieillit pour être celui d’un elfe. Il avait aussi la voix puissante de son père, capable de réciter des chants qui n’avait plus été entendu sur la Terre du Milieu depuis la chute de Morgoth.

La majeure partie de son temps, il avait l'air de n'importe quel errant ou marchand itinérant des Terres du Milieu. Portant un sac à dos au lanières maintes fois reprisées, des bottes de cuir d'une grande souplesse et que l'usure avait rendues faiblement dorées. Un pantalon et une chemise de lin grisâtre aussi usé que le reste, à la fois confortable et pratique pour le voyage, sans plus. Sa seule "protection" était un mince gilet de cuir, semblable aux bottes, passé par dessus sa chemise. Finalement, une ample cape à profond capuchon d'une couleur insaisissable complétait le tableau.

Signes distinct:
Il possède des oreilles rondes comme celle des humains qu'il doit à l'un des servants de Morgoth. Sinon, il porte presque tout le temps de vieux habits de voyage délavés sur lesquels on peut entrevoir un lac et des étoiles.

Histoire :
C’est au lac Cuiviénen que Finrodel vit le jour, moins d’une semaine avant le premier assaut de Melkor. Son père, Delinwë, mouru en défendant la petite hutte familiale. Son chant magique, inné chez certains Quendis, avait protégé toute la famille, mais il était mort d’épuisement. Bien peu d’elfes décidèrent de ne pas suivre les Valars lorsqu’ils les invitèrent à les suivrent vers Valinor. Sa mère, atterrée par la mort atroce de son mari et face à l’obligation d’élevée seule un jeune enfant, n’eut pas la volonté de suivre les Valars. Ceux qui choisirent de rester derrière subirent les tourments de Morgoth qui captura nombre d’entre eux pour en faire les premiers orcs. Presque tout les peuples elfes à l’exception de celui de Thingol, protégé en Doriath, furent ravagé par le Noir Ennemi. Particulièrement ceux se trouvant prêt du lac Cuiviénen, là où il les avaient confrontés pour la première fois et où ils étaient les plus nombreux.

C’est ainsi que vieillit Finrodel, tel un nomade, il vivait de chasse, de pêche et de cueillette tout en priant pour ne pas être capturé par Morgoth ou l’un des Mayars fidèles à sa cause. À cette époque c’était une nuit éternelle, le ciel tacheté uniquement des petites étoiles d’un blanc éclatant qui avait été placé par Varda. Le monde était d’une beauté inconcevable pour des gens de l’époque actuelle, c’était un monde pur, sans souillure qui s’offrait aux Quendis. Mais il ne fallait pas se laisser berner, car très rapidement Melkor mit ses ruses maléfiques en action et les elfes durent trouver des moyens pour se défendre contre les attaques d’orcs, leurs propres frères pervertis. Finrodel était rusé, suffisamment pour des années plus tard on ne puisse pas le distinguer des Noldors ayant fait le grand voyage. C’est ainsi qu’il échappa longtemps aux menaces des orcs, n’ayant à les affronter que très rarement, il avait la chance de posséder un certain don pour passer inaperçu.

Mais après prêt de 300 ans, la pression était devenu insoutenable, la quasi-totalité du lac Cuiviénen était tombé sous la main de Morgoth et c’est ainsi que Rënia entreprit son premier véritable voyage. Il parti à la recherche de Doriath, trouvant ainsi refuge auprès du seul royaume fortifié et structuré d’Arda. Il y fit la rencontre de grands esprits avec lesquels il apprit beaucoup et partagea son savoir unique des terres extérieures. Il eut la chance de voir Lùthien, plus belle de toute les femmes qu’Arda porta, mais aussi le malheur d’être un participant de la première véritable guerre des enfants d’Illùvatar. Il faisait parti de l’armée de Thingol, chargé de repousser la première invasion de Beleriand. Il dû à son manque de talent pour les armes, de sortir vivant de cette confrontation. Meilleur dans l’art des chants, il restait en arrière garde pour prodiguer des soins au peuple de Doriath, plutôt que d’affronter directement les légions de Morgoth.


Psychologique:
Finrodel porte encore la noblesse et la sagesse du cœur si puissante chez les premiers Quendis. D’une générosité sans limite, c’est une personne qui voit du bon en chaque être et qui ne rechigne devant rien pour que le bien triomphe. Comme tout les elfes ayant grandit sur Arda, il possède une soif inépuisable pour la découverte, toujours à la recherche d’un nouveau lieu et de nouveaux gens. Il a des allures de fou avec ses vieilles loques et ses paroles aimables et farfelues qu’il lance à tous, mais ce n’est là qu’une parure (ou parfois une envie de semée généreusement la joie aux alentours). Car Finrodel n’en demeure pas moins l'un des plus anciens enfant d'Illùvatar. Et bien qu’il n'en fasse que rarement mention, les années d'expériences ne trompe pas. Toutefois, il se refuse à la guerre autant que possible, préférant mettre ses connaissances à profit du peuple, un trait de caractère qu’il tient depuis le premier combat de Beleriand et qui s'est renforcé avec ses années d'éducation auprès de Cìrdan.

Salut Finrodel,

Une bonne fiche avec présentation complète du personnage ...

Quelques commentaires toutefois :

Pour le respect de l'oeuvre de Tolkien, cette union totalement inconnue avec ''Asfindel'' (qui n'existe pas) est une extrapolation qui me semble personnellement trop poussée pour un personnage aussi connu et emblématique du premier âge que Finrod.
Je pense qu'il faudrait revoir les origines ... Peut être l'utilisation d'un proche de Finrod, inconnu comme ''Asfindel'' serait plus judicieuse ...

Citation :

Il possède des oreilles rondes comme celle des humains. Très jeune, il se les aient faites couper par sa mère pour ne pas qu’il puisse être différencier par les hommes.

Rhôôôôô, le pauvre :P ( Pourquoi ? Une telle mutilation mériterait peut être une explication plus en profondeur )

Ton style est fluide et agréable à lire

Bienvenue à toi !

PS: Pourrais-tu nous indiquer comment tu es arrivé sur le forum ?

Je m'attendais à ce que l'association avec Finrod ne soit pas vu d'un bon oeil^^ Mais bon, je pourrais quand même défendre mon argumentation en expliquant que Finrod a erré pendant de nombreuses années avant de trouver les humains de Beren et qu'il n'y a aucune mention faite sur ce qui est survenu durant cette époque de sa vie...

Je pourrais cependant revoir le personnage d'Asfindel puisqu'en effet Glorfindel non-plus n'a jamais eut d'enfant. (J'y metterais une union illégitime avec une elfe sauvage (ceux qui n'ont pas vu la lumière des deux arbres) d'une tribu elfique quelconque.) Sa augmenterai un peu la valeur historique de sa naissance. Et sa lui enlèverait un peu d'importance dans le nouvel âge (Être le petit-fils de Glorfindel n'est pas rien en soi XD). Aussi je pourrait mieux définir la naissance de Finrodel, comme s'étant déroulé tout juste avant l'arrivé de Finrod chez les humains.

Et pour les oreilles, la réponse est toute dictée:

Finrodel vivait avec un peuple d'humain, chose plutôt insolite (en fait unique) pour un évènement du premier âge... Sa explique sans peine les motivations un peu extrême de sa mère.

Par le lien d'un autre forum basé sur l'histoire de Tolkien.

Voilà la version alternative du texte conséquement à mon dernier message:

Finrodel a écrit:

Nom : Finrodel Felagund (mais se fait appeler souvent Rënia ou simplement Finrodel)
Race : Elfe Noldor
Age : Aussi vieux que la vieillesse...
Emploi : Voyageur (Mage)

Description physique :
Finrodel était, selon les dires de sa mère, fort semblable à son père. Il possédait une belle chevelure blonde qu’il s’efforçait de garder courte lorsqu’il voyageait, ainsi que des yeux bleus sombre comme la mer. Comme tout Noldor, il avait un visage imprégné de pureté qui transcendait la beauté de la première race, mais qui paraissait étrangement vieillit pour être celui d’un elfe. Il avait aussi la voix puissante de son père, capable de réciter des chants qui n’avait plus été entendu sur la terre du milieu depuis la chute de Morgoth.

La majeure partie de son temps, il avait l'air de n'importe quel errant ou marchand itinérant des Terres du Milieu. Portant un sac à dos au lanières maintes fois reprisées, des bottes de cuir d'une grande souplesse et que l'usure avait rendues faiblement dorées. Un pantalon et une chemise de lin grisâtre aussi usé que le reste, à la fois confortable et pratique pour le voyage, sans plus. Sa seule "protection" était un mince gilet de cuir, semblable aux bottes, passé par dessus sa chemise. Finalement, une ample cape à profond capuchon d'une couleur insaisissable complétait le tableau.

Signes distinct:
Il possède des oreilles rondes comme celle des humains. Très jeune, il se les aient faites couper par sa mère pour ne pas qu’il puisse être différencier par les hommes. Sinon, il porte presque tout le temps de vieux habits de voyage délavés sur lesquels on peut entrevoir une harpe et un flambeau.

Histoire :
Finrodel est née de l’union méconnue d’Asfindel, une elfe Moriquendi rencontrée par Finrod, seigneur de Nargothrond. Ils s'étaient connus durant les errances de Finrod après son départ de Nargothrond. Celui-ci avait croisé le chemin du peuple voyageur d'Asfindel et la jeune elfe s'était éprise de lui. Il resta avec ce peuple pendant quelques temps, mais les quitta rapidement pour poursuivre sa propre route. Asfindel, folle d'amour, quitta son clan pour le suivre sur Arda, malgré les quelques réticences de Finrod. Avec les mois qui passèrent, le fils de Finarfin devellopa de l'affection pour la Moriquendi et, une nuit, ils s'unirent illégitiment. Réalisant ce qu'il avait fait et l'amour impossible que dévellopait Asfindel pour lui, Finrod décida de fuir un jour où les deux elfes passèrent dans un autre camp d'elfe errant. Mais sa noblesse de coeur le poussa à léguer à Asfindel l'anneau de son père, à l'intérieur duqel il glissa un parchemin rouler.

Asfindel, qui portait maintenant un enfant déchu, ne pu partir à la poursuite de Finrod. Elle resta donc avec ce peuple d'elfe, mais sitôt son enfant mit au monde, elle se lança sur les traces de son bien-aimé. C,est ainsi qu'elle fini par atteindre le peuple d'humain. Elle décida de rester avec le peuple de Beren pour élever son enfant qui devenait trop lourd pour être porté et le renomma Finrodel Rënia (vagabond en Sindarin), car elle voulait garder le secret sur sa véritable origine et le croyait voué à une existence d’errance sur Arda. Il fût élevé par sa mère dans le village humain où il était né et passa son enfance parmi les autres enfants de l’endroit. Il ignorait tout de ses origines elfiques puisque sa mère cachait toujours ses oreilles sous un capuchon et que les siennes avaient été coupées peu après la naissance.

Il n’apprit la vérité que le jour de ses vingt ans, alors qu’un elfe du nom de Voronwë, messager de Turgon, passa par le village et s’adressa à Finrodel, lui apprenant que ce nom était celui d’un elfe parlant le Sindarin, un Noldor! Apprenant ce que lui avait caché sa mère, il demanda à Voronwë de le prendre avec lui et qu’il ferait route ensemble jusqu’aux Falas. Le jeune elfe fît ses bagages, mais se trouva intercepté par sa mère. Toutefois, elle ne tenta pas de le retenir, elle savait que c’était là le destin de son fils. Elle lui remit simplement un anneau : celui de son grand père, Finarfin, prenant la forme d’une minuscule couronne de fleur d’or[Retrait de deux des anneaux de noblesse]. En tout dernier, avant de l’embrasser une ultime fois, elle lui remit un sac à dos, rempli des affaires de voyage que Finrod n’avait pas prit pour son voyage en Tol-in-Gaurhoth. Quand son fils s’éloigna, elle lui cria qu’elle quitterais les terres actuelles pour rejoindre Valinor, loin de tout les maux qu’avait pu lui faire ce monde.

Psychologique:
Finrodel, de la lignée de Finarfin, porte encore la noblesse et cette sagesse du cœur si puissante chez cette famille. D’une générosité sans limite, c’est une personne qui voit du bon en chaque être et qui ne rechigne devant rien pour que le bien triomphe. Comme tout les elfes ayant reprit la route d’Arda, il possède une soif inépuisable pour la découverte, toujours à la recherche d’un nouveau lieu et de nouveaux gens. Il à des allures de fou avec ses vieilles loques et ses paroles aimables et farfelues qu’il lance à tous, mais ce n’est là qu’une parure (ou parfois une envie de semée généreusement la joie aux alentours). Car Finrodel n’en demeure pas moins le fils d’un des plus intelligent et puissant seigneur elfique, celui qui affronta seul à seul Sauron, le Mayar noir de Morgoth. Et bien qu’il ne l’ai jamais connu, le même sang coule dans ses veines. Toutefois, il se refuse à la guerre autant que possible, préférant mettre ses connaissances à profit du peuple, un trait de caractère qu’il doit tenir de Cìrdan, chez qui il reçu son éducation elfique après le départ de Voronwë pour Valinor.

Bonsoir Finrodel!

Alors pour le "fils de Finrod", non, désolé Finrodel, Laurelin a raison. On ne peut pas inventer une aventure comme celle-ci à un personnage aussi important. Je te cnseille donc d'en faire le fils d'un proche de Finrod, comme te dis Lau'.

Vraiment désolé, sinon ta fiche est très bonne, bravo!

Bonne continuation!

Re-modification, puisqu'il le faut ^^ Mais cette fois je suis trop lâche pour mettre en rouge XD

Nom : Finrodel Rënia
Age : Aussi vieux que la vieillesse...
Emploi : Voyageur (Mage)

Description physique :
Finrodel était, selon les dires de sa mère, fort semblable à son père. Il possédait une belle chevelure blonde qu’il s’efforçait de garder courte lorsqu’il voyageait, ainsi que des yeux bleus sombre comme la mer. Comme tout Noldor, il avait un visage imprégné de pureté qui transcendait la beauté de la première race, mais qui paraissait étrangement vieillit pour être celui d’un elfe. Il avait aussi la voix puissante de son père, capable de réciter des chants qui n’avait plus été entendu sur la terre du milieu depuis la chute de Morgoth.

La majeure partie de son temps, il avait l'air de n'importe quel errant ou marchand itinérant des Terres du Milieu. Portant un sac à dos au lanières maintes fois reprisées, des bottes de cuir d'une grande souplesse et que l'usure avait rendues faiblement dorées. Un pantalon et une chemise de lin grisâtre aussi usé que le reste, à la fois confortable et pratique pour le voyage, sans plus. Sa seule "protection" était un mince gilet de cuir, semblable aux bottes, passé par dessus sa chemise. Finalement, une ample cape à profond capuchon d'une couleur insaisissable complétait le tableau.

Signes distinct:
Il possède des oreilles rondes comme celle des humains. Très jeune, il se les aient faites couper par sa mère pour ne pas qu’il puisse être différencier par les hommes. Sinon, il porte presque tout le temps de vieux habits de voyage délavés sur lesquels on peut entrevoir une harpe et un flambeau.

Histoire :
Finrodel est née de l’union méconnu d’Asfindel, la soeur de Glorfindel et du plus jeune fils de Finwe. Le couple avait eut vent du départ de Finrod de Nargothrond à cause des troubles qu'y causaient les fils de Feanor. Et tout deux c'étaient mit à sa recherche sur la demande de Turgon qui craignait un grand malheur pour les elfes. Ils arrivèrent ainsi au campement des humains, croisé des mois plus tôt par Finrod. Asfindel portait toutefois un enfant depuis un certain temps et ne pouvait se permettre de poursuivre le voyage. Elle décida de rester avec le peuple de Beren pour mettre au monde son enfant à qui elle donna le nom de Finrodel Rënia (vagabond en Sindarin), car elle voulait garder le secret sur sa véritable origine et le croyait voué à une existence d’errance sur Arda. Mais le père de Finrodel reprit la quête ardue de retrouver Finrod et mouru se faisant. Finrodel fût élevé par sa mère dans le village humain où il était né et passa son enfance parmi les autres enfants de l’endroit. Il ignorait tout de ses origines elfiques puisque sa mère cachait toujours ses oreilles sous un capuchon et que les siennes avaient été coupées peu après la naissance.

Il n’apprit la vérité que le jour de ses vingt ans, alors qu’un elfe du nom de Voronwë, messager de Turgon, passa par le village et s’adressa à Finrodel, lui apprenant que ce nom était celui d’un elfe parlant le Sindarin, un Noldor! Apprenant ce que lui avait caché sa mère, il demanda à Voronwë de le prendre avec lui et qu’il ferait route ensemble jusqu’aux Falas. Le jeune elfe fît ses bagages, mais se trouva intercepté par sa mère. Toutefois, elle ne tenta pas de le retenir, elle savait que c’était là le destin de son fils. Elle lui remit simplement un anneau : celui de son oncle, Finarfin, prenant la forme d’une minuscule couronne de fleur d’or. En tout dernier, avant de l’embrasser une ultime fois, elle lui remit un sac à dos, rempli des affaires de voyage que son père n’avait pas prit pour son voyage en Tol-in-Gaurhoth. Quand son fils s’éloigna, elle lui cria qu’elle quitterais les terres actuelles pour rejoindre Valinor, loin de tout les maux qu’avait pu lui faire ce monde.

Psychologique:
Finrodel, de la lignée de Finarfin, porte encore la noblesse et cette sagesse du cœur si puissante chez cette famille. D’une générosité sans limite, c’est une personne qui voit du bon en chaque être et qui ne rechigne devant rien pour que le bien triomphe. Comme tout les elfes ayant reprit la route d’Arda, il possède une soif inépuisable pour la découverte, toujours à la recherche d’un nouveau lieu et de nouveaux gens. Il à des allures de fou avec ses vieilles loques et ses paroles aimables et farfelues qu’il lance à tous, mais ce n’est là qu’une parure (ou parfois une envie de semée généreusement la joie aux alentours). Car Finrodel n’en demeure pas moins le fils d’un intelligent et puissant seigneur elfique. Et bien qu’il ne l’ai jamais connu, le même sang coule dans ses veines. Toutefois, il se refuse à la guerre autant que possible, préférant mettre ses connaissances à profit du peuple, un trait de caractère qu’il doit tenir de Cìrdan, chez qui il reçu son éducation elfique après le départ de Voronwë pour Valinor.

Ok c'est parfait Finrodel! Je vois que tu as déjà demandé un métier et commencé le Rp. Bon jeu!

PS: N'hésite pas à utiliser le bouton "éditer" en cas de besoin (comme par exemple pour modifier ta fiche au lieu de reposter un message, mais tant pis). Bonne soirée!

Bienvenue Finrodel !

Bon, désolé, mais ce n'est pas parfait.
Malheureusement, inventer une soeur à Glorfindel et un autre fils inconnu à Finwë est beaucoup trop extrapoler l'oeuvre de Tolkien pour le forum.
D'autant plus qu'une telle situation ferait de toi le neveu de Glorfindel, Fëanor, Fingolfin,... Rien que ça !

Il tout à fait possible que tu gardes une noble origine pour ton personnage, mais je t'invite à prendre pour aïeuls des seigneurs elfes du premier âge sortis de ton imagination.

Bon jeu !

Ha! Ha! Comme je comprenais pas tout à fait, je suis aller fouiller un peu^^ J'avais oublié que le dernier fils de Finwe était Finarfin :P

C'est encore pire que mon ancienne version XD

Alors je me retape une histoire illico :P

Nom : Finrodel Rënia
Age : 7846 ans
Emploi : Voyageur (Mage)

Description physique :
Finrodel était, selon les dires de sa mère, fort semblable à son père. Il possédait une belle chevelure blonde qu’il s’efforçait de garder courte lorsqu’il voyageait, ainsi que des yeux bleus sombre comme la mer. Comme tout Noldor, il avait un visage imprégné de pureté qui transcendait la beauté de la première race, mais qui paraissait étrangement vieillit pour être celui d’un elfe. Il avait aussi la voix puissante de son père, capable de réciter des chants qui n’avait plus été entendu sur la Terre du Milieu depuis la chute de Morgoth.

La majeure partie de son temps, il avait l'air de n'importe quel errant ou marchand itinérant des Terres du Milieu. Portant un sac à dos au lanières maintes fois reprisées, des bottes de cuir d'une grande souplesse et que l'usure avait rendues faiblement dorées. Un pantalon et une chemise de lin grisâtre aussi usé que le reste, à la fois confortable et pratique pour le voyage, sans plus. Sa seule "protection" était un mince gilet de cuir, semblable aux bottes, passé par dessus sa chemise. Finalement, une ample cape à profond capuchon d'une couleur insaisissable complétait le tableau.

Signes distinct:
Il possède des oreilles rondes comme celle des humains qu'il doit à l'un des servants de Morgoth. Sinon, il porte presque tout le temps de vieux habits de voyage délavés sur lesquels on peut entrevoir un lac et des étoiles.

Histoire :
C’est au lac Cuiviénen que Finrodel vit le jour, moins d’une semaine avant le premier assaut de Melkor. Son père, Delinwë, mouru en défendant la petite hutte familiale. Son chant magique, inné chez certains Quendis, avait protégé toute la famille, mais il était mort d’épuisement. Bien peu d’elfes décidèrent de ne pas suivre les Valars lorsqu’ils les invitèrent à les suivrent vers Valinor. Sa mère, atterrée par la mort atroce de son mari et face à l’obligation d’élevée seule un jeune enfant, n’eut pas la volonté de suivre les Valars. Ceux qui choisirent de rester derrière subirent les tourments de Morgoth qui captura nombre d’entre eux pour en faire les premiers orcs. Presque tout les peuples elfes à l’exception de celui de Thingol, protégé en Doriath, furent ravagé par le Noir Ennemi. Particulièrement ceux se trouvant prêt du lac Cuiviénen, là où il les avaient confrontés pour la première fois et où ils étaient les plus nombreux.

C’est ainsi que vieillit Finrodel, tel un nomade, il vivait de chasse, de pêche et de cueillette tout en priant pour ne pas être capturé par Morgoth ou l’un des Mayars fidèles à sa cause. À cette époque c’était une nuit éternelle, le ciel tacheté uniquement des petites étoiles d’un blanc éclatant qui avait été placé par Varda. Le monde était d’une beauté inconcevable pour des gens de l’époque actuelle, c’était un monde pur, sans souillure qui s’offrait aux Quendis. Mais il ne fallait pas se laisser berner, car très rapidement Melkor mit ses ruses maléfiques en action et les elfes durent trouver des moyens pour se défendre contre les attaques d’orcs, leurs propres frères pervertis. Finrodel était rusé, suffisamment pour des années plus tard on ne puisse pas le distinguer des Noldors ayant fait le grand voyage. C’est ainsi qu’il échappa longtemps aux menaces des orcs, n’ayant à les affronter que très rarement, il avait la chance de posséder un certain don pour passer inaperçu.

Mais après prêt de 300 ans, la pression était devenu insoutenable, la quasi-totalité du lac Cuiviénen était tombé sous la main de Morgoth et c’est ainsi que Rënia entreprit son premier véritable voyage. Il parti à la recherche de Doriath, trouvant ainsi refuge auprès du seul royaume fortifié et structuré d’Arda. Il y fit la rencontre de grands esprits avec lesquels il apprit beaucoup et partagea son savoir unique des terres extérieures. Il eut la chance de voir Lùthien, plus belle de toute les femmes qu’Arda porta, mais aussi le malheur d’être un participant de la première véritable guerre des enfants d’Illùvatar. Il faisait parti de l’armée de Thingol, chargé de repousser la première invasion de Beleriand. Il dû à son manque de talent pour les armes, de sortir vivant de cette confrontation. Meilleur dans l’art des chants, il restait en arrière garde pour prodiguer des soins au peuple de Doriath, plutôt que d’affronter directement les légions de Morgoth.


Psychologique:
Finrodel porte encore la noblesse et la sagesse du cœur si puissante chez les premiers Quendis. D’une générosité sans limite, c’est une personne qui voit du bon en chaque être et qui ne rechigne devant rien pour que le bien triomphe. Comme tout les elfes ayant grandit sur Arda, il possède une soif inépuisable pour la découverte, toujours à la recherche d’un nouveau lieu et de nouveaux gens. Il a des allures de fou avec ses vieilles loques et ses paroles aimables et farfelues qu’il lance à tous, mais ce n’est là qu’une parure (ou parfois une envie de semée généreusement la joie aux alentours). Car Finrodel n’en demeure pas moins l'un des plus anciens enfant d'Illùvatar. Et bien qu’il n'en fasse que rarement mention, les années d'expériences ne trompe pas. Toutefois, il se refuse à la guerre autant que possible, préférant mettre ses connaissances à profit du peuple, un trait de caractère qu’il tient depuis le premier combat de Beleriand et qui s'est renforcé avec ses années d'éducation auprès de Cìrdan.

Oui, cette fois ci, on y est bien !

Un très ancien Moriquendi parcoure le forum désormais

Bonne continuation et bon Rp !