Un Ours Vagabond

Il était tard ce jour-là, et la majorité des lanternes du petit village étaient éteintes. L'herbe était humide et fraiche, la lune pleine et ronde et le ciel noir comme du charbon. Il avait plu toute la journée, les villageois, complètement fatigués par le travail de leurs terres, s'étaient rapidement endormis en ne pensant qu'au lendemain matin et à la rosée matinale.

Des yeux flamboyèrent dans l'obscurité. Un énorme ours brun s'avançait en direction du village; il était complètement affamé, il n'avait rien goûté aujourd'hui et l'odeur des chèvres et des cultivateurs l'avait attiré. Bien que très lourd, la grosse bête poursuivait son chemin en silence et en reniflant. Il découvrit ses crocs, longs et taillés pour déchiqueter la chair. Ses griffes étaient quant à elles capables de désarçonné le meilleur des cavaliers de la Marche ...

Bêêêê! Bêêêêê!
Une odeur. Etrangère. Une senteur fauve, un parfum sauvage.
Il n'en faut pas plus à la chèvre pour s'alerter. Elle a raison.
La panique dans le troupeau de quelques bêtes.

Crraacc
Le bois de l'enclos qui cède. Les deux yeux jaunes qui la fixe.
Une peur sans nom qui les envahit toutes.
Un coup de griffe. Le sang.

Une lumière qui s'allume. Des cris. Le paysan arrive, un long poignard à la main, une lanterne à l'autre.
Le cadavre de la bête trône au milieu de l'enclos.
-" Un ours! "
Celui-ci est déjà reparti. Des empreintes profondes accompagnées de traces de sang retourne vers l'ouest.

Le village est réuni. On ne peut rester sans réactions...
-"Oui, mais quoi? Le chasser avec des fourches?"
_" Demandons des cavaliers. Ou espérons que de courageux gens passent par ici. Ah!, si il y avait des elfes ou des hommes du nord..."
-"Ainsi soit-il!"

D'une main peu sûre, guère formée à l'écriture, on a écrit:

Mon seigneur, nous demandons de l'aide. Un ours terrorise nos régions. Dépêchez-nous des cavaliers, je vous en prie!

La missive parvint au poste de guet le plus proche. Ils espéraient des réactions.

Yrian chevauchait son cheval observant la plaine, un brin de blé dans la bouche, le village qu’il observait était en grande agitation. Un homme lui avait promis une petite somme pour tuer un ours. Les ours ces énorme bête qui n’était dépassé que par des Mumaks. Sortant de ses pensées il s’avança pour aller à la rencontre des villageois tous alarmer.

– oh noble villageois que faites-vous ?
- On hérige des barricades ! lui répondit le paysan, Yrian faillit éclater de rire, l’ours traverserait les barricades comme du beurre mou.
- Et on attend les cavaliers du rohan ! En es-tu un ?
- Non, je suis un gondorien, un homme du Nord !
- Ah , et le paysan retourna à ses occupations

Le village était composé de cinq maisons avec une tour au centre qui devait faire office de maison du chef, toutes les maisons étaient en paille et en chaume les paysans devaient tous se connaître.

HRP : c’est juste un petit message pour dire que je participe maintenant à vous admins de le ponctuer d’évènements  .

Je chevauchais passiblement dans les plaines du rohan.
Alors que je passais proche d'un petit village. J'ai eu ouïe des mésaventures qui si étais passer. En voyant que les paysant demandaient mon aide car j'étais un cavalier de la marche. J'acceptais avec précipitation a défendre le peuple.

- Cher paysan, je me nomme Elfwine et je suis un cavalier du rohan, et je suis près a faire mon possible pour vous débarasser de cet ours.

>"Réunissez les hommes chez moi!"
-"Les deux arrivants aussi?"
>"Les deux arrivants surtout!"

On fait rapidemment passer le message par quelques cris.
Un instant plus tard, le chef trône derrière une table bancale, sur une chaise de chêne. Il a le visage rude. Ses cheveux bruns sont longs. Il porte un long couteau à sa main. Nul doute qu'il n'est guère expérimenté à son maniements. Une expression grave se lit sur son visage.

>"Bon, il est temps d'agir! J'ose espérer que les deux hommes expérimentés parmis nous pourrons être notre salut..."

Yrian arriva d’un pas nonchalant précédé de deux paysans comme si il était leur dernier espoir et qu’il allait s’échapper. Tout ce qu’il espérait lui c’était de gagner de l’argent, sans toute fois extorquer ces pauvres paysans. Dans la salle régnait une atmosphère étrange et envahissante, l’on sentait la peur des paysans et leur curiosité sur l’homme du Nord. La salle était simple quoi que propre, elle était en pierre signe de son importance. Sur ses murs était accroché un bouclier avec un cheval blanc debout sur ses pattes arrière, sûrement le blason du village.

Le maire et tous les paysans observaient les deux hommes jusqu'à ce que le maire déclare :
-Par quoi l’on commence ? Comment tuer un ours ?
Yrian esquissa un sourire mesquin presque vulgaire et lui répondit calmement
–Le problème n’est pas de le tuer mais plutôt de le trouver, car une flèche dans le cœur et le travail est fait
Le mercenaire observa l’effet de sa déclaration sur l’assemblée, les paysans étaient abasourdis car en effet avec son arc il pouvait le tuer facilement car cette arc était gravé de la rune de la puissance de roraus et pouvait percer les plus dures armures.

–L’ours sera sûrement craintif, il a peur du feu il faudra donc le traquer dans les bois et le débusquer dans sa tanière où je le couvrirai de flèche et le vaillant chevalier du rohan ira lui porter le coup de grâce

A ce moment une onbre s'avança au centre de l'assemblée. Lorsque le jeune homme retira son capuchon, un murmure s'éleva parmis la population. Le chef du village aussa la voie et dit:
Qui est tu ? et pourquoi vient tu ici a cette heure ?
Le jeune homme répondit:
Je suis Jolane, je suis un rôdeur de passage dans votre pays et je dédie ma vie à parcourir la terre du millieu pour venir en aide aux peuple du bien.
En passant dans un village voisin, un paysan ma appris que vous cherchiez de l'aide. C'est pour cela que je suis ici. Maintenant a vous de décider si vous acceptez mon offre ou non.

Jolane enleva alors sa cape et tous le monde vit qu'il était équipé d'un arc court composite orné des signes de portée elfique et de la rapidité de l'anduin mais également une vingtaine de flèches de bois dans un carcois courant en cuir acrochés dans son dos.

Elfwine arriva sur son fidèle destrier, Asfaloth qui laisse a l'extérieur de la salle. Il avait entendu dire que les paysans avait demander son aide. Il était rentrer dans la salle peut de temps apres que Yrian s'étais mis a parler, personne ne l'avait vu. Alors il s'adressa aux personnes présentent :

- Je suis près a vous aider a tuer cette ours avec les 2 hommes présent ici.
- Je suis en accord avec l'idée de traquer cet ours ou bien l'attirer ici, bien je ne sais pas s'il va revenir. Je ne fais que proposer des idées.
- Je propose aussi que quelqu'un prene en charge cette attaque a l'ours pour etre sur de bien etre préparer car cette rare que nous devons attaquer des ours.

Elfwine attenda la réaction des paysans et des 2 hommes près a les aider.

Yrian contait sur son expérience de l’arc pour tuer cette bête, mais pour la traquer les services de ce rodeur lui seront inestimables. Il avait écouté les deux hommes parler toujours ce sourire mesquin aux lèvres.

–Partons sur le champs traquer cette ours nous devrons le tuer vite car la rage d’un ours est telle qu’il peut emporté plus de six personnes avant de succombé alors soyer vigilent !

Le mercenaire partit en tête d’une colonne de dix paysans avec le rodeur et le cavalier à ses côtés ce dernier à cheval tout comme lui. La marche dura une quinzaine de minute, elle fut sans encombre et les paysans leurs avait montré le chemin.

A l’entrée du bois les paysans avancèrent de moins en moins vite. Bientôt ils furent arrivés devant une caverne. Un rugissement retentit.

[HRP] donc allez y battez vous un peu contre cette ours mais ne le tuer pas trop vite, il faudrait que chacun puisse au moins décrire une attaque [/HRP]

Le mercenaire et le cavalier mirent pied à terre. L'ours était la sans aucun doute. Je découvrit quelques empruntes sur le sol, à leur vue je compris a quel point l'ours devait être énorme, une seule de ses traces mesurait la longueur de deux pieds. L'ours nous avait senti le problème était de savoir comment le faire sortir de sa cachette. Je pris la parole:

Nous ne pouvons pas rentrer dans la taverne se serait beaucoup trop dangereux, peut être pourions nous l'enfumer, sela l'obligerait à sortir de la grotte ou au mieux qu'il meur d'asfixie.
Quelqu'un aurait il une meilleur idée ?

Jolane se tourna vers les hommes qui l'acompagnaient et attendi une réponse notament de deux guerriers.

En débarquant de son cheval, Elfwine pris son épée et son bouclier. Apres avoir entendu les propo du rodeur, Elfwine parla :

- Je crois que sa peut etre une bonne idée.

Eflwine chercha aux alentours quelque chose pour partir un feu. Apres quelque minute il avait réussi a trouver 2 morceau de bois convenable pour partir un feu et quelque brindille et un gros baton. Il essait a 2 ou 3 reprise avant de faire partir les brindilles. Il réussit a mettre le feu au baton et en approchant de la grotte avec le baton en feux et le bouclier dans l'autre main, pour lancer le baton en feu a l'intérieur, les chevaux commencaient a avir d'une drole de manière. Leur comportement devenant de plus a plus craintif. Quand Elfwine allait le lancer, l'ours vaillie de la grotte en grogant. Il graffinait Elfwine a l'épaule qui avait a peine eux le temps de l'éviter avec son bouclier.


p/s:C'est a votre tour et j'ai un peu besoin d'aide .

Yrian avait laissé ses camarades faire mais lorsque l’ours se décida à avancer et qu’il attaqua le cavalier du rohan il banda son arc et décocha trois flèches les unes derrières les autres.
La première partit dans le décor pour se figer dans la roche, preuve de la force de l’arc. La deuxième blessa l’ours à la patte, ce qui entraîna une ruade de celui-ci qui tua un paysan. Mais la troisième flèche le coupa dans son élan en fauchant une fois de plus sa patte.

–Paysans venger vos chèvres !

La rage monta dans le cœur de ceux-ci et ils s’élancèrent pour achever l’ours. Lorsque les paysans furent à porté de griffes l’ours se réveilla dans un bond que l’on aurait cru impossible pour sa masse. Il tua ainsi deux paysans de plus. Les pauvres gueux reculèrent de peur et lorsque certain décampèrent les autres suivirent.

–Dire que l’on m’avait dis que les rohirrim étaient courageux ! J’espère que tu va sauver leur honneur dit-il en se tournant vers le cavalier

Ce n'est pas un problème de courage, c'est un problème de savoir manier un arme Répondit Jolane à Yrian.

La bête voyant les paysans fuir crut à un moment de répit et bondit dans la direction inverse c'est a dire dans la forêt pour échaper aux flèches meurtrières du mercenaire. L'ours commençait a s'éloigner lorsqu'il reçut une flèche dans l'épaule ce coup dut a l'alliance de la rapidité de l'anduin et à la portée elfique. La bête meurtrière se fondit dans la forêt.

Les flèches que nous avons tirés lui ferons perdre du sang. Je vous guiderais et nous le pisterons à 3 car désormais les paysans ne reviendrons pas après la mort de leur semblables. Enterrons les quelques cadavres en dehors de la forêt et suivons cette bête mes amis car maintenan nous sommes amis de combat que vous le vouliez ou non.Dit Jolane.

Les cavaliers galopaient a brides abattus...

Berund se rappelait les paroles du Roy quand il avait reçu la nouvelle de l'ours affolant les paysans:

Le devoir d'un souverain est de protéger ses sujets. VOus le savez mieux que moi Berund. Je vous demande de partir pour les aider un maximum. Après vous pourrez partir pour le Nord.


**********


"Ou est l'Ours?"

Berund questionnait les villageois. Ils lui indiquèrent la direction prise par les quelque guerriers envoyer vers la bête sauvage.

Folie, se dit Berund. Ils aurait dut nous attendre. Il se peut que la bête s'enfuis, et il nous faudra des semaine pour la retrouver...


**********

Des paysans fuyaient. Ils avaient accompagné l'expédition contre la bête. Au loin une fumée brûlait. Berund et son eored s'avancèrent.

Ils rejoignirent les quelques hommes restant dans la foret. Les rohirrims des plus heureux en voyant les cavaliers royaux arrivé.

Berund déploya ses troupes, puis salua le chefs des soldats.

Ils allaient attaquèrent la bête dans la foret. Pour retrouver sa traces les cavaliers se déployèrent tous les dix mètre et rentrèrent dans la foret. 10 cavaliers et un garde royale, plus les quelque chasseurs, cela leur laissait pas mal de chance de retrouvé la bête...

Elfwine se releva apres que l'ours l'ait attaquer et il le vit partir dans la foret.Ils aida ses 2 nouveau compagnons de bataile a mettre le corps de ses valeureux paysans sous terre quand il entendit les cavalier du rohan venir vers eux. Il savais que la cavalier qui arrivait étais Berund, fils de Berunda, il avait entendu parler de lui sur cette terre.Alors Elfwine se présenta :

- Bonjour a toi Berund, je suis Elfwine, cavalier du rohan. Nous servons la même cause.

Alors Elfwine raconta a berund ce qui s'étais passer et Berund expliqua son idée a Elfwine pour chasser l'ours.
Elfwine :
- Je ne crois pas que cette une bonne idée d'aller chercher cette ours avec des cavallier dispersé, cela pourrait etre dangereux car l'ours pourrait facilement nous entendre venir.
- Avec un rodeur, il est plus facile de pister quelque chose. Je propose que nous suivions Jolane a travers la foret.
-Partons sur le champs avant qu'il ne s'éloigne encore plus.

Et les cavalier pénétrèrent dans la forêt... La bête laissait des pas tel qu'il n'était pas utile d'avoir un rôdeur a ses cotés pour la suivre...

Un coucou chanté... A gauche, une rivière murmurer sa belle ode d'amour... son ode pour la vie. Sur la droite, de nombreuse fraises des bois poussaient...

A quelques mètre il y avait des champignons... Et devant une forme brute...

Le monstre attaqua. deux cavaliers furent mis a terre, sans blessure grave... la bête sauvage s'enfui de nouveau en suivant le cour de la rivière, ce qui la rendait difficile a suivre. Vite, les humains perdirent la trace de leur proie... La, le rôdeur serait utile...

Tous les hommes s'élancerent derrière la bête, je la suivait sans aucun souci une trace, une branche cassée, un tache de sang... L'ours laissait derrière luis toute une panoplie d'éléments qui me permettai de le traquer. Lors de sa fuite, il longea la rivière un moment puis la traversa, on pouvait le remarquer grace au fond de la rivière qui avait été retourné et de petits nuages de poussierres s'échapaient de ces traces faite sur la vase de la rivière. Pour lui la traversée fut surement une épreuve physique immence car la rivière était très puissante, alors pour nous de vulgaires hommes, il était impossible de traverser à gué. Il fallait trouver une solution pour passer et vite sinon le monstre nous prendrait trop d'avance. Elfwine eu une idée il proposa d'abattre un arbre pour traverser. une fois que les hommes eurent traversés sur ce pont improvisé, je les guida vers une colline boisé.

Il a dut se réfugier la haut. Il a ralenti son rythme de fuite, cela se voit dans ses empruntes. Faites passer le message à tout les hommes de prendre garde, il est dans les parage.
Soudain il me parut entendre un bruit suspect:
Taisez vous et ne bougez plus!
Je m'abaissa au sol et écouta si la terre pouvait me donner des informations. J'écouta pendant quelque instants. Et j'entendis le bruit de ses pas de plus en plus proche. Berund m'interpela:

Rôdeur, que fait on ? Entendez vous quelquechose ?
Après m'être relevé je leur dit:
Il est ici, il arrive. préparez vous au combat !

Berund donna des ordres en rohirric à ses hommes. Nous nous mirent tous en position de combat et atendirent.

Les soldats bondirent dessus comme des lions avec la rage au ventre. Leur désir protéger leurs terres était trop fort pour l’animal qui s’enfui de nouveau. Mais cette fois si les deux archers commençaient à en avoir marre et décochèrent nombre de flèche fauchant l’ours qui se retrouva à terre agonisant.

Noble cavaliers du Rohan, aller sauver l’honneur de vos chèvres !

Yrian dégaina et se précipita sur l’ours, peut être le suivrait-on, qui sait.

Yrian jeta un dernier regard à l’ours avant de le dépecer pour avoir sa fourrure. Lorsqu’il eut fini sa lourde besogne et qu’il eut prit la précaution de cacher la dépouille pour éviter les odeurs il rejoigna le groupe.

Allons boire une bière à edoras et compter notre victoire au roi !

Yrian déposa la fourrure de l’ours sur la croupe de son cheval puis enfourcha ce dernier. Il partit sans se retourner ne sachant qui le suivrait.

En attedant les propros de Yrian, Elfwine se retourna :

-Je suis d'accord avec toi, cela nous changerais un peu les idées.

Elfwine alla rejoindre Yrian a ces coté, a cheval, et il commenca une longue discussion tout au long tu trajet, chacun raconta leur petit déboire.

Après le combat Jolane arracha les deux canines de l'ours et partit les nétoyer dans la rivière L'une fera un beau pendentif et lautre coutera bien 150 £ pensa t'il.
Il s'élança à la poursuite de ses amis qui se dirigeaient vers Edoras.