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Aldburg se dévoile de plus en plus | |
| Gallen Mortensen Vice Roi du Rohan - Champion Rohirrim
Nombre de messages : 1596 Age : 48 Localisation : Minas Thirith Rôle : Vice Roi du Rohan
~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim -: 31 ans -:
| Mer 24 Aoû 2011 - 1:06 | | Eogam se trouvait dans les appartements du maréchal Gallen Mortensen. L'épouse du maréchal lui tournait actuellement le dos. Le capitaine de la garde d'Eomer admirait le calme de la jeune femme; pourtant les nouvelles étaient mauvaises. Orwen avait quitté Aldburg pour se porter au secours de Marionel au risque de se faire prendre ou pire tuer. De plus sous la torture il pouvait révéler le rôle joué par Aldburg. Le géant était mal à l'aise, il aurait préféré une bonne tuerie dans les plaines du Riddermark plutôt que des affres politiciennes. Et être seul dans la même pièce que Farma le dérangeait, le gênait même, pas facile pour un rude guerrier d'avouer un amour...Mais surtout les pensées d'Eogam étaient tournées vers Edoras et surtout vers Marionel. Il se rappelait le départ précipité du Prince, le valeureux Tinomir avait décidé de le suivre, Harding le dernier protagoniste de son sauvetage hésitait à la démarche à suivre. Eogam lui était rentré à Aldburg pour prévenir Dame farma, mais il uarit tant aimé se joindre à Orwen. Certes sa décision était irréfléchie voire dangereuse mais quel panache !! le capitaine s'était mis à se dire que mourir pour un tel roi serait un honneur. Farma enfonça ses ongles dans la paume de sa main gauche par frustration, l'impulsivité d'orwen la mettait , elle et sa cité dans une situation intenable, mais Orwen avait raison. Tout comme lors de sa conversation avec Edor, elle respira un long moment et elle se retourna , lança un rapide regard à l'écuyer de Gallen: Eothain et d'une voix maitrisée elle s'exprima "Capitaine Eogam, voici mes ordres, envoyez deux eoreds sur le champ pour épauler orwen , elle semettront sous ses ordres sur le champ...... Et"
elle déglutit "Préparez les défenses de la cité, multiplier par deux les tours de gardes, faites entrer les provisions et fermez les portes de la cité"
Eogam approuva d'un signe de tête, l'épouse du maréchal affiicahit son soutien à Orwen tout en préparant un siège d'Aldburg Le colosse se retira prestement. Farma lui dit juste d'un ton amical "Fais attention à toi Eo"L'officier eut un sourire fugace en entendant son surnom de jeunesse. Farma jurait mais que faisait donc Gallen??? -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Les deux eoreds partirent au galop rejoindre Edoras. Eogam les regarda un long instant. La guerre civile voilà ce qui se préparait, il observa les cieux sombres comme l'avenir de sa contrée. Il fut le dernier à franchir les portes de la ville d'Eomer récemment restaurées. Le bruit de leur fermeture semblait définitif tel un cercueil que l'on ferme. #Farma #Eogam |
| | | Nathanael Espion de l'Arbre Blanc
Nombre de messages : 1025 Age : 35 Localisation : Pelargir Rôle : Espion
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 34 ans -:
| Jeu 8 Sep 2011 - 8:45 | | Tinomir et le prince Orwen avaient quitté la Cité plusieurs heures plus tôt. Ils ne s’étaient pas retournés. Harding gardait à l’esprit le souvenir de l’emblème du Rohan qu’ils portaient fièrement sur leur tunique – la noble tête du Méadras gravée dans leur dos était comme une brûlure pour le jeune guerrier. Une image fugace qu’il retenait rageusement en lui comme un joyau ardent que l’on refuse de lâcher. Les deux hommes quittaient Aldburg pour sauver une ombre. Marionel était peut-être morte, moribonde, souffrante … attendant une aide. Harding ne savait que penser, mais il ne voulait plus se plonger dans le tumulte des affaires politiques. Les paroles et les discours étaient feuilles mortes, la page de la diplomatie avait été arrachée à l’Histoire des Rohirrims. Orwen s’engageait sur un fil prêt à rompre au moindre soubresaut. Il courrait après un souvenir … Mais Marionel n’était-elle pas en cet instant le symbole même de ce qu’il défendait depuis l’avènement de Hogorwen ? L’image floue de l’elfe, l’incertitude qui était attachée à la possibilité qu’elle fût en vie, n’était-ce pas ce sentiment que Harding ressentait envers les traditions rohirrimes et le souvenir du Rohan tel qu’il était sous Théneor. Il se battait depuis le début pour des réminiscences, orgueilleux nostalgique. Orwen continuait ce combat non pour l’elfe, mais pour le Rohan tout entier. La volonté qu’il devait avoir de retrouver l’archère n’était que le pâle reflet de la volonté qu’il pouvait éprouver pour faire reparaître les valeurs rohirrimes et la justice en son royaume… « Nathanel t’a bourré le crâne de symboles et d’images, si Orwen meurt, le Rohan mourra avec lui, alors il en faudra d’autres pour restaurer la gloire de ce royaume et mettre à bas les usurpateurs. Seules les armes feront l’affaire et l’histoire du Rohan s’écrira une nouvelle fois avec le sang de son peuple. Que Melkor emporte les contes et les légendes, elles ne servent qu’à faire miroiter le rêve de courses folles aux culs-de-jatte. Ceux qui ont leurs jambes n’ont pas besoin de ça pour marcher ».
Harding mit un terme à ses pensées en engagent le pas à un groupe de soldats appelé pour renouveler un tour de garde. La nouvelle n’avait pas été longue à se propager dans la cité. Comme une traînée de poudre elle avait gagné tous les foyers. Les guerriers avaient regagné leur poste avec un sourire nonchalant sur le visage et une joie non contenue. Tous avaient arboré les couleurs du Rohan telles qu’elles étaient sous Thénéor - telles qu’elles avaient toujours été. Harding avait lui-même pris soin de se parer de son uniforme de la Garde Royale. Il avait revêtu son armure avec fierté et allégresse. Il se sentait porter aux nues à présent qu’il n’était plus seul à défendre ses convictions. C’était tout un peuple qui se soulevait comme une main, prêt à s’abattre avec furie sur le visage d’un ennemi qu’il voulait défigurer.
Il n’avait pas revu le capitaine Eogam ni la dame du Maréchal Mortensen. Mais il avait compris les tenants et les aboutissants des choix pris en haut lieu lorsque les premiers cavaliers s’étaient préparés. Les chevaux avaient piaffé d’impatience. Leurs naseaux dilatés avaient humé l’air de la vengeance et les guerriers avaient tous psalmodié un vieux chant traditionnel en passant les portes. Ils courraient à la mort, la fierté au cœur et la rage au corps. Harding avait gravi les hautes marches de pierres comme un enfant pour voir les guerriers partir au combat. Silence n’avait pas apprécié de demeurer à l’écurie mais Harding s’était décidé à rester derrière les murs. Il avait un mauvais pressentiment. Ils avaient vaincu une fois les eoreds de Hogorwen, et la chance avait été pour beaucoup dans leur maigre victoire. Les vaincus avaient regagné leur maître à présent et réclamaient de violentes représailles. Aldburg avait pris parti. Un orage de menaces pesait sur leur avenir. Et les décisions de Dame Farma lui paraissaient plus réfléchies que les élans chaotiques d’Orwen. Harding avait toujours été prompt au combat et agité par la soif de coups face à l’ennemi. Mais en matière de stratégie il n’était pas dupe et savait prendre du recul. Il savait être hargneux sur le champ de bataille mais il était aussi fin tacticien. D’une façon ou d’une autre, qu’Orwen réussisse ou non ses exploits, il leur faudrait le soutenir. Harding savait qu’il pourrait patienter jusque là. En revanche si Orwen échouait les positions à Aldburg seraient les derniers remparts contre l’oppression et le joug de Hogorwen. Et il ne pouvait tolérer que ces remparts soient submergés par une vague ennemie et disparaissent sous le flot de l’ignominie.
Tous, ils attendaient …
#Harding |
| | | Môrhïn Bohémienne
Nombre de messages : 338 Localisation : Dans un coin de ces terres.... Rôle : Danseuse, arnaqueuse et voleuse
~ GRIMOIRE ~ -: Humaine -: 25 années -:
| Ven 9 Sep 2011 - 10:07 | | Cassandre soupira brièvement. La jeune femme croulait sous le poids conjugué du cuir rehaussé de métal de son armure, de la fatigue de cette première journée bien remplie, du stress occasionné par sa duperie et de son incapacité flagrante à tenir correctement cette maudite épée de bois. Ses épaules s’affaissaient à mesure que les remarques du maître d’escrime fusaient. « T’es la pour apprendre à te battre ou pour faire la cuisine ? Tu tiens cette arme comme un boucher son hachoir » « Plus droit ! Les jambes plus souples ! On dirait un piquet ! » « Pitoyable ! T’as autant d’force qu’une femmelette ! » « Bon sang, où c’est qu’ils m’ont dégotté une lavette pareille ! »Malgré ses déconvenues, ou peut être à cause d’elle, pour se prouver qu’elle en était capable, elle ne renonçait pas et restait positive tout en s’appliquant aux conseils du duelliste. Il la voulait plus souple ? Plus souple elle serait. Serrant durement son pommeau, elle releva son épée de bois et se plaça en garde relevée comme il le lui avait enseigné un peu plus tôt. Elle manquait certes de l’endurance nécessaire aux maniements des armes de contact, néanmoins elle faisait preuve d’un certain courage. Après tout les coups reçus et les hématomes qui ne manqueraient d’apparaitre dès le lendemain sur sa peau, elle continuait la leçon sans se plaindre. Sollicités à répétition, ses muscles bandés dans cette position peu confortable, la tiraillaient douloureusement. Elle hocha la tête, signe qu’elle se sentait prête à subir un nouvel assaut. Avec une rapidité calculée, le maitre d’arme élança sa lame vers son épaule. Premier coup paré. Le choc retentit agréablement aux oreilles de Cassandre, qui pour la première fois de la journée, réussissait enfin l’exercice. D’un second geste fluide, dans la continuité de l’autre, il visa ses jambes. Vllllaaaaaaan ! Elle la réceptionna de plein fouet sur sa cuisse. Ses dents gravèrent une marque dans le galbe de sa lèvre pour retenir un petit cri de douleur. « Mieux. Ce sera tout pour ce soir ! » conclut son mentor visiblement plus préoccupé par le remue-ménage à l’autre bout de la cour que de son élève du jour. « Je me demande ce qu’est ce foutoir ! » ajouta-t-il comme pour lui alors que son regard pénétrant détaillait la scène. A son tour Cassandre, fourbue et épuisée, leva ses yeux sur le curieux spectacle. Une rumeur commençait à enfler, et des bribes de voix leurs parvenaient pêle-mêle. « Aldenburg …. Fermer ses portes …..Doublement des rondes…. »
« Je vais voir. Ramasse donc tout ça ! »Le maitre d’armes lui tendit son épée de bois, et la laissa sur place tandis qu’il allait aux nouvelles. Un petit attroupement se formait à présent. La jeune fille se détourna et commença à rassembler les affaires. La rondache, et les fausses épées retrouvèrent leurs emplacements sur le présentoir d’entrainement. Puis, elle désangla méticuleusement son plastron et l’ôta avec un indicible soulagement. Sa tunique à la livrée des écuyers était trempée de sueur. Elle sentait un savant mélange de foin, de cheval et de transpiration. Son petit nez se fronça. Un bain. Elle rêvait d’un bain chaud, aux fleurs de lavande, comme ceux qu’elle prenait auparavant dans la maison de son père. Pour enlever toute sa crasse, il lui faudrait aussi du savon... et beaucoup ! Elle n’eut guère davantage le temps d’approfondir ses désirs de bain ou de savon, que le maitre d’armes revenait. Il marmonnait entre ses dents d’un air tracassé. « Elle a fait boucler la cité ! Bon sang ! Et les effectifs de garde. C’est mauvais, mauvais, mauvais tout ça ! » Ronchonnait-il dans sa barbe, puis avisant de la présence de Cassandre. « T’es encore là toi ? Parait que Capitaine Eogam vient de revenir. T’es son nouvel écuyer, non? Alors tu ferais bien d’aller le rejoindre »La toilette attendrait, ses envies de coquetterie passaient après son devoir … et son devoir lui sommait de monter immédiatement se présenter à son supérieur. Cassandre avait entendu beaucoup de choses sur le cavalier, en bien parfois en mal, mais unanimement on reconnaissait sa valeur et son courage. La jeune femme espérait seulement être à la hauteur d’un homme aussi aguerri, aussi… impressionnant. Timidement, elle frappa à la porte puis entra sans attendre de réponse, ce qui marqua une première erreur de savoir vivre. Visiblement le capitaine n’était pas seul. |
| | | Gallen Mortensen Vice Roi du Rohan - Champion Rohirrim
Nombre de messages : 1596 Age : 48 Localisation : Minas Thirith Rôle : Vice Roi du Rohan
~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim -: 31 ans -:
| Dim 18 Sep 2011 - 16:45 | | Entrez Hurla la voix de tempête d'Eogam.
Cassandre découvrit Harding et Eogam dans les appartements du capitaine de la grade d'Eomer. Eogam essayait de convaincre le frère de Natahnael de devenir son lieutenant.Et l'ent blond se heurtait à la volonté de liberté et d'indépendance du jeune rohirrim. Mais Eogam ne renonçait pas, il se reconnaissait en cet homme, le goût pourla hache d'armes tout d'abord et surtout une volonté farouche.
Eogam dévisagea son jeune écuyer, le front plissé. Puis comme si une guêpe l'avait piqué: sa voix gronda de nouveau
"Ah oui c'est vrai en tant que capitaine j'ai l'extrême honneur d'avoir un écuyer"
Eogam eut un sourire sardonique et glissa un regard complice vers Harding. Le capitaine se reprit et indiqua une armure immense recouvert de sang séché et à moitié brisée
"Tu vois cette armure, elle appartenait au capitaine Eopur , mort pour la cause rohirrim, le célèbre Harding était présent lors de so ultime combat,ta première mission sera de la restaurer pour sa mémoire"
"Mais tout d'abord qui es tu , d'où viens tu et que représentes le Rohan pour toi et vite car tu as du boulot !!"
Tout en disant cela le colosse aux cheveux de paille se versant une choppe de bière bune et en proposait une à Harding |
| | | Môrhïn Bohémienne
Nombre de messages : 338 Localisation : Dans un coin de ces terres.... Rôle : Danseuse, arnaqueuse et voleuse
~ GRIMOIRE ~ -: Humaine -: 25 années -:
| Mar 20 Sep 2011 - 16:00 | | Cassandre ne se lassait pas dévisager le colosse blond. Tout en lui en respirait la vigueur, la force, le commandement. Il impressionnait aussi bien par sa taille que par sa voix, par son physique que par sa prestance. Elle en resta un instant muette, les yeux agrandis et la bouche bée. Cet homme était… elle n’en avait tout simplement jamais rencontré de semblable. Pour excuser cette adoration presque enfantine, je pourrais, sans mentir, affirmer que son manque d’éducation en matière masculine, transformait cette lacune en une admiration dévote. Il faut dire que le Capitaine Eogam n’était pas non plus n’importe qui.
La voix de stentor gronda de nouveau, et la jeune fille, craignant d’avoir un peu trop exagérer son examen, baissa docilement son regard vers ses bottes. « Récurer une armure », tête baissée, elle en profita pour faire une légère grimace furtive. Décidemment, en homme ou en femme, on attendait toujours qu’elle nettoie et lustre ! Une œillade sur l’objet du défi, et ses lèvres formèrent une seconde moue. L’armure avait bien souffert en plusieurs endroits. Le plastron s’enfonçait sur le flan gauche, et une myriade d’éclats et de fêlures constellait le poitrail. Visiblement le chiffon et l’huile de coude ne suffirait certainement pas pour ce travail. Cassandre se demanda un instant s’il ne la mettait pas à l’épreuve, juste pour juger de ses capacités d’adaptation et d’improvisation.
- Bien Capitaine.
Une impression renforcée, lorsqu’il commença à la questionner.
- Je suis Cassandre Siler, détachée à votre service. Je viens de …
Elle marqua un temps d’arrêt, autant pour ravaler les mots impromptus mais vrais qu’elle allait prononcer que pour réfléchir rapidement au mensonge qu’elle pourrait fournir. Etrangement, à son engagement, personne ne le lui avait demandé, et elle n’avait alors rien inventé à ce sujet. Mais maintenant qu’elle se trouvait devant la question, il lui fallait rapidement trouver une réponse satisfaisante. Devait-elle créer de toute pièce une histoire ? Ou pouvait-elle se permettre d’avouer qu’elle venait de ses terres natales ? Elle rougit, consciente des secondes qui s’égrenaient, de son air bêta, et du regard inquisiteur de son supérieur. Elle se racla la gorge pour donner une consistance plus grave à sa voix et reprit.
- Je viens d’un village près d’Errahow , le fief du seigneur de Relstor. Mes parents sont de simples fermiers. Mes frères reprennent la succession doucement, mais je ne voulais pas devenir comme eux.
Une vérité déformée… très très déformée pour ses parents mais c’était sortit tout seul. Et puis le tout restait plausible, enfin elle l’espérait, quoiqu’il lui manquait certainement ce léger parlé paysans. Sa ton à elle, sonnait légèrement aristocratique, un détail qu’elle se promit de travailler rapidement. De toute façon, elle ne pensait pas que le Capitaine s’intéresserait suffisamment à elle ou à ce qu’elle disait pour le remarquer. En tout cas elle était certaine que le nom de son père et de ses terres ne pouvaient lui être inconnu. Son paternel fréquentait la cour… à ce titre… ils s’étaient peut être déjà rencontré.
- Le Rohan est ma terre, ma patrie. C’est tout ce que je connais, tout ce que j’aime. .
Clair, simple, concis mais terriblement passionné.
Elle s’approcha du Capitaine, qu’elle ne souhaitait pas déranger plus longuement, puis s’empara de l’armure de ses longs doigts effilés sans cals dont les ongles noircis cachaient difficilement la féminité. Son déguisement manquait assurément de finesse, mais les détails trompeurs pouvaient la faire passer pour un garçon un peu trop efféminé. Il était difficile d’envisager pour bien des personnes, qu’une fille s’essaya à ce petit jeu de cache-cache pour rentrer dans la cavalerie.
L’armure était lourde, et ses muscles déjà endolori par son entrainement un peu plus tôt. Avec courage cependant, elle supportait le poids de l’ensemble en attendant qu’il la congédie… ou qu’il continue son interrogatoire. |
| | | Gallen Mortensen Vice Roi du Rohan - Champion Rohirrim
Nombre de messages : 1596 Age : 48 Localisation : Minas Thirith Rôle : Vice Roi du Rohan
~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim -: 31 ans -:
| Mar 27 Sep 2011 - 12:14 | | Deux étages au dessus, Dame Farma fixait toujours les plaines du Riddermark e le ciel noir qui commençait à gronder. Puis elle fut prise de nausée, une fois de plus; mais que se passait il donc??, Elle le savait ou plutôt elle ne voulait pas se l'avouer, elle attendait "un heureux événement" comme on dit.Elle était une guérisseuse, elle connaissait bien ces changements hormonaux. Elle fut un instant heureuse. Puis elle pensa à son père Thorin mort à Edoras récemment. Enfin elle eut un frisson qui lui parcourut l'échine: son Gallen était loin d'elle, elle avait tant besoin de lui en ces instants, et elle devait prendre de graves décisions , seule.
Mais que faisait il donc??
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Eogam trempa de nouveau ses lèvres dans le breuvage sombre. il sourit devant les paroles de la jeune Cassandra.
"je ne connais pas ce village mais tes paroles te font honneur"
D'une voix lasse il poursuivit
"Alors nettoie cette armure. Demain nous enterrons cet officier, un ami qui avait les mêmes valeurs que toi Cassandra. ma première leçon sera celle -ci écuyer :nous prenons soin des nôtres. Alors quand nous ne sommes pas en public, tu peux m'appeller Eogam sinon ce sera capitaine. Tu dormiras dans la pièce juste à coté, le li t y est petit mais douillet. Tu nettoieras mon armure et ma hache chaque jour"
Il glissa de nouveau un regard vers Cassandra
"Et je t'entrainerai, à la manière dont tu tiens cette armure, je vois que tu as des courbatures dues au maniement de la hache. un conseil: avant de dormir tends bien tes bras pour les assouplir et le lendemain tu seras en forme"
Puis Eogam interpella la jeune femme mais son regard était tourné vers Harding
"Cassandra connais tu Harding ?C'est un guerrier redoutable. Essaye de le convaincre avec moi de rejoindre mes gardes!!"
Dernière édition par Gallen Mortensen le Lun 7 Nov 2011 - 16:35, édité 1 fois |
| | | Môrhïn Bohémienne
Nombre de messages : 338 Localisation : Dans un coin de ces terres.... Rôle : Danseuse, arnaqueuse et voleuse
~ GRIMOIRE ~ -: Humaine -: 25 années -:
| Jeu 29 Sep 2011 - 13:18 | | Cassandre buvait les paroles d’Eogam. Elle jeta un regard par la porte entrouverte, sur le côté, dans l’espace qui serait sa chambre. Jamais elle n’aurait imaginé posséder une chambre pour elle toute seule. Un luxe sans équivalent pour une jeune recrue. De plus, elle n’aurait plus à dormir dans les écuries, plutôt que de subir la proximité gênante et masculine dans les dortoirs communs des soldats de bas rang. Au moins son secret ne serait pas éventer aussi facilement, et surtout elle pourrait ôter pour la nuit et sans appréhension, les bandes de linges comprimant sa poitrine. Toutes ses bonnes nouvelles lui décrochèrent un sourire radieux que le poids de l’armure ne parvint à effacer.
Le capitaine Eogam, faisait preuve de beaucoup de gentillesse à son égard. La voix un peu sèche et bourrue du début laissait place à un coté plus chaleureux. Lui permettre de l’appeler par son prénom en privé était un honneur. Le rouge lui monta légèrement aux joues. D’autant plus qu’il se proposait lui-même pour son entrainement. Cassandre en était comblée, certaine d’apprendre bien plus de choses en sa compagnie qu’avec n’importe qui d’autre entre les murs d’Alburg. Mis à part peut être le Maréchal lui-même.
« …. Connais tu Harding…. Rejoindre mes gardes »La jeune fille déguisée en garçon secoua sa tête après un rapide coup d’œil sur l’homme qui jusqu’ici n’avait pas éveillé son intérêt. Elle ne le connaissait pas, ne l’avait jamais rencontré, n’avait jamais entendu son nom ni ici, ni dans la maison familiale. Elle ignorait quelles étaient les raisons de son visible refus, mais elle le supposait homme de valeur pour qu’une personne comme le Capitaine tente de le rallier à lui. Son regard se fit alors plus insistant.- Difficile d’argumenter pour convaincre, si on ignore les motifs du refus Capitaine. D’une certaine façon elle ne comprenait pas le soldat et son refus. Comment ne pouvait-on pas vouloir protéger sa nation, sa famille, ses biens lorsqu’on en avait la possibilité ? En même temps… une part d’elle s’identifiait au guerrier. Pourquoi être obligé de toujours faire ce que les autres attendent de nous ? Pourquoi ne pas être égoïste pour une fois, et croquer à pleine dent cette liberté si difficile à obtenir. Etre membre de l’armée c’était s’enchainer à des règles, des obligations, des devoirs sans autre alternative que la satisfaction de protéger ce que l’on aimait. Mais avait il seulement quelqu’un, quelque chose, quelque part pour lui inspirer une telle abnégation de soi ? - Pourquoi ne voulez vous pas entrer sous les ordres du Capitaine ? .– lui demanda-t-elle à la fois curieuse de sa réponse et intriguée |
| | | Gallen Mortensen Vice Roi du Rohan - Champion Rohirrim
Nombre de messages : 1596 Age : 48 Localisation : Minas Thirith Rôle : Vice Roi du Rohan
~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim -: 31 ans -:
| Mar 11 Oct 2011 - 20:49 | | Un silence gêné s'installa devant le silence d'Harding. Eogam eut une toux embarrassée et plongea dans sa choppe. Il but sans un mot son breuvage brun et amer.
Puis il posa avec force et vacarme de manière trop brutale sa coupe sur la table de bois.
Il hésita un long instant et d'une voix peu maitrisée il déclara
"Désolé Harding, je ne voulais pas vous forcer la main, réfléchissez calmement"
puis il se tourna vers son nouveau écuyer
"Bon, je vais vérifier que les tours de garde se déroulent bien. Ecuyer,tu viens avec moi"
Le géant se dirigeait déjà à grands pas vers la porte, il lança juste
"Harding terminez tranquillement ta bière, nous en reparlerons plus tard, laissez la porte ouverte en partant"
Eogal suivi de son ecuyer qui courrait presque pour suivre l'officier, commença son inspection par les remparts. Le capitaine de la garde d'Eomer était dur mais juste , il vérifiait les armes des hommes mais toujours il avait un mot réconfortant concernant le temps maussade.
Continuant sa progression rapide sur le chemin de rond, Eogam questionna son ouveau écuyer
"As tu un destrier ?? Et surtout en tant que rohirrim es tu plus qu'un cavalier, un ami des chevaux ?"
Au ton utilisé par l'Ent blond, la question semblait importante voire plus, cruciale.... |
| | | Môrhïn Bohémienne
Nombre de messages : 338 Localisation : Dans un coin de ces terres.... Rôle : Danseuse, arnaqueuse et voleuse
~ GRIMOIRE ~ -: Humaine -: 25 années -:
| Mar 25 Oct 2011 - 13:07 | | Les yeux de Cassandre se posaient successivement sur son Capitaine, puis sur le Guerrier pour enfin revenir au Capitaine. Le silence pesant devenait gênant et la jeune femme ne comprenait pour quelles raisons sa question avait jeté dans la pièce un tel froid. Aurait elle du se taire ? Juste baisser les yeux et ânonner une bêtise, avec un regard crétin ? Elle gigota doucement, mal à l’aise et fut totalement soulagée lorsque son supérieur annonça son intention de visiter les hommes de garde.
Ce n’était là que routine. Les remparts hauts, droits et fiers se dressaient. Ils paraissaient si infranchissables qu’elle se demandait bien quelle folie pousserait une armée à assiéger la forteresse. Bien entendu, nul n’était imprenable, mais cette idée lui semblait si irréalisable qu’elle n’en remarquait pas les différentes faiblesses. L’inspection fut relativement rapide. Les hommes ne badinaient pas avec les ordres du colosse blond, et tout était en ordre selon ses souhaits, des armures correctement huilées, aux nombres de rondes doublées pour les circonstances.
Cassandre suivait sans mots dire. Elle notait l’affection sincère, inattendu chez un homme entrainé à tuer, pour ses soldats. Il glissait invariablement un réconfort, une gentillesse, une demande de nouvelle pour la famille. Une proximité avec les gardes, et ce malgré ses galons, qui ne manquait assurément pas de plaire aux petites gens. La jeune noble ne pouvait s’empêcher de faire un parallèle avec son paternel. Alors que son père usait d’une condescendance frisant la supériorité à ses hommes, le Capitaine Eogam faisait preuve d’une certaine familiarité, sans pour autant saper son autorité. En même temps, vu sa carrure, elle doutait qu’on s’oppose à lui sans une raison valable et importante. Néanmoins, elle appréciait ce trait de caractère. Oui… elle avait maintenant une opinion sur ce supérieur aux allures de géant. Elle s’était décidée… elle l’aimait bien.« As-tu un destrier ? Et surtout en tant que Rohirims es-tu plus qu’un cavalier ? Un ami des chevaux ? » Elle hocha de la tête, et gonfla sa voix pour la masculiniser. - Oui. Une jument, Brise. Elle loge dans les étables de la garde pour l’instant. – Elle marqua un temps d’arret, une légère hésitation avant de poursuivre – Mon père, depuis que je suis tout jeune, m’a appris à les aimer, à les soigner et plus tard à les monter. Je ne me suis véritablement occuper seul que de Brise. J’ai assisté à sa naissance et j’ai pris soin d’elle jusqu’à aujourd’hui. Même si mon père ne souhaitait pas que je consacre mon existence à la cavalerie et même s’il a tout fait pour m’éloigner de Brise ou d’ici, il m’a inculqué l’amour des chevaux.Puis à part, comme pour elle, elle murmura de façon audible cependant - Ce n’était pas le destin qu’il me réservait.Elle secoua la tête puis leva un regard pleins d’interrogation et peut être de défis aussi, vers son Capitaine. - Pourquoi aucune femme ne peut-elle de joindre à cette garnison de Cavalier ?- Spoiler:
J'avais pas vu ta réponse, désolée Gallou
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| | | Nathanael Espion de l'Arbre Blanc
Nombre de messages : 1025 Age : 35 Localisation : Pelargir Rôle : Espion
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 34 ans -:
| Dim 30 Oct 2011 - 20:47 | | Il dissimulait sa perplexité avec toute l’habileté dont il savait faire preuve lors de situations inconfortables. La proposition du capitaine Eogam avait été franche et directe. Sa réaction avait été nulle et dénuée de tout sentiment. Il avait relevé les yeux pour contempler le visage d’Eogam et avait simplement fait un signe négatif de la tête, ponctué d’un bref « Non ». Il n’avait pas donné d’explications et ne s’était pas perdu en formule de politesse pour enrober sa réponse. Futilités inutiles. Il n’avait jamais pris de gants avec ses supérieurs, et ce bien avant la situation de crise actuelle. Le rang d’Eogam et les enjeux du moment ne changeraient pas ses habitudes. Les regards des deux hommes s’étaient croisés et le géant blond avait saisi l’imperceptible nuance de comportement chez le jeune guerrier. La nonchalance de Harding était loin de la prétention des jeunes nobles qui veulent faire carrière dans l’armée en s’exerçant à la condescendance. C’était l’expression naturelle de sa liberté.
Il ne se leva pas lorsque le jeune écuyer rentra. Il ne le salua pas non plus. Eogam sauta sur l’occasion pour changer de sujet quelques secondes et éviter son obstination bornée. Il épuisait ses arguments contre un mur de silence. Harding ne manifesta pas son intérêt pour le nouveau venu et s’attarda à déchiffrer des formes imaginaires sur les dalles du sol tandis qu’Eogam jetait ses ordres et ses questions sans ordre particulier. Guerrier aussi malhabile en rhétorique que féroce au combat. A ne pas trop chatouiller – ce détail lui fit penser qu’il ne pourrait pas refuser interminablement sa proposition. Eogam s’acharnerait jusqu’à ce qu’il obtienne une réponse affirmative. Cet homme gigantesque était-il capable de détruire ce qu’il n’était pas capable de s’approprier ? Question inadaptée – Harding ne pouvait craindre de trouver un statut plus inconfortable que celui qu’il occupait depuis son exil. Seules les geôles ou la mort auraient pu être pires. Il ne craignait ni l’une ni l’autre. Et pour confirmer ces conclusions il se saisit de la pinte que lui tendait Eogam et but quelques gorgées de bière qui eurent le mérite de lui rafraichir la gorge à défaut de lui éclairer l’esprit.
Un Cassandre fébrile, aux paroles fort mesurées. Il pensait les nouvelles recrues moins aguerries à l’art du discours. Cette remarque, détail parmi ses découvertes de formes étranges sur le sol, n’entraîna chez lui qu’un faible froncement de sourcils. L’évocation rapide de son village natal et d’une fratrie paysanne rappela à sa mémoire les souvenirs de Nathanael et de son enfance. Il chasse ces images dans un recoin de sa conscience. Il avait d’autres préoccupations. La dernière phrase de Cassandre était scandée comme une chanson apprise par cœur. Puérile… et il avait lui-même failli croire à tous ces enfantillages lorsqu’il avait intégré l’armée. Le Rohan, la patrie, l’amour des traditions. Mais quel Rohan, quelle patrie et quelles traditions ? Pourquoi aimait-il plus le roi Thénéor que l’infâme Hogorwen ? Qu’entendait Cassandre derrière tous ces mots ? Deux recrues, prises dans chaque camp, n’utiliseraient-elles pas les mêmes propos en pensant défendre deux choses différentes réunies sous un même concept ? Il refoula une nouvelle fois ce lot de questions en se redressant pour observer l’écuyer soulever l’armure comme un débutant, ne la prenant pas convenablement et s’épuisant inutilement à porter une charge mal répartie entre deux bras douloureux … et trop faibles. Eogam devait avoir grand espoir pour envisager de le former à la hache de guerre.
Son visage devint sombre et inexpressif lorsque le capitaine prononça son nom. Il laissa les compliments glisser sur lui comme sur du marbre mais ses yeux étincelèrent d’une lueur nouvelle. On pouvait y lire tout un livre d’orgueil. Son visage se tendit quelque peu et il dut paraître froid au jeune écuyer. Son regard se durci mais il ne détourna point les yeux. Remarque percutante de l’écuyer, mais question malhabile. Jeune homme intelligent mais quelque peu naïf. Harding ne voulut ni satisfaire la curiosité de la recrue ni soulager l’esprit d’Eogam en repoussant l’heure fatidique d’une réponse définitive. L’atmosphère s’alourdit péniblement mais il venait d’obtenir un délai supplémentaire pour réfléchir – un délai supplémentaire pour faire face à ses craintes et à ses responsabilités.
Il regarda sortir les deux hommes en faisant un bref signe de tête au capitaine pour lui signaler qu’il s’exécuterait comme il l’entendait s’il venait à quitter la pièce. Parce qu’il s’agissait d’une demande respectueuse et non d’un ordre.
Il soupira. N’était-il pas assez efficace en tant que simple guerrier ? Avec Tinomir ils avaient prouvé que l’union de forces libres pouvait changer l’orientation de tout un combat. Mais sur le champ de bataille, avait-il vraiment voulu aider Orwen ou simplement mettre à mal les forces de son père ? Ils n’avaient pas reconnu immédiatement le jeune prince parmi les combattants ensanglantés. Son bras avait été animé par la soif de représailles, non par la volonté de former un contre-pouvoir pérenne et organisé. Il ne pouvait concevoir la chute d’Hogorwen que dans le chaos des combats et le désordre social – et il espérait sincèrement que cette raclure royale ait la gorge tranchée. Il n’avait pas envisagé de suite à la déchéance de l’usurpateur. Même lorsqu’il était allé sauver Orwen ses motivations avaient été puisées dans une source de vengeance. Comment s’assurer que le jeune prince demeurerait juste et bon ?
Son regard se porta sur un cor posé négligemment dans un recoin de la pièce. Il en avait eu un sous les ordres de Thénéor. Le son produit par cet instrument dépassait la simple note – chaque fois qu’il y avait posé les lèvres c’était tous ses frères rohirrims qui chantaient d’une même voix. Des frères aujourd’hui éparpillés, déchirés et désabusés. Il était certain des valeurs qu’il défendait. Son roi avait fait confiance au Maréchal Mortensen et à Dame Farma. Et ces derniers avaient fait confiance au capitaine Eogam. Ils étaient membres de l’armée, de hauts dignitaires, mais ils avaient refusé la domination et le joug du despote. Ils étaient demeurés libres. Devenir lieutenant sous leurs ordres n’étaient peut-être pas une aliénation après tout …
Il se leva et se saisit du cor. Il était poussiéreux mais en bon état. Eogam ne lui en tiendrait pas rigueur. Il se l’appropria dans l’idée de le nettoyer et d’en faire bon usage au moment opportun. Il sortit et referma la porte derrière lui. L’agitation de ses méninges lui avait donné faim. Et il était certain que les jours à venir seraient associés de restrictions alimentaires. Stratégiquement, il convenait de profiter des dernières denrées périssables avant qu’elles ne disparaissent.
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| | | Gallen Mortensen Vice Roi du Rohan - Champion Rohirrim
Nombre de messages : 1596 Age : 48 Localisation : Minas Thirith Rôle : Vice Roi du Rohan
~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim -: 31 ans -:
| Ven 4 Nov 2011 - 13:33 | | Eogam haussa le sourcil gauche devant l'interrogation de son écuyer.
il répondit tout simplement
"Ce sont les traditions, juste des traditions. A mon avais c'est ridicule, une main de femme peut tout aussi bien qu'un homme tenir une épée et je connais des femmes bien plus résistants que des soldats endurcis. Regarde les elfes Galadriel est une de leurs chefs les plus renommées. C'est ainsi au Rohan les femmes doivent attendre les hommes qui sont à la bataille...."Le géant ménagea une pause et poursuivit froidement
"Mais ce n'est pas une raison que cela doit te plaire!! " Il se tint le menton dans la main droite et regarda pensif le jeune homme
"Tu me donnes à réfléchir, jeune rohirrim. En ces sombres heures, nous combattons pour nos traditions, mais peut être certaines sont archaiques. Il faudrait peut être aller plus loin que restaurer les tradaitions du Rohan , les moderniser"
Puis l'ent blond eut un haussement d'épaule comme pour se débarasser de son état d'âme bien sombre et il bougonne
"De toute façon pour prouver à quelu'un qu'il a tort il faut lui montrer par les faits. Donc si ton père pense que tu n'es pas fait pour la vie de garnison. Prouve lui le contraire. Serre les dents, ne leur donne pas la satisfaction de voir ta douleur"
Puis d'un ton autoritaire
"Allez retourne dans mes quartier, je te rappelle que tu as une armure à nettoyer, nom d'un valar"
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