La vie est dure chez les Orcs

A Cirith Ungol la vie n'était pas de tout repos. Les disputes étaient incessante. Aucun orc présent n'avait du dormir depuis des lustres sur ses deux oreilles. Beaucoup vivotaient comme des bêtes, se mangeaient parmis, et lorsqu'un voyageur s'égarait, ce qui était très rare, ses possessions poussaient les puissants à s’entredéchiraient pour les avoir.

C'était une jungle lugubre et malsaine.

Kour était un orc dit puissant, il mesurait facilement les deux mètres, et armé de ses deux haches à une main il faisait régner la terreur sur SON etage. Il avait avec lui une trentaine d'Orc qui lui obéissait. Il avait plus ou moins le titre de Capitaine. Son territoire c'était le premier étage, le meilleur de tous bien sur. La nourriture n'était pas très dur à trouver avec une sortie pas loin. Dans les étages supérieures, les sorties étaient rare et des créatures plus bizarre y vivait....
Ces derniers temps des orcs du haut venaient voler de la nourriture et cela l'énervait comme pas possible. De nature violente et impulsif il en avait égorgé trois la veille, comme exemple. Nul ne défiait Kour sur son territoire, mais toute action entraine une réaction. Surtout chez les orcs. L'autre "Clan", commandé par Barik, avait réagit en abattant deux de ses orcs. Kour était fou de rage!!! Il avait rassemblé directement ses orcs et il commença à crier:

-Band'de larve!!!....Ces sales puants orcs du d'ssus nous attaque.....On v' leur buter le cul à ces larves puantes...V'nez.



La troupe se mit en route après dix minutes de cris et de remue-ménage pour s'armer s'insulter et se pousser. Kour du remettre l'ordre d'un grand cris bestial. Il cracha des mots à un de ses orc:

-Hé Begerk-Ka-Roun, t'me suis!!! On va les détruire ces chiens de Barik. On va en manger ce soir

Un sourire carnassier défigura Kour. Enfin est-ce un sourire? Personne ne le sait avec le nombre de cicatrise et de plaie qu'il avait. Son nez avait été cassé une bonne dizaine de fois et ressemblait à une poire à présent.

Les bêtes couraient à présent vers le clan de Barik. Les cris de guerre résonnaient dans les couloirs de pierre. Leur venue n'allait pas être discrète....La finesse ne faisait pas partie du vocabulaire de Kour.

Begrk-Ka-Roun avait depuis quelque jour entendu parler des vols de nourriture. Cela le mettait dans une colère noir car Kour, son chef, prenait plaisir a soutirer la nourriture a ses subalternes. Depuis quelque temps, Begrek-Ka-Roun était devenu sa nouvelle victime. La bête des terre noires, comme on le surnommait, c'était donc mobilisé pour avec quelque troupes pour empecher toutes intrusions. Mais malgré ses efforts, la viande fraiche disparaissait et il se doutait qu'une expédition punitive serait bientôt menée contre Barik: Le chef du clan adverse.
Il ne fut donc pas étonné lorsque Kour lui dit:

-Hé Begerk-Ka-Roun, t'me suis!!! On va les détruire ces chiens de Barik. On va en manger ce soir

Malgré le fait que se faire commander figurait dans la longue liste de ce qu'il détestait il fut obligé de s'exécuter. Il aurait volontiers envoyé Kour boulé mais dans l'état actuel des choses Begerk-Ka-Roun n'en avait pas la possibilité.
L'ascension des marches commença donc; Tout entamant la seconde volée de marche il se demanda si pour être grand, comme Kour ou Barik, il fallait être un Uruk. C'est dans la dernière volée de marche que l'orque dégaina son cimeterre. lorsque il entrèrent dans la salle de l'étage supérieur, le monstre remarqua que, très ordonné, Barik avait mis en place sa défense. Il prit peur un instant mais se repris bien vite.
Il poussa son cri de guerre et se jeta dans la bataille.

Une place défensive mise en place à la orc bien sur. Des tables renversées, quelques vieux tonneaux retournés. Des archers qui se trouvaient sur un escalier surélevé de un malheureux mètre. Barik le grand se trouvait sur une table encore debout et hurlait des ordres en voyant Kour débarquer avec ses puants. Les deux se fixèrent à peine un instant avant de lancer la charge. Alors l'orc du haut oubliant toute sa défense chargea, suivit de ses orcs.

Les deux clans se tombèrent dessus comme des bêtes enragées. Coup de poing, crocs, hache, couteau, dague, épée, sabre, coup de bouclier, coup de boule s'enchainaient à un rythme démesuré.

Des cris de douleur, de rage, de "joie", les brisements des os donnaient une sorte de petit musique derrière le fracas du fer contre le fer.

Kour était d'une violence inouïe. Ses deux petits haches tranchaient la chair tellement brutalement, que ses victimes étaient envoyées à un mètre à chaque coup. Soudainement un des archer du haut, plus chanceux que les autres, ou plus doué , réussis à le toucher à l'épaule. La flèche vint de figer. Kour se stoppa et poussa un hurlement!!! Il se mit à courir vers le pauvre tireur, ses yeux étaient terrifiant on y voyait de la folie mêlée à de la rage inconsciente. Il poussa toute personne qui se trouvait sur son chemin.

De son côté Begerk-Ka-Roun devait faire face à des orcs légèrement en surnombre, mais bien moins équipé qu'eux. Ceux du bas avaient donc toute leur chance si ne se laissaient pas massacrer par les archers, qui était aux nombres de dix, mais il ne seraient bientôt plus très utile vu qu'à présent il y avait un tac de combattant orcs qui se ressemblaient tous. Une mêlée digne de bordel...

L'issue était mitigée encore.

Dès que la bataille débuta,Begerk-Ka-Roun se vit assailli de tout côtés par de nombreux orques, mais leurs équipements était quasi inexistants. La plupars des armures était fendu ou même carrément ouverte et les coups qui pleuvaient sur les troupes de Kour étaient parfois donné avec des bouts de bois Begerk-Ka-Roun n' avait que peut de dificultée à se défendre car la stupiditée des orques de Barik n'avait d'égale que leur laideur.
Utilisant son cimeterre comme le roi sorcier, il tissait une impénétrable armure d'acier de laquelle fusait parfois d'imparables attaques. Mais malgré cela ses bras faiblissait.
Il vit alors du coin de l'oeil Kour se faire transpercer l'épaule d'une flèche particulierement bien placée. Même s'il détestait Kour, sa mort entrainerait un affolement parmi ses troupes. Il pris donc une initiative qui pourrait faire bascumer la bataille en leur faveur. Il hurla:

Protegez vous avec des tables derriere des table,chiens galeux ou vous finirez embrochés

Les orques du bas s'éxécutèrent et dans une formation tortue a peu près correct il chargèrent les énnemi en criant des injures.
Il submergèrent vite leurs adversaires qui se retrouvèrent acculé au couloir mais Barik hurla un ordre en parler noir et une nouvelle vague d'énnemi apparurent par l'éscalier et se mirent a les encercler. Begerk-Ka-Roun sentait que la bataille prenait une autre tournure. Et si lui ou Kour ne trouvait pas vite une idée éclair,Barik les décimerait.

Kour n'était pas du style à réfléchir beaucoup. C'était la rage qui l'animait, le gout et l'odeur du sang qui le rendaient violent et dangereux. C'était une bête sauvage complètement dénuée de cervelle et d'esprit. Ses réactions étaient dictées par ses instinct de survie. Alors lorsque la flèche lui transperça l'épaule, il poussa un hurlement qui poussa ses troupes à redoubler de violence. Tous suivirent leur chef.

Begerk-Ka-Roun essaya de donner un ordre, certes logique, mais peu l'écoutèrent véritablement. La pseudo formation de tortue ne fit pas grand effet en soit, mais tous crurent que que ça l'était. L'effet de masse les aida à acculé l'ennemi. Mais Barik avait parlé avec les orcs encore du dessus, et ceux-ci venaient l'aidé. La bataille tournait au vinaigre pour Kour.

Ce dernier trancha en deux deux archers, et en envoya un à terre d'un coup de boule. Il hurla alors:

-Chien galeux, celui qui me ramène la tête de Barik pourra le bouffer. Tuez-les tous!!!! Z'êtes les plus fort des orcs!!!!

Le mot orc fut craché avec répugnance. Bien que étant un orc, Kour ne voyait aucun rapport entre lui et eux. Il était grand, fort, violent. Ses orcs étaient moins fort, moins violent que lui. Il haïssait les orcs. En même temps, il était incapable de ressentir le moindre sentiment. La violence était sa seul occupation.

Il chargea dans la direction de Barik suivit par trois, quatre orcs du bas, dont Begerk-Ka-Roun.

Hrp évite de faire débarquer des ennemis comme ça, mais c'est sans gravité pour ce RP tu peux essayer de t'attaquer à Barik, mais tu ne seras pas seul, donc prend en compte Kour est là (je le jouerais, ainsi que Barik) plus 3autres orcs. Mais tu n'es pas obligé de le défier, il est pas mal fort, donc tu risques d'être blesser (y a bien assez d'ennemis à tuer sans compter Barik) Hrp

Begerk-Ka-Roun s'en doutais, sa formation ne ferait pas grand effet sur les siens, sans compter l'intervention des renforts de Barik. Mais l'envie lui pris soudain de se mesurer au colosse de Barik. Il jeta son sabre de toute ses forces en accompagnant son sabre d'un cri:

Meurs Barik, fils de chien.

Son sabre n'atteignis pas Barik. L'orque avait fait tournoyer son arme et le cimeterre de Begerk-Ka-Roun retomba. La rage de Begerk-Ka-Roun redoubla et il se jeta dans la bataille. Il sortit ses dagues pour taillader ses énnemis. Il transperca un orque d'une dizaine de coups et trancha la tête d'un autre, la bataille ne se terminerai pas tant qu'il serait debout.
Il se jeta sur un ennemi et lui arracha la gorge avec les dents.Il continua le carnage. Un mélenge de crocs, de poingts, de lames s'était formé. Autour de lui les effusions de sangs, les cracements d'os et les gargouillements d'agonie se melaient dans une musique apétissante.
De son côté, Kour faisait sortir sa rage.
Les orques de Barik avaient beau etre plus nombreux, Begerk-Ka-Roun et Kour faisaient un duo de mort.

La salle ou se déroulait la bataille était sombre et miteuse, sur les côtés trainaient des os, des bouts d'habits, des armes rouillées et des tas d'herbes, végétaux noirâtre servant apparemment de couchette à un quelconque orc. Les murs étaient du roc foncé, sans doute empreigné du sang malsain de ses occupants. Une odeur de pisse et de diverses déjections régnait dans ce lieu accompagné par une puanteur morbide.

C'est au milieu cette ambiance que les combats se passaient. L'odeur du sang recouvrait presque celle de la pisse. Les cris résonnaient entre les rocs. D'autres cris d'autres groupes se faisaient entendre au loin. Ils rejoignaient peut-être la bataille, ou envisageaient de venir charogner un bout de chair fraiche, une épée ou une tête en guise de trophée.

Kour abattu trois orcs qui se mirent en travers de son chemin. Il n'était pas vraiment de bonne humeur; il ne l'avait jamais été. Il raffermit sa prise sur sa hache et explosa la cage thoracique d'un adversaire. Le bruit que cela provoqua était entre la sussions et les brisements brutaux des os. N'importe quel homme aurait vomis. Pas un orc. Pas Kour. Il sourit plutôt.

Il était sur Barik. La violence du choc entre ces deux combattants fut inouïe. Ils beuglèrent les deux de rage. Coup de boule chacun leur tour, ils finirent par se séparer. Alors un sabre passa à un bon mètre de Barik. Begerk-ka-Roun avait loupé sa cible. Il lança dans un grognement:

-Pfffff toi et des lavettes, z'avez aucune chance. J'les tue tous. Tous!!!!!!

Kour se mit hors de lui face à cette provocation. D'un coup de hache il abattit un de ses propres orc. Par chance ce ne fut par Begerk-Ka-Roun qui en fut la victime.

Barik fonça sur Kour profitant de son inattention et frappa, frappa et encore frappa. Le chef orc du bas encaissa pas mal de coup jusqu'à la lame de Barik trancha sévèrement sa jambe. Il tomba à moitié à genoux sous la douleur. Le glaive de capitaine du haut s'éleva....Kour allait-il tomber?

Non. Kour se propulsa en avant sur son ennemi. Ils basculèrent les deux en arrière et Kour, blessé, fut envoyé bouler à plusieurs mètres. Barik se relevait, désarmé, mais totalement fou. Du sang noir sortait de sa bouche. Celui de Kour, il l'avait mordu et son gout avait réveillé des instinct de monstre.

Begerk-Ka-Roun faisait alors face à Barik. Il était l'un des seul capable de le battre, et si Kour tombait, ils perdaient tous. Mais c'était folie. La meilleur option était peut-être de fuir....En même temps l'envie de remplacer Kour était une idée alléchante....Begerk-Ka-Roun devait décider....

Begerk-Ka-Roun se trouvait a présent face a Barik. Après avoir raté son lancé de sabre, il n’était pas d’humeur mais la violence du combat entre Kour et l’autre chef s’était décuplé et après un coup de tête de Kour le sang de Barik avait giclé, le gout de sang dans la bouche lui avait donné une forte puissance et il avait envoyé boulé Kour. A partir de maintenant, il restait trois option a Bagerk-Ka-Roun : s’enfuir, se soumettre ou se battre.
La vie d’exilé est dure et il réfuta cette idée comme elle venue. Se soumettre lui aurait donné une occasion de battre un Koura faiblit. Etant donné du fait que si Barik avait gagné, c’était parce que Kour était épuisé par une longue et difficile bataille. Mais se faire dominer une nouvelle fois, ca jamais. Il s’interposa donc entre Kour et Barik. Un combat de titan allait commencer et les murs de la salle seraient tachés d’un des deux sangs.

Barik se jeta sur l’orque. Etant par un don étrange d’une intelligence peu commune, il aurait eu du mal à exécuter un elfe, tuerait facilement un homme, alors un orque ce serait du gâteau. Il mit en place sa stratégie en un quart de seconde. Il se jeta sur le coté et au dernier instant, se précipita de l’autre en esquivant la lame du sabre de Barik d’un effacement d’épaule. Il plantât sa dague dans la cuisse pleine de muscle de Barik. Son plan était de faire enrager son adversaire pour le pousser à faire une erreur mortelle. Barik chargea une nouvelle fois; il s’aplatit au sol et transperça le genou de la bête.

Venez m’aider tas de chien galeux, hurla l’orque du haut.

Begrk-Ka-Roun ne s’en sortirait pas stout seul.

La fin était proche pour l'un des deux clans. C'était un fait....

Bergerk-ka-Roun avait beau avoir un certain talent pour un orc, il ne faisait pas le point face à Barik qui lui ne comptait que sur une force bestial pur, sur une absence d'esprit et donc de mort. Il ne craignait rien du tous. Il était un bête dénué de toute forme d'intelligence, et c'était pour cela qu'il vivait encore. Bergerk-Ka-Roun avait espéré le battre, mais il allait comprendre que nul ne pouvait tuer Barik. Même Kour n'en était pas capable.

Pourquoi? Parce que Barik était le plus fort. Cela s'arrêtait là dans le monde des orcs. Longtemps dans Cirith Ungol, on avait considéré Kour comme le seigneur de ce lieu, cela allait changer. La violence amène à la violence, c'est connu. Et il est assez envisageable que dans deux trois semaines, Barik se feraient détrôné par un autre chef devenu plus fort que lui. C'était cela la vie d'un orc. Etre le plus fort, jusqu'à mourir.


Donc Barik bien que blessé à deux endroits par des frappes ingénieuses de Bergek-Ka-Roun était toujours en force. Et on peut dire que ces deux blessures rendirent fou Barik. Il beugla de rage, il en jeta même son sabre loin derrière lui. Il voulait tuer ce chien de Bergerk-Ka-Roun a main nue. Nul intelligence se cachait derrière cette décision. La rage menait ces pas. C'était peut-être la une chance pour Bergerk-Ka-Roun.

Mais non, avant qu'il n'aille put frapper son adversaire que déjà ce dernier d'abattait sur lui. Une série de poing l'envoya au tapis sans qu'il aille pu réagir. Puis le grand Orc du haut continue à frapper la tête immonde de Bergerk-Ka-Roun. Il le ravageait. La pauvre victime s'évanouit après une dizaine de coups. Barik s'en rendit compte quelques dix coups plus tard, et souleva le corps flasque de Bergerk-Ka-Roun et l'envoya contre un mur. Il cria et ramassant une large épée il courut vers Kour qui se relevait enfin. L'épée lui trancha la tête avec un bruit de cassure d'os.

Barik saisit la tête du vaincu et cria:

-Tuez tous ces traitres. Tuez-les tous!!!

ce fut alors la débandade!!! Tous voulait fuir, et tous ou presque furent tué dans les heures qui suivirent. Bergerk-Ka-Roun eut une certaine chance de se faire tabasser par Barik, car lorsqu'il revint à lui, le visage détruit par les coups, il était seul au milieu de la salle de l'affrontement. Des restes de cadavres trainaient partout...

Hrp Désolé du temps de réponse Hrp

Begerk-ka-Roun suait, son sang coulait a ses pieds et se mêlait au os tripes et armes des autres. Malgré tout il combattait, il voulait reprendre le pouvoir. Barik arriva face à l'orc sans son arme. L'orc du bas leva son arme pour porter un coup fatal a son ennemi mais le chien du haut se rua sur lui avec une force imprévue il l'empoigna avec force et entreprit de lui donner des coups digne d'un troll. Begrek-ka Roun perdit connaissance.

Quand il se réveilla, la salle était vide. Le corps de Kour gisait décapité au bord de la salle. Il s'assit et s'adossa à un des murs. D'ici, le spectacle était bien pittoresque: des cadavres jonchait le sol et tout les murs, faiblement éclairé par les torche a moitié consumées, était tachés de sang des deux camps. Voyons voir il ne se rappelait de rien depuis que Barik lui avait foncé dessus. Tout a coup la vérité le frappa a la tète comme un coup de poignard: il avait perdu. Les derniers fuyards devaient être pourchassés.

Tout à coup, deux orc entraient dans la salle:

" Allez viens Durk on va dénicher quelques cadavres. Mm, quel bonne idée Barik a eu en nous donnant le poste de garde; tient regarde voila un cadavre en très bon état."

Un des deux orc s'approcha de Begerk-ka-Roun et ramassa la dague naine. Puis il essaya de dépecer l'orc du bas. Mais sa proie n'était pas morte et avait gardée toute sa technique. Il lui donna un formidable coup à l'entrejambe puis lui planta la dague dans la gorge. Il s'ensuivi une scène d'une violence incroyable. Le deuxième orc se releva avec le sang d'un de ses congénères sur la bouche. Et tenta d'attraper Begerk-ka-Roun avec son fouet. Celui ci effectua un roulé boulé magistrale et se saisit de sa dague qu'il planta dans le crane de son ennemi puis il le taillada de coup. Son œuvre fini, il se pencha sur le cadavre frais. Mais il avait perdu trop de force il chancela et s'évanouit.

Quand il se réveilla pour la seconde fois, sa tète lui faisait mal et le sang lui coulait du front. Il commença à dépecer le cadavre de son ennemi puis il s'embusqua derrière la porte menant au bas.

N'importe quel orc aurait fuit le lieu du massacre, c'était inévitable que Barik et ses hommes reviennent y rester c'était comme attendre la mort de pied ferme. Begerk-ka-Roun devait être pas mal malade dans sa tête pour oser s'embusquer...Autant sauter dans un ravin ou s'auto-éventrer, cela revenait au même. C'était une question de temps...

Les minutes passèrent, puis ce fut une heure, ou peut-être deux, les orcs n'étaient pas très doué pour compter les heures. C'était plus le jour et la nuit et bien sur la faim qui rythmait leur journée. Mais au fond de Cirith Ungol, le jour n'y entrait que rarement, il fuyait un peu ce lieu on dirait. Ce qui est complètement compréhensible. C'était un endroit qui empestait la mort, la malveillance. Tous ses habitants étaient fourbe et violent. Ici l'honneur ne valait rien, enfin si la mort...

Soudain des bruits résonnèrent entre les murs sale. Des bruits d'orc furieux, affamé. La troupe de Barik avait du poursuivre les rares fuyards jusqu'il y a peu. S'ils revenaient c'était que cela avait été fait, et que tous étaient mort. La ils avaient tous faim, faim de chair fraiche. Ils criaient, beuglaient, se frappaient. C'était une horde de bête qui se dirigeait vers la cache de Bergerk-Ka-Koun.

Bientôt ils seraient là. Begerk-ka-Koun pouvait déjà saisir certain de leur propos. Des insultes, des cris d'animaux, des phrases incohérentes. Soudain il eut un silence; ils devaient être juste avant l'entrée de la salle au massacre; et une voix forte fit branler les murs par sa tonalité. C'était Barik:

-Ça sent la vermine!!!! Il en reste un....Trouve le!!!!

Begerk-Ka-Koun était découvert. Il pouvait avoir quelques trente secondes d'avance, peut-être moins. Déjà une dizaine d'orc se poussait dans l'entrée. L'idée de mordre dans de la chair encore vivante les faisait tous saliver.

La chasse à l'orc reprenait de plus belle, enfin peut-être pas. Begerk-Ka-Koun aurait peut-être encore un brin de folie et chargerait ces orcs par stupidité, qui sait. Les orcs ne sont pas logique....

Begerk-ka-Roun entendait les cris d'orcs mais le brasier de fureur qui l’emplissait était tellement intense que même la peur n'aurait sut l'éteindre. Aidé de sa formation de commando, il s'élança et grimpa au mur au-dessus de la porte. La vague d'orcs arriva par la porte, une marée de crocs et d'armes s'élança dans la direction de l'autre porte. Begerk-ka-Roun sauta sur las trainards et transperça les deux derniers puis s'élança vers l'extérieur.
Les couloires qu'il traversait était très peu éclairé et seul un orc ou un gobelin aurait pus courir sans trébucher sur les cadavres orc qui jonchaient le sol. Les orcs de Barik était presque sur lui et il aurait ralentit il se rait a la portées des haches et des épées. Mais il n'en fut rien et Begerk-ka-Roun put enfin apercevoir la porte bloquée par de gardes. L'orc s'courut de plus belle et en quelque foulée il avait couvert la distance qui le séparait d'eux. Il fit tournoyer son cimeterre au dessus de lui et les deux tètes retombèrent par terre. Begerk-ka-Roun sortit au dehors.

Tout en courant il observait le paysage qu'il connaissait si bien en guise d'une cachette. Dehors il faisait jour, mais la peur que lui inspirait les rayons du soleil n'était pas présente car ceux-ci n'avait pu traverser la masse sombre que formaient les vapeurs sombres de la Montagne du Destin. Aucune cachette visible. Le paysage était plat, mis a part les quelques blocs de lave refroidis qui formait les seul rugosités de cette croute de pierre.

Soudain une idée lui traversa la tète. L'antre d'Arachnée, voila un piège mortel. Il savait que Barik n'enverrait pas ses troupes là-bas. Seul lui et un petit groupe de soldat pénétrerait dans le tunnel. Et a ce moment la, lui, Begerk-ka-Roun prendrait le contrôle du Mordor.

Il fit volte face et courut vers le col de Cirith Ungol.

Après avoir couru plusieurs heures, Begerk-ka-Roun arriva en vue de l'antre d'Arachnée.
Il ne s'arreta pas pour autant, au contraire il se mit à courir de plus en plus vite. Mais sa stratégie ne fonctionna pas, car les orcs du haut de Cirith Ungol avaient plus peur de Barik que d'Arachnée. Il se jetâ dans l'antre talonné par des foules d'orcs.
Begerk-ka-Roun était épuisé et ses énnemis le rattrapait. Alors il détacha son sac de viande humaine de sa ceinture et le jetà par terre; la stratégie fonctionna quelques minutes plus tard, l'araignée géante arriva. Les orcs du haut, térrifiés par l'apparition du monstre, s'enfuirent dans une incroyable débandade. Et pendans qu'Arachnée poursuvais ses petits "amuse-bouches",Begerk-ka-Roun s'enfuit et disparu dans le noir. Il passa des jours a chercher par ou il etait entré et cinq jour plus tard selon son estimation il vit de la lumière, donc une entrée.
A bout de force il piqua un sprint vers la lumière...
Minas Morgul, les limites du Mordor. Begerk-ka-Roun se mit à courir, dévala les escaliers et arrivé en bas, épuisé, mort de fin, il s'évanouit.