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PNJ's Dolan | |
| Dolan Vagabond
Nombre de messages : 31 Age : 34 Localisation : Gondor Rôle : Vagabond Charmeur et Mythomane
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 28 -:
| Ven 6 Sep 2013 - 16:23 | | Nom : Delino Prénom : Isidiell' Surnom : Is’d Âge : 41 ans Race : Dùnedaine Description physique : Ses yeux bruns aiment vous scruter de bas en haut, c’est certain, et si vous les regardiez attentivement vous y verriez tout ce qu’ils racontent –surtout les divagations de leur maitresse. Ils sont grands et ouverts, bordés de cils courts et surmontés de sourcils qui paressent parfois figés, se mouvant comme en retardement par rapport au reste du visage. Les traits se veulent plus adultes qu’ils ne le sont vraiment, et la ligne de la mâchoire est bien dessinée. Ce n’est pas parce qu’elle est une fille qu’il faut que tout soit doux chez elle! Elle porte ses cheveux noirs courts, aux omoplates, rarement attachés et légèrement ondulés. Du reste, elle porte le plus souvent les vêtements sobres de son peuple, bien qu’elle affectionne particulièrement les amples tuniques de voyage –ceux à larges capuchons. Elle est de grandeur plutôt moyenne pour les gens de son peuple (donc elle est grande), sans que cela ne lui donne une carrure masculine, quoiqu'il n'y ait là-dedans rien à voir avoir les figures élancées et si agréables à l'œil des elfes. Elle ne ressemble pas encore tout à fait à une femme -cela, selon sa mère, viendrait avec ses premiers enfants- et elle se tient droite, bien qu’elle ait souvent la tête légèrement penchée vers l’avant. Description mentale : Elle est fière, si fière! C’est avec amertume qu’elle pliera aux demandes des autres, aux répliques et à l’autorité en général, mais la nature l’a heureusement dotée d’un caractère plutôt avenant pour compenser : ce n’est pas de plier l’échine que de faire quelque chose de son plein gré. Son âge relativement jeune et ses airs doux ne savent cacher ses traits plus strictes et exigeants –elle exige le meilleur des autres, tout comme elle exige toujours le meilleur d’elle-même, et même parfois plus, à s’en faire rager. Elle ne cherche rivalité qu’avec elle-même, et porte une affection particulière aux «petites choses». Il y a bien une seule personne au monde qui peut toujours (et qui réussit à chaque fois) la faire sortir de ses gonds : sa grande sœur, qui trouve toujours le mot de trop à dire –mais à dire vrai, elle n’est pas en reste. C’est peut-être à cause de ses relations en apparence tendues avec sa sœur –et l’indifférence de leur frère- qu’elle accorde une importance plutôt lâche à la famille. Elle porte un amour secret pour les bateaux, comme les anciens de son peuple avant qu’ils ne décident de cesser leurs voyages –elle se contente toutefois de longues marches le long des cours d’eau, préférant le rêve à ce qui lui semble être la promesse de corruption du monde extérieur. Historique : Je suis née un jour de printemps où l’air humait bon la terre et où les chants des oiseaux retrouvés depuis si peu ne pouvaient que soulever les cœurs et les faire planer au-dessus des…Elle ratura les quelques lignes sur la page en se retenant à grand peine de pouffer de rire : on croirait entendre son frère! C’était tout lui, d’accorder autant d’importance à des détails anodins, de leur donner une forme presque divine et de les rattacher à un événement qui n’avait aucun lien apparent : non pas que la phrase laissait supposer qu’il y avait un lien de conséquence direct, mais l’ordre, peut-être, lui semblait trop lyrique. Elle ne se faisait pas d’illusion : les oiseaux chantaient avant sa venue au monde et, elle l’espérait, le feraient encore bien longtemps après. Elle préférait croire qu’elle était née un jour de pluie, un de ces jours où l’eau tombe si fort qu’ils couvrent les cris et les pleurs –comme si elle aurait préférée être née en secret. Le mystère : c’est ça, c’est le mystère qui l’attirait, plutôt que le lyrisme démesuré. Mais son frère, malgré sa tendance à l’exagération, avait ses charmes. Du moins, selon son souvenir : il y avait un moment qu’elle n’avait pas pensé à lui, du même qu’il y avait un moment qu’elle avait fait l’effort de ne plus penser à sa sœur. Et si son regard tombait toujours vers la ligne d’horizon qui la séparait d’eux, et si elle entendait dans le vent la course folle des chevaux –elle vous dirait que ce n’est que divagation passagère. Elle avait vécue toute sa vie en Héméria, sans même arriver à en connaître tous les sentiers, alors pourquoi s’obstinerait-elle à essayer de connaître les chemins foulés par ces hommes qui se sont si facilement laissés corrompre? Les histoires sur les Numénoriens, depuis toujours, lui avait fait faire les pires cauchemars, et la simple pensée de quitter le havre de paix illusoire de leurs petits villages la faisait frémir –seulement, en vérité, c’était plutôt parce qu’elle craignait qu’une fois dehors, elle serait si facilement émerveillée par les beautés du monde libre qu’elle ne reviendrait plus jamais en arrière. Comme les plus jeunes de sa famille qui se sont laissés guider par les chevaux Rohirims –sauf que dans son cas, ce qui l’envoutait depuis toute petite, c’était plutôt le grincement des bateaux sur l’eau. Et dire qu’elle n’était jamais même montée sur plus qu’un petit radeau d’enfant… C’est pour ça qu’elle faisait toujours demi-tour avant d’arriver en vue des grands cours d’eau, et pour ça qu’on la voyait sans cesse se promener dehors les jours de pluie. Le reste du temps, elle était plutôt normale : connue plutôt pour sa cuisine et sa connaissance des plantes, elle était de compagnie plaisante (lorsqu’elle ne venait pas de se disputer avec sa sœur), bien qu’elle ne fût pas nécessairement le genre de personne avec qui l’on devient ami instantanément. Le village étant toutefois plutôt petit, le temps avait fait son œuvre pour se charger de ce dernier détail. Contrairement au reste de sa famille, elle était de loin la pire archère que ce monde ait portée, et c’est sans grande considération, puisqu’elle était une fille, qu’on l’encouragea plutôt à agrandir d’autres champs de compétences : c’est ainsi qu’elle fût tour à tour introduite à l’écriture et au chant, deux choses qui, à vrai dire, se virent relégué au même plan que le tir à l’arc. Elle se trouva plutôt, après quelques années, une passion pour les étoiles, les plantes et les vents, et bien que toutes ces choses ne soient pas des plus belles ou des plus importantes, qui aurait su le lui reprocher? Elle se repencha vers le papier, sachant qu’elle finirait bien par simplement le froisser, mais se disant qu’une fois entamée, la feuille devait être utilisée au complet. Elle ne savait pas quoi écrire sur elle-même car elle ne savait pas vraiment qui elle était. Le mystère : ça laisse tellement plus de possibilité, après tout, que des lignes définitives. Son ennui, alors qu’elle réfléchissait, se manifestait dans une constellation de petites tâches d’encre –elle était devenue trop vieille pour qu’on la gronde pour abuser des bonnes choses, mais pas assez mature pour avoir le réflexe de laisser le matériel d’écriture, pourtant rare dans leur maison, seul. La dernière tâche à apparaître lui arracha un sourire discret : l’étoile Eärendil, celle qui lui semblait la plus brillante de toutes. C’était peut-être parce qu’elle voulait croire qu’elle guiderait son chemin, et que le plus grand des marins lui souriait. Et voilà qu’elle se remettait à penser comme son frère… Je suis Isidiell', fille de Conrad et Astaria, et aujourd’hui je me suis décidée à aller voir le soleil se coucher dans les grandes étendues d’eau; et si mon aventure venait à faillir, alors je resterai jusqu’à ce qu’il se lève. Mes prières vont aux anciens, et j’espère qu’ils me permettront de ne pas me perdre dans les méandres du mal. Elle se mordit la lèvre inférieure, embrassant de ses yeux la petite lettre comme l’on regarde les jeux des enfants, avec un peu de tendresse. Elle laissa ses doigts serrer le parchemin sec et étendit son bras d’un geste vif pour faire voler la feuille jusqu’à l’âtre où le feu crépitait encore. Elle se leva de sa chaise dans un mouvement fluide, laissant ses soucis et ses envies derrière elle en finissant d’attacher sa cape, seul rempart entre elle et le froid qui naissait avec la venue de l’automne. S’emparant d’un panier, elle sortit de la maison sans bruit, saluant la venue de la nuit en fredonnant : l’heure la plus tranquille pour se laisser bercer par le mouvement du ruisseau et cueillir fleurs et plantes sans déranger –et se faire déranger- par les chasseurs du village. |
| | | Forlong Tribun Militaire d'Arnor
Nombre de messages : 3427 Age : 32 Localisation : En Arnor Rôle : Vieux loup au service du Royaume du Nord
~ GRIMOIRE ~ -: Dunadan d'Arnor -: Quarante Ans -:
| Mar 10 Sep 2013 - 22:19 | | Validé Membre des Orange Brothers aka The Good Cop |
| | | Dolan Vagabond
Nombre de messages : 31 Age : 34 Localisation : Gondor Rôle : Vagabond Charmeur et Mythomane
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 28 -:
| Mer 11 Sep 2013 - 20:56 | | Ceci est une histoire qui ne peut être révélée pour l'instant... - Agent Dormant:
Nom : Helmingas Prénom :Eoredane Surnom :Coeur pur Âge :34 ans Race :Rohirrim Taille :1 mètre 84cm Poids : 73 kg Emploi :Aventurier Pays natal :Rohan Description physique : Deux yeux bleus aciers dans un visage buriné par les intempéries et le voyage surmonté d'un casque de cheveux blonds sombres à la limite du chatain noués en un catogan à l'arrière du crâne( il laisse par fois ses cheveux non-attachés). Un homme du Rohan comme il en existe tant d'autres...d'un point de vue physique évidemment. Les bras musclés par le fracas des armes et les jambes sculptées par de longues heures de chevauchées. Mais un détail le différencie d'entre tous. Une cicatrice le long de sa jambe. Une cicatrice faite par un malfrat quand il était jeune. Description mentale : Les combats et le sang ont forgé le mental d'Eoredane. Désormais il a quitté les champs de bataille pour l'aventure. L'esprit d'aventure, voila ce qui le caractérise. Courageux mais pas trop, il est ce que certains appelleraient un opportuniste. Il se définit plutôt commme un fin stratège diplomate. Sa seule peur, qui peut paraitre légèrement stupide pour un homme du Rohan, elle celle des araignées. C'est certes fort gênant mais peu de gens connaisse ce point faible. Historique :~~~ Chapitre 1 ~~~ Il est un pays en Terre du Milieu appelé Rohan. Dans ce pays se trouve la ville d'Edoras. De la fumée s'échappe des maisons de pierres et de bois, le vent et la pluie venant se fracasser contre les façades froides de la cité. Dans une de ses paisibles demeures vivait une famille. Une famille tout ce qu'il y a de plus normal en ces terres. Au tour du feu, la mère, occupée à recoudre une cape, écoute son mari conter des histoires à son fils. Voila qui pourrait sembler une histoire heureuse...si ce n'est que moi, je me trouvai de l'autre côté des murs à ce moment précis, dans la crasse des rues, en haillons et affaiblis par une longue marche à travers la plaine. Mon père me trainait par le bras sur les dalles glacées par les cataracts d'eau tombées du ciel. Mon père nous avait tous mis à la rue. Ancien cavalier, il fut mis aux arrêts pour s'être battu avec un autre homme. Quand il sortit des cachots, nous perdîmes notre maison et , poursuivis par le couroux de nos concitoyens, nous fûmes obligés de fuir juqu'à la capitale, dans l'espoir d'une vie meilleur ici. Nous ne pouvions imaginer au combien nous nous trompions. Ici, nous n'étions rien. Je passais donc mon temps, dès ma plus tendre enfance, à creuser la plaine de mes doigts pour y trouver quelques choses de comestibles, à mendier dans les rues et à craindre les ruelles sombres de la ville. J'appris donc à me battre, à me défendre contre les autres qui partageaient le même sort que nous. Parfois, je voyais passer des cavaliers, miroitant au soleil et suivant un puissant seigneur paré de majestueuses étoffes. Je rêvais d'un jour faire partie de ses cavaliers. ~~~ Chapitre 2 ~~~ Je venais juste de me retourner quand son poing vint s'écraser sur mon nez. Je tombai au sol, sonné par la force du coup. Mon sang ne fit qu'un tour. Les muscles bandés, je m'élançai les bras tendus sur mon adversaire. Je le renversai à mon tour. Il se releva . Nous étions désormais l'un enface de l'autre. C'était un homme d'une vingtaine d'année. Plus âgé que moi, un torse développé et deux yeux emplis d'envie à la vue de ma récolte de la journée, une poignée de racines et deux pièces d'or. Je ramaissai un vieux bout de bois par terre. Ce serait ma seul arme contre ce voyou. Il mit sa main dans sa tunique et en ressortit un petite objet métallique. Il ne me fallut pas longtemps pour me rendre compte que c'était une dague. Mes parents étaient morts la gorge tranchée par des brigands dans un des pires coupe-jarrets de la ville, une ruelle sombre du côté nord. Je savais à quoi m'en tenir avec ce genre d'objet. Je redoublai de concentration. Je m'élançai vers mon adversaire, ma force concentré dans le coup que j'allais lui porter. Il se jeta sur le côté et reçu mon coup dans l'épaule. Il poussa un cri de douleur avant de se relever et de fondre sur moi, lame devant. Je reculai et il fallut que je trébuche. Juttant sur le dos, il me porta un coup. Je lui envoyai alors un coup de botte dans le genou ce qui eut pour effet de le faire venir s'écraser sur moi. Le choc me coupa le souffle mais quand les points noirs secessairent de danser devant mes yeux, je me ressaisis et l'enroulais avec mes bras, cherchant à le désarmer. Par un reflexe de suvie, il laissa tomber son arme et m'agrippa les avant-bras, cherchant à déserrer mes mains qui se refermaient implacablement sur son cou. Je n'avais pas le choix, je devais à jamais rester marqué par cet évenement. Mais c'est ce moment qu'un garde choisit pour passer par là et me vit. ~~~ Chapitre 3 ~~~ Je chevauchais dans la plaine, enfin. Après tant d'années pasées à espérer pouvoir un jour me trouver en compagnie de ses puissants guerrier, mon rêve était devenu réalité par un entrelas d'actions pour le moins insolites. Je m'étais fait arrêter suite au meurtre de mon agresseur. Mais il en étais ressortis que je n'avais fait que me protéger. Il me fut alors proposé, comme j'avais l'air costaud et pas trop âge, de rejoindre les cavaliers du Rohan. Et après un entrainement intensif, j'avais pu intégrer la cohorte d'Edoras, à mon plus grand plaisir. J'allais pouvoir retrouver l'honneur perdu de ma famille et retrouver une vie normal, ce que je n'avais jamais connu. Au fil du temps, je devais me faire un certain nombre d'amis mais aussi une proportion non négligeable d'ennemis. Mes idées divergentes m'avaient déjà valu quelques roustes soi-disant bien méritées. Ajoutez à cela le fait que chevaucher à longueur de journée était loin d'être aussi passionnant que ce que je ne l'imaginais et que je connaissais désormais la plaine comme ma poche, vous obtiendrez le concours de circonstances qui fit de moi un aventurier et, je devais l'apprendre assez rapidement, aussi responsable d'une bonne part de mésaventures. Un jour, je quittai donc Edoras, galopant sur mon destrier. Je ne portais sur le dos qu'un sac remplis de provisions et de choses essentielles ainsi qu'une petite bourse contenant les économies que j'avais réussi à mettre de côté. Sur mon flanc battait la lame, dernier souvenir de mon service dans l'armée de mon royaume. Ma première décision fut de partir vers le nord. L'inconnu m'appelait. Epilogue de mon histoire
~~~ ou ~~~
Prologue à mes aventures futures A l'heure où j'écris ces lignes, dans une modeste mais néanmoins sympathique auberge, je sirote une bière et casse la croute avec un bon râgout. Je cours les routes a la recherche d'un but qui saura emplir mon coeur.
Mais patience, la vérité éclate toujours !
Dernière édition par Dolan le Dim 15 Sep 2013 - 13:23, édité 1 fois |
| | | Forlong Tribun Militaire d'Arnor
Nombre de messages : 3427 Age : 32 Localisation : En Arnor Rôle : Vieux loup au service du Royaume du Nord
~ GRIMOIRE ~ -: Dunadan d'Arnor -: Quarante Ans -:
| Jeu 12 Sep 2013 - 19:20 | | Alors, au niveau de la fiche, c'est tout à fait correct. Par contre, tu n'as pas vraiment demandé l'avis ou la permission d'un staffeux pour un pnj en plus, il me semble? Etant donné que tu débutes seulement sur le forum, et que t'as déjà un pnj, il me semble que c'est précoce d'en avoir un deuxième, surtout que tu le crées pas pour un scénario du staff fait pour. Je sais que tu es très motivé en ce moment, mais j'aimerais déjà voir comment tu arrives à gérer deux personnages lorsque t'es pris en vie réelle, avant de t'en accorder un troisième Du coup, je te conseille de laisser cette fiche en mode 'dormant' pendant quelques mois. Si un jour tu vois une raison particulière de le ressortir, mpes un membre du staff, et discutes-en avec lui Bon jeu! Membre des Orange Brothers aka The Good Cop |
| | | Dolan Vagabond
Nombre de messages : 31 Age : 34 Localisation : Gondor Rôle : Vagabond Charmeur et Mythomane
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 28 -:
| Jeu 12 Sep 2013 - 21:57 | | Toutes mes excuses pour cette erreur, il est vrai que dans ma motivation peut-être un peu trop prononcée je me suis laissé aller. Je promet de laisser ce dernier PNJ en sommeil jusqu’à l’approbation d'un coloré. Croix de bois, croix de fer ! J’espère également avoir rapidement l’occasion de faire mes preuves avec le 1er PNJ qui m'a déjà été accordé. En renouvelant toutes mes excuses pour ça... Edit Fofo': T'as pas à t'excuser, ton enthousiasme est apprécié |
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