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Taorin
Emir du Harondor Libre
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Taorin

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PNJs de Taorin EmptySam 2 Fév 2013 - 19:30
PNJs de Taorin 674585katiedesousarandomportrait
Anna Beley

Nom : Beley
Prénom : Anna
Âge : Dix-neuf ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine

Particularité : Anna possède une mince cicatrice en haut de sa cuisse gauche, souvenir laissé par son oncle de nombreuses années auparavant.

Rôle : Noble du Gondor, et plus encore…

Équipement : En tant que femme du comte Ægorn des Nimrais, Anna dispose de ressources suffisantes pour vivre sans se soucier des dépenses. Menant un train de vie luxueux, Anna possède tout ce qu’une femme de la noblesse pourrait désirer : une maison de ville qui, bien que nécessitant d’être restaurée, reste agréable à habiter et apte à accueillir les soirées mondaines parsemant les nuits de la jeune femme.

Description physique :
Anna est une jeune femme d’à peine vingt ans. Son opulente chevelure châtain est habituellement coiffée à la dernière mode de la Cours, mais, dès qu’elle le peut, Anna abandonne la rigueur de la mode pour laisser librement couler ses cheveux sur ses épaules. Deux grands yeux candides lui offrent une innocence qu’elle a depuis longtemps perdu. Les prunelles marron restent insondables, puits ténébreux s’enfonçant dans les méandres de son esprit et de ses souvenirs. Puis, un nez. Sans être aussi fin que ce que souhaiteraient les dernières tendances en vogue dans les cercles très restreints de la noblesse d’Osgiliath et de Minas Tirith, il s’accorde parfaitement au visage légèrement rond, aux lèvres attirantes ne demandant qu’à être embrassées.

Plus bas, des formes agréables attirent l’œil de l’observateur. Bien que petite selon les normes du Gondor (Anna ne mesure en effet qu’un mètre soixante environ), la jeune femme n’en reste pas moins excellemment proportionnée pour les normes de l’aristocratie gondorienne : une taille fine, des jambes minces et gracieuses, une poitrine légèrement trop menue, peut-être. Elle n’en reste pas moins une très belle femme, l’une des plus belles de la haute société gondorienne.

Description mentale :
Anna possède un caractère trempé par les horreurs vécues durant son enfance et sa jeunesse. Il s’agit d’une jeune femme courageuse et sérieuse, malgré les airs de frivolité qu’elle se donne en public. Son entraînement a fait d’elle une manipulatrice douée, déterminée à tout faire pour arriver à ses fins.

Néanmoins, derrière cette apparente solidité émotionnelle se cache un esprit dévasté. Il n’est pas rare qu’Anna se réveille en sueur, émergeant d’un cauchemar terrifiant, ou bien que certains sons ou certains lieux la plongent dans de courtes mais intenses hallucinations. Son entraînement lui permet de cacher ces brèves absences.

Histoire :

Le plancher craqua sous les pas lourd de leur oncle. Elle se blottit contre sa sœur, tremblante. Les deux filles se recroquevillaient dans un coin sombre du grenier qui leur servait de chambre. Leur cousin gémissait dans son sommeil, s’agitant sous une couverture pleine de poux. Le toit de tuiles mal ajustées laissait passer de nombreux courants d’air glaciaux. L’obscurité était partout : la seule lumière, tremblotante, était derrière la porte de bois abimée, et n’annonçait en général que des problèmes.

Les bruits de pas se rapprochèrent, chacun tombant comme un couperet sur l’espoir des deux jeunes sœurs. Deux ombres s’arrêtèrent juste derrière la porte, un grattement se fit entendre, puis un grognement inarticulé, et les ombres repartirent pesamment vers l’autre bout du couloir. Anna, les yeux écarquillés, reprit enfin sa respiration. A côté d’elle, Lena respirait rapidement, ne cessant de toucher le couteau rouillé qu’elle avait volé dans la cuisine et caché dans ses loques puantes. Les deux sœurs attendirent en silence que leur ivrogne d’oncle sombre dans le sommeil. Cinq minutes. Dix minutes. Puis, n’en pouvant plus, Lena se redressa, et, progressant lentement sur sa paillasse puante. Anna la suivit, hésitante. Un craquement de paille. Le tissu rêche frottant contre le plancher. La respiration rapide des deux fillettes, effrayées par leur audace, par tous les bruits, par la colère de leur oncle. Effrayée à l’idée de ne pouvoir quitter cette maison de malheur.

Soudain, le bruit de quelqu’un qui se redresse. Anna se retourna, et vit son cousin sur son séant, les yeux grands écarquillés, la bouche ouverte laissant échapper un filet de bave. Il fixait la main droite de Lena, ou plutôt le couteau qu’elle avait sorti, dont la lame piquetée de tâches de rouille réfléchissait le peu de lumière présente dans la pièce. Il prit peur : les lames et les objets métalliques le terrifiaient depuis que son père l’avait gravement blessé à la main avec un couteau, pour le punir d’une maladresse d’enfant. Le désormais jeune homme en avait perdu l’usage de plusieurs doigts de la main droite, les nerfs ayant été sectionnés, et il avait souffert le martyr des jours entiers, accablé de fièvre. Aussi, terrifié, le cousin commença à pleurer et à geindre, tentant misérablement de se cacher sous ce qui lui tenait lieu de couverture.

Lena se précipita sur lui, tentant de le faire taire. Anna restait pétrifiée de peu, regardant sa sœur aînée se débattre contre son cousin, grand dadet dégingandé de six ans plus âgé. Terrifié par la lame, le cousin se débattait avec l’énergie du désespoir, jetant ses membres en tout sens, espérant ainsi pouvoir échapper à la vue de l’horrible instrument. Mais son bras heurta accidentellement la lame, qui se fraya un passage dans la chair du jeune homme. La douleur le fit hurler, bien que la plaie nefût que superficielle. De rage, Lena le frappa de sa main libre, et lui soufflant de se taire. Mais ces coups n’eurent que l’effet inverse, et le jeune homme cria à plein poumons, pleurant, reniflant, se débattant.

Anna entendit alors les bruits sourds à l’autre bout du couloir. Ces bruits… Comme un géant ébranlant la Terre, la paralysant de terreur. Lena n’entendait pas, toute occupée à battre son cousin. Les bruits se rapprochèrent, et la porte s’ouvrit brutalement, révélant une large silhouette dans leur encadrement. Anna cria.

Lena se retourna vivement, et aperçu son oncle. L’ivrogne, ayant vu le bras ensanglanté de son fils, ayant vu sa nièce frapper, une arme à la main, son enfant, avait décidé d’en finir une fois pour toutes. Il collerait une telle rouste aux deux sœurs qu’elles ne pourraient plus penser à montrer autant d’audace. Il leur ferait payer, à ces garces ! Il s’avança dans le grenier, et poussa brutalement Anna au sol. Il s’occuperait d’elle plus tard, celle-là n’avait pas le cran de sa grande sœur. Il se précipita sur Lena, beuglant à son encontre. La jeune fille ne lui laissa pas le temps de la frapper : elle bondit sur lui, le couteau pointé vers le ventre de son oncle, et sentit avec délectation l’acier s’enfoncer en un chuintement et découper la chair grasse de l’ivrogne. Ce dernier hurla de douleur, joignant sa voix à celle de son fils, et frappa Lena au visage. La jeune fille tomba sous les yeux impuissants de sa sœur, prête à se faire rouée de coups par le frère de leur mère. Mais les yeux de leur oncle se révulsèrent : il chancela quelques instants, puis s’effondra sur la sœur aînée, l’inondant de son sang et de ses entrailles.

Le cousin hurla d’horreur, alors qu’Anna restait immobilisée par la peur, ne sachant que faire. Puis, brusquement, elle se leva et se précipita vers le corps de son oncle. Elle devait libérer Lena ! Elle poussa de toutes ses forces le cadavre encore chaud, dégageant sa sœur couverte de sang.

Lena se redressa, aidée par sa sœur, et se retourna vers le cadavre de son oncle : elle lui flanqua un coup de pied, le visage fermé. Puis elle se retourna vers son cousin, et, sous l’œil horrifié de sa sœur, l’égorgea rapidement du même couteau qui avait tué son père. Elle se retourna ensuite, regarda sa sœur dans les yeux, le regard dur, avant de regarder de nouveau autour d’elle. L’horreur la saisit, et elle lâcha le couteau. Elle sauta hors de la paillasse, attrapa le bras de sa sœur, et l’emmena rapidement hors du grenier…


Anna se réveilla en sursaut, trempée de sueur. Son cœur s’affolait, son souffle était court. La chandelle était restée allumée, et s’était entièrement consumée, laissant une petite flaque de cire fondue sur la table de chevet.

La jeune femme se redressa, utilisant l’oreiller duveteux comme dossier. Elle ne souhaitait pas replonger dans son passé. Elle voulait, coûte que coûte, l’oublier, l’enterrer au plus profond de son esprit, là d’où il ne pourrait jamais ressurgir. Anna savait bien qu’il s’agissait d’un espoir futile, mais elle ne pouvait s’en empêcher. Il lui fallait tourner la page.

Demain, ou bien tout à l’heure, elle se marierait au comte des Nimrais. Ses maîtres le lui avaient ordonné : ils lui avaient procuré des invitations pour les soirées privées auxquelles se rendaient Ægorn, et elle n’avait ensuite eu qu’à faire usage de son charme et de son entraînement pour le séduire. Bien sûr, il avait ensuite fallu se montrer prudente : un comte ne pouvait se marier par amour à n’importe quelle femme, mais son « passé » de jeune veuve, inventé de toutes pièces, avait résisté aux investigations timides des gens du comte.

Ce dernier était fort heureusement charmant : encore relativement jeune (il ne venait que d’atteindre la trentaine), bien fait de sa personne, sans héritier (sa précédente femme étant morte en couches d’une fillette ayant trépassé peu après), le comte était un parti enviable, même si ses richesses n’égalaient pas celles d’autres nobles d’un rang équivalent. Nombreuses étaient celles qui lui avaient fait la cours, mais aucune, jusqu’à présent, n’avait pu lui ravir son cœur.

Anna sortit du lit. Elle frissonna : le feu s’était éteint dans l’âtre, laissant au froid de l’extérieur l’opportunité de s’introduire dans la pièce. Elle attrapa un châle qui trainait sur une chaise, et le passa autour de ses frêles épaules. Elle s’approcha de la fenêtre, fermée par un lourd volet et un rideau presque aussi épais. Elle entrouvrit légèrement la tenture, et poussa les volets, révélant la cité endormie d’Osgiliath. Il neigeait encore, couvrant les bâtiments restaurés d’une couche d’un blanc immaculé.

Demain, elle se marierait…

*** *** *** *** ***

La maison semblait abandonnée. Les meubles étaient recouverts de housses blanches, les volets étaient fermés, les rideaux déployés, le cellier vidé. Les dernières affaires étaient empaquetées, pendant que les serviteurs faisaient une dernière inspection. Le départ était imminent.

Dehors, dans la petite cour intérieure, le palefrenier attelait les chevaux au carrosse abimé du comte, alors que la femme de chambre d’Anna aidait le cocher à hisser une malle sur le toit du véhicule. Ils voyageraient légèrement : une servante accompagnerait Anna et Ægorn, et ils n’auraient que trois ou quatre malles de vêtements pour le voyage. Ils feraient en effet la route avec l’ambassadeur dépêché par Sa Majesté Tar-Mephisto au Rohan, en honneur au nouveau Roi.

Un tel voyage retarderait les plans d’Anna de plusieurs semaines. Ses maîtres avaient été très clairs : elle devait gagner le cœur des plus puissants. Des conseillers du Roy et des autres nobles dirigeant réellement le Gondor. Nobles dont Ægorn ne faisait pas encore partie, malgré des qualités certaines qui le propulseraient sans doute haut.

La jeune comtesse sortit, une fourrure de renard sur les épaules. Sa respiration laissait un nuage de vapeur devant sa bouche, vite dissipé par le vent hivernal. Elle regarda ses gens terminer les préparatifs, songeant au Rohan. Elle ne gardait que peu de souvenirs de son passage au Rohan, bien des années auparavant. Ses maîtres la détenaient alors, et l’isolaient de tout et de tous. Elle n’en avait qu’aperçu les vertes prairies où couraient d’immenses troupeaux de chevaux, ainsi que des villes de torchis et de chaume. Un pays bien frustre par rapport au luxe des cités du Sud, à Pelargir ou Osgiliath.

Anna fut tirée de ses pensées par son mari : il sortit de la maison désormais enténébrée, vêtu de sa tenue de voyage, et posa une main sur son épaule. Elle lui sourit, l’embrassa, et se dégagea pour monter dans la voiture…


Apparitions :
- L'arrivée à Aldburg
- La vie a une fin, pas le chagrin
- Une sœur peut en cacher une autre


Dernière édition par Taorin le Dim 5 Jan 2014 - 14:46, édité 1 fois
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Les Chiens du Désert

Histoire

Les Chiens du Désert forment une compagnie de mercenaires dirigée par le Chien Borgne, autrefois capitaine des armées de l'émir Meakil Duzingi puis seigneur d'Umbar. La compagnie des Chiens du Désert a été créée après la chute de Dur'Zork, lorsque le nouvel émir Nimrod fut forcé de s'exiler avec son peuple. Le Chien Borgne, peu désireux de suivre l'émir dans le Nord, choisit d'œuvrer par ses propres moyens pour la restauration du Royaume du Harondor, aussi créa-t-il les Chiens du Désert avec 85 de ses hommes qui choisirent de le suivre.

Les Chiens se rendirent alors à Pelargir, où ils embarquèrent pour l'île de Tolfalas. Une fois débarqués, les Chiens découvrirent l'existence de la République par delà la Mer, refuge de pirates de tous les océans. Là, le Chien Borgne décida de participer, en compagnie des pirates, au sac d'Umbar. La flotte rebelle prit donc le large en direction des Havres d'Umbar.

Des centaines d'hommes périrent lors du sac d'Umbar, mais les pirates finirent par prendre le pouvoir. Le Chien Borgne, en raison des services rendus, fut nommé Seigneur Pirate d'Umbar.

Quelques semaines plus tard, le reste des Chiens fut envoyé patrouiller à plusieurs lieues des Havres. Sur le chemin du retour, ils tombèrent dans une embuscade des Bleus, les Melkorites, et succombèrent tous. Seul le Chien Borgne, miraculeusement, parvint à en réchapper et à regagner la cité.

Cette embuscade ne pouvait avoir été causée que par un autre Seigneur Pirate soucieux d'écarter un rival politique. Aussi le Chien Borgne, dès qu'il eut retrouvé ses esprits, se hâta de quitter les Havres pour Pelargir, mais pas avant d'avoir acheté un esclave pour sa protection à l'esclavagiste Omar Baligh Wahid El'Abib.

Un assassin tenta de tuer le Chien Borgne au cours de la traversée, mais fut neutralisé par le nouveau garde du corps du capitaine, Ezhel.

A Pelargir, le Chien Borgne recruta une vingtaine de mercenaires sans emplois, et commença à se tailler une réputation dans le sud du Gondor et le nord du Harad. Très vite, de nouvelles recrues voulurent rejoindre les Chiens, de sorte que la compagnie dût établir un camp d'entraînement en bordure de Pelargir. Les Chiens durent repousser les demandes de nombreux candidats, au fur et à mesure que leur réputation grandissait.

En 296 du 4A, Nimrod partit à la reconquête du Harondor. Le Chien Borgne, désireux de rétablir l'autorité de son ancien seigneur, offrit ses services, et cent Chiens quittèrent Pelargir pour accompagner l'armée de l'émir. La bataille fut rude, et près de la moitié des Chiens périrent ce jour-là, mais Dur'Zork fut reconquise.

Les Chiens s'établirent alors à Dur'Zork, la capitale du Harondor, et ouvrirent un établissement de recrutement. Un camp fut érigé à quelques lieues de la cité, à proximité d'une petite oasis perdue au milieu du désert. Les recrues potentielles y sont amenées, et on leur fait subir un entraînement intensif sous le soleil brulant du désert, à tel point que nombreux sont ceux qui seraient prêts à se passer une lame dans le corps plutôt que de continuer. Mais cela ne leur est pas permit. Ceux qui manifestent suffisamment de résistance, de courage et d'habileté deviennent finalement des Chiens. Les autres finissent en chair à canon ou bien charretiers.


Organisation

A l'heure actuelle, les Chiens du Désert comptent cent combattants, divisés en quatre escadrons de vingt-cinq hommes chacun. Chaque escadron est commandé par un lieutenant nommé par le Chien Borgne.
Les lieutenants sont : Ezhel, premier des Chiens, Khalid, qui accomplit des exploits devant Dur'Zork, Ahmed, un haradrim de Dur'Zork particulièrement brillant, et la Pointe, un ancien assassin de l'Anfalas.

Chaque escadron est divisé en cinq escouades de cinq hommes, quatre épéistes ou lanciers et un archer. Ils sont dirigé par un combattant ayant accomplit au moins un fait d'arme remarquable.

Il y a en permanence au moins deux escouades stationnées au camp d'entraînement, et trois autres dispersées dans les offices des villes de Dur'Zork, d'Umbar et de Pelargir.

Les hommes ne participant à aucune mission stationnent dans une de ces offices, prêts à partir sur-le-champ en mission.

Recrutement & entraînement

Nombreux sont ceux qui souhaitent rejoindre les Chiens, mais rares parmi eux sont ceux qui ont les capacités de le faire. Aussi, pour dissuader toute demande inutile, les Chiens demandent une somme de 1000£ afin de payer l'entraînement du candidat, qu'il réussisse ou pas.

Les candidats peuvent demander à rejoindre les Chiens dans n'importe quelle office ou bien à un officier des Chiens du Désert. Il leur faudra alors se rendre à l'office de Dur'Zork, et attendre qu'une caravane parte en direction du camp d'entraînement.

Une fois sur place, les candidats sont soumis à un entraînement intensif, qui a pour but de les briser. Ceux qui craquent en peu de temps sont renvoyés à Dur'Zork, mais les rares qui cèdent très près du but se voient offrir une chance de devenir caravaniers ou bien recruteurs. Ainsi, ils appartiennent aux Chiens, mais ne combattent pas, afin de ne pas gêner leurs compagnons.

Afin de ne pas permettre la localisation du camp d'entraînement par leurs ennemis, les Chiens le déplacent tous les mois jusqu'à une autre oasis, encore plus enfoncée dans le désert du Harad.

Ezhel

PNJs de Taorin Ezheles5

Ezhel était un esclave quand le Chien Borgne le rencontra. Il appartenait alors à l'esclavagiste Omar Balig Wahid El'Abib, un riche négociant d'Umbar. Sa carrure exceptionnelle et sa couleur de peau particulière, d'un noir profond, le firent sortir du lot des autres esclaves.

Le Chien Borgne avait alors besoin d'un garde du corps et d'un fidèle compagnon d'arme. Or il ne disposait pas de suffisamment de temps pour rechercher un mercenaire fidèle, aussi décida-t-il de faire appel aux services d'un marchand d'esclaves. Mais, afin de tester l'esclave, le Chien Borgne dut l'affronter en duel. Ezhel montra des capacité hors normes, aussi le Chien Borgne, fort de sa position de Seigneur d'Umbar, l'acheta.

Ezhel suivit son nouveau maître jusqu'à la cité portuaire de Pelargir, sauvant la vie du Chien Borgne lors de la traversée. Cet acte lui valut un traitement de faveur, rien ne le séparant des hommes libres si ce n'est le nom. Puis, après avoir participé à la première mission de mercenariat des Chiens, Ezhel fut affranchi. Il devint alors recruteur pour le compte du Borgne, recherchant des combattants doués dans tout le sud du Gondor, de Pelargir aux Gués du Poros. Une trentaine d'hommes le suivirent, et les Chiens devinrent pour le seconde fois une compagnie de mercenaires.

Ezhel participa à presque toutes les opérations importantes des Chiens. Il fonda aussi l'Etablissement d'Umbar, trouvant un ancien entrepôt situé face aux docks, et l'aménagea.

Ezhel est aujourd'hui le second du Chien Borgne : il dirige l'escadron des vétérans, et, si jamais le capitaine venait à mourir, il le remplacerait aussitôt, et personne ne viendrait contester cette décision.

Khalid :

PNJs de Taorin 472859Khalid2

Khalid était déjà lieutenant de l’armée de l’émir Meakil, sous les ordres du capitaine Taorin lors de la bataille de Dur’Zork. Officier sans histoire, loyal jusqu’au bout des ongles, il ne supporta pas la mort de son souverain, et refusa de jurer fidélité envers le Régent, Nimrod. Il comptait retourner dans sa ferme d’origine, afin d’y vivre loin des combats et du sang.

Malheureusement, sa ferme, située non loin d’El Zerana, avait été pillée et brûlée par les armées orientales en marche sur l’Harondor. Sans endroit où aller, Khalid rejoignit Pelargir, afin de s’y engager comme mercenaire. Il y resta deux années en tant que garde du corps avant d’entendre parler des Chiens du Désert.

Il les rejoignit à Umbar. Connaissant le Chien Borgne, il monta rapidement en grade, et devint en quelques mois le second lieutenant des Chiens.
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Baidaq

Nom : Inconnu
Prénom : Baidaq
Âge : Quarante-trois ans
Sexe : Masculin
Race : Homme (Khandéen)

Particularité :
Baidaq a accumulé d’innombrables cicatrices suite à ces années de mercenariat.

Rôle : Chef d’une petite troupe de mercenaires engagés par les Neufs.

Equipement :
Baidaq ne possède pas grand-chose, devant transporter toutes ses possessions avec lui. Dans son grand sac se trouvent ainsi une petite tente, quelques rations, quelques vêtements de rechange, une pierre à aiguiser, et une petite bourse trop souvent vide. Baidaq porte sur lui son armure de cuir renforcé de fer, qui lui couvre tout le torse et les épaules, ainsi qu’une paire de solides bottes aux semelles cloutées. Un petit bouclier rond, cerclé de fer, est le plus souvent attaché dans son dos, mais le mercenaire préfère employer ses deux sabres parfaitement aiguisés.

Description physique :
Baidaq ne mesure guère plus d’un mètre soixante-quinze, pour quatre-vingt kilos environ. Mais nulle graisse ne vient alourdir sa silhouette trapue : les voyages constants l’ont maintenu dans une forme peu commune. Son visage est dur, fermé, parsemé de cicatrices. Son nez, cassé une bonne dizaine de fois et rarement bien remis, est tout en angles absurdes, donnant un air terrible à cet homme d’Orient déjà effrayant. Au-dessus, deux yeux noirs, bridés, toujours aux aguets, montrent une détermination sans faille.

Ses cheveux sont un autre sujet d’étonnement pour les gens du Nord : tondus sur une partie du crâne, puis ramenés en une longue tresse où sont attachés divers porte-chances colorés, ils lui donnent un aspect barbare, confirmant ainsi les rumeurs alimentées par les voyageurs de passage.

Description mentale :
Baidaq est un homme déterminé, impitoyable, et amoral. Il conçoit l’existence comme une lutte sans merci, où chacun est à la fois proie et prédateur. Seule la force physique, l’agilité mentale ou la richesse peuvent aider un individu à se hisser au-dessus de ses congénères. Les règles morales ne servent qu’à cacher cette dure réalité. Baidaq se fraye ainsi son chemin dans la vie à la force de ses poignets, sans remords pour ceux qu’il estime être plus faibles, et sans s’attendre à la moindre pitié de ceux qui le surpassent.

Baidaq possède de plus un ego très développé, et il ne tolère pas la moindre remarqua quant à sa personne, n’hésitant pas à se battre pour réparer une soit disant insulte l’ayant visé.

Histoire :
Baidaq est né au sein d’une tribu nomade du Khand. Dans cet univers rude, il a grandi en compagnie de ses frères et sœurs (deux sœurs et un frère ainés, trois frères puinés). Il a très vite appris le maniement des armes, destiné par sa famille, par la tradition, par le mode de vie même de la tribu à devenir un guerrier, un homme qui verserait le sang pour défendre sa famille, pour protéger son troupeau. Montrant un certain talent pour tuer son prochain, Baidaq a vite gagné une certaine considération parmi les siens, participant dès ses quatorze ans à quelques escarmouches contre des voleurs venus d’autres tribus.

Cette vie ne lui convenait cependant guère. Son caractère sanguin lui attirant quelques inimitiés, la vie devenant de plus en plus difficile avec des pertes de bêtes et les aléas climatiques, il décida de quitter les siens et d’aller chercher fortune en ville, où ses talents de bretteur pourraient lui permettre de vivre confortablement, et d’aider sa famille et son clan à subsister moins difficilement.

Après quelques cruelles désillusions quant à ses chances de gagner rapidement des montagnes d’or, Baidaq se fit recruter par une troupe de mercenaires, avec qui il apprit véritablement à se battre. Lorsque l’Empereur du Khand décida d’envahir le Harondor, il s’engagea sous les drapeaux, et participa à la campagne en tant que simple soldat. Son courage et son talent lui permirent néanmoins de monter en grade, et il termina sergent la guerre. Le conflit fini, l’immense armée trop chère à entretenir, aidaq fut remercié pour ses loyaux services et dû retourner au mercenariat. En compagnie de quelques anciens soldats avec qui il avait combattu, et après avoir recruté quelques jeunes hommes désireux de se battre, il monta une petite troupe qui écuma les Terres du Sud, voyageant de contrats en contrats, jusqu’à ce que la rumeur des montagnes d’or promises par les Neufs d’Umbar atteigne ses oreilles et ne lui fasse prendre le chemin de la Cité du Destin, liant son sort à celui des maîtres des Havres…

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