A l'Auberge

L'elfe sourit et repondit :
-je ne sui en aucun point froissé, je serai meme ravi d'apprendre que je ressemble a mon frêre... L'avait vous deja rencontré??

Il eu un silence, puis dit :
-Au fait tenez votre argent, et je doit y allez, il me faut lire en bibilotheque pour rattrapé certains evenements...

Il se leva, vola un baiser sur la joue a l'aubergiste, et partit laissant les quelques piecettes sur la table...

Cécilia posa la main sur sa joue en souriant. Cette réaction là non plus elle ne l'avait pas prévue. Elwë continuait à la surprendre. Elle lui fit un petit signe d'au revoir et retourna à son travail. Elle avait un sac de provisions à préparer pour les fréres Nynd et un léger bagage. Le messager était toujours là et Cécilia vint vers lui en lui disant
- Je suis prête nous pouvons y aller

Sous l'oeil averti de Mullroy et Murtog

-L'Homme ce leva,ce sera un gros voyage de 2 jours,1 pour se rendre au Gondor et 1 pour ce rendre au campemant.

-êtes vous pretes ?

Bien le bonjour à vous dit Krynn en entrant dans la taverne
je voudrai le menu à 100£(melon/ jambon;pavé de boeuf+ patates grillées;tarte au pomme)ainsi qu'un lembas pour 35£.
Il attendit qu'on le serve en observant les clients.
Quand on lui apporta ce copieux repas il tendit 135£ au serveur et englouti son repas en un quart d'heure.
Il sortit ensuite en saluant les patrons.

Cécilia salua le nouveau venu qui venait de passer et essayait de récapituler mentalement ce qu'elle avait pu oublier avant de partir. Le voyage serait long semble t il. Elle pensa à Lianole et à la promesse qu'elle lui avait faite. Elle avait chargé Elohir de la prévenir de son absence de quelques jours, certifiant qu'en cas d'urgence, le personnel de l'auberge serait prêt à l'aider. Elle écourterait au maximum son séjour, sachant que bien des combats se déroulaient en ce moment, ce qui amenait bien des blessés.
- Oui je suis prête maintenant. Partons vite

-En route


Dit-l'homme d'une voix éteinte


HRP:Dsl sa ma prit un peut de temp panne d'electricité,prochain poste désert Harad


Rappel : Un minimum de lignes est demandé !!

Firion entra avec toute sa famille, ses deux cavaliers et son éclaireur. Ils étaient huit au total qu'il fallait nourrir. Ils allèrent s'installer à une table puis la tavernière vint prendre leur commande.

"Bonjour à vous demoiselle, servez-nous pour huit. Voilà 500 £, gardez la monnaie.
-Très bien, je vous remercie"

Leur repas se déroula tranquillement, Cella et Theneor reprenaient des couleurs. Puis ils décidèrent de partir. Ils se levèrent. Firion déposa 50 £ sur la table pour le service. Ils sortirent tous gaiement.

Murtog était en train de clouer une affiche sur la porte de l'auberge pour signaler que la fontaine du village était empoisonnée. Cécilia était rentrée depuis peu de son escapade dans le désert. Et dés son retour elle avait été appelée au palais pour une réunion sur cet empoisonnement de l'eau. Quoiqu'il ne soit et par mesure de précaution à l'auberge on utilisait le moins d'eau possible. Et celle dont on ne pouvait pas se passer, arrivait par outres entiéres du Rohan. Cécilia et Elohir et Mullroy parcouraient Minas Tirith pour prévenir les habitants. Murtog grogna. Pour lui c'était la fin de l'auberge si on répandait cette nouvelle partout

"Ainsi voilà la jeune personne qui répond au doux nom de Cécilia????.."

dit un grand elfe, à la sombre toison et aux vêtements sales et usées par le voyage...

Il venait de s'accouder négligeamment au comptoir, plongeant ses yeux droit dans ceux de l'aubergiste...

Un sourire se dessina sur ses lèvres fines, puis au bout de longue secondes d'observation il finit par dire:


" je souhaiterais un pichet d'hydromel, un pain entier et un grand morceau de votre fromage le plus fin,......s'il vous plait ...je ne sais si vous avez conservez trace de la note que je dois à l'ancienne propriétaire mais j'apprécierais que vous y portiez le montant de cette commande puisque je n'ai pas sur moi de monnaies...avec mes remerciements les plus sincères damoiselle...."

Cécilia était revenue de sa tournée dans la cité. Elle était loin d'en avoir teminé mais l'heure de pointe arrivait. Et comme pour confirmer ses pensées un client se présenta, alors qu'elle était à peine rentrée. Elle enfila rapidement son tablier, attrappa son plateau et sourit au nouveau client
- Bonjour et bienvenue! Que puis je vous servir ?

L'elfe, contrairement aux autres vint s'accouder au comptoir et passa commande en regardant Cécilia droit dans les yeux. Au moins il savait ce qu'il voulait. Cécilia avait l'habitude des contacts et ce rapprochement soudain ne la troublait pas le moins du monde.
- Trés bien je vous apporte tout cela quand à l'ancienne propriétaire, elle est partie avec ses ardoises

Elle seapprocha du comptoir et toujours souriante elle plongea son regard dans le sien.
- Vous avez omis de me préciser: quel sorte de pain souhaitez, vous ? Seigle ou aux noix?

Cécilia attendit sa réponse mais ce personnage semblait apprécier les mets plutôt fins, alors elle avait une idée de ce qu'il allait lui dire

Cécilia a écrit:

Elle se rapprocha du comptoir et toujours souriante elle plongea son regard dans le sien.
- Vous avez omis de me préciser: quel sorte de pain souhaitez, vous ? Seigle ou aux noix?

Cécilia attendit sa réponse mais ce personnage semblait apprécier les mets plutôt fins, alors elle avait une idée de ce qu'il allait lui dire

"Au seigle cela va sans dire du moins si la farine n'en est pas trop grossière...."

répondit l'elfe,
".... dites moi donc depuis combien de temps êtes vous en ville, damoiselle?? Cela fais maintenant plusieurs mois que je me suis absenté, et je suis sur de ne point vous avoir vu a cette place avant et pourtant vos traits me semblent familier??seriez vous natives de la blanche cité??...veuillez m'excusez je suis un grand parleur, j'espère au moins ne pas vous abimer les tympans avec mon flot de paroles ni vous embarrasser de mes questions fort inconvenantes au demeurant...et je vous pris instamment de me pardonner..."

"Puis je avoir l'audace de vous inviter a partager mon repas ??"

Cécilia aurait dû parier elle aurait gagné sur le pain. Elle apporta la commande. C'était assez paradoxal d'ailleurs. Car il semblait apprécier la gastronomie mais n'était pas habillé comme un noble. Preuve que l'habit ne faisait pas le moine! Et pourtant il avait le langage et les manéres d'un noble. Elle sourit à ses remarques
- Non la farine n'est pas des plus fines, mais elle a l'avantage non négligeable d'être de Minas Tirith. C'est un produit purement de chez nous.

Cécilia commença à nettoyer quelques verres. Répondre aux questions ne la dérangeait pas du tout. D'autant plus que ça ne l'empêchait pas de travailler
- Je suis née ici en effet.Mes parents possédent la boulangerie non loin d'ici. Il y a quelques années de cela ils étaient propriétaires de cette auberge et j'y ai grandit. La naine qui travaillait ici avait racheté l'affaire. Puis elle a du partir retrouver de la famille, alors j'ai repris.

Cécilia sourit
-Vous ne m'embarrassez pas le moins du monde avec vos questions. Je le déplore mais je ne puis m'attabler avec vous.

Elle désigna les tables qui se remplissaient
-c'est l'heure de pointe. Au fait, comment vous nommez vous Messire ? Il me semble également vous avoir déjà vu...

"..mon dieu aurais-je omis de me présenter?? tout à ma fatigue et à ma faim j'en ai oublié la plus basique des politesses!!! La soleil puisse-t-elle m'épargner cet écart je vais de ce pas réparer mon erreur...!!

.... Les gens d'ici me nomment LAEMES, conteur en la blanche cité et tout a votre service, damoiselle Cécilia !!..."

dit l'elfe en se fendant d'une révérence toute à la fois gracieuse, comique et pathétiquement hors de propos... comme un arlequin sur un champ de bataille.

Cécilia ne put s'empêcher de rire. Un artiste, voilà qui expliquait tout. Bien sur qu'elle l'avait déjà vu en tant que conteur de la cité. Ces histoires elle les avait toujours aimé. Elle fit une révérence à son tour. Révérence digne d'une princesse...en tablier et avec un torchon à la main
- Enchanté Messire Laemes. Si le soleil ne vous a pas pardonné, la lune ne pourra vous être qu'indulgente. Pour moi vous êtes entiérement excusé.

Un grand sourire éclaira son visage, Cécilia adorait les contes. Ses parents lui en avaient beaucoup raconté lorsqu'elle était enfant. Et peut être que cela était resté. Il lui arrivait souvent d'en lire au petit Elohir. Et lespetitt garçon semblait les apprécier également
- Messire Lames, me ferez vous le privilége de me raconter une histoire ?

"vous racontez une histoire??? ....certainement, je suis paraitrait il bon qu'a cela !!"

répondit Laemes en souriant,

"alors voici:.... perdu au fond de cette vaste région, se
dressait une charmante colline semblable a une coupe parfaite que l'on
eut retourné. Elle était d'une régularité a coup sur magique, mais sa
plus grande particularité en était bien l'odeur, une odeur de pain
chaud et sucré, de brioche dorée et de patée à la viande au tentateur
parfum....En n'importe quelle période que l'on puisse s'y rendre ce
phénomènne se manifestait au papille du passant!
Au bas de cette
colline se tenait, ce matin, Maître Hoolburg, hobbit replet à la
physionomie bonhomme. Il venait d'enfourner ses brioches et dégustait
séant une pipe de feuille de Longoulet, loin de son esprit les guerres
et les lointains fracas il observait, depuis sa chaise, avec passion,
pousser une petite fleur bleue.... Une fleur d'ailleurs sans intérêts
quelconques, dépourvues de tout apparat ou atour et pourtant...pourtant
notre brave hobbit était médusé par celle-ci, son regard plongeait dans
cette porte vers le néant.... porte?!! non fleur!....
Puis vint la chute, dans un brouillard impénétrable, une chute vertigineuse et interminable.....
De
longues minutes s'écoulèrent avant que hoolburg, qui était au désespoir
de voir ainsi finir sa vie, put retrouver un équilibre... Aucun choc et
malgré cela il se tenait droit dans une lumière blanche et aveuglante.
Mais ou était il donc, qu'était tous cela, tant de question qui n'était pas pour rassurée notre paisible ami!
Il
avait d'ailleurs véritablement peur, de ces peurs qui vous retournent
l'estomac et vous laisse pantelant comme un épouvantail dans le vent....

Et voila qu'a l'orée de sa vision venait s'ammasser des formes
hummainnes et animales toutes ensemble décrivant une ronde aux airs par
trop macabre pour le hobbit, puis se détachant du lot s'approcha une
petite fille, blondinette charmante devant approcher des 5 printemps...

Maitre hoolburg fut rassurée de voir que ce n'était pas un monstre et
s'en approcha donc hardimment: "fillette, ou sommes nous donc , peux tu
me le dire?"
Il obtint pour toute réponse cette phrase: "donnez moi votre coeur, s'il vous plait!"

Ceci secoua fortement notre ami, qui du coup se remit a trembler comme
une feuille, ".....mmmm...mais voyons comme pourrais je, cela me
tuerais...."
" s'il vous plait, monsieur j'ai envie d'avoir un coeur moi aussi!"
" Allons fillette cesse donc je puis te toucher tu est donc pourvu de chair et de sang et d'un coeur...."
"OH
non pas moi monsieur, moi j'ai volé mes yeux a ce chien qui titube las
bas et ma bouche a une autre fille, maintenant je vois et je parle....
il me faudrait donc un coeur pour pouvoir ressentir seulement personne
ici n'en possède....
donnez moi votre Coeur! dit elle en tirant sur son gilet ,.... je veux une brioche....

Une
brioche, tiens donc, la surprise acheva de réveiller hoolburg qui posa
alors ses yeux sur un charmant garconnet hobbit qui lui dit
larmoyant,......

Vous aviez promis que j'aurais une brioche quand ca fumerait blanc sur la collinne, la fumée est là et je veux ma brioche!

Et c'est se qui arriva en effet au garconnet qui en eu même deux, tant notre ami était content de ne s'être qu'assoupi!"

Cécilia applaudit avec emphase à la prestation de Laemes. L'histoire lui avait beaucoup plu et quelques clients s'étaient arrêté pour l'écouter. L'elfe connaissait son métier. L'histoire avait été narré avec enthousiasme et de façon passionné. C'était tout ce qu'il fallait pour capter un auditoire
- Bravo Messire Lames. Votre conte était fort bien raconté. Cependant il paraît que dans chaque conte, il y a une morale. J'ai du mal à saisir celle là.

Elle réfléchit un instant
- Est ce pour montrer à quoi la gourmandise ou la peur peuvent mener ?

Elle rit
- A moins que ce soit une maniére caricaturisé de décrire les hobbits qui ont pour répiutation d'être amateurs de bonne chaire mais pas trés téméraires

"Non en fait la morale de ce conte réside dans une autre formule célèbre:

"Tous ce qui brille n'est pas or...."... il est dangereux de ne se fier qu'au paraitre pour juger de l'être.Les hobbits sont certes gourmands et froussards mais ils ont souvent cette qualité remarquable d'être empli de bon sens !!
Mais je pense qu'il est présomptueux de vouloir imposer une morale a un conte, chacun me semble t'il est libre d'y percevoir ce qu'il entend et c'est bien là la magie du conte...!!"

- Tout ce qui brille n'est pas d'or et l'essentiel est invisible. Oui c'est une bonne remarque. Il est vrai qu'imposer une morale serait dommage. Chacun étant libre de comprendre ce qu'il veut mais j'aime bien connaître le point de vue de l'auteur

Cécilia ramassait des verres une idée lui venait, qui n'avait rien avoir avec les contes. Mais aprés tout Laemes était un conteur donc un personnage publique qui se déplaçait et pouvait porter des informations. Alorspourquoi ne poas lui parler de ce qui se passait à Minas Tirith et lui demander de faire passer le message ? Elle s'assit en face de lui et annonça
- Messire Laemes, puis je solliciter une nouvelle fois un service de votre part ?

Radamanthe poussa doucement le porte de l'auberge et s'avança tout aussi lentement. Quelques regards convèrgèrent vers la lui avant de revenir se planter dans la mousse de leurs bières. Ceux qui étaient de passage ne le conaissait pas et les autres savaient déjà son retour, les rumeurs courant vite. Et cela ne leur importait peu, héros ou pas, il restait une atmosphère différente autour du bourreau. Pour les ignorants, ce cruel homme était d'un autre monde. Aussi, ils ne chechaient guère à capter sa conversation.

Radamanthe se dirigea vers une table libre et remarqua d'un coup d'oeil que le patron avait changé. Pour devenir une patronne. L'ancien étant un nain, cela se voyait rien qu'à la tenue de l'auberge.
Il lança un simple
"Bonsoir"
d'une voix neutre avant de s'installer.

Il resta un instant immobile, perdu dans ses pensées, comme souvent depuis son expédition au Harad. Mais il souriait aussi, intérieurement car son visage était plutôt neutre. En effet, retrouver cette ambiance lui plaisait.

Un sujet revient particulièrement parmi ses pensées.

*Il y a tant de connaissances oubliées dans cette Cité..Que sont-elles devenues...Mais j'irai m'occuper de cela plus tard. Oui, il doit y avoir nombre de nouveaux arrivants dans la Cité, et beaucoup d'événments pour s'y distinguer. Je brûle de les entendre, par qui que ce soit...*




//Je rappelle qu'une pauvre fille est en bien mauvaise posture dans cette auberge. quête pour non-combattants : L'amnésique//

Un grand homme entra dans l'auberge, boîtant, sale, vêtu d'un sombre manteau déchiré; ce fut cependant sa puanteur qui gêna le plus les clients de l'auberge, l'un d'eux se leva même pour demander au mercenaire de partir, mais avant d'avoir pu prononcer un mot, ses yeux se perdirent dans le regard du guerrier. Un mélange de froideur, d'instinct sauvage, et de grande lassitude, mais surtout, un manque de pitié flagrant. Le prétentieux se rassit, évitant de recroiser ses deux ronds noirs qui l'ont terrifié.
Balak s'assit près du comptoir, puis s'adressa à la tenancière :

Ma chère, dans cette auberge, louez-vous des chambres ? si c'est le cas, je prendrais une, avec un bain de préférence...

Le mercenaire sourit legeremment, puis reprit :

Je suis content de vous revoir, Cécilia.

Soudain, un gêne occupa l'esprit de Balak. Il y avait quelqu'un...derrière lui...c'était indéfinnisable, mais il savait sans même avoir besoin de le regarder quel type d'homme c'était.

Une telle sensation... cette homme a croisé la mort plus d'une fois dans sa vie. L'aura qui se dégage de lui est impressionante.

Le guerrier attendit la réponse de l'aubergiste, mais resta aux aguets, perturbé par la présence de l'Autre.

Laemes pénétra dans l'auberge il y avait visiblement eu du remue-ménage , les gens présents étaient agités comme les remous a la surface d'un lac dans lequel on aurait lancé une grosse pierre. La pierre en question était au cou d'une frèle jeune fille...


Laemes alla au comptoir:

"Cher Cécilia je suis fort heureux de vous revoir, dites moi qui est cette jeune fille?? Vous avez agis admirablement pour régler le problème de l'eau, merci encore..pardonnez moi de ne pas etre repasser chercher mon repas le lendemain, je vais prendre la même chose ce soir et je vous reglerez les deux bien entendue ...!!"

Gebir entra dans l'auberge d'un pas lourd.Une longue journée qui se terminait et bientôt celui ci devait repartir.
Sa mission était d'escorter le sénéchal à Minas Tirith et il était arriver.
Gebir s'approcha du comptoir et prit une carte avec les prix.
Gebir demanda à la serveuse de le servir:
Bien, il me faudrait un pichet de 25cl de vin rouge avec une bière de Gondor dont seuls vos paysans savent l'ambrer.En entrée, un melon accompagné de jambon de rohan.Je n'ai jamais gouté de jambon de rohan.Puis du porc braissée accompagné de pâtes.Pour finir, un bout de gatêau au chocolat.
Pourriez vous me préparez aussi deux portions de lembas pour partir.

Gebir fût vite servi et se régala avec tout ces mets.Puis quittant sa table il s'approcha du comptoir où on lui donna son lembas.Gebir, content, déposa 200 po sur le comptoir.
il adressa un clin d'oeil à la jolie aubergiste et s'en alla.Un elonque route l'attendait vers la cité du cigne.

Le capitaine Martelong, Eoseld ainsi que Elerion arrivèrent à l'auberge. Ils allèrent s'installer à une table. Martelong s'écria :

"C'est moi qui offre ! Prenez ce qu'il vous plait. Aubergiste !"

L'aubergiste vint à leur table prendre leur commande.

"Que veulent ces messieurs ?
- Une bière du Gondor !
- Pour moi ce sera une bière du Rohan.
- Et pour le jeune homme ?
- La même chose qu'Eoseld, une bière du Rohan.
- Très bien, je reviens avec vos bières."

L'aubergiste repartit au comptoir. Martelong reprit la parole.

"Eh bien, même dans les boissons vous restez fidèles au Rohan.
- C'est que c'est une bonne bière.
- Si vous le dites. Je ne sais pas après tout, je n'en ai jamais bu.
- Eh bien, c'est le moment pour y gouter.
- Bien mais alors vous boirez ma bière du Gondor.
- Entendu."

L'aubergiste revint avec les trois bières, Mertelong le paya puis il repartit. Eoseld commença à boire la bière du Gondor, Martelong celle du Rohan. Elerion les regardait en souriant. Martelong finit sa bière le premier, suivit de près par Eoseld.

"Elle ne vaut pas celle du Gondor !
- Vous voulez rire, c'est la bière du Rohan qui est meilleure !
- Ah ça non ! Je ne le permettrai pas !
- ah ça non ! Moi non plus !"

Elerion éclata de rire. Les têtes du capitaine et de Eoseld se tournèrent vers lui.

"Vous êtes drôles !"

Eoseld redevint sérieux.

"Bon, trève de bavardage, il serait temps d'aller voir où en sont vos hommes.
- Je vous suis."

Martelong laissa un petit pourboire sur la table pour l'aubergiste puis les trois sortirent.

Un homme au visage déchiqueté entra dans l'auberge.Il avait le visage partiellement brulé,et une balafre le lui traversai de long en large.Il portai un impressionant cimeterre a la ceinture dont goutait un liquide verdatre étrange.Il avait une fine barbe et des cheveux broussailleux.Une éxpréssion de haine constante et incontrolé sautillait dans ses yeux(enfin,dans son oeuil).Un genre d'individu a ne pas rencontrer de nuit quand on a une bourse trop bien rempli.Sa peau était basané,surement un haradrim.Sur son épée était gravé les symboles de l'émir du harad,le grand méakil duzungi,actuellement résident au palais du roi méphisto.Ses bras musculeux laisseé penser a un entrainement intensif a toute sorte d'arme,létale ou non,telle que la hache ou le pied de table.

Il s'approcha du comptoir,commanda une bière et la but d'une traite.Il s'approcha ensuite d'une table ou se déroulai une parti de carte fort animé.

-Excusez moi,mes chers,puis-je participer a votre jeux?J'ai de 'argent a jouer...
-Trés bien,il nous manquait un joueur,assied toi là...


L'homme sortit de la taverne,la bourse vides et la colère défrmant son visage.
L'homme qui m'a vaincu a triché,c'est sur...


-Bien joué Zereph,tu l'a plumé comme un bleu,ce pigeon!



Lorsque Zereph sortit,bien plus tard,il marcha dans quelque ruelle,ziguzaguant,bouurré comme une vache.Il n'eu meme pas le temps de voir le sabre s'abbatre sur son crane et le faire éxploser en une multitudes de parties cervicales disloqué.
Je vais pouvoir reprendre mon argent...


NB : Quiconque est encore dans le coin Rpement peut prévenir la milice pour arrêter ce criminel.