Secte aux amulettes [Enquête]

En voyant son ami tomber par terre, Forlong se jeta dans cette direction en donnant des coups d'epee dans tous les sens. Il s'arreta a cote de Hobasian et essayait de retenir les bandits jusqu'au moment ou les autres allaient arriver.

Meneldir lançait de grands moulinets dans tout les sens en coupant membres ennemis de sa grande hache à deux mains.
De nombreux ennemis gisaient mort ou bléssés du coté de Meneldir.
La lutte continuait et les hommes aux cranes rassés ne faiblissaient en aucune façon.

Soudain, il y eut une grosse bourasque de vent qui balaya la pièce, décoiffant les combattants. De hautes silhouettes se dessinèrent dans l'embrasure de la porte; il y eut un cri et la vingtaine d'hommes se jeta dans la mêlée, le Roy en tête et son épée noir à la main.

Sous l'effet et le poids de l'attaque, certains fanatiques succombèrent, dont un traversé par la lame noir du Roy, Morimë. Les autres fléchirent, prirent peur et battirent en retraite, plus loin, les expressions de leur visage tendues par la crainte. Il fallait en finir avec les rebelles, une fois pour toutes.

Tout les combattants avait été libéré de tout ennemis et Meneldir d'était rapproché du roi pui dit :
Seigneur devons nous pénétrer dans ce batiment ou devons nous parlementer

Forlong aida Hobasian a arriver jusqu'au coin de la ruelle. Il y avait un petit arsenal avec des epees, des couteaux et des arbalettes. Hobasian pouvait les supporter a distance.

La bataille se poursuivait, avec même plus une dizaine de gars. Laissons au Roy et ses sujets le loisir de les achever.

Mais une fois qu'il n'y aura plus rien et qu'ils entreront dans la caverne, ils pourront voir des étranges symboles sur les murs.
Parmi eux, ceci :

Ils étaient placés dans un ordre précis...26 lettres ?


Ils voient une échelle. Cela mènerait-il au but ?
Ils descendent.
Voilà trois portes, dans une couloir bizarre.
Des symboles, qui disent :


Une énigme désignant quelle porte il faut ouvrir. Et si l'autre symbole servait à quelque chose ?


//Nouvelle énigme. Autre indice : Word police Symbol...J'ai fait des trucs en avance, vous pouvez encore finir le combat.Pourquoi ne pas s'occupper d'une ligne chacun ?//

Forlong etait le premier a entrer dans le batiment. Il vit des inscriptions sur le mur. Celles ci lui rapellerent quelque chose; c'etait les runes anciennes des hommes d'Arnor. La premiere inscription etait l'alphabet.
La premiere ligne du texte disait:

1. 
   trois
   portes mais une seule qui vous emmenera
   

La soirée commençait à s'étirer dehors. L'escarmouche était enfin terminée et les hommes pénétrèrent dans le bâtiment lugubre d'où aucune lumière n'émanait. Le Roy s'approcha des inscriptions et s'émerveilla : il connaissait ses runes ! Un sage les lui avait apprise dans le courant de sa jeunesse.

Il réfléchi pendant plusieurs minutes afin de décripter le message...

"La où...là où la mort..."

Il ne dit plus rien durant un quart d'heure, et enfin il se ressaisi, un large sourire s'étirant sur ses lèvres.

"Là où la mort est seule maîtresse mais n'existe pas...En voilà une énigme !"

Balthazar s'écria :

-Intéressante déduction ! L'alphabet...

Il retourna voir l'inscription et se mit à comparer les signes de la ligne suivante.

-Alors...?ers l?trenit? dirig?s. ?t on sait que deux...Cela pourrait donner Vers l'éternité dirigés, Et on sait que deux...Reste à trouver la suite, Le début doit aller avec portails.

"Trois portes mais une seule qui vous emmenera
Là où la mort est seule maîtresse mais n'existe pas
Une, deux et trois, voici nos noms, portails
Vers l'éternité dirigés, Et on sait que deux ...
Cela devient de plus en plus interessant ... Vivement la suite ...On approche du but !"

[HRP, Y a-t-il quelqu'un qui doit poster pour le reste de l'énigme ou doit-on recommencer chacun notre tour jusqu'a obtention de la solution ..?HRP]

Un silence de mort régna dans la pièce, comme pour peser l'ampleur des mots que venait de prononcer Forlong. Les hommes baissèrent la tête et réfléchirent dans une ambiance austère.

Un voix rompit le silence:

"C'est une énigme fort difficile ma foi...quel esprit tordu !"

Quelle porte fallait-il prendre ? Le Roy méditait depuis au moins une demi heure quand le déclic se fit. Il remercia dans sa tête son professeur pour lui avoir forger l'esprit dans sa lointaine jeunesse et déclara:

"En fait, je crains qu'il n'y ait que trois mots importants dans tout ce charabia pondu pour un fou. Regardez, deux et trois; ainsi que leur différence. Cela donne un, la première porte, celle qu'il nous faut prendre. Mes amis, franchirons-nous ensemble la porte ?
Il faut maintenant mettre un terme à tout ce cirque..."

Je rentrai dans une rue sombre ou j'avais vu le Roy aller. Je reconnu directement le Roy. Je me dirigeai vers lui et lui tapota l'épaule avant de m'agenouiller devant lui. Je dit:

"Votre Altesse, veuillez m'excuser, je suis un soldat de Votre Altesse. A la caserne, on m'as dit que Vous auriez peut être besoin de moi. Donc, puis je vous être utile?"

Balak trépignait d'impatience. Cette histoire allait se terminer, les ennemis de la couronnes égorgés, les récompense donnés, ils allaient enfin pouvoir se reposer un peu. Mais l'heure n'était pas aux rêvasseries. Il y avait quelque chose derrière cette porte, et quel quelle soit, lorsque cette porte s'ouvrira, elle mourra.
Je me ferais un grand plaisir d'appliquer les quelques astuces de ce bon vieux Hanzim...ce vieux bourreau à la retraite...je me demande ce qu'il devient celui-là, d'ailleurs.
Mais fi des pensées, le mercenaire dégaina son épée courte d'acier et fléchi légeremment les genoux, prêt à donner l'impulsion et à bondir sur le premier ennemi qu'il verra.
Après vous...mon roy.

Attention, il n'y a pas d'ennemis tout de suite après, mais il y a encore quelques surprises sur le chemin...
Rada'

Balthazar poussa une exclamation de surprise quand le Roi énonça la réponse. Tout celà pour trois mots importants ! Lui, il n'avait pas comprit grand chose à cela, ce n'était pas son truc.

-Admirable. Maintenons, je me demande ce qui va se passer...

Il était prêt, son épée sortie, quel que soit ce qu'il y ait derrière cette porte.

L'intuition du Roy se révèla la bonne. Rien ne lui arracha la tête quand la porte s'ouvrit.
De l'autre côté, le couloir continuait, avec ses murs tapissés de symboles.

Ils continuèrent prudemment, auncune trace des chauves immédiatement.

Et puis soudain, deux autres portes. Avec sur le mur, un texte étrange.

Mais de celle de droite, des chauves sortirent, trois. Celle de gauche était ûrement une fausse.

Les ennemis s'écrièrent en les apercevant ! Ils rentrèrent, il y avait là d'autrs chauves. Ils s'enfuirent.

Il fallait absolument arrêter ces chauves avant qu'ils ne donnent l'alerte. Il y en avait dix seulement, mais tout de même.

//La caverne princip' n'est pas encore là//

"Ne les laissons pas s'échapper !", s'écria le Roy en distinguant les forums des hommes fuir dans l'obscurité du souterrain. Il s'élança machinalement à leur poursuite, rapidement suivi par ses hommes avides de venger les leurs qui sont tombés.

La lame noire du Roy s'abbatit violemment sur le dernier fuyard, pendant que le reste de ses compères prennaient peur et redoublaient d'effort dans leurs courses. Une flèche bien ajustée se figea dans le dos du deuxième, qui se cabra d'un spasme et s'effondra juste devant le corps sans vie du premier. Aller, encore un petit effort....

Balak bondit vers l'un des chauves, et l'empala de sa lame, de telle façon que la sentinelle senti le souffle rauque du mercenaire avant de mourir. Lors de ses derniers instants, Balak sussura quelques mots à l'oreilles de l'homme, qui pâlit subitement avant d'expirer. Il ne put par la suite qu'entailler un autre fuyard, qui continuait sa course. Il mourra dans quelques heureus, certes, mais il aura le temps de donner l'alerte. Et les autres étaient encore tous sains. Ses compagnons devaient réagir, ou ils seraient tous morts au petit matin.
Mère Faucheuse,ne me reprend pas, j'ai encore tant à faire...

Balthazar avait l'avantage d'être assez athlétique, et en même temps, étant nouveau ici, il n'avait pas trop d'équipement. Il pouvait donc courir vite et ratrappa le Roi et Balak.

Il remarqua le coup à demi manqué du mercenaire et s'élança aussi bien qu'il le pouvait pour l'avoir. Il arriva dans son dos et le lui entama, cependant il continua, donc il lui ouvrit un tendon, et l'homme s'écroula. Balthazar put l'achever. Un autre se retourna pour regarder ce qu'il se passait.

Il ne put voir que l'épée d Balthazar qui arrivait et le décapita.

Forlong s'arreta un moment et prit son arbalette. Il visa un des bandits et tira. La fleche toucha la jambe du bandit et l'empecha de courir, donc il fit vite atrappe par le Roy et les autres.